Elle n’avait plus envie. Plus du tout. Depuis qu’elle était enceinte, pas question. - J’en suis pas. Et même… ça me répugne. Mais… et toi ? Je haussais les épaules. - Moi ? