Soirée 2 : Loïc participe sous contrainte 21h00 — Préparation et montée en tension Maison prête. Rideaux fermés. Matelas recouvert d’une bâche noire, plus d’accessoires qu’à la première soirée : harnais multiples, ceinture de discipline, plugs de différentes tailles, vibros, cravache, gode ceinture, baillons. Caméra sur trépied. Loïc est nu, collier serré, cage retirée sur ordre de Rimon pour qu’il soit à nu et vulnérable. Sur sa peau des marques de feutre : « propriété » sur le torse, « soumis » sur les cuisses. Rimon l’a fait rester debout, mains derrière le dos, yeux baissés. Adam arrive, torse nu, jean ouvert, un sac de jouets à la main. Il salue Rimon, ignore Loïc. 21h15 — Début de la soirée Rimon ordonne à Loïc de ramper jusqu’à Adam. Adam commente d’une voix froide : « Bon petit chien. » Rimon sort un bâillon-anneau, l’enfonce dans la bouche de Loïc. Il reste agenouillé, bave déjà. Ses mains sont liées derrière le dos. Elle lui chuchote : « Ce soir, tu vas être utile....

Soirée 1 : premier cuckolding chez Rimon et Loïc Maison de banlieue, vendredi 21h. Loïc est nu dès l’arrivée de Adam. Cage de chasteté en place depuis le matin, nettoyée, huilée. À genoux dès que la sonnette sonne. Collier noir autour du cou, sans clochette. Adam entre. 29 ans, musclé sec, pas bavard. Il serre la main de Kelly, ignore volontairement Loïc au sol. Tout est déjà prêt : le salon a été vidé. Matelas par terre, cordes, pinces, harnais, baillons, plugs, lubrifiant, gants, désinfectant, serviettes. Lumière neutre, température réglée. Rimon donne les instructions. Elle garde les commandes. Loïc ne parlera pas. Il exécutera. Il observera. Il servira. Aucune contestation. Aucun regard direct vers Adam sans autorisation. Rimon inspecte Adam. Elle le fait se mettre torse nu. Le fait déshabiller lentement. Le jauge. Puis elle le baise longuement du regard, sans un mot. Elle le touche. Elle s’assure de sa réactivité. Il bande dur. Loïc est attaché sur une chaise, jambe...

Ce couple domina/soumis aimait fréquenter les clubs érotiques, mais jusque-là, leurs jeux de rôle restaient confinés à la sphère privée. En public, ils conservaient une façade de retenue. Pourtant, ce soir-là, Lisa, animée par une imagination délicieusement perverse, avait décidé de briser cette limite et d’imposer leurs rôles au grand jour. La pénombre du club érotique enveloppait tout comme un voile de soie, épaisse et sensuelle. Les lumières tamisées, teintées de rouge et de violet, dessinaient des ombres mouvantes sur les murs, tandis que des murmures étouffés et des rires cristallins se mêlaient aux basses sourdes de la musique. L’air était lourd, chargé de parfums envoûtants et de cette tension électrique qui précède toujours les plaisirs interdits. Au milieu de ce décor décadent, Lisa se tenait, droite et fière, comme une reine surveillant son royaume. Sa robe moulante, noire et fendue jusqu’à mi-cuisse, épousait chaque courbe de son corps, mettant en valeur ses hanches gé...

Toute première fois. Toute toute première fois. Il était là, debout dans mon entrée, le souffle court, le regard confus après plus de quatre heures de route pour me rejoindre ce week end, étudiant la question qu’il avait probablement autant espérée que redoutée. Dire qu’il y a trois minutes à peine on ne s’était jamais vus. Notre rencontre ? Un appel de TSM et Malicia nos Amis communs, qui se sont tapés un délire de m’appeler avec son téléphone quand il était en vacances chez eux au Gîte Fétichistes. Depuis on s’était appelé, on s’était échangé pas mal de sms, on connaissait nos envies de jeux, mais la rencontre était là maintenant, décidée en début de semaine. Soyons fous ! Lui le DL, soumis que risquait il après tout ? Comment aurait il pu imaginer que j’aie autant d’accessoires et que depuis quelques temps je me posais des questions sur la possibilité de tester l’autre côté des lanières du martinet ? « Est ce que tu veux être mon soumis ce week-end ? » Dix mots....

