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Bonjour à tous,

Je pose la une question qui va faire débat je le sens ! Rire

Pensez-vous que nous allons trop loin dans la culture LGBT?

Je m'explique, je suis bien entendu ravie que les esprits s'ouvrent sur l'acceptation de chacun qu'importe sa sexualité. Que la politique essaie de réduire les discriminations et autres. Mais cela ne vas pas t'il trop loin? De là, à mêler cela à l'école ?

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Moi je pense qu'à force de pousser le lgbt le gouvernement veut qu'il y ait la guerre entre les hommes et les femmes. Il pousser a l'asexualite , tout sauf procréer. Il veut monter les femmes contre les hommes et reciproquement. Chiennes de garde, feministe, macho etc...

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Je vous rejoins école " etat" n'a rien à faire la dedans. Mais alors absolument rien c'est un choix qui n'a pas à se justifier encore moins être cadré ou enseigner etc.

Ont apprendre pas à école à respecter les hetero..... wtf.

Chacun chacune est libre aimer qui il lui plaît et comme il lui plaît... c'est quoi ce délire encore... pardon je trouve cela tellement inadmissible de mélanger cela à école
# éducation......

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J'ai eu l'occasion de discuter de ce sujet avec une trans, femme dans l'âme. Cette "nana" bourrée de qualités et très intelligente m'a éclairé sur le fait qu'en parler à l'école primaire est une bonne chose. En effet, la dysphorie du genre REELLE n'est pas obligatoirement sexuelle comme beaucoup le pensent. C'est réellement le corps qui """pose problème""". Certains garçons se sentent fille OU ne se sentent pas réellement garçon. Donc apprendre que l'on --> n'est pas le seul permet alors d'ouvrir une réflexion et des discussions avec les parents. Oser parler d'un problème c'est déjà avoir une partie de la solution, ou d'un aménagement de sa propre pensée.

Le gros problème JUSTEMENT, c'est que l'Etat et l'éducation nationale en font trop et mal. Ils arrivent même à perturber ceux et celles qui ne souffraient pas de dysphorie du genre. Je plains réellement les pauvres profs de ce grand bateau malade qui est EN.
Je plains aussi le pauvre gamin qui, sans se méfier; parlera de sa dysphorie du genre en classe...... Pour devenir la risée et le souffre douleur de l'école voir du quartier il n'y a pas mieux.

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La transidentité est un problème de genre et n'a rien à voir avec la sexualité.
Pour avoir des Ami·e·s trans dans les deux genres, je connais assez bien le sujet.
Une personne trans peut être homosexuelle ou hétérosexuelle au même titre qu'une personne cis. (cisgenre une personne qui n'a pas de problème avec son genre assigné à la naissance, contrairement à la personne transgenre)
Le problème est qu'une petite fille trans (née garçon) qui voudrait être fille à l'école ne le peut pas, puisque les institutions ne permettent pas la reconnaissance d'un autre prénom que celui reconnu par l'Etat Civil.
Le fait que l'intolérance et les moqueries soient les maitres mots du système scolaire, il est impossible pour un·e enfant trans de trouver sa place sans s'en prendre plein la figure.
A moins de faire profil bas jusqu'à sa majorité, de se morfondre toute son enfance, son adolescence en voyant son corps évoluer vers ce qu'il le répugne au plus haut point, le corps d'un genre qui n'est pas le sien.

Le problème est que c'est super difficile pour une personne cis de comprendre.

L'exemple qu'on m'a donné pour m'aider à comprendre...

Toi qui es Homme ou Femme, qui es convaincu·e de ta masculinité/ féminité, et que tu n'as aucun problème avec le fait d'être un Homme/ une Femme, comment réagirais tu si malgré toutes tes certitudes, tu avais un corps de Femme/ d'Homme ?

Tu auras une petite (toute petite) idée du ressenti permanent des personnes trans.

