Comment tout a commencé... J’avais pris contact avec un homme sur coco, bon feeling qui voulais bien me conduire à être un bon chien. Rendez-vous chez lui à 12h30, sortie de mon boulot. Sitôt la porte franchie il m'accueille en me montrant la salle de bain et me demande de me mettre à poil. A l'époque je n'avais aucun équipement de dog. Je m’exécute à mon retour il me fait me mettre à 4 pattes direct et le passe un collier relié à une laisse. Il me fait m'habituer à la situation et je déambule dans son salon, tenue en laisse ainsi par mon maître occasionnel. Ce dernier portant un tshirt et un jocktstrap en pvc, laissant deviner un beau paquet, comme je les aiment, grosse couilles, bite conséquente même en mi molle. Pas le temps de m'attarder sur cette vue qu'il ouvre la porte fenêtre et me fais me diriger dans son jardin. Premier coup de stress et les voisins ! Heureusement il s'agit d'un jardin clos avec murs assez haut je ne crains pas être vu par les quidams du lotissement....

Emilie attend depuis une demi-heure sur un petit parking en terre battue situé à l’orée d’une forêt. L’angoisse bloque sa respiration, et excitation augmente son rythme cardiaque. Tout a été très vite. Quelques jours auparavant, Emilie rencontrait Madame D. sur un forum Internet de domination et soumission pour lesbiennes. Les deux femmes choisirent une sortie en montagne le samedi suivant pour se rencontrer. Lors de leurs échanges virtuels, Emilie n’avait vu de Madame D. qu’une silhouette élancée aux courbes féminines. Si la rencontre se passait bien, Madame D. avait proposé de finir la soirée chez elle. Une tempête émotionnelle ravage Emilie à cet instant. Madame D. est-elle vraiment ce qu’elle prétend être ? Dans le cas contraire, elle pourra toujours repartir. D’un autre côté, elle sent une irrésistible envie de faire sa connaissance et son corollaire, la peur de se faire rejeter. Emilie n’en a pas dormit de la nuit. La température est encore fraîche en ce matin de juin dans...

Pour cette journée de vendredi, je m’étais rendu à Lyon pour une réunion avec un client. Ma journée de travail était terminée, et mon trajet de retour vers Paris s'annonçait tranquille. Pas de chance, mon siège était situé dans un carré. J’avais sorti mon portable pour me détendre le temps du voyage. Les portes sonnèrent et bientôt le train s’ébranla pour deux heures de trajet. Je regardais mes mails personnels et fus surpris d’y découvrir un message de Valérie. D’habitude, elle ne me contactait que les mercredis et vendredis matin. Le mail ne contenait qu’un objet mystérieux : « Corset or not corset, that’s the question ». Alors que le train quittait la gare de Lyon Part-Dieu, je méditais sur le pourquoi de ce mail et sur la réponse que je devais y apporter. Surpris par les exclamations discrètes de quelques hommes du wagon, je relevai les yeux de mon portable pour observer les nouveaux passagers qui terminaient d’entrer dans le wagon. C’est alors que je vis une magnifique femme à...

Pendant des années, j'ai joué à des jeux dans mon chalet de campagne sans être vu, puis un vendredi après-midi très pluvieux, c'est arrivé. Lors de mes jours de congé, j'aime m'habiller avec mes vêtements de fille, avec des vêtements de chasteté et des articles de bondage avec les clés enfermées dans une boîte à libération prolongée. La route qui longe mon chalet est connue pour être inondée après de fortes pluies et cette nuit-là, nous avons eu des averses constantes, donc le coin à quelques mètres de la route était bien sous l'eau. Quand c'est comme ça, la plupart des habitants savent qu'il ne faut pas l'utiliser, seuls les agriculteurs en tracteur ou les personnes avec des SUV à garde au sol élevée peuvent le faire. J'étais là, debout à la fenêtre de la cuisine, en train de faire la vaisselle quand une femme trempée et boueuse est arrivée en courant dans mon allée en direction de la porte arrière. Je n'ai pas eu le temps de me cacher, alors tout ce que j'ai pu faire, c'est...

