Récits
Négociée à la médina
il y a 4 ans

Un petit gang bang libertin au Maroc

Je m'appelle Christine, j'ai 40 ans et j'habite une petite ville de l'aube. Je suis marié à un mari imaginatif avec qui je mène une vie sexuelle plutôt active. Voici ce qu'il m'a fait vivre il y a moins de dix jours alors que nous visitions Rabat, dernière ville de notre séjour de quinze jours au Maroc. Nous avions une journée complètement libre dans le planning (un peu trop chargé à mon goût) organisé depuis Paris par mon mari. Nous résidions dans un hôtel de luxe du centre ville. Rabat est une très jolie petite ville où les différents quartiers s'assemblent grâce à de larges zones de verdure. Nous avions décidé d'aller dans la Médina, la vieille ville où les petites rues succèdent aux artères plus larges aux échoppes abondantes. Toutes les senteurs, toutes les visions du Maroc traditionnels sont là à portée de pas de notre hôtel si moderne. Mon mari et moi flânions, d'échoppe en échoppe, découvrant au hasard des rues les cavernes d'ali baba des vendeurs de tapis. Nous nous s...
Journal intime
il y a 4 ans

Journal intime d’une femme devenant nounou

##### Il m'a avouée en fait qu'il aime se sentir langé comme un bébé, porter un change complet sous ses vêtements et faire dedans comme s'il était incontinent. Il n'a pas de problème particulier, mais seulement qu'il est fétichiste des couches. Je m'appelle Pauline, j'ai 26ans je viens d'être embauchée dans une grande entreprise. Je partage mon bureau avec un ingénieur. Je tiens un journal intime, voici les passages qui parlent de lui. Lundi 1er Mars Assis a la cafétéria a midi, on a discuté tout les deux afin de faire plus amples connaissances. Par moment, je baissais les eux vers le sol. Machinalement mon regard s'est posé sur son entrejambe... Oh mon dieu, cher journal, j'aurais aimé que tu vois ça. Il se tenait les jambes écartées avec les pieds sous son siège cela mettait son paquet en évidence. J'en n'ai jamais un aussi gros. Je sais pas la taille qu'elle doit faire mais cela lui fait une énorme bosse sur le jeans. Mardi 9 Mars J'ai remarqué une chose étrange. Stéphane,...
Une fessée d'autorité
il y a 4 ans

Eléa et Antoine se connaissent depuis longtemps. Mais délaissée par Antoine, Eléa prends ses aises avec les règles établies. Ce n'était pas forcément une bonne idée pour ses fesses.

Eléa et Antoine c’était rencontré alors que cette dernière entrée en première année de commerce. Comme toute première année, Eléa eut besoin de cours particulier afin de pouvoir se maintenir à un bon niveau. C’était à cette occasion qu’elle avait rencontré Antoine pour la première fois. Mais après une dizaine de cours, l’attention d’Eléa diminua. Antoine la menaça d’une sévère fessée si elle ne se remettait pas très vite au travail. Cette menace n’eut aucun effet sur la jeune femme. La raison à cela ? Eléa faisait partie du monde de la fessée. Pour elle, c’était un plaisir pas une douleur. Et puis, encore fallait-il qu’il ose. Ce qu’elle ignorait, c’est qu’Antoine faisait lui aussi partit de ce monde. Il osa donc, trois cours plus tard. Et ce fut la première fessée punitive que reçu Eléa, elle ne savait pas ce que c’était et aurait préféré ne pas le découvrir. Cela remontait à six ans maintenant. Entre temps, ils avaient été amis, amants, connaissance puis de nouveau amis. Aujourd’h...
CLAIRE
il y a 4 ans

Histoire érotique libertine

J'ai connu Claire (nous l'appellerons ainsi) dans le TGV qui m'amenait à Paris. Je ne pus avoir, cette fois là, de siège « isolé ». Je pris donc place dans le wagon qui m'avait été assigné. Je m'installais confortablement, pris un livre que je venais d'acheter sur les conseils d'un ami et commençais à le lire. En gare de Montpellier, une personne pris place à mes côtés et, après les formules de politesses habituelles, me replongeais dans la lecture. Je remarquais que cette personne en fit de même. Au bout de quelques instants et une exclamation : « Vous aussi ?», je me tournais vers elle et la détaillais plus en détail. Elle était charmante, habillée avec goût et la longueur de sa jupe me laissait entrevoir de biens belles jambes. Je remarquais qu'elle portait une attention toute particulière au roman que je lisais et la regardais plus attentivement. Elle comprit mon interrogation muette et me montra la jaquette du livre qu'elle même dévorait : il s'agissait du même roman (« Le...
Didgeridoo
il y a 4 ans

