Mon maitre dit alors avez-vous compris ce qu’on vous offre, la foule répondit d’un oui commun. C’est à ce moment-là que les portes de la salle s’ouvrirent, l’homme qui se tenait dans l’encadrement de la porte dit à mes Maitres que tout était prêt. Alors ma Maitresse annonça que pour officialiser ma mise en esclavage, j’allais être marqué au fer rouge devant tout le monde. D’un pour que je prenne conscience que ma vie d’homme était définitivement finie, et de 2 pour que le village prenne conscience qu’ils avaient maintenant un défouloir. Ce marquage, était important pour moi car j’en rêvai depuis de nombreuses années et j’allai enfin être un esclave sans nom sans passé et qui ne manquera à personne. Bien sur le fait de sentir la chaleur du fer près de ma peau me fit paniquer et stressé, jusqu’au dernier moment je me demandai si mon choix de vie était le bon et si je ne devais pas tout arrêter avant que cela ne soit irréversible. Et puis mon Maitre me regarda et me demanda du regard s...

Je vais vous conter comment j’imagine vivre une journée si j’étais enfin un esclave. Ce récit est bien sur hypothétique et n’est en aucun cas réel, il sera en 2 parties . Je pars sur le principe que mes Maitres travaillent de journée. Ma journée commencerait à 6H du matin, ou le système qui me maintient enchainé au mur me libère et me réveille en m’arrosant d’eau froide afin que je puisse me laver. Oui étant donné ma condition d’esclave je n’aurai pas le luxe de pouvoir bénéficier d’un vieux matelas, qui sont réservé aux soumis. Une fois lavé, je m’équiperais en liant mes chevilles avec une chaine, idem pour mes mains, je me mettrais un bâillon, et pour finir un plug dans l’anus dont la taille varie en fonction aléatoire venant du système. Je devrai me rendre en cuisine, afin de préparer de le petit déjeuner de mes esclavagistes. Moi évidemment, je n’ai pas le droit de mange, des caméras sont installées partout dans la maison afin de me surveiller. Une fois le repas prêt je do...

Après discussion sur un site BDSM avec un soumis qui me voulait sous ses ordres, j’ai réalisé que je ne souhaitais pas être soumis mais plutôt esclave. En fait ce soumis se disait curieux de ma position, le fait que je sois marié, bi et désireux d’être soumis. Notamment sur le fait d’être bi il me demandait ce qui m’attiré chez un homme. Et ma réponse me perturba quelque peu, en fait il n’y a rien qui m’attire chez un homme, la seule chose que je peux jalouser ce sont les abdos et encore. Du coup comment je peux être bi sans attirance vers les hommes. Et la réponse m’est venu bêtement, je suis un bi f o r c é . Je m’explique, je ne vais pas chercher, et ce n’est pas un besoin vital pour moi, à sucer un pénis ou me faire sodomiser, mais du fait de ma position de soumis (d’ailleurs on reviendra sur cette position après) je ne peux pas refuser, une fellation ou une sodomie, je suis un être inférieur donc je n’ai pas le droit de refuser. C’est aussi simple que cela pour moi. Main...

L’histoire se passe lors d’un repas de famille. En effet, chaque année à cet époque, nous fêtons l’anniversaire de Sylvain, mon tendre et cher époux. Il a quarante ans aujourd’hui. A l’occasion de cet anniversaire, je me suis offerte une bonne partie de la nuit. On a baisé, je l’ai sucé, on a bien jouit. Seul ombre au tableau, il ne me propose jamais de me sodomiser, malgré mes envies de sentir sa queue, dans mon petit trou. Bref… Parmi les invités, il y a ses parents, bien sur, les miens, et Hervé, le meilleur pote de mon mari, toujours de la partie. Il est toujours célibataire. On lui prête bien quelques aventures, mais rien de bien sérieux. Dommage, car il est très séduisant. Du reste, j’avais eu un flirt avec lui au lycée, mais sans lendemain. Après, j’ai rencontré Sylvain. Moi, je m’appelle Céline, trente huit ans, des seins bien fermes, des lèvres pulpeuses, que mon mari adore quand je le suce. J’ai toujours la même fugue qu’à vingt ans. Le repas se passe dans une ambiance feu...

