Sur le bord du lit, des coussins empilés doivent être en nombre suffisant. Pour vérifier je m’assois dessus, tant que mes pieds touchent le tapis au sol cela n’ira pas. Encore trois autres que je récupère discrètement dans la deuxième chambre. Lény qui prépare un repas rapide ne doit pas savoir, enfin pas avant le dernier moment. Ce soir nous allons nous divertir, une partie de sexe version sport et exaltation. Et c’est moi qui ai gagné la main, le rôle de meneuse. Je dissimule les coussins dans le placard, laissant les deux seuls habituels du lit, et descends dans la cuisine. Face à mon compagnon je ne cache pas mon plaisir d’avoir prévu une nouveauté, il a forcément observé un sourire en coin allumant mon visage. Je m’installe à la table où le couvert est déjà prêt, Lény finit de cuisiner. Même si le leader du jour ne régit pas de tout durant nos abats, il propose les lignes principales, les jeux, quand cela débute et se termine. Il doit s’assurer de satisfaire les désirs des deux...

Y et S c'étaient réservés un week-end entre copains pour un city-break à Prague. Cette belle ville que S connait bien à beaucoup de charme. Et pour ceux qui veulent la visiter, un week-end est bien trop court! Nous étions à l'hôtel et S tend un cadeau à Y avec un petit mot écris dessus! "Merci pour la grenouillère la dernières fois, à mon tour de surprendre !" Y curieux de nature regarde S avec un mélange de surprise et d'inquiétude! Y :"Oh! une salopette! Je ne m'y attendais pas. C'est même plutôt curieux comme cadeau, j'aime la soie, porter des vêtements dans cette matière mais une salopette? Tu fais fausse route mon ami!" S:"Je me doutais que cela t"intriguerai mais sache que cette salopette est spécial. Je vais d'ailleurs te demander de mettre un cage, prendre un sous vêtement agréable et un haut féminin qui te plaît!" Y : "Nous ne devions pas allez visiter Prague? La tour Astronomique? La baby Tower? Le pont? Le musée du Jouet?" S :"Ne pose pas tant de question...

Il faut prendre ses récits comme des nouvelles qui illustrent l'amitié entre 2 personnes autour du bondage et autres kinks! Ce texte a était écrit par un ami réel en réponse à la première histoire Nouvelle histoire de Y & S : Y et S apprécient les jeux de contraintes, sans aller dans le SM et les relations sexuelles. Lors d’un petit jeu entre eux, S a gagné un gage nommé « libre choix » ce qui signifie qu’il ne pouvait rien refuser de ce que Y déciderait. Cette idée de jeu devenait grisante, Y jouait l’espiègle dominateur et harcelait S sous divers prétextes, chose qui lui convenait pleinement. ............................ Y demanda à S de revenir avec ses affaires personnels pour une séance de bondage. Entre le plug qu’il devait mettre et le fait d’être dans l’incapacité de se toucher le sexe sous cage de chasteté, S était déjà quelque peu excité. Une surprise attendit S à son retour. Y : « ouvre ton cadeau !’ S : « qu’est-ce que c’est ?» en déchirant l...

Voici un mail que j'avais envoyé en mai 2019 à Emily, une Femme qui a beaucoup compté pour moi et qui tient toujours une place particulière dans ma tête... Je suis en train de t’écrire depuis mon salon, là où j’étais à genoux dimanche dernier… et là où je me suis si souvent branlé avec Toi au téléphone… J’ai donc lancé le film pour le regarder à genoux mains sur la tête, encagé(e), pluggé(e) et bâillon boule en bouche,, comme Tu me l'avais ordonné… en fait je l’avais déjà vu il y a longtemps… c’est une vidéo où un homme domine une Fille et un mec de manière très dure et j’ai toujours rêvé d’être à la place de la Fille tellement Elle est vraie sur ces images… ses cris, ses pleurs, ses réactions lorsque qu’Elle reçoit les coups, qu’Elle se fait goder ou qu’on lui pince les seins m’ont toujours super excité… donc pendant tout le film je me voyais à sa place et Toi à la place de son maître… dans sa cage ma queue tentait de bander… sans aucune chance de pouvoir le faire… l’envie de...

Hétéro en dressage gay (1) J’étais parti de ma boîte faire un break d’un an et j’avais trouvé une location du côté de la côte de granit rose En arrivant j’ai été accueilli par le fils des proprios, grand gars de 22ans. Bonjour, vous devez être Paul ? Oui tout à fait, dur de trouver mais avec le GPS ça va. - Moi c’est Alan, venez je vais vous montrer le chalet. Vous verrez c’est tranquille à part les mouettes. Fatigué ? - Non, surtout stressé, besoin de décompresser. Un an de liberté totale. On avançait et derrière une haie d’ajoncs, à la fois l‘océan et le chalet. Waouh ! - Au début tout le monde à cette réaction, il y a un emplacement derrière pour votre voiture. Mais entrons. Il m’a rapidement fait visiter spécifiant que le chalet était construit sur un blockhaus de 43 et que l’accès se faisait par une trappe sur le perron. - J’y pense, vous êtes gay ? Non hétéro mais pas bloqué par un ami pour ça. J’en connais au bureau. - Jamais pensé à pratiquer ce ge...

Quand mon père est décédé, emporté par l’abus d’alcool, j’avais quatre ans. Et ma mère n’a plus dès lors vécu que dans la hantise que je ne finisse par suivre le même chemin. Si bien qu’à compter de ce jour plus la moindre goutte d’alcool n’est entrée dans la maison et qu’elle s’est employée, chaque fois que se présentait l’occasion de le faire, à me mettre systématiquement en garde contre les dangers de ce qu’elle considérait, ce qu’on peut comprendre, comme un poison mortel. En sorte qu’à dix-neuf ans, je n’avais jamais touché ni bière ni vin et encore moins whisky ou vodka. Et puis il y a eu ce soir-là. Il faisait un temps magnifique. C’était l’été. Les vacances. Une foule de touristes avait envahi le petit village ordinairement paisiblement endormi que j’habitais. Il y avait des guitares. Un bal s’est improvisé. L’excitation. L’euphorie. On m’a tendu une canette. Je l’ai machinalement saisie, portée à mes lèvres, bue. J’ai apprécié. Une autre. Encore une autre. Ma tête s’est mise...

Recueil d'histoires d'humiliation de Sissy de Riana Un recueil d'histoires d'humiliation de poules mouillées que j'ai lues et appréciées, mettant fortement l'accent sur les hommes dominants et les garçons soumis ou les poules mouillées. Beau-père efféminé 3 août 2011 Son dernier petit ami le regardait avec amusement. Il ne devait pas avoir plus de seize ans, jeune et musclé, comme tous les autres. Tant d'autres. La seule vraie différence était que celui-ci était blond ; les rendez-vous de Stéphanie avaient tendance à être noirs ou hispaniques ces derniers temps. Il était nu, le sperme luisant sur sa bite encore turgescente. 23 ou 25 centimètres, estimai-je rapidement. Je doutais de pouvoir tout prendre dans ma bouche. Je n'avais pas encore appris à faire une gorge profonde, même après six mois d'humiliation aux mains de ma belle-fille et de ses prétendants. Il était probablement inexpérimenté aussi, donc il pourrait jouir rapidement si je devais le sucer. « Est-ce que ta salop...

Mon ami et moi avions rendez-vous dans un hôtel proche du lieu de la soirée. Nous dicutions depuis un moment et échangions énormément sur tout ce qui a attrait au bondage, cage de chasteté et les sujets de la vie de tous les jours. Nous dormions en chambre séparées pour notre séjour car nous sommes tous deux mariés. Nous mourrions d'envies de vivre simplement entravés. Pour cette soirée il était convenu que nous tirerions à pile ou face pour savoir qui sera le "soumis" ( nous n'aimons pas ce terme dans ce contexte car nous aimons justes les contraintes). Devinez quoi, c'est mon ami qui à perdu ;-). Le dress code est VENEZ COMME VOUS ETES! Connaissant son amour pour la soie, je lui propose qu'il prépare sa cage de chasteté, qu'il mette un sous vêtement agréable et une belle robe de soirée qui peut se cacher sous des vêtements amples. En ce qui me concerne, une chemise blanche et un jean m'habille simplement! Nous nous donnons rendez-vous au parking puis nous montons dans ma...