Un didgeridoo au cul, c'est pas commun mais c'et jouissif

Un didgeridoo, c'est une sorte de trompe en bois, creuse, de 2 à 3 mètres de longueur, autrefois utilisée par les aborigènes pour communiquer à grande distance. Aujourd'hui, les aborigènes préfèrent le téléphone portable, mais continuent à fabriquer et décorer des didgeridoo pour les touristes. Un ami australien m'en a donné un, un modèle réduit d'environ un mètre de longueur et 7 à 12 centimètres de diamètre. Dès que j'ai vu l'engin, j'ai eu envie de l'utiliser pour me ramoner le cul et, mon ami étant comme moi adepte de la dilatation anale, je me suis aussitôt mis à poil et, devant lui qui m'a dit avoir prévu cet usage de son cadeau, me suis empalé sur l'objet aussi profondément qu'il a bien voulu pénétrer. Très jouissif, mais ce fut aussi jouissif de savourer le goût de mon cul en léchant bien l'extrémité sortie de mes entrailles. Des visiteurs et visiteuses me demandent ce qu'est cet engin, je le leur explique et j'aime bien les faire souffler dedans sans généralement préciser qu...
Cônes de chantier
il y a 4 ans

C'est bon, un cône dans le cul

Sur les chantiers il y a toujours des objets avec lesquels j’ai envie de me dilater l’anneau du cul. Les manches d’outils, c’est commun. Les fers à béton, en particulier les fers Tor, avec de grosses cannelures, c’est bien plus tentant, on ne trouve guère de diamètre supérieur à 32 mm mais les cannelures multiplient l’effet de ramonage, cela vaut bien des plugs ! Plus original encore, un cône de chantier. Depuis que j’en ai détourné un de son usage pour me le mettre au cul j’imagine un chantier où chacun des cônes serait couronné d’un homme ou d’une femme à poil en train de se branler, empalé au maximum : je bande et me branle encore davantage en conduisant.
Copine cochonne
il y a 4 ans

Ma copine est une cochonne qui joue à me travailler le cul

Ma copine est une sacrée salope, je peux même dire une bonne putain, car il lui arrive de monnayer une pipe dans les chiottes à un inconnu quand on sort, ou se faire tringler pour une cinquantaine d'euros, mais c’est juste pour le fun. Elle aime beaucoup s'occuper de mon anus. Justement la semaine dernière après s'être gouinée avec une de ses amies pendant que je me branlais en les matant, elle a enfilé son gode ceinture pour nous enculer tour à tour. Elle est la candidate idéale pour me défoncer le cul avec mon nouveau maxi gode. Elle l’a testé dans sa chatte et malgré une tonne de mouille, n’est parvenue à s’enfoncer que le gland. Cette après-midi, je suis allé chez elle qui, avec beaucoup de douceur et de patience, m’a godé pendant plus d’une heure avec un méga plug de 80 mm électrifié et vibrant, me dilatant progressivement le trou du cul pour m'y enfoncer d’une dizaine de centimètres la partie la plus épaisse, bien lubrifiée, faisant des va et vient au point de me faire crier...
Ruines hitlériennes
il y a 4 ans

M'exhibant à poil dans des ruines hitlériennes, j'ai été soumis à un couple et à leurs amis

Hitler a fait construire en France, dans une zone où j’ai l’habitude de marcher nu avec un plug au cul pendant des heures, un centre de commandement dont il reste, échelonnées à flanc de colline, les entrées, de cinq blockhaus souterrains, et, dans la vallée, les ruines du central téléphonique. Passant régulièrement à poil devant les entrées de blockhaus, j’ai eu envie, un jour d’été, de me photographier à poil devant l’une d’elles. Posant mon appareil sur pied d’un côté du chemin, j’ai armé le retardateur et suis allé poser de l’autre côté, devant une porte , vue de face, et vue de dos, cul bien évidence avec, juste dans la cible, l’habituel plug. Un jour où, une fois de plus, j’exposais à l’objectif mes fesses bien écartées pour dégager mon oignon étoilé, la tête basse et tournée vers le talus, je n’ai pas vu venir deux vététistes, un homme et une femme qui, intéressés par le spectacle, ont stoppé. Je les ai emmenés dans les ruines du central où je me suis bien volontiers lais...
Chez Michel
il y a 4 ans

