Chapitre 3: Hypnotique Dire que j'étais fier comme Artaban en passant devant mes congénères atterrés est un euphémisme. Déjà en descendant l'escalier je me faisais l'impression d'être l'Elu. J'étais pourtant bien trop stressé malgré une ridicule apparente décontraction pour me la péter un minimum. On a tous notre heure de gloire parait-il, la mienne était visiblement venue. Un petit hall en bas donnait sur plusieurs couloirs, chacun abritant des pièces différentes, comme à thème. En suivant cette femme qui en imposait et semblait connaître les lieux comme sa poche, nous passâmes devant une salle vidéo, un glorihole, et divers « coins câlins », certains occupés, d'autres non. Des gémissements de bon aloi parvenaient de certaines alcôves.  Je ne me demandai pas longtemps où m'emmenait la Maîtresse en avisant plusieurs types attendant devant une porte désespérément close.  Elle s'arrêta devant, la mer semblant s'ouvrir devant elle. Elle me fixa: « à partir de maintenant, pas un mot...

Mon nom est Fiona. Je suis dans une relation heureuse, sans aucun doute. Mais ma conscience me tourmente chaque fois que je me rappelle ce que j'ai fait. Cela me fait encore plus mal quand je me souviens que j'ai apprécié l'expérience tant qu'elle a duré. J'ai rencontré mon mari à la bibliothèque de notre université, je me préparai pour un test, pendant qu'il faisait des recherches pour un exposé. Je pense que nous étions assis l'un en face de l'autre ce jour-là, mais je ne pouvais m'empêcher de sentir que quelqu'un me regardait. Pour céder à mes sentiments, j'ai levé les yeux et c'était l'homme le plus beau que j'ai jamais vu. Il m'a sourit et m'a fait un signe de la main, je lui ai rendu son salut, et c'est ainsi que tout a commencé. Ben, c'est le nom de mon mari est rapidement devenu mon tout à l'université. Nous faisions tout ensemble. Allions partout ensemble et une fois nos études terminé, nous avons aménagé ensemble. I n'a pas fallu longtemps avant qu'il ne me fasse...

##INTRO DES PETITES RITUELS DE VACANCES Vous me direz que je suis un garçon de rituels. C’est vrai. Même si on aime les plus grosses sessions, le quotidien de ces rituels me fascine, et je trouve qu’on n’en parle pas assez. Des vacances à deux, à la campagne, à la base pour se remettre d’une année compliquée, mais un trajet en voiture nous révèle nos pulsions de soumission. Ce n’était pas une surprise, le sujet avait été abordé plusieurs fois, mais seulement comme questionnement personnel. Et la question était, flemme de rencontrer quelqu’un qui pourrait nous initier en physique, comment deux soumis peuvent s’amuser ensemble et jusqu’où ? Pas de pénétration entre nous (et pourtant j’aurais passer ma semaine à fantasmer sur son cul et son vagin magnifique), ni de jouissance autorisée ! ## #rituel1 entrer et sortir Chaque fois qu’on sort ou qu’on rentre de la maison, nous nous imposions de se masturber sur le paillasson à la limite de la jouissance sans jamais dépasser...

J’ai tenu une relation à distance de soumis à maitresse durant une année. C’est elle qui m’a formaté. Aujourd’hui notre relation est terminée, et je suis « libre », mais je continue de suivre ses préceptes au quotidien, même si je dois concéder quelques laisser-aller parfois.
Mon hygiène et mon allure était peut-être les principes de base qu’il lui était le plus important - c’est peut-être toujours le cas, mon expérience est malgré tout assez limité. Je vous partage néanmoins ici les règles qui m’étaient imposées. Je suis curieux de connaitre les votre et d’enrichir ou d’améliorer les miennes en même temps. Afin de ne pas le préciser à chaque ligne, une fois par semaine je devais lui envoyer une photos pour preuve de chacun des points à suivre. Des vérifications surprises était également demandées auxquelles je devais répondre dans les 10 mn. D’abord la surveillance de mon poids. Elle n’aimait (toujours pas j’imagine) les hommes corpulent. C’est pour ça qu’elle m’avait choisi....

Chapitre 4: L'allégeance Elle entama quelques pas sur la piste, jouant avec une barre de Lap Dance sous le regard à la fois agressif, exaspéré, et il faut l'avouer envieux des représentantes de la gente féminine présentes. Sentiments probablement accentués par la bave coulant aux commissures des lèvres des mâles présents, auxquels je ne faisait pas exception. Elle n'était donc pas que sublimement belle, son corps ondulant avec une grâce infinie. Danseuse disais-je ? Rapidement elle se dirigea vers cette femme proche de moi et s'agenouilla à ses pieds sans mot dire, tête baissée, semblant lui tendre son cou gracile. Sans même un rictus de victoire qui n'eut pourtant rien eu d'exagéré celle ci y fixa un collier métallique de soumise. Elle la regarda avec une visible tendresse , lui caressa la joue en lui murmurant quelque chose d'inaudible sous la musique de fond.  Certains mâles semblaient désespérés, d'autres rassurés quant à leur pouvoir de séduction en découvrant que dès le dép...

Suis-je responsable si Dieu m’a doté d’un corps d’une beauté exceptionnelle. Suis-je responsable si quand je rentre dans une pièce elle s’illumine que du fait de ma présence. Suis-je responsable si les hommes se retourne sur mon passage et fantasme sur moi. Ben, c’est ce que rend jaloux mon compagnon dès que nous sortons en soirée. Pourtant, je suis d’une fidélité à toute épreuve. Sur la piste, je ne vois que Julien, mon futur mari. Mais la jalousie, poussée à l’extrême, peut parfois briser un couple. Les premières fissures dans nôtre relation sont apparus lors d’un soirée d’entreprise organisée par société de Julien. J’avais opté ce soir là pour une tenus audacieuse, cadeau de mon compagnon. Courte jupe, chemisier ouvert sur une poitrine dépourvu de soutien- gorge. Une bombe. Julien était fier de m’avoir pendue à son bras. Les hommes gravitaient autour de nous, demandaient d’être présenté. Soudain, Julien sentit une main se poser sur son épaule. Il se retourna, resta figé. Cha...

Enzo, 34 ans, se tenait nu devant le tronc d'arbre couché, le cœur battant d'anticipation et de nervosité. 
La forêt, connue pour être un lieu de rencontres torrides, s'étendait autour de lui, encore paisible à cette heure. 
Il sortit les chaînes et les menottes de son sac, ses mains tremblant légèrement d'excitation. Il attacha d'abord ses chevilles à des racines au sol écartant largement les jambes pour offrir un accès facile à son cul tendu. Puis allongeant son torse sur l’arbre couché il passa des chaînes autour du tronc les fixant solidement pour l’empêcher de se relever. Ensuite il attacha ses poignets à une chaine de l’autre coté du tronc, serrant les menottes jusqu'à ce qu'elles mordent sa peau. 
Il était ainsi offert à quiconque voudrait utiliser sa bouche ou son cul.
 La cage de chasteté, froide et inflexible, emprisonnait déjà son sexe, le maintenant en érection constante mais incapable de jouissance. "C'est parti," murmura-t-il pour lui-même, vérifiant une dernière...

Le présent récit s’est déroulé réellement il y a quelques semaines alors que je me présentais chez ma cliente afin d’honorer mon rendez-vous. - Entrez jeune, cette fois-ci je ne vous proposerai pas un café. - Je ne suis pas venu précisément pour cela mais pour vérifier l’achèvement des travaux réalisés - Parlons-en, je suis très en colère après vous car rien ne fonctionne comme prévu, j’ai vraiment l’impression que vous m’avez prise pour une imbécile et je suis prête à faire intervenir l’huissier pour constater les dégâts - L’huissier ? Vous n’y comptez pas, mes travaux sont conformes au devis signé. - Venez ici vérifier par vous-même au dire de dire n’importe quoi, rien ne va vous êtes un voleur voilà tout. - Oh hé un peu de respect tout de même chère petite madame. - Du respect ?? Je vais vous montrer moi ce qu’est le respect. Vous méritez que je vous inflige une bonne leçon pour votre insolence. - Les travaux sont conformes et j’exige le règlement immédiat du solde qu...