Il suffirait simplement que les gens soient tolérants et acceptent l'idée qu'une personne n'ait pas l'esprit qui corresponde au corps que tout le monde voit.
Après tout c'est son corps, qu'est ce que ça peut faire ?
On juge les gens qui se font des tatouages, des piercings, qui ont des cheveux bleus ou roses ?
Laissons les personnes trans vivre leur vie comme elle le souhaitent, c'est déjà assez galère comme ça.

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les jugements ou les regards sont parfois plus qu' un couteau plantait dans le dos le parcours pour changer de sexe est un long combat mêmes plusieurs combats il y a celui de faire admettre à son entourage sa décision avec le risque d un rejet de la cellule familiale et de son entourage amicale ou professionnel il y a celui de l angoisse de ne pas se tromper jusqu' à l opération avec les soins qui vont après l opération et l obligation de mettre le gel hormonal tous les jours il y après l insertion dans la vie professionnelle amoureuse amicale et la c est souvent une galère il faut une force de caractère pour faire cela mais souvent il faut reconstruire des nouveaux repères évacuer ses vieux démons passer par des étapes de doutes de désespoir il faut du courage pour arriver à changer de sexe et ce qui critique ne serait pas capable d en faire le dixième du parcours car c est un parcours de galère le plus souvent

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Magnifique Immunité !
Je n'aurais pas dit mieux !😍😘😘😘
C'est exactement ça.

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il ne faut pas oublier que le délit d homosexualité fut abrogé en 1973 je crois que le mariage pour tous est entré dans la loi ce fut de long combat de gens qui on bravaient des interdits qui on menaient bien des combats sur il en reste bien des séquelles c est sur dans les aprioris .la première avancée anodine peut être cela n est plus reconnu comme un coté psy car quelques années en arriérés il fallait un parcours de 5 ans et qu' il soit validait avant d espérer une opération et peu d hôpital le pratiquer en France bordeaux Lyon et quelques autres c est pourquoi beaucoup allés en Thaïlande et parfois en Belgique pour accomplir leur désir parfois et même souvent par des sacrifices financiers et même d erreurs médicales sur les lois on avançait par rapport à la secu l état civil mais reste le rejet c est n est pas hélas cette génération encore qui va changer beaucoup les choses et le regard des autres une artiste et je crois peut être à tort qui a fait le grand prix de l eurovision c est par la culture que les choses ont évolué comme pour les homo femmes et hommes certes pas rapidement au gout de ceux qui sont confrontés à la vindicte populaire sur le changement d identités car cela n a rien a voir avec le sexe c est simplement un accord avec soi même mais c est un autre débat

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Tu as une observation fine Immunité qui me sidère !
J'ai des Ami·e·s trans dans les deux sens, donc je connais bien le sujet.
La transidentité n'est plus considérée comme une maladie psychiatrique depuis 2010.
MAIS on continue d'exiger 2 ans de suivi... psychiatrique pour avoir droit à l'opération.

La Thaïlande a longtemps été considérée comme le top du top de la chirurgie de réassignation...
Mais entre le coût entre quinze et vingt mille €uros (hébergement sur place quelques semaines) peu parlent thaï, les médecins ne parlent pas tous anglais et il ne faut pas croire qu'il n'y a que des cadors. Ne parlant pas la langue, il est facile de tomber sur des guignols qui voient le pigeon arriver et le fric facile...
Il y a eu beaucoup de loupés qui de retour en France doivent repasser sur le billard en prenant la place d'une personne qui attendait sagement depuis des années.

Le changement d'état civil a été "simplifié"
Le passage par le Tribunal de Grande Instance est toujours obligatoire mais cette fois ci une seule procédure est nécessaire.
A partir du moment où est formulée une demande de changement de genre est demandé, le prénom est automatiquement changé en même temps.
Avant cette réforme de 2017... il fallait que la personne aille au TGI faire changer son prénom, changer TOUS ses papiers puis revenir au TGI faire changer le genre.
Ex pour un homme trans (né fille) on l'aurait appelé Madame Antoine, pour une femme trans (née garçon) on l'aurait appelée Monsieur Virginie...
Elégant...

