Récits
Les soeurs dominatrices sont démoniaques
il y a 3 ans

BDSM, chasteté, ABDL une histoire hard à la TSM

A Karine, Brigitte et Michel Bien décidé à vivre pleinement leur vie, après de multiples échecs de vie commune, Brigitte et Michel, se sont parlés clairement de leurs attentes tant pour en vie de couple que de leur sexualité après avoir fait connaissance sur www.fessestivites.com (Logique ^^ et humour) De multiples points s’accordaient, la seule chose qui inquiétait un peu Brigitte, c’est la sexualité débridé de Michel. Bien que peu farouche et relativement gourmande des plaisirs de la vie, elle s’était interrogée sur le BDSM dont il lui avait parlé longuement sans vulgarité et avec des explications si excitantes quelles avaient généré en elle une certaine curiosité. Lors de la découverte de sa malle secrète, elle était comme un enfant dans un magasin de jouets. Elle voulait tout essayer, les godes, les vibros, le harnais, les petites tenues en latex que mais aussi le gode ceinture en avouant que c’était un de ses fantasmes. La première soirée, elle se sentait un peu gauche,...
Les soeurs dominatrices sont démoniaques 2
il y a 3 ans

BDSM, chasteté, ABDL une histoire hard à la TSM

CHAPITRE 2 Le lendemain de cette série de dérives, une certaine gêne s’installa en Michel. Les filles quant-à-elles discutaient librement de la soirée avec des mots crus et surprenant. Cette forme de sexualité et de ménage à trois semblait leur convenir pleinement. Pire encore, Brigitte trouvait qu’une aide pour dominer et dresser son mari fort gourmand et capricieux ne pouvait pas nuire. Blême, le dit mari n’en menait pas large. Il se manifesta en leur rappelant qu’elles pourraient au minimum lui demander son avis, mais il se fit rabrouer aussitôt par Brigitte qui lui fit remarquer qu’elle lui offrait la chance d’avoir deux maitresses alors que des milliers d’hommes rêvaient d’en avoir une. La relation à trois s’installa rapidement, les deux sœurs s’accordèrent totalement sur les rôles et attributions de chacune. Le sexe de Michel était réservé à Brigitte, son corps pouvait être partagé et utilisé par les deux. La complicité des filles fut étonnante. Elles s’amusaient à le ra...
Manque d'inspiration
il y a 3 ans

Un peu de bondage donne l’inspiration

Au bas mot, ça faisait quarante-cinq minutes que j’attendais en écoutant leur flot ininterrompu de jacassements traverser le mur, à croire qu’elles étaient là toutes les deux dans la chambre, ou que moi j’étais avec elles dans le salon, attaché sur ma chaise comme un meuble décorant la pièce voire complètement invisible. Une belle auréole s’était formée sur mon t-shirt: Sandra avait choisi le bâillon-boule blanc, le plus gros qu’on ait, si bien qu’un filet de salive dégoulinait régulièrement de ma bouche et que j’étais bien incapable de le retenir malgré mes efforts. C’est ce que j’aimais le moins dans nos jeux et que j’essayais d’éviter lorsque c’est moi qui avait le dessus, cette déchéance physique - oui, je sais: le mot est fort - quand on ne contrôle plus son corps, typiquement quand on se met à baver partout ou... Je me rappelle d’un jour où elle m’avait enfilé une couche pour adulte avant de me ligoter et obligé à boire presque un litre d’eau. Et ressenti une telle humilia...
Ce soir
il y a 3 ans

Pour être tranquille, attacher son mari ? Pas sûr

Ce soir, il est prévu que nous passions la soirée ensemble. Je suis allé à ton appartement, un grand studio dont tu m’as donné une clé. J’y suis depuis 19 h, après avoir fini ma journée au bureau. Tu n’étais pas là quand je suis rentré, sans doute retardée à l’IA. Mais j’espère secrètement que tu es en retard parce que tu m’as préparé une surprise … Mon imagination me fait croire qu’il s’agit de quelque chose de croustillant, pour assaisonner un jeu que nous allons jouer toi et moi tout à l’heure … En attendant, je m’allonge sur ton lit et allume le poste de télé tout en parcourant la presse du jour. Le temps et les minutes s’écoulent … Toujours pas de Sandrine … 19 h 30 … 20 h …. Rien … ! Pas d’appel sur mon portable …. Petit à petit, je sens l’agacement me monter à la tête, car je n’ai aucune patience lorsqu’il s’agit de mon plaisir. Je commence à ronchonner après toi, t’accusant précisément de me négliger ce soir, alors qu’il était prévu que nous passions du temps ensemble …...
Une endurance - bis repetita
il y a 3 ans

La même soumise affirme qu'elle peut subir plus.

