Récits
Je suis devenue Maîtresse à cause de sa cage de chasteté
il y a 5 ans

Les confidences érotiques d’une femme devenue Maîtresse avec la cage de chasteté comme point de départ dans leur vie de couple

##### Cela fait huit ans maintenant que mon mari est sous cage de chasteté. Au départ quand il m’en a parlé, cela ne me séduisait pas de jouer la maîtresse. Pourquoi ? Tout simplement parce que je préfère m’abandonner au plaisir d’être prise avec amour que de faire la domina. Pour lui faire plaisir, un jour j’ai cédé sous conditions. Il devait réellement jouer le jeu et quoi qu’il en soit, cela ne serait pas éternel ni notre nouveau mode de vie. Mon mari a été tellement adorable cette semaine là, que j’ai changé d’avis. En plus, sa cage de chasteté n’est pas incompatible avec mes envies d’être prise avec amour, je n’ai qu’à le libérer et j’ai ce que j’ai envie. Il n’y a que les ânes qui ne changent pas d’avis. Sa cage de chasteté, une [cb6000](https://abcplaisir.com/cage-de-chastete/887-cage-de-chastete-cb-6000.html?search_query=6000&results=9) je crois a rendu l’âme pendant qu’il bricolait, nous l’avons remplacée par une [cage de chasteté en métal](https://abcplaisir.com/23-c...
Une keyholder sadique fait des confidences
il y a 5 ans

Gérer la cage de chasteté de son mari l'amuse

Mon compagnon était libre depuis quelques jours et j’ai décidé de m’amuser en étant un peu taquine. À mon réveil, il était assis dans le lit en train de consulter l’actualité sur sa tablette. J’ai commencé à jouer avec sa bite et rapidement je me suis mis à le sucer. J’aime le sentir grossir dans ma bouche. Après quelques minutes de caresses buccales, j’ai senti qu’il était au bord de l’orgasme. J’ai donc cessé de le sucer et j’ai commencé à le branler doucement tout en lui disant : « Chéri, ce soir je veux que tu me baises, profondément. En attendant, j’aimerais te remettre la cage pour que cette idée t’excite toute la journée. » Sans surprise, il accepta. Ce fut une belle journée, avec beaucoup de messages sexy et mignons et toute l’attention supplémentaire que je reçois lorsqu’il est en cage. Et bien sûr, il était follement excité par la soirée qui nous attendait. Après le repas nous sommes allés au lit de bonne heure. Nous nous sommes blottis l’un contre l’autre et j...
Je l’ai bien méritée cette fessée
il y a 5 ans

La fessée m’a toujours fait fantasmer.

La fessée m’a toujours fait fantasmer. Pourquoi je n’en sais rien, c’est comme ça. Mon mari le savait pour m’avoir vue surfer sur Fessestivites. Toutes ces histoires érotiques de fessée, sans parler des photos et vidéos me donnaient une furieuse envie d’essayer, d’avoir droit moi aussi aux plaisirs de la fessée. Nous sommes très libres de surfer comme bon nous semble et même d’en parler, je lui en avais glissé deux mots en lui disant que j’aimerai essayer la fessée. Il m’avait répondu que ce n’était pas du tout son truc et que nous n’étions plus des gamins. Il avait précisé qu’il me respectait trop pour me frapper. Régulièrement je faisais de petites bêtises pour l’énerver en lui disant, à chaque fois qu’il râlait, que cela mériterait une fessée. En vain ! Le mot respect revenait à chaque fois. J’avais envie de lui dire d’arrêter de me respecter. Et puis un soir, j’ai décidé de le pousser à bout pour en avoir une. A table j’ai été ignoble, alors que c’est lui qui avait préparé le...
La journée avait si mal commencé
il y a 5 ans

L’histoire érotique d’une une soumise qui s’ignore

Mardi, 14h15. Je suis agacé et en retard….une journée de m e r d e …une journée noire. Ce matin, les funérailles pitoyables et irréelles d’un ami d’e n f a n c e , et maintenant cette colère sourde qui s’empare de moi et qui semble ne plus vouloir me quitter. Sans parler de cette pluie fine insidieuse et sournoise qui me transperce jusqu’aux os. La lourde porte en chêne massif se referme derrière moi dans un bruit de tonnerre. Elle me coupe du même coup du monde réel. Je suis aux greffes. Je décline comme à l’accoutumée mon identité, pour la forme, et je présente mon badge personnel au gradé de service. Puis je réclame une clé de casier pour déposer mes effets personnels et un peu de cette rage qui bouillonne toujours en moi. Je pose alors mon sac sur le chariot à rayons X et je passe à mon tour sous le portique à détecteur de métaux. Comme d’habitude, “le bipper” du portique carillonne, mais cette fois je refuse de retirer la ceinture de mon jean. C’est sans doute le privilège de la...
Scenario pour une rencontre fessées
il y a 5 ans