Dans le livre "Le saut de l'ange" de Maud Marin, elle racontait entre autre que les flics "ramassaient les trans" pour les prendre en photo dans la cour de la brigade comme des trophées, comme ils le font maintenant avec les saisies de schnouffe.

Le problème est que la transidentité est encore mal comprise et que donald avec ses idées archaïques ne va pas aider à faire évoluer les choses.
Un homme trans ne pose pas - trop- de problème. Ca n'a JAMAIS été mal vu pour une fille d'être un garçon manqué.
C'est même "presque" bien vu.
Par contre, le contraire beaucoup moins...
Un homme qui devient femme... Oh là là ! Diantre ! Malheur et désespoir !
D'ailleurs le terme "fille manquée" n'existe pas. C'est une tafiole, tapette, pédé ou autres joyeusetés...

Et parmi les personnes trans, comme pour les personnes cis (c'est pas une insulte ce sont juste les personnes qui n'ont pas de problème avec leur genre de naissance) il y a des personnes hétéros ET des personnes homos !

Par contre là où ça pose ENCORE problème...
c'est pour les relations amoureuses...
Un mec hétéro va considérer une femme trans comme un mec.
Un mec homo va considérer une femme trans comme une femme
Une femme lesbienne ne considèrera pas une femme trans comme une femme...

Maintenant, juste pour rigoler, poser la question à un mec, cette simple question et vous comprendrez l'étendue du taf qu'il rester à faire :
"Est ce que tu sortirais avec une femme trans ?"

Déjà vous allez être obligé·e de lui expliquer ce que c'est parce qu'en général il y a ENORMENT de lacunes jusqu'à faire des amalgames avec le sida !?
OUI encore en 2025 !!!
Et la réponse sera dans ce style : "Je n'ai rien contre ces gens là, mais c'est pas mon délire".
Donc les personnes trans sont "ces gens là" ou "ce type de personnes" et elles ont des délires.

Bienvenu·e·s en FRANCE EN 2025 Mesdames et Messieurs !

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Sur France 3 en ce moment une émission sur la transidentité en Polynésie.

Avant l'arrivée du christianisme, c'était quelque chose de normal.
C'est le christianisme qui a foutu la merde, transformant le normal en problème.

Une femme explique que son père la frappait à coup de planches à clous, il lui a coupé l'oreille au sécateur et le lui a planté dans le ventre. Le pire, il lui a tiré dessus... au harpon !?

Mais putain une personne trans n'a pas choisi d'être trans !
Elle aurait eu le choix elle aurait fait le bon tout de suite !
Elle veut juste être elle et vivre librement comme elle l'entend !

Et NON CE N'EST PAS TROP DEMANDÉ !

ELLES ONT LE DROIT ET ELLES DOIVENT LE PRENDRE !
MERDE AUX CONS !

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Je pense que c'est un faux problème. Introduire/enseigner la tolérance et l'empathie résoudrait ce point et tant d'autres...

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On ne peut pas enseigner la tolérance et l'empathie à l'école comme on enseigne les maths ou le français.
C'est au niveau des parents que ça doit se passer.
Les enfants agissent par mimétisme. Des parents croyants auront des enfants croyants, des parents fumeurs auront des enfants fumeurs, des parents racistes ou intolérants.... à moins qu'une fois adulte, l'enfant se rebelle, devienne athée, ne fume pas parce qu'il a prit conscience des risques ou qu'il ait compris que la différence n'était pas une tare, mais un plus. Une diversité merveilleuse qui fait de nous des êtres uniques.
Mais quoi qu'il en soit, on n'obligera jamais à boire un âne qui n'a pas soif.

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tout cela ressemble à la chanson de Brassens au village sans prétention j ai mauvaise réputation