Afin de la ramener à son irrésistible tentation de se donner avec la générosité qu'elle m'avait manifesté il y a de nombreux mois, j'avais laissé dans la boîte aux lettres de Ellen ce mot manuscrit : "Puisque tu as attesté ta prédisposition à te muer en véritable traînée, vendredi de la semaine prochaine tu te pointes devant chez moi à 7h00, en tenue indécemment voyante". ‘Traînée’, par ce qualificatif fort je cherchais à faire mijoter dans son cerveau, avant notre deuxième rencontre D/s, ce dont elle ne pourra malgré elle s’empêcher de faire. Elle devait savoir qu'à l’heure du rendez-vous que je lui imposais je serai probablement encore tout à mon sommeil, mais elle devait obéir. Aussi le saugrenu que cette idée puisse apparaître pour une personne qui goûte peu les plaisirs d'abandonner son existence, au moins quelques instants, à un Homme que l'on adore. Ellen a obéit. S’agissant de l’horaire. Concernant ses vêtements, je l’on trouvé petits-bras. Ses cuisses étaient couvertes d’un...
Le bondage infernal
il y a 3 ans

Latexée par un fou de bondage hard

C’est demain l’anniversaire d’Elsa Elle passe quelques longs instants à étudier la carte que Kevin a glissé dans l’enveloppe. Elle n’en crois pas ses yeux, une créature de latex maintenue suspendue au plafond, complètement difforme, une tête et des seins énormes, et pas la moindre partie de ce qui semble être une fille qui ne soit pas recouverte par le latex, une horreur, mais heureusement, ce n’est qu’un dessin réalisé par un artiste en mal de sensation érotique. Impossible que dans la réalité une fille soit affublée d’un tel truc … le dessin est juste là pour l’impressionner. Elle continue à déballer tout l’attirail envoyé par Kevin, certains équipements qu’elle reconnaît, d’autres encore emballés dans des petits sacs en plastique ou des boites. Il y a une paire de ballet boots et également une tenue de latex bien pliée. La tenue de latex lui refait tout de suite penser au dessin qu’elle avait en main il y a quelques instants … mais elle s’était définitivement convaincu...
Liens inavoués, passion attachante
il y a 3 ans

Une jolie histoire érotique de bondage d’Amour

Voici la première histoire que j'avais écrite il y a longtemps, je n'ai jamais voulu la publier car selon moi elle est imparfaite pas aussi accomplie que toutes celles que j'ai pu écrire et que j'ai pu vous faire lire .... J'espère que ça vous plaira et j'attends vos retours avec impatience car comme je vous l'ai dit, je la trouve imparfaite .... Pour preuve, je ne sais même pas quel titre lui donner ... Bonne lecture à vous -------------------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 1 : Premiers contacts Pénelope et Alexandre sont deux amis de longue date. Ils se connaissent depuis leur e n f a n c e . La belle Pénélope, est une jeune fille d‘origine espagnole qui est arrivée en France à l’âge de 5 ans. A son arrivée, elle s’est retrouvée isolée dans sa nouvelle école à cause de sa différence de langage. Cependant, il y avait un petit garçon du même âge qu’elle nommé Alexandre, toujours laissé à part à cause de ses cheveux blonds et d...
Captives
il y a 3 ans

La passion du bondage entre filles

Isabelle et Ludivine marchaient sur un petit chemin lorsqu'elles aperçurent une maison un peu isolée. Elles s'en approchèrent et constatèrent que la porte était ouverte. Elles avaient toujours été curieuses par nature, aussi elles n'hésitèrent pas à entrer. La maison semblait vide. Elle était décorée avec goût mais sans luxe excessif. Tout à coup, une superbe jeune femme apparut. Elle avait la trentaine, elle était vêtue d'un chemisier blanc et d'une jupe noire en velours. Elle avait de longs cheveux blonds qui lui tombaient jusqu'aux reins, les yeux bleus et les lèvres légèrement sensuelles. Sa poitrine tendait le tissu de son chemisier à peine ouvert. Isabelle et Ludivine étaient tout aussi ravissantes. La première, vingt ans bien sonnés, portait un jean et un pull rose en mohair qui mettait en valeur ses formes généreuses. Brune aux yeux verts, cheveux légèrement ondulés, elle faisait tourner bien des têtes. La seconde venait d'avoir 18 ans. Elle aussi ne laissait personne...
Désir d’entraves sévères
il y a 3 ans

Envie de BDSM, de soumission forte.