La régression peut être un moyen de se découvrir Jean commençait à s’impatienter. Sophie aurait du rentrer depuis deux heure et elle n’était toujours pas là. Pas un SMS, rien. Enfin la porte s’ouvrit et Sophie entra toute pimpante. C’était une jolie femme de 30 ans, bien faites, élégante, et charmeuse. Elle était vêtue d’un corsage blanc dont les boutons relâchés laissaient apparaître le sillon naissant de sa poitrine. Une petite jupe plissée bleu marine, des bas noirs et ses escarpin à talons. Elle posa son sac et ses clés, allât ranger son manteau dans la penderie et revint vers Jean. A son air renfrogné elle vit que l’humeur n’était pas rose - Tout va bien mon chéri ? - Tu rentres avec 2 heurs de retard et tu me demandes s tout va bien. Qu’as tu fait de tout ce temps - Rien de spécial - 2 heures et rien, tu te moques de moi - Enfin pas grand-chose - 2 heures à faire pas grand-chose au lieu de rentrer, c’est un peu bizarre. Sophie commençait à se sentir mal à l’a...

Je m’appelle Julien, 28 ans, 1,85m, 75kg cheveux blonds légèrement bouclés et un corps parfaitement dessiné et musclé. Je travaille comme journaliste pour un grand magazine. Au bureau je suis comme un roi. Les filles sont toutes à mes pieds et j’ai les dents longues ce qui m’a permis de prendre rapidement des responsabilités et surtout de saisir les opportunités. J’avoue utiliser souvent mes charmes pour arriver à mes fins au détriment de certains collègues notamment Fred. Ce pauvre homme d’une 40ène d’années est insipide, timide, sans charisme et très seul au monde. Il n’a rien pour plaire avec son ventre bedonnant, son début de calvitie et pour parfaire le tout il est gay et très certainement puceau. Tous les jours je prends un malin plaisir pour le taquiner et l’humilier auprès de ses collègues. Un jour j’ai renversé sur lui du café sans le faire exprès, bien sûr ! Il a dû aller prendre une douche dans les vestiaires du boulot. J’en ai alors profité pour lui confisqué ses frin...

Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, j’y trouve une extraordinaire fascination pour la fessée. Une fascination d’autant plus incompréhensible que je n’en recevais pas. Qu’on ne m’en donnait pas. Ni à moi, ni à Clotilde, la fille de Marta, la seconde épouse de mon père. À nous, on ne nous en donnait pas, non. Jamais. Mais sur les autres, à l’extérieur, ça tombait comme giboulée en mars. Sur mes camarades de classe. Sur leurs frères. Sur leurs sœurs. Je le savais. Il s’en parlait. Je le voyais aussi : tous les garçons portaient alors des culottes courtes et j’apercevais souvent, sur les cuisses ou les mollets des uns ou des autres, des marques qui ne laissaient pas planer le moindre doute sur la nature de la punition qui leur avait été infligée. Et, dans les vestiaires du gymnase, quand on se changeait avant le cours d’éducation physique ou après, quand on en revenait, c’est souvent qu’il m’était donné d’entrevoir de grandes plaques rouges sur les pourtours des slips. 2-...

C’est. un jeu basé sur le principe des chaises musicales, mais évidemment beaucoup plus coquin. Il est réservé à des personnes initiées à l’échangisme ! Fabrice avait décidé, pour nos petites réunions échangistes mensuelles de pimenter un peu la situation Il avait donc décider de nous proposer un jeu qu’il avait appelé dans les invitations : Jeu des culottes musicales. Nous étions tous interloqués et les téléphones sonnaient en tous sens chacun proposant ce qu’il pensait de cette proposition. Quand le mercredi soir arriva nous nous réunîmes donc tous chez Fabrice bien curieux de savoir ce qu’il allait nous proposer. Nous ne fûmes pas déçus ! Il nous exposa donc son idée : « C’est un jeu ou les femmes vont mener la danse et pouvoir choisir librement leur partenaire pour la soirée » Exclamations ravies des femmes : « Enfin c’est à notre tour de choisir ! » « Je crois que je sais déjà ou ira mon choix ! » « La plus grosse ou la plus agile » « Attention » dit Fabrice,...