Ce jour là, en descendant de la station, je tombais nez à nez avec Marc, mon meilleur pote. Le genre de mec de qui l’on peut dire qu’il connaît tout de nous, avec qui j’ai fait les pires conneries. Rencontre impromptue, et plaisir des retrouvailles. Je l’invitais chez moi. Pendant le trajet, nous discutions de choses et d’autres, ressassions nos exploits de jeunesse. Il est dix neuf heures quand nous arrivons au bas de l’immeuble. Comme je le fais toujours, je sonne et attends avec impatience la voix douce de Laure, ma ravissante épouse qui m’invite à monter. Sa voix m’invitant dans nôtre nid douillet a toujours eu le don de me faire oublier le goût amer d’une journée morose. Il ne me faut que quelques minutes pour gravir les étages, trouvé la porte entre ouverte. J’entre, mon pote me suit. Les rideaux sont tirés, une musique douce, apaisante et de l’encens embaument la pièce d’un parfum envoûtant. Je tombe dans l’une de ces folles journée ou ma femme imagine pour moi toute...

Je m'appelle Enzo, j'ai 34 ans et je suis gay. Tous mes amis le savent, et nous formons un petit groupe de cinq potes, tous hétéros sauf moi. Nous parlons de tout sans tabou, de sexe, de nos conquêtes, de nos soucis. On ne se cache rien de nos vies. Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est que je suis un soumis, une pute à jus, et que je porte une cage de chasteté sous mes vêtements. Personne ne l'a jamais su. Sauf qu'un soir, après la musculation, en sortant des douches, ma serviette a glissé. Mon groupe d'amis proche a découvert que je suis un soumis en cage de chasteté. Sur le moment, ils n'ont rien dit. Mais une fois sur le parking de la salle, deux de mes potes m'ont tenu fermement pendant que les autres me déshabillaient, me laissant nu en cage de chasteté face à eux. "Qu'est-ce que c'est que ça, Enzo ?" demanda Marc, son ton mélangeant curiosité et colère. "Pourquoi tu portes une cage ?" Je baissais les yeux, incapable de soutenir leurs regards. "Je... je suis un soumis. J'a...

Je suis face à une assemblée de personnes en spectateurs et spectatrices, toutes et tous averties au domaine BDSM, j'y distingue des dominantes et des dominants, avec leurs soumis, peut-être qui sont leur esclaves, qui me regardent, et attendent visiblement que l'action, un spectacle vienne où je me situe dans la pièce. Je constate que je ne suis pas seul à être présent déshabillé dans cet endroit de la pièce. D'autres personnes hommes et femmes sont également ainsi, et visiblement attendaient qu'on m'emmène. Je ne cache pas que la mise en situation yeux bandés, déshabillé, mis en collier et laisse m'excitant, une érection puisse arriver, mais ainsi en situation, celle-ci disparaîtrait, à la découverte de la situation, par la peur m'envahissant. Je vois des chevalets, croix de st André, des liens, chaines, anneaux suspendus au plafond, des fouets, cravaches, cannes, et pleins d'autres ustensiles que je ne reconnais pas vu le nombre, mon sang se refroidit, avec cette dualité d'...

L'initiation Chapitre 6 : Croisement   Le second Jack Daniels commençait à me faire oublier l'inconfort de la banquette aux formes torturées. J'aimais le bruit du glaçon que je faisais machinalement tourner dans mon verre. Mon regard comme celui du reste de la population masculine de l'assemblée avait du mal à se détacher de la créature assise nonchalamment sur le tabouret en cuir du bar. Elle n'était pas que sublimement belle. Elle n'était pas qu'un sosie de Monica Bellucci incarné. Elle ne portait pas qu'une vêtue tout droit sortie de mes fantasmes. Non, elle possédait une rarissime qualité: une classe folle. Beaucoup d'autres qu'elle n'auraient eu l'air que d'une fille de petite vertu dans cette tenue délicieusement indécente. Elle, c'était la sensualité faite femme, la définition même du sex-appeal. Et elle le savait.     Je l'avais remarquée dans la rue déjà, m'approchant de ce club parfaitement inconnu. De dos, sans la voir. Sa démarche de mannequin, assurée, naturelle...