J’ai eu peu de temps de repos avant qu’un mec sonne et que la porte s’ouvre. - Salut Fred ? il est ou la lopette ? Un signe et le mec est entré. Il m’a détaillé sans un mot puis deux. - A genoux ! Déjà je sentais une odeur de sueur et de pisse. - Ne fait pas cette tronche je sors du taf alors bien sagement tu vas défaire ma ceinture, l’ôter et tu défais ma braguette. Là oui c’est le jean est a mi-cuisses. Colle ton visage et lèche mon slibard. Vlan le premier coup de ceinture a claqué sur mes fesses. - Je t’ai dit de lécher tu n’as pas entendu ? Son slip puait la pisse et le sperme séché mais bon j’ai donné un coup de langue et il m’a plaqué le visage sur la bosse de son sexe. - Respire la bonne odeur de mâle qui sort du taf ! Il y a des femelles qui font ça tous les soirs ! Je sentais la bosse grossir et quand il a écarté la ceinture du slip le gland sentait plus fort encore. - Il doit y avoir de quoi bouffer je ne me lave pas tous les jours alors nettoie...

Bonjour, Pour cette publication, je souhaiterais nous présenter : Nous sommes un trio de vie mature , mon épouse, son amie depuis 40 ans et moi . Elles sont bi , moi hétéro : je n'ai de rapports amoureux qu'avec mon épouse mais nous amusons à trois... souvent selon les désirs de notre amie, plutôt BDSM. Nous vivons ensemble depuis 3 ans , et essayons toutes sortes de choses. Nous nous connaissons très bien , de partout.... 😊 En fait , nous " switchons " : je peux, le temps d'un jeu, être leur Dom , elles peuvent être ma , ou mes , Dominas... à trois, pleins de combinaisons sont possibles. Nous connaissons, tous les trois, le bondage , le martinet et la cravache, la chasteté imposée, la sodomie...tout est accepté, sauf le dédain. C'était avant hier mon anniversaire. Les Dames, pour me préparer à un " cadeau spécial", m'ont encagé Mardi dernier : je le suis régulièrement dans une très courte Tour de Londres....elles aiment ! Mardi soir donc, 20h , apéritif Champagne , p...

- Comme les putes, tu garderas ce qu’on te laissera, pas grand-chose ou alors pas mal de mecs. Tu auras un autre portable et ceux qui appellerons seront juste des clients pour savoir si tu es libre. Voilà ta pièce de vie pour le moment. Si tu as froid on te laisse ce petit haut aux pointes coupées et ce jock-strap. Tu as un gode fixé au mur pour te réchauffer. Tu peux te déplacer la chaîne est fixée au plafond. Et oublie-le « non je ne veux pas » ! Tu as le lit au centre de la pièce pour ne rien cacher. Repose-toi quand tu as l’occasion. Tu en auras peu. - J’oubliais. Dans le coin tu as un tuyau avec un embout fait pour te nettoyer l’intérieur du cul après chaque rapport. Aller à plus. J’ai pu me voir et j’étais bizarre sans poils. Rien ne frottait entre mes fesses comme avec mes petits poils. J’étais en train de me toucher les fesses quand un inconnu a poussé la porte. Tranquille il a ouvert sa braguette et baissé son slip dévoilant un beau membre veiné déjà bandé. -...

Mon éducation. Bonjour, enfin ça c’est pour vous car pour moi ce fut le pire des jours. Je travaille en intérim dans une boite très connue et je venais de finir une mission. L’’argent serait viré sur mon compte je n’avais pas de soucis pécuniers et rentrais par le bus jusqu’à mon arrêt habituel, petit studio à deux pas de l’arrêt au fond d’une impasse. Je me suis retourné quand une camionnette entrait en marche arrière et je n’ai pas vu venir le coup. Un mec, surement planqué dans l’entrée de mon couloir est venu se coller à moi, un chiffon imbibé de je ne sais quel produit plaqué sur mon visage. Je me suis débattu mais plus je bougeais et plus je respirais et m’amollissait jusqu’au moment où j’ai dû perdre toutes forces. Le chiffon retenu par un large élastique, je voyais sans pouvoir réagir. Un mec est descendu, cagoulé sauf les yeux et j’ai été tiré sur le plancher du fourgon. Une fois en route ils m’ont mis un masque et j’ai pu entendre leurs voix. Mignon comme tout c...

