Récits
Perdre le contrôle total
il y a 2 ans

Se féminiser et faire du selfbondage il adore, sa femme moins et elle va en jouer.

Tout est prêt alors que je m'allonge sur le lit avec les cordes à la main. Alors que je m'allonge sur le ventre, en faisant attention de ne pas mettre de rouge à lèvres sur la couette, je passe ma main droite derrière mon dos et la glisse dans les boucles que j'ai faites. Quatre tours de corde devraient suffire pour ne pas trop me faire mal aux poignets. Dans ma main droite, je saisis la corde qui supprimera le mou de mon bondage et glisse soigneusement ma main gauche dans la boucle. j'essaie de me détendre; mon rythme cardiaque devient fou. Un bon coup sec et il n'y a pas de retour en arrière. Je regarde l'horloge - 8h26 - elle devrait être de retour d'une minute à l'autre. Je serre le nœud coulant autour de la corde qui entoure mes poignets. Maintenant, je tire sur le cordon pour enlever le mou. Des picotements parcourent mon corps alors que je sens mes pieds être tirés vers mes jambes. Je leur permets de prendre le contrôle de moi et mes jambes commencent à bouger presque avec un...
Pire que le déculottage le reculottage
il y a 2 ans

Confidences d’une fille sur une fessée mémorable

Lors d’une fessée déculottée, l’habillement joue sur la honte. C’est vrai durant le déculottage, et parfois plus vrai quand il faut se rhabiller. Dans ce cas, la honte a un effet dévastateur comme j’en ai fait une fois l’expérience dans un centre aéré. J’avais alors 12 ans et demi. Il y avait une nouvelle animatrice qui avait un problème d’autorité et était un peu dépassée. J’étais assez insolente avec elle et me payais sa tête sans risque alors qu’avec ses trois collègues, dont un homme, tout allait bien. Un certain mercredi je me montre vraiment odieuse (je ne sais plus trop comment). Elle s’en plaint à la directrice qui appelle aussitôt ma mère pour qu’elle vienne me chercher. Quand ma mère arrive, elle écoute patiemment les reproches de la directrice qui menace de ne plus me reprendre. Ma mère, très mécontente de moi, lui demande alors si me punir sur-le-champ pose un problème. « Pour que Floriane comprenne bien qui commande ici et qui doit obéir, si vous êtes d’accord, j...
La cueillette de champignons
il y a 2 ans

Une histoire hard en version chasse et traditions non consensuelles....

Un dimanche du mois de septembre, il fait très chaud, les jours précédant étant pluvieux nous décidons mon mari et moi d'aller faire un tour dans les bois. Nous garons la voiture dans un petit chemin, et nous entrons dans une belle forêt de chêne. Après un quart d'heure de marche, nous commençons à avoir chaud. J'enlève ma veste et la noue autour de ma taille. Nous nous enfonçons dans la forêt, traversons des pare-feux, en cherchant en vain des champignons. On entend des coups de fusil, la chasse est ouverte ce week-end et plus on va, plus on s"approche de la zone de chasse. Cela commence à être dangereux, on décide de retourner vers notre véhicule, et tant pis pour les cèpes. Après plus d'une heure de marche, on n'arrive pas à se repérer, j'ai la nette impression que l'on s'est égaré. Nous commençons à être fatigués, il est plus de midi et la chaleur est étouffante. On commence à s'inquiéter, impossible de se repérer, tous ces chemins se ressemblent, on a l'impression de t...
Nouvel hôtel de Marseille
il y a 2 ans

Trop sûr de lui, un don juan manque de respect à une Maîtresse

Dîner terminé, ordinateur sur un coin de table, portable attenant ; le papier métallisé et froissé d’un chocolat trône aux côtés d’une tasse de café à demi vide et froide. Les doigts vont et viennent, tapant quelques mails. Ouvrant et fermant quelques tableurs. Le bar de l’hôtel vit cette heure creuse où les premiers arrivants terminent encore leur digestion. Il travaille d’une main distraite et d’un œil qui peine à cette heure tardive à s’intéresser à ses dernières notes. La journée a été longue, intense. Peuplée de rendez-vous, de cafés bus à la hâte, de parkings, notes de frais , d’appels et de messages laissés sur des boîtes vocales. L’endroit est bien calme à cette heure. Il se jure d’arrêter dans dix minutes. Et ce depuis vingt minutes. Coup d’œil à la serveuse. Rien qui ne vaille de s’y attarder. Les soirs de déplacements sont décidément difficiles à combler comme il se doit. Un léger courant d’air envahit le hall, un parfum flotte dans l’atmosphère, le serveur salue d’un «...
La passion secrète de Madame la baronne
il y a 2 ans

Madame la baronne résiste... Résiste... Jusqu'au moment où elle ne peut plus faire autrement que de céder à ses démons