- Alors comme ça, t’as trompé ma fille ! Je me suis figé sur place. - Comment vous le savez ? Réponse idiote. On ne peut plus idiote. Parce qu’elle constituait un aveu. - C’est pas la question comment je l’ai su ! La question, c’est qu’il suffit qu’elle ait le dos tourné trois jours pour que t’en profites ! Ça avait été une véritable idiotie, cette fille, la veille au soir ! Elle me plaisait pas vraiment en plus. Elle m’avait chauffé. J’avais saisi l’opportunité. Et maintenant… - À un mois du mariage ! S’il a lieu, parce que connaissant ma fille, si elle apprend une chose pareille… J’ai balbutié. Bredouillé. - Je regrette… J’aurais pas dû… C’était idiot. - Il est temps de t’en apercevoir. J’ai timidement tenté ma chance. - Peut-être que… - Que quoi ? Que je cautionne ? Que je fasse comme si de rien n’était ? Et puis quoi encore ? Elle a soupiré. - Non, le problème, c’est que ça va recommencer. J’ai voulu protester. Elle m’a fait taire, d’un...

Quel que soit son degré de pratique BDSM il existe des moments où la libido prend le dessus, où la masturbation et l'auto punition ne suffisent plus. Il devient impérieux de passer à l'acte et de s'en remettre à un dominant, quitte à prendre des risques. C'est mon cas. Surf sur un site spécialisé, contact avec une Maîtresse dont l'annonce et les photos me séduisent. Après m'être présenté, homme soixantaine adepte d'éducation anglaise, et l'avoir convaincu de ma motivation et de ma pratique réelle je suis tombé en son pouvoir de persuasion. Nous convenons d'un rdv pour lequel je dois arriver rasé et porteur d'une cage de chasteté depuis trois jours. Jamais je n'avais été au-delà de quelques heures, jamais je ne l'avais portée au boulot...quelles sensations toute la journée ! Pour être franc j'ai peur. Cette Maîtresse me rend fou tout autant qu'elle m'inquiète par sa posture et ses pratiques qui vont bien sûr bien au-delà de mon goût pour l'éducation anglaise, aux hu...

Je suis persuadé de ne pas être homosexuel, pourtant depuis quelques jours me viennent des pensées bizarres. Les mêmes idées me sont déjà passées par la tête dans le passé, mais elles fuyaient avant d’avoir eu le temps de laisser une empreinte. J’ai toujours été envieux des filles qui peuvent porter de la belle lingerie, des bas soyeux, de la dentelle fine, légère et sexy, j’ai toujours adoré les petites bretelles, les agrafes, les clips, les minuscules boutons, bref tout ce qui fait la beauté, la fragilité, la sensualité des sous-vêtements féminins. Je leur ai toujours envié également cette poitrine arrogante, ces seins lourds si beaux si tentants, tellement prometteurs de délices et j’ai toujours pensé que si j’avais été une fille, j’aurais passé un temps infini à les caresser, les pétrir, les faire bouger juste pour bien m’assurer de ma chance. Si j’avais été une femme, je me serais fait sauter par le plus d’hommes possible, sans non plus tomber dans l’excès, mais je veux dir...

J'ai 20 ans, je suis étudiante, et cette année je suis allée en Angleterre comme jeune fille au pair. J'ai perfectionné mon anglais, mais surtout j'ai appris ce qu'était l'éducation dite anglaise et aussi ce qu'était l'amour entre filles. Voici comment les choses se sont passées. J'étais dans une famille de 4 personnes : Ian et Jane, les parents, la quarantaine, et 2 filles, Anabel, 18 ans, et Susan, 21 ans. Tous très gentils et je me suis aussitôt sentie à l'aise. Très vite j'ai remarqué que les parents étaient très sévères avec les filles qui avaient droit à de nombreuses réprimandes. A chaque fois elles étaient gênées, comme si elles allaient être punies. Mais il ne se passait rien. Je demandais des explications à Susan, qui me dit que je verrais ça samedi. C'est comme ça que j'ai été invitée à assister à la séance hebdomadaire de punition des filles, le samedi après-midi, dans le salon. Les filles parurent devant nous complètement nues, les mains sur la tête. Je ne pouvai...