Je rentrais nue dans la salle de bains, y trouvais Jeff, mon mari face au miroir, nu lui aussi. Je remarquais sa queue en érection dans la glace, comme si elle aussi s’y regardait. Je m’approchais, le ceinturais, saisis sa bite, fis coulisser le prépuce, le décalottais - Un problème à résoudre avant de partir ? Dis-je l’embrassant au creux de ses épaules. Je vis son sourire coquin dans le miroir. Il se retourna, saisit mes hanches et me monta sur le plan du lavabo. Je sentais sa queue taquiner mon clitoris, courir sur ma fente encore sèche. Puis, il me pénétra, me faisant mouiller instantanément. Je me pendis à son cou, nouant mes jambes dans son dos. Soudain, le téléphone vibra, privant mon corps de l’orgasme qui se profilait. C’est donc sur un échec que je quittais la salle de bains pour regagner ma chambre. Laisse-moi te raconter une histoire qui m'est arrivée il y a quelques temps. C'est l'un de ces moments qui te laisse une sensation étrange, comme si tu souhaitais qu...

À l'époque des premières civilisations occidentales, les peuples se structurent socialement, les hommes prennent progressivement le pouvoir politique, économique et militaire, reléguant les femmes aux tâches domestiques et maternelles. Pour imposer leur autorité, ils usent de violence physique, donnent des coups de badine ou de fouet sur le corps nu des personnes châtiées, parfois en public. Notamment dans le cadre judiciaire et militaire, les hommes mariés peuvent gifler leur femme s'ils le jugent nécessaire. Avec le temps, la conscience de la brutalité de ces pratiques vient, qui sont peu à peu remplacées. Durant l'Antiquité, les claques ne sont plus données sur le visage des femmes, mais de plus en plus sur leurs fesses nues, du moins en privé. Cette nouvelle pratique nommée la fessée a certains avantages. Elle ne laisse pas de marques visibles sur le corps, elle est plus agréable pour les hommes qui profitent de ce moment pour manipuler les fesses de leurs femmes, parfois même l...

J’arrive dans le salon enveloppée dans une serviette, et je vois par la baie ouverte de la terrasse, Thomas, mon mari, serrer dans ses mains une tasse de café. Julien se tient debout derrière lui, une main amicale posée sur son épaule. - Désolé mon vieux, je ne voulais pas ça...ta femme non plus. Thomas regarda Charles monter dans sa voiture, et s’éloigner du chalet, tandis que je restais plantée au milieu du salon, enveloppée dans une serviette de bains, voulant dire quelque chose, mais aucun mot ne sorti. Je venais de passer la nuit à faire l’amour avec Charles, un prêteur sur gage de soixante ans. Maintenant, Thomas se sentait coupable, semblait regretter. Tout a commencé lorsque l’entreprise familiale de mon mari connu des difficultés financière suite à une baisse de commandes. Même si cette crise n’était que passagère, il fallait des fonds pour passer le cap, tandis que la reprise s’annonçait. Malgré une étude de marché solide, les banques restaient réticente à consent...

À l'époque du Far West, quatre sœurs semèrent le trouble partout où elles passèrent. L’aînée, elle qu'est comme un melon, qui a un gros nez, elle qui ne sait plus son nom. Pardon, Ça c'est une chanson de Jacques Brel, je disais donc. L'aînée Avrella ne fut pas la plus futée, la cadette Joannie, elle, fut la plus teigneuse, quant aux deux autres, elles furent presque des figurantes dans ce quatuor infernal, nul ne put les arrêter car leur nudité les exposa dans une Amérique si puritaine que le simple fait de les regarder fut un péché. Dans la petite ville de Raccoon City, une diligence arriva en trombe, le cocher hurla : Nous sommes attaqués, quelqu'un pour nous aider ? Sortant du saloon, un homme à l'apparence ordinaire vit au loin un groupe de cavalières dans la fumée. Lorsqu'elles arrivèrent, elles menacèrent toute la communauté. L'homme s’approcha lentement de leur cheffe et l'attrapa par la taille pour la faire descendre de son cheval puis l'agrippa par les épaules, la pen...