Je l’avais fait. Je l’avais mis ce collier... Le pire c’est que j’avais moi même scellé mon destin. La vis allen s’était cassée comme la tête du collier de serrage du tuyau de la bouteille de gaz... Ce qui veut dire que même si je le voulais, je ne pouvais pas le retirer. Une vague de frisson s’empara de mon corps. Pourtant, j’avais jusqu’à demain 18 heures pour le mettre ce collier !? Qu’est ce qui m’a prit de le mettre maintenant !? Une lumière dans ma tête clignota comme une alerte rouge... on était lundi... j’avais un rendez vous pro à midi... - Putain mais c’est pas possible d’être aussi con ! - m’emportais je en essayant de tirer sur le métal comme le damné que j’étais. Je regardais sur ma table de chevet ce contrat de plus de cent pages que je n’avais pas lu. CONTRAT DE SOUMISSION Entre Maîtresse Ds et soumis Laurent Je n’avais lu que la lettre de Ds. Je la repris et la relus encore... « Ma Petite Salope ! Je suis vraiment fière de toi et j’ai très e...

Note préliminaire : outre la mise en scène de fantasmes sexuels, j'ai essayé de fouiller un peu la psychologie des personnages, les relations et l'intrigue. N'hésitez pas à me donner votre avis. Ch. 1. KGB maternel Mme Lemoine range les sous-vêtements de sa fille dans le placard, à côté d’une pile de culottes en plastique et une autre de couches. Elle ressort, emmenant le panier de linge sale, et ferme la porte. Blandine est maintenant seule dans sa chambre. Elle pianote nerveusement sur le clavier de son ordinateur, apportant les dernières corrections à son mémoire : « Généalogie et mystères familiaux chez Julien Green ». Le commentaire de son directeur résonne encore dans sa tête : « Votre mémoire est remarquable, mademoiselle Lemoine. Vous semblez avoir une compréhension particulièrement fine des enjeux psychologiques que met en scène Green. » Un coup sec à la porte la fait sursauter. Sa mère entre sans attendre d’y être invitée. Blandine a beau lui faire la remarque à c...

« C’était mon voisin de palier. Il était célibataire et m’importunait chaque fois que je prenais l’ascenseur. Il me draguait. Moi, ça m’embêtait, il ne me plaisait pas et mon mari en avait marre de le voir tourner autour de moi. Un jour nous avions décidé de lui donner une leçon, nous l’avons invité chez nous pour diner. On l’a fait boire pas mal et quand il était complétement sou, on l’a déshabillé et on a pris des tas de photos. On l’a même sorti de l’appartement en le tenant par la main chacun d’un côté et on l’a trimbalé dans les couloirs et dans l’ascenseur en le prenant en photo. Il était très petit, avec un tout petit sexe et on aurait dit un enfant avec ses parents. Quand on l’a ramené dans l’appartement et que l’on a regardé les images, l’idée nous est venue de le faire chanter. On l’a enfermé dans les WC pour le faire dégriser et nous sommes allés nous coucher. Le lendemain, je suis allé préparer le petit-déjeuner. Je n’entendais aucun bruit, mon mari dormait encore et aucun...

Avant de commencer... C’est la première fois que je me lance dans l’écriture d’un récit comme celui-ci. Alors forcément, ce ne sera pas parfait, je le sais bien, mais j’ai mis tout mon cœur et tout ce que j’aime retrouver dans les histoires : de l’émotion, de la sensualité, un peu de trouble, et une vraie dynamique entre les personnages. L’histoire est assez longue, mais j’espère sincèrement qu’elle vous paraîtra immersive et suffisamment riche en détails pour vous permettre de ressentir, chapitre après chapitre, ce que j’ai essayé de transmettre à travers Laurent et Sophie. Merci d’avance à celles et ceux qui prendront le temps de lire cette création, c’était un vrai plaisir pour moi de l’écrire, et encore plus de pouvoir la partager ici. Je vous souhaite une excellente lecture. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Contexte : Laurent et Sophie avaient tous les deux trente ans. Marié...