J'avais il y a maintenant quelques années fait une rencontre "fessées" avec une Dame de la haute région dijonnaise que j'avais conviée dans ma maison de campagne dans le Jura, au calme, dans la nature et sans voisinage . Nous avions brièvement échangé via Vivastreet qui hélas a fermé récemment et je lui avais demandé de m'envoyer un mail dans lequel elle détaillerait le scenario dont elle avait envie. Quand j'ai l'opportunité de faire une rencontre "fessées"(ce qui arrive rarement), je demande toujours à la partenaire de fixer les règles, le programme, les limites... etc et je m'y tiens. Il faut toujours respecter les désirs de sa partenaire de jeu. En général, ces dames ont du mal à verbaliser leurs envies. Pudeur ? Je leur demande donc de le faire par écrit. C'est plus facile et là, elles se libèrent. J'avais donc demandé à cette dame que je ne connaissais pas, de me faire une "rédaction" -comme au bon vieux temps- pour détailler ses désirs. Le mot "rédaction" l'avait un tantine...
Révolution dans le couple
il y a 5 ans

Cette histoire érotique aborde celle d’un couple battant de l’aile. Une sexologue les emmène à la domination soumission pour pimenter leur vie.

J'ai 51 ans, ma femme 54. Nous sommes mariés depuis bientôt 30 ans. Carole est une belle femme. C'est une brune aux yeux marrons, à la poitrine généreuse, des hanches larges avec un visage adorable. Je suis convaincu que si on demandait à quelqu'un son âge, il lui en donnerait au moins dix de moins. Elle est directrice d'un laboratoire pharmaceutique et son travail occupe une bonne partie de son temps. Moi, je suis grand, brun aux yeux bleus. je suis consultant informatique indépendant. Je passe donc une grande partie de mon temps dans mon bureau installé dans le grenier de notre maison. Carole et moi formons un couple unis. Bien sûr, ce n'est plus l'amour des premiers jours, mais j'aime profondément ma femme et je crois qu'elle m'aime aussi. Je ne sais pas si elle m'a jamais trompé, mais moi, malgré deux ou trois occasions, jamais. Bref, tout irait bien entre nous si il n'y avait deux problèmes. Le premier est l'absence d'e n f a n t . Nous avons essayé pendant des mois avant que...
Correspondance de filles coquines
il y a 5 ans

Correspondance de filles coquines

Correspondance de filles coquines Mars 1995 Ma chérie. J’ai eu ta lettre hier au soir. Avec mon mari nous en avons rit pas mal. Comment à 18 ans, tu ne sais pas comment faire l’amour ? Tu viens de la campagne, d’accord, c’est pourtant là qu’on peut bien voir comment les choses se passe entre mâle et femelle. Regarde un peu entre tes jambes. Tu verras que tu as comme une fente qui va du bas ventre, descend, puis remonte entre tes fesses. En passant lentement ta main tu sentiras certainement des picotements : tu seras excitée, prête à baiser. Baiser n’est pas un gros mot : il s’agit de l’accouplement entre un homme et une femme. Normalement c’est pour fabriquer dans le ventre des filles les bébés. La plus part du temps, c’est pour y prendre un énorme plaisir qu’on ne peut décrire en quelques mots simples. En baisant les couples ne se contentent plus d’entrer la bite (le sexe) d’un homme dans le con (le sexe de la fille) Cherche un peu, tu trouveras facilement de quoi je parle. En p...
La Vénus à la Fourrure
il y a 5 ans

Par Leopold Ritter von Sacher-Masoch « Dieu l’a puni et l’a livré aux mains d’une femme. »

Le livre est coupé en plusieurs parties pour en faciliter la lecture. J’étais en aimable société. Assise auprès d’une massive cheminée renaissance, Vénus me faisait vis-à-vis. Cette Vénus n’était pourtant pas une femme du demi-monde, de celles qui, comme Cléopâtre, ont, sous ce nom, fait la guerre au sexe ennemi : c’était bien la déesse d’amour en personne. Étendue dans un fauteuil, elle attisait un feu pétillant, dont les lueurs rosaient son pâle visage, et, de temps à autre, ses pieds mignons lorsqu’elle les en approchait. En dépit de son regard de statue, elle possédait une tête admirable, mais c’est tout ce que je vis d’elle. Son divin corps de marbre était enveloppé d’une immense pelisse de fourrure, dans laquelle elle s’était enroulée comme une chatte frileuse. « Je ne comprends pas, Madame, m’écriai-je ; il ne fait vraiment plus froid : depuis déjà deux semaines, nous avons un printemps délicieux. Vous êtes nerveuse, évidemment. - Merci de votre printemps »,...
La Vénus à la Fourrure 2
il y a 5 ans