Accompagné par Antoine, je vais chez Michel, nous nous travaillons les culs et les fesses

Michel m’ayant, au téléphone, proposé de venir chez lui avec un copain, j’y suis allé, partant aux aurores, en compagnie d’Antoine avec ma voiture dans laquelle, comme à mon habitude, j’étais à poil ― façon de parler car j’étais intégralement épilé ― avec un plug bien au fond du cul. Conduisant à poil, je me branlais de temps en temps pour continuer à bander sans juter. Ça excitait Antoine qui croyait bien me connaître mais n’imaginait pas ce périple autoroutier à poil. Aucun conducteur ou passager des autres véhicules ne semble avoir remarqué mon exhibition, sauf la passagère d’un fourgon que mon passager a vue manifester sa désapprobation. Vite à poil tous les trois chez Michel, nous avons fait connaissance en inventoriant le contenu de la valise que j’avais apportée. Un film de ballbusting tournait en boucle sur la télé. Michel ayant envie de se faire écraser les couilles, nous lui avons joyeusement balancé, en alternance et de toutes nos forces, de grands coups de pied bien...
Gilgamesh
il y a 4 ans

Mythologie et histoire érotique gay

Mythologie et histoire érotique gay NDA : Cette histoire s’inspire très, très… très librement du mythe de Gilgamesh, probablement le plus vieux texte connu de l’humanité. Je suis né dans l’antique Ourouk, cité de la déesse Inanna, sur laquelle mon père, le divin Lugalbanda régnait depuis le décès du sien, le héros Emmerkar. Je suis celui que vous connaissez sous le nom de Gilgamesh, même si j’en portais un autre à cette époque. J’ai tué nombre de démons, recherché le secret de la vie éternelle et parlé aux dieux eux-mêmes ; je suis moi-même dieu aux deux tiers et un tiers humain seulement. Je suis Gilgamesh, roi d’Ourouk, et ceci est mon histoire. L’année de mes douze ans, mon père retourna dans le giron des dieux et fut enterré en compagnie de nombre de gens de sa maison. C’est en ce jour funeste que je passai dans l’âge adulte et que je du quitter le palais de mon père où le nouveau roi s’installa. Je reçus l’éducation des e n f a n t s de haute naissance ; mais être le...
Le Repas
il y a 4 ans

Le BDSM entre femmes

##### Dans cette histoire érotique BDSM entre femmes, vous constaterez que les lesbiennes peuvent être très perverses quand elle dominent. Je m’habille avec beaucoup de soin pour le "premier rendez-vous » avec cette nouvelle femme. J’aime toujours beaucoup la nouveauté d’une relation, les premières fois en toutes choses. Aussi, je me douche soigneusement et je mets de l’eau de toilette partout, en ajoutant une goutte de parfum aux bons endroits. Je me maquille avec soin, je me coiffe, puis je vais à ma chambre, nue et sans chaussures. Là, sur le lit, étalés avec précautions, se trouvent le corset et la culotte, la robe longue sombre qui se boutonne du cou jusqu’aux pieds. Je mets le corset et la culotte et me place devant la glace pour en admirer l’effet. Je pince mes tétons et les fais rouler, je les vois qui durcissent rapidement et j’apprécie l’effet qu’ils produisent à travers la dentelle. Je me retourne et prends la robe, je glisse mes bras dans les manches et la boutonne du co...
Complicités médicales coquines
il y a 4 ans

L’histoire de 2 jeunes filles coquines dans un hôpital. Fessée et fetish médical

Je suis Karine, docteur fraîchement sortie des études je travaille au service des urgences dans un hôpital. Le travail me plait beaucoup, le travail est dur mais passionnant, j’arrive à avoir du temps libre pour mes activités. Tout le personnel est vraiment très sympathique, mon intégration s’est très bien passée. Des aides soignantes aux autres médecins urgentistes, tout le monde s’est montré très accueillant. J’adore bosser dans cet hôpital, j’ai remarqué une infirmière très charmante, très douce et gentille, j’ai le sentiment qu’elle est lesbienne, elle a des attitudes que je connais d’une amie à moi, je fréquentes un certain milieu lesbien et gay, je commence à bien les connaître. Je ne suis pas lesbienne mais me suis laissé tenté à plusieurs reprises par l’attention et la douceur d’une relation avec une autre fille. Cette fille c’est Pauline, une infirmière, toujours souriante, j’adorais sa joie de vivre son dynamisme. Un jour je découvre qu’elle regardait un petit film...
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