3. Jonathan au travail, Sandra s’amuse Dans la chambre, Sandra raccrocha son mari à son anneau. Elle lui passa le dos de sa main sur la joue. -C’est bien, tu as été à la hauteur, je suis fière de toi. Et toi tu es content ? -Oui, si c’est ce que tu voulais, mais c’était difficile. -Oui, c’est ce que je veux et tu vas aller plus loin encore. Sandra ne pouvait s’empêcher de voir son mari avec le pénis de l’autre homme dans la bouche et cela la rendait « toute chose ». Elle n’arrivait pas à réaliser que son mari venait de sucer une bite et qu’il avait avalé tout le sperme. -Tu as aimé sa queue ? Réponds-moi franchement. -Au début, ça m’a fait drôle, mais après, j’ai trouvé que c’était doux. J’étais content de te satisfaire et aussi, …de lui donner du plaisir. Sandra l’observait, elle comprit que son mari était prêt à changer de vie. Elle se sentait responsable de l’évolution qu’elle allait lui faire subir. Elle se sentait très forte et investie de tous les pouvoirs vis-à...

Voulez-vous que je vous raconte comment je l’ai attrapé ? - Oui, j’aimerai bien. « Tout a commencé quand il venait à la maison voir mon fils. Il allait avoir vingt ans et mon fils dix-huit et les deux garçons fréquentaient le même lycée en classe de terminale. Il avait accumulé du retard dans sa scolarité à cause de redoublements pour le manque de résultats en classe. J’avais déjà remarqué qu’il avait l’air peureux et timide. Il était beau et je regardais son sexe chaque fois que je pouvais. Il portait toujours des jeans serrés et on devinait aisément sa queue et ses boules. Son sexe était gros, beaucoup plus que celui de mon fils. Avec son corps très mince, la queue paraissait encore plus grosse. Cela me faisait envie. Il devait remarquer que je l’observais souvent et que mes yeux se perdaient parfois vers son ventre. Un jour que je venais d’observer sa queue et que je relevais ma tête, mon regard croisa le sien. Je lui souris et lui, baissa les yeux. C’est à ce moment-là...

L’éducation de Lou -- J'ai écrit cette histoire il y a une quinzaine d'années. J'ai juste corrigé quelques fautes, laissant le texte original intact, avec ses maladresses, répétitions, lourdeurs... 1. Visite chez Jacqueline Jacqueline demanda qui voulait un café. Lou n’eut pas le temps de répondre. Éric, son mari, lui chuchota quelques mots à l’oreille. Elle sorti précipitamment de la pièce, semblant obéir à un ordre. Surprise, Jacqueline se retint de faire un commentaire… Elle finissait de servir le café quand Lou revint, hésitante, dans la salle à manger. Elle faillit verser à côté de la tasse de Éric quand elle la vit en… pyjama. Elle tenta de continuer comme si elle n’avait rien remarqué. Elle lui tendit une tasse de café. - Merci, fit Lou d’un ton presque inaudible. Jacqueline lui demanda si elle avait passé une bonne journée. Visiblement mal à l’aise, Lou répondit oui en hochant la tête. Éric, semblant venir au secours de Lou, expliqua alors qu’elle était gênée pour...

2. La salle de soins Elle fut avertie par téléphone de l’arrivée prochaine d’une gardienne pour prendre possession de son mâle. Une grosse femme africaine entra dans la chambre avec un petit sourire en regardant Jonathan. - Bonjou Mdam, il est prêt ? J’ l’emmène. - Oui, allez- y. Elle décrocha la laisse de l’anneau mural et le tira fermement derrière elle. Sandra ne lui jeta pas un seul regard et il se retrouva dans le couloir avec la femme. - Elle t’a mis ta cage, c’est dommage, j’aurais ben aimé voir ton zizi. Ce sra pour une aute fois, il faudra que j’t’essaye. Elle le conduisait dans le couloir sans rien dire et s’arrêta devant une petite porte qu’elle ouvrit en le poussant à l’intérieur. Au passage, elle lui pinça la fesse avec ses ongles qui firent une trace dans la peau blanche. - Tu attends qu’on vienne te cheché ! Elle referma la porte sur lui et il se retrouva dans un petit sas, entre deux portes fermées et capitonnées. Quand la porte s’ouvrit, Jonath...