Je m'étais laissé entraîner par un ami à une soirée fessée organisée par son cousin Pierre. A l'arrivée on entrait dans une vaste pièce, des tables étaient rangées le long des murs laissant une place centrale libre qui pouvait être une piste de danse. A l'entrée vous pouviez vous déclarer « Fesseur » (badge rouge), « Fessée » (badge vert) ou simple « voyeur » (badge blanc) Les invités arrivaient par petits groupes et s'installaient autour des tables. On pouvait déjà distinguer, à leurs badges, les fesseurs, les fessées, et les voyeurs les plus nombreux. Pierre entra dans la salle et déclara la soirée ouverte. Les participants s'observaient, personne ne voulant prendre l'initiative de démarrer les « fesse tivités ». Pierre entra dans la salle et s'assit près du bar. Il scrutait les participants et tout particulièrement une jeune femme (badge vert) vêtue d'une robe légère au tissu fleuri qui tout en regardant ses chaussures jetait des coups d'œil furtifs dans sa direction. Dès que l...

L'été dernier, j'ai vécu une aventure que j'aimerais partager avec vous. C'est une histoire vraie, seuls les noms ont été changés. C'était déjà la quatrième nuit, et encore une fois je n'arrivais pas à dormir. Cette fichue chose me réveillait à chaque fois que je pouvais dormir un peu. Encore une fois, j'étais debout sur la terrasse arrière de ma maison. Il faisait noir à 1 heure du matin, je regardais la fenêtre de ma voisine. Espérant voir un signe de lumière ou ma voisine me faire signe de venir chez elle. Je m'appelle Marc, j'ai 34 ans, taille moyenne, poids moyen, rien de spécial. Sauf mon sombre désir d'être attaché sans défense, nu et utilisé par une femme comme elle le souhaite, peut-être un peu de t o r t u r e , peut-être un peu de plaisir... La raison pour laquelle je regarde la fenêtre de ma voisine au milieu de la nuit, c'est parce qu'elle a mes clés. Pas les clés de ma maison. Des petites clés, mais d'une grande importance, du moins pour moi. Cela ne semble pas...

Bonjour, j'écris sur ma séance de bondage que j'ai vécue récemment, eh bien, cela a commencé comme de l'auto-bondage mais s'est transformé en une affaire de toute la journée infléchie par ma femme. Tout d'abord, quelques informations sur les vêtements que j'ai choisi d'utiliser. J'ai fait fabriquer pour moi un très long manteau épais en duvet en Chine, c'est un peu comme du duvet mais artificiel, eh bien, je crois que ça s'appelle, doux comme du duvet mais beaucoup plus lourd. Ce manteau a une capuche complète et une fermeture éclair à clé YKK. Vient ensuite la cape en PVC pleine longueur de PVC-U-Like, c'est le PVC épais de couleur naturelle 250 micro. Je me permets également de porter des couches pour adultes de nuit et des pantalons en plastique taille haute. Nous nous adonnons également occasionnellement à une cage de chasteté en acier inoxydable, donc je l'ai également utilisée. En auto-bondage, je veux toujours sortir après avoir fait l'acte, en tant que travailleur indépen...

Jeff n'arrivait pas à croire combien de personnes se promenaient dans ces « combinaisons robotiques ». Cela doit être une personne sur deux , pensa-t-il en attendant que le feu passe au vert. Les combinaisons avaient explosé dans le public il y a quelques années, prétendant aider la personne dans la vie quotidienne, mais tout le monde savait que l'attrait était la façon dont elles pouvaient améliorer les orgasmes d'une personne. Les capteurs de la combinaison et les améliorations tactiles sur le porteur étaient légendaires ; ayant vu les résultats lui-même, il ne pouvait nier la façon dont les femmes qu'il connaissait réagissaient lorsque la combinaison les envoyait vers des orgasmes multiples. Les costumes étaient désormais monnaie courante et les gens les portaient 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, trouvant qu'ils étaient plus beaux et plus confortables avec. Plusieurs personnes de son bureau portaient leur costume presque tout le temps, et une femme avait choisi de changer de masq...