Imaginez-vous glisser dans une chaussette en caoutchouc tant que vous êtes grand, avec un peu de gel épais et lourd à l'extérieur poussant le caoutchouc vers vous. Au fur et à mesure que vous avancez, cela devient de plus en plus serré jusqu'à ce que vous soyez totalement enfoncé de tous les côtés. Le Sarlac est une fosse cylindrique profonde tapissée de caoutchouc, puis remplie d'un gel de silicone. Un tube en caoutchouc plus petit y est enfoncé et attaché au fond, laissant une fossette au centre. Le résultat est ce trou enivrant. C'est lisse, brillant et lubrifié. Cela a l'air si accueillant et personne ne regarde... C'est incroyable lorsque vous poussez vos jambes à l'intérieur. Il vous suffit de ressentir ce que ça fait de glisser vos hanches vers le bas. Oh mon Dieu. C'est comme si un million de mains vous massaient. Vous le sentez caresser votre sexe et vous haletez, laissant vos yeux se fermer et votre tête pencher en arrière. Au fur et à mesure que vous enfoncez vos ha...

Elle avait organisé son plan à l'avance avec leurs hôtes et programmé leur arrivée sur le lieu de la fête pour précéder l'arrivée des autres invités. Elle voulait pouvoir installer son esclave lié dans la position désignée à temps pour que chacun puisse apprécier son esclave artistiquement présenté et utiliser les jouets qu'elle avait mis en place pour le tourmenter sans cesse pendant toute la durée de l'événement. Elle gara la voiture par l'arrière où son hôte l'attendait. Dès qu'elle eut arrêté la voiture, il se dirigea vers l'arrière et brandit une lampe de poche allumée pour viser les yeux de son esclave en attendant qu'elle ouvre la trappe. Elle l'a fait, puis s'est immédiatement penchée et a appliqué le bandeau qu'elle avait pris dans son sac sur les yeux éblouis par la lumière de son esclave, de sorte qu'il n'avait aucune idée de l'endroit où il se trouvait et aucun moyen de le comprendre. Ils s'étaient rencontrés lors d'une précédente fête ici, et ce serait une expérience e...

Gang-bang lié . Entièrement attaché dans une position où tous vos trous sont accessibles et vous n'avez aucun contrôle sur le nombre de bites ou de chattes qui vous font plaisir. Orgasmes imposés. Attaché et obligé à jouir un certain nombre de fois avant que votre mot de passe ne soit entendu ou que vous vous évanouissiez de plaisir Manger la chatte/la bite/le cul. Être fait pour apprendre à faire plaisir à quelqu'un au mieux, soit avec la bouche, soit avec un gode gag. Scène d'enlèvement . Vous êtes emmené hors d'une rue ou récupéré dans un parking et ligoté et poussé dans le coffre ou ligoté dans un sac ou quelque chose comme ça. Cela peut durer jusqu'à un nombre d'heures/jours pré-négocié ou jusqu'à ce que votre « kidnappeur » se lasse de vous utiliser. Entraînement f o r c é en gorge profonde. Soit sur des jouets, soit sur de vraies bites. Animalisé. Être transformé en animal stupide pendant x jours, accroché à une trayeuse et élevé comme une pute. Scène de club b...

La cage de chasteté, voici c’est mon point de vue, un peu original et plutôt empirique. L’évidence d’abord, elle a la vertu de permettre à un homme ou de lui imposer une période de chasteté (les femmes ne sont pas en reste il existe la ceinture du même tonneau :-). L’instrument n’est pas absolument obligatoire pour maintenir en chasteté mais cela aide, surtout si l’on cherche à faire durer le «plaisir». Perspective qui advient souvent à plaire aux Dominas. Chacun des adeptes sait que les effets sur l’homme qui est mis en cage demande du temps pour transparaître. Alors pourquoi comme moi, désirer porter cet objet de soumission sur une courte durée ? Selon moi, cette pratique possède deux volets : l’engagement et le sexe. Pour le premier j’en dirai un peu moins de choses ici et je renvoie au Forum du site, [un sujet très accompli écrit par Gardois dans le catégorie «Cage et ceinture de chasteté»](https://fessestivites.com/topic/3679= ; texte qui m’a incité à entreprendre celui-c...