C’est le moment qu’elle préfère. Quand elle passe la porte. Qu’elle croise leurs regards. Que leurs sourires se font mi-narquois mi-complices. Helga s’avance vers elle, faussement obséquieuse. - Madame la baronne est en manque ? Nous allons remédier rapidement à cet état de choses. Elle soulève un pan du grand rideau grenat. - Si Madame veut se donner la peine de passer dans le petit salon, derrière. Elle la laisse seule. - Je reviens. J’en ai pour une minute. Dix minutes. Vingt minutes. Parfois davantage. Des minutes voluptueusement insupportables. Il y a, à côté, le bruissement feutré du magasin. Les voix des vendeuses qui vaquent à leur tâche, vont et viennent. De temps à autre, l’une d’elles passe la tête. Suzon. Ou Alice. - Tout va comme Madame le désire ? Ou Margaux. Qui la fixe longuement d’un petit air moqueur. - On va encore bien s’amuser. Et elle éclate d’un rire insolent. Elles ferment. Juste le temps de s’occuper d’elle. Elles ferment. Elle...
Confidences d’une soumise pratiquant le selfbondage
il y a 2 ans

Désir d’être une cyberesclave avec auto-esclavage et l’autobondage

Cher Maître, C'est bon de vous entendre à nouveau. Je collectionne les objets dans mon coffre à jouets depuis de nombreuses années, il contient : deux paires de menottes en métal, un petit et un grand vibromasseur, un très gros gode en plastique transparent, un ensemble d'obturateurs anaux gradués (butt-plugs), un bâillon-boule fait maison, des clips assortis, plusieurs cadenas, différentes longueurs de chaîne, une bobine de cordon souple de 50 mm et un certain nombre de ceintures en sangle de surplus de l'armée de différentes tailles. Je suppose que l'auto-esclavage est mon seul véritable débouché, donc je serai très heureuse d'essayer certaines de vos idées ; comme je l'ai dit, ce sera une expérience psychologique différente d'avoir des méthodes imposées de l'extérieur. Pour obtenir une certaine mesure d'impuissance, j'utilise la méthode de la clé congelée dans des glaçons. Cela implique de congeler les clés de mes contraintes en glaçons, je dois donc attendre que la glace f...
Un plan trop hard pour une soumise
il y a 2 ans

Karine et son Maître sont de gros coquins. Ils aiment les scénarios bien ficelés, des plans culs organisés comme si elle était esclave sexuelle, ou des plans du type enlèvement et jeux sadiques.

Karine et son Maître sont de gros coquins. Ils aiment les scénarios bien ficelés, des plans culs organisés comme si elle était esclave sexuelle, ou des plans du type enlèvement et jeux sadiques. Après chaque scénario, ils se retrouvent sous la couette pour faire l’amour tout simplement. Jack aime sa femme comme un fou mais lorsqu’il domine, il ne plaisante pas et peut être très hard autant sur le plan psychologique que physique. Cet amour et ces passions pour le BDSM sont réciproques, Karine ne pourrait pas pratiquer avec un « mémaitre », il lui faut du hard pour s’envoler. Elle exécute sans discussion et avec beaucoup d’excitation toutes les missions qu’il lui donne par texto. La semaine dernière, elle devait s’entraver seule dans le jardin avec un ice-timer contenant les clés de ses menottes par sécurité. Cagoulée et menottée à la charrue de décoration dans le gazon, elle attendait nue et fesses en l’air que son Maître arrive. Avec une barre d’écartement posée à ses chevilles, el...
Cette soeur que j’aurai pu aimer
il y a 2 ans

Cette histoire érotique gay aborde la féminisation d’une drôle de façon. Elle est à la fois dure et parfois amusante par le choix des mots.

RESUME Fils d’une mère tyrannique le féminisant par dépit dès son plus jeune âge, la vie de xxxx est un calvaire tout au long de sa scolarité. Lorsqu’il peut enfin prendre sa liberté et devenir un homme à part entière, il se heurte à son passé de « féminisé ». Sa première rencontre d’adulte se fait avec un Maître aimant « les petites ». Entre la chasteté imposée et une reprise de sa réelle féminisation, il sombre dans une soumission très particulière. SBG nagera dans le paradoxe de ne pas être gay mais un homme dans le corps d’une femme avant d’entrer dans un piège machiavélique. .............................. « Cette soeur que j’aurai pu aimer et qui a fait de moi sans même le savoir, une lopette ». La vie a déjà mal commencé pour moi. J’avais deux ans quand mon père et ma grande soeur ont eu la mauvaise idée de faire un plongeon en voiture. Louper un virage à cause du verglas peut arriver, heurter un pont en béton de plein fouet et plonger dans l’Isère quasi gelée ne le...
Jeune tafiole au Club de FOOT
il y a 2 ans