##### Dans ses grands moments d’excitations virtuelles, Léa lui avait dit qu’elle aime les véritables contraintes, les bondages sévères. Lorsqu’il lui avait demandé si c’était pour mieux se libérer, sa réponse fut directe, sans ambages « oui » en précisant qu’elle ne jouit que mieux quand elle ne peut pas échapper au plaisir qu’on lui impose. Il avait également abordé son masochisme avéré, ses besoins de plaisirs dans la douleur. Taquine et rebelle, Léa l’avait prévenu que si elle aime jouer et faire des bêtises pour avoir de réelles fessées, sa recherche porte sur un Maître qui la domine aussi cérébralement. Expérimenté, le Maître, à qui elle livrait en toute franchise ses envies et fantasmes, sentait bien qu’il allait recevoir une « dure à cuire ». Une soumise qui aspire à vivre du BDSM sans concession, pas que du BDSM de jeu. Ce que Léa cherche, c’est du BDSM qui met face au mur, qui ne laisse aucun échappatoire entre le temps d’entrée et le temps de sortie. Il le savait...
Désir d’entraves sévères 2
il y a 3 ans

Découverte des carcans mais ....

Le Maître lui retire la cagoule afin de lui laisser découvrir les lieux. Tirée par la laisse comme une esclave, Léa ne peut que le suivre dans la maison qu’elle découvre. Les lieux sont aussi somptueux que perturbants. Au fond du salon, il y a une petite scène de théâtre avec des rideaux rouges ouverts et, chose surprenante, une chaîne et des bracelets pendent en son centre. Sur le côté, elle peut y voir un meuble particulier, ressemblant à un banc à fessée avec un pilori à son extrémité. Il offre de fait, de multiples possibilités de divertissements..... Il y a également sous un treuil une cage cubique faite avec de gros barreaux d’acier, elle ne ressemble en rien à une cage à oiseau et l’impressionne. La table gynécologique qu’elle aperçoit ne ressemble elle non plus en rien à celles que l’on peut trouver en milieu hospitalier. A la place de l’appui-tête, se trouve un cube de bois ressemblant à un instrument de t o r t u r e du moyen-âge. Tous ces instruments l’émeuvent tout...
Désir d’entraves sévères 3
il y a 3 ans

Du BDSM psychologique avant de rentrer dans le physique

##### Alors qu’elle commence à se sentir bien dans son masochisme, le Maître décide de monter en pression sur sa domination et surtout, la soumission de Léa. - Non pas encore, la jouissance se mérite ! Lui indique le Maître en arrêtant le balancement. Tout en la faisant redescendre, il lui explique qu’une soumise doit laisser le Maître la prendre en charge et la guider. Elle doit accepter tout autant que désirer aller là où il veut la conduire et ne plus penser, ne plus vouloir contrôler. Léa râle intérieurement, s’il ne s’était pas arrêté elle allait sûrement parvenir à jouir, parvenir à cette jouissance BDSM qui fait tant planer, qui lamine tout sur son passage pour vous laisser à l’état de « légume ». - Une soumise doit être fière de la puissance intellectuelle qu’elle atteint pour pouvoir confier ses poignets aux entraves sans savoir si c’est pour souffrir, être exposée nue de la pire des façons, ou être simplement « abandonnée » sur une croix de Saint André ou une cage...
L'infirmière en bondage
il y a 3 ans

Fétichisme médical et bondage à l'hôpital

Ludo commença à exercer ici il y a à peu près un mois. C'est un docteur, âgé de 29 ans, d'une taille d'un mètre quatre-vingt, avec une chevelure sombre, et très belle. Il est tout ce qu'une fille pourrait vouloir, vif, drôle, et un beau morceau. N'importe comment, nous travaillons tous les deux de soirées, de treize heures à vingt deux heures. Quand la clinique ferme, il se passe des fois des choses intéressantes, mais c'est assez rare. Passé neuf heure, l'endroit est habituellement très calme. Si les patients ont le nez chargé, ou mal au ventre, ils attendent jusqu'au petit matin. De toute façon, il n'y a pas beaucoup de gens qui travaillent après huit heures. Il y a une semaine, nous étions seuls à passer le temps. L'autre docteur était parti tôt, et l'infirmière en chef me demandait si je pouvais aider Ludo à l'étage. Bien sûr, j'acceptais. Qui ne voudrait pas être pas seul avec un beau docteur ! Bien sur, après avoir verrouiller les portes et fermer l'accès en bas, Ludo comme...
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