La femme de la table voisine nous a encore souri tout en continuant à jouer avec sa clef. Elle s’est présentée. - Moi, c’est Ismène. Et lui, là… C’est Félicien. Mon encagé. À notre tour, on s’est présentées. - Océane. - Ophélie. - Jeanne. Elle a donné un petit coup de menton dans la direction d’Ugo - Et lui, là ? Lui, c’était Ugo. - Il est à vous ? On a fait signe que oui. Oui. Il était à nous. - À toutes les trois ? On a encore acquiescé. - Alors là, chapeau. Vous assurez. Et ça fait longtemps ? C’est Jeanne qui a répondu. - Pas tellement, non. Quelques semaines. Elle a posé sa main sur celle de son compagnon. - Eh bien nous, Félicien et moi, ça va faire quinze ans. Et on n’a qu’à s’en féliciter. Aussi bien l’un que l’autre. N’est-ce pas, mon chéri ? Il a confirmé, d’un hochement de tête. Elle lui a donné une petite tape dessus. - Tu pourrais te montrer un peu plus enthousiaste quand même ! Elle a expliqué. - Il est pa...

Récit de Self Bound Couple Nous nous lions depuis des années et avons commencé à essayer de nous lier en même temps après avoir lu la section sur «Goldfish» dans le livre «The Joy of Sex» d'Alex Comfort. Cependant, nous avons pensé et fantasmé pendant des années à être attachés face à face sur un lit. Après beaucoup de réflexion, nous avons finalement trouvé un moyen de nous attacher ensemble sur le lit, face à face, dans un aigle très serré. Notre méthode est si bonne que nous aimerions la partager. Pour commencer, nous préparons les éléments suivants pour nos sessions: Deux (un ensemble) de poignets en cuir de la marque «Red's» (ceux qui portent du velcro) Quatre « Rope Ratchets » (ils sont comme des poulies mais ne vont que dans un sens) avec un fermoir attaché à l'extrémité de chacun. Beaucoup de sangles en nylon de 1 pouce de large (différentes longueurs) avec 2 anneaux en D à une extrémité pour qu'ils se resserrent comme un pantalon de football. Deux minuteries spéci...

Il y a trois semaines monsieur Fessesfessée m'a adressé un message privé en m'indiquant "vous fesser serait un réel plaisir , vous semblez avoir de l'expérience et de belles dispositions, un cul bien mis en valeur par votre culotte ". Je lui ai répondu que contrairement à ce qu'il pouvait penser, je n'avais pas beaucoup d'expérience et que même si mon fantasme était plutôt la fessée d'une main féminine j'avais déjà reçu la fessée d'une main masculine et que ça m'avait troublé. Je lui ai indiqué que mon ex femme qui était ma première fesseuse aimait bien que je porte des culottes féminines et qu'elle serait ravie que je reçoive la fessée. Nous avons longuement échangé, j'étais troublé, obéissant et indécis. J'ai échangé avec mon ex femme qui a adoré l'idée de me savoir fesser. Nous avons donc décidé d'une date, puis tout compte fait choisi aujourd'hui pour le rendez-vous. Monsieur F.F trouvant que l'éloignement géographique n'était pas trop important. Il m'a expliqué les...

Et ce fut ma première nuit avec Ugo. Que j’ai entraîné dans ma chambre. Que j’ai fait s’étendre tout nu sur le lit dans sa cage à bite. Avec laquelle j’ai un peu joué. Que j’ai fait ballotter. Que j’ai soulevée. Que j’ai laissée retomber. - C’est trop marrant ! T’es trop marrant avec ça ! Et j’ai commencé à me déshabiller. Devant lui. Lentement. En prenant tout mon temps. Sans le quitter des yeux. Sa pomme d’Adam tressautait comme un cabri. Ses doigts se crispaient sur les draps qu’il entortillait fébrilement autour d’eux. Quand il ne m’est plus resté que ma petite culotte, une petite culotte blanche festonnée, je suis longuement allée et venue dans la chambre. J’ai ouvert et refermé des tiroirs. Redressé un tableau dont j’ai fait mine de croire qu’il penchait. Déplacé une chaise. Dans un sens. Dans l’autre. Tout en lui jetant de rapides coups d’œil. Comme elle était envoûtante, cette queue d’homme réduite à l’impuissance, contrainte de rester sagement recroquevillée dans sa pris...