Pose le pied sur ton esclave,

- En amour, il n’y a pas de juxtaposition, répliquai-je avec une solennelle sincérité, donc dès que j’ai l’option de commander ou d’être sous le joug, il me paraît très irritant d’être l’esclave d’une belle femme. Mais où trouverai-je la femme, qui, sans exercer son influence à l’aide de mesquines querelles, s’entend à dominer absolument, mais tranquillement et tout en gardant conscience d’elle-même ? - Cependant… cependant, cela ne serait pas difficile. - Vous croyez ? - Moi… par exemple - elle rit et se redressa en arrière - , j’ai les dispositions d’une despote… je possède aussi la pelisse indispensable ; mais, cette nuit, vous avez bien sincèrement eu peur de moi ? - En toute sincérité. - Et maintenant ? - Maintenant… maintenant, j’ai très sincèrement peur de vous. » * * * Nous sommes jour après jour ensemble, Vénus et moi ; complètement ensemble, nous déjeunons dans mon bosquet et prenons le thé dans son petit salon, et j’ai l’occasion de déploye...
La Vénus à la Fourrure 3
il y a 5 ans

Le contrat d'esclave

Je croyais connaître et comprendre cette femme à fond, mais je vois maintenant que je puis recommencer mon étude de plus belle. Avec quelle répugnance n’accueillit-elle pas dernièrement mes chimères et avec quel zèle n’en poursuit-elle pas aujourd’hui l’exécution ? Elle possède un contrat, aux termes duquel je me suis engagé, par parole d’honneur et par serment, à être son esclave aussi longtemps qu’elle le voudra. Son bras autour de mon cou, elle me lit à haute voix ce document inouï, incroyable ; après chaque phrase un baiser constitue le point. « Mais le contrat ne stipule de devoirs que pour moi, lui dis-je, taquin. - Naturellement, répondit-elle avec grand sérieux, tu entends être mon amoureux, je suis aussi liée à tous les devoirs et à tous les égards envers toi. « Tu dois encore regarder mes faveurs comme une grâce, tu n’as pas d’autre droit et tu ne dois non plus tirer de ce papier aucun avantage. Ma puissance sur toi doit être sans bornes. Songe que tu n’es dès...
L’italien
il y a 5 ans

Les confidences érotiques d’un étudiant gay

J'étais désormais en Terminale. J'ai rencontré rapidement en début d'année Valère, un Italiens blond d'1m83 environ, musclé sec, peau bronzée et très sympa. Les plans que j'eu avec lui durèrent jusqu'à la fin de mon année scolaire, et encore aujourd'hui quand nous nous voyons seuls, j'ai le droit à mon biberon quotidien. Tout à commencé un soir. Nous discutions en sms de choses et d'autre, et comme toujours avec moi, la conversation dévie vite sur le sexe. Il paraissait très ouvert et m'avoua rapidement avoir envie d'essayer le même sexe. Je lui avouais de mon coté avec déjà eu des expériences, et être un peu en manque. La conversation n'alla pas plus loin. Les jours défilèrent, et la question du sexe entre nous revint régulièrement sur le tapis dans les sms. J'hésitais beaucoup à faire des choses avec lui, je l'appréciai beaucoup et mes expériences précédentes m'avaient prouvé que le sexe change tout. Un samedi soir, je l'invitai chez moi et il me demanda si je pouvais le sucer....
La Vénus à la Fourrure 4
il y a 5 ans

Il se livre à elle comme jouet dans son aveugle démence,

Je pris la plume. « Laisse-moi signer d’abord, dit Wanda ; ta main tremble, craindrais-tu pour ton bonheur ? » Elle prit le contrat et la plume. Je levai les yeux en lutte avec moi-même, quand mes regards tombèrent sur de nombreuses peintures des écoles italienne et hollandaise, dont le caractère fantaisiste se rapprochait de celui du sujet bizarre du couvre-pied qui prenait pour moi un cachet tout à fait inquiétant : Dalila, une femme plantureuse à la chevelure d’un rouge de feu, était couchée, à moitié couverte d’un manteau de fourrure brune, sur un sofa rouge et se penchait en riant vers Samson, que les Philistins avaient jeté à terre et ligoté. Dans sa coquetterie railleuse, son sourire est empreint d’une cruauté vraiment infernale ; ses yeux, mi-clos, rencontrent ceux de Samson, qui lancent un dernier regard rempli d’un amour plein de démence, car bientôt un des ennemis s’agenouille sur sa poitrine, prêt à enfoncer dans ses yeux le fer brûlant. « Ainsi, s’écria Wanda,...
Publicité en cours de chargement