Dans les vestiaires des hommes le naturel gay et soumis se dévoile

Je jouais dans une équipe de foot là où j’habitais, on jouait souvent contre la ville d’à côté, moi j’étais le plus jeune de mon équipe et j’étais frêle. J’avais peu de poils aux jambes contrairement à mes coéquipiers qui étaient bien plus vieux et en avaient beaucoup, les gars avaient entre 18 et 20 ans, en revanche j’avais un bon petit cul bien galbé dans mon short. On s’entraînait tous les mercredi après-midi et après nous avions douche collective obligatoire où les coachs nous faisaient un topo pendant que nous étions en train de nous laver. J’étais assez complexé par mon manque de pilosité et je voyais mes camarades avec un pubis bien touffu et surtout des bites d’enfer, moi c’était la misère. Mon seul atout : mes fesses. D’ailleurs certains me disaient que j’avais un beau cul à me faire baiser ce qui me faisait rougir, parfois ils me mettaient des mains au cul avec le doigt dans la raie, je ne disais jamais rien, j’étais un peu le souffre-douleur du groupe et me faisait traite...
Les voies de l'enfer empruntent parfois des raccourcis étranges.
il y a 2 ans

Les amateurs de littérature hard et bien écrite devrait trouver là de quoi satisfaire leurs neurones coquins.

Grouillante d'une vie cosmopolite et stressée, saturée de regards perdus entre emplois peu utiles et loisirs conditionnés, contrastée aussi, quand se côtoient l'urgence et la futilité dans un grand chaudron aux allures de panthéon, la capitale française cachait, derrière un jeu des fenêtres centenaires identiques à des myriades d'autres baies embuées, parmi les deux millions d'histoires particulières qu'elle abritait dans ses tentacules grisâtres, celle de Nicole, la plus stéréotypée des existences de nanties, promise pourtant au plus tragique qui soit des destins. La matinée de ce vingt-et-un mars avait la couleur d'un premier jour ordinaire de printemps parisien, couchant sur les toits de béton et de tôle grisâtre une lumière métallique et orangée filtrée par une brume suspecte. Au sol, de part et d'autre des ruelles encore peu encombrées, des promeneurs suivaient leurs traces de la veille, telle une colonie de fourmis mue par un instinct animal et collectif. Les quartiers s'éveil...
Les voies de l'enfer empruntent parfois des raccourcis étranges 2
il y a 2 ans

La suite de ce petit roman est géniale mais hard et non consensuelle.

Les voies de l'enfer empruntent parfois des raccourcis étranges 2 L'attente fut longue et pénible. Le décollage de l'avion avait pris du retard et Nicole dut patienter des heures durant dans un hall surchauffé et bondé de voyageurs malodorants et bruyants. Assise sur un siège de métal, elle déplia son portable et tenta de se concentrer sur le dossier du lendemain pour oublier son épouvantable environnement et ces regards en coin qui v i o l aient son image, fouillaient à travers les tissus de son corsage ou de sa jupe, les formes généreuses de son corps sculptural. Elle s'agaça peu à peu de ce manège grotesque que les hommes improvisaient afin de se rincer l'oeil sans fin pour, sans doute, meubler leurs fantasmes lors de leurs tristes soirées de solitaires. Que pouvaient-ils donc espérer de plus ? Enfin l'embarquement fut annoncé. Elle se précipita vers la porte annoncée, dut subir la proximité de ces mêmes voyeurs qui, à cette occasion, se pressèrent autour d'elle pour capter u...
Vengeance de femme
il y a 2 ans

Quand on trompe sa femme, on peut parfois se retrouver en cage et condamné à la voir s'envoyer en l'air avec d'autres.

Christine avait besoin d’en parler à quelqu’un. De se confier. Ce fut à Anna, la collègue de travail avec qui elle déjeunait tous les midis. - Il me trompe. Je crois bien qu’il me trompe. - Ton mari ? Qu’est-ce qui te fait dire ça ? - Plein de choses. Le temps qu’il passe maintenant, le matin, dans la salle de bains. Une heure. Au lieu de vingt minutes avant. Son smartphone. Qu’il ne quitte pas un seul instant des yeux. Même pour trente secondes. Les bouquins d’astrologie qui s’entassent sur sa table de nuit. Il y a encore quinze jours, c’est un truc qui le faisait ricaner, ça, l’astrologie. - Mouais… Et au lit ? Elle a haussé les épaules. - Au lit, il y a encore, oui, mais c’est plus ce que c’était avant, mais alors là, plus du tout. - Oui, oh, ben, t’es cocue, il y a pas photo. Et, j’ai pas de conseils à te donner, mais moi, à ta place, je laisserais pas s’installer la situation. Parce que pour en sortir après… - C’est bien ce que je me dis aussi. Seulement je sais pas...
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