Non pas que je savais ce qu'il était à l'époque, à l'époque il n'y avait pas Internet pour nous réunir, et la petite ville où j'ai grandi faisait partie du cœur de l'Amérique. Pourtant, la fascination d'être ligoté et contraint a été alimentée par l'accès facile avec ce que j’avais comme accessoire le plus commun des dispositifs de servitude, des menottes. Mon père était un flic, est toujours aussi une question de fait, et je habitude de se glisser son jeu de rechange de menottes loin et de les utiliser sur moi-même, imaginer toutes sortes d'aventures bondage. Un matin, au milieu des vacances d'été, je me suis réveillé avec une envie de faire plus que rester assis dans ma chambre avec mes menottes de papa sur moi, et ainsi a commencé ma première grande aventure de l'auto-esclavage. La ville où nous vivions dans était juste à côté d'un parc national, une région sauvage, et j’ai grandi en apprenant tous les sentiers et les routes à travers le parc tout autour, donc je décide de pre...

Chapitre 2 Son idée était de passer par le bondage pour obliger nos hommes, et surtout mon mari, à avoir un contact physique. Nous sommes allés chez eux pour une petite soirée d’initiation au bondage. Après leur avoir demandé de se mettre en slip, elle a commencé par réaliser un bondage sur son mari qui était debout en lui faisant une sorte de harnais bloquant ses mains et bras dans le dos. En même temps, je devais faire de même sur mon chéri. C’était un véritable cours de shibari. Une fois qu’ils se sont retrouvés entravés, elle leur a demandé se s’asseoir puis de se coucher sur le sol. Et là, les choses ont changé très vite, elle les a lié l’un contre l’autre en « chien de fusil ». Mon mari avait le sexe d’un homme collé contre ses fesses. Je voyais bien son regard désespérés mais je n’ai pas réagi. Lydia s’est ensuite occupée de moi en attachant mes bras et mes mains dans mon dos. Elle a murmuré à mon oreille que nous allions les rendre fous et nous amuser toutes les deux. L...

Nous sommes un couple très joueur pour les choses du sexe. Notre amour de jeunesse était grandiose, nous nous sommes mariés alors que nous n’avions pas 20 ans. Autant dire que nous étions encore novices sous la couette et pour tout ce qui porte sur les fétichismes. Passé le temps des intenses fusions charnelles dites « sages » nous avons commencé l’exploration d’autres horizons sur internet avec des vidéos pornographiques. L’idée étant de reproduire des choses que nous voyons à l’écran, cela mettait du piment dans nos relations sexuelles. Le BDSM ne nous attirait pas, du moins au début, car nos recherches portaient surtout sur les fétichismes, ce qui pourraient nous exciter et nous amuser. L’encasement, signifiant faire l’amour revêtus de collants de la tête aux pieds fut notre première expérience. Si mon mari était gêné d’enfiler des collants, avec sa verge affichant une solide érection, il ne pouvait nier que la matière lui déplaisait. Moi cela m’amusait, je n’avais aucune a...

Il était embêté, Ugo, un copain de fac. - Il me reprend le studio, mon propriétaire. Pour sa fille. Et j’ai nulle part où aller. Oh, mais si c’était que ça! J’étais en colocation avec deux copines, moi, dans une grande maison. Et il restait une chambre de libre. - Je vais leur en parler. Ça ne devrait pas poser de problème… Ça en a posé. Ophélie a fait la moue. - Un mec? Ça va foutre le bordel. Pour peu qu’il y en ait une qui s’amourache de lui, que les autres soient jalouses, ça va être des prises de tête sans arrêt. Non, et puis même, sans parler de ça, Jeanne, elle, elle trouvait qu’on serait plus du tout à notre main. - On pourra plus se balader à poil partout dans la maison comme on fait. Et si c’est pour le voir rôder autour de la salle de bains quand on y sera… Un mec, ça reste un mec. - Ou alors, elle a suggéré, Ophélie, faudrait que ce soit un eunuque. Ou qu’on lui mette sa bite dans une cage de chasteté, comme il y en a qu’en ont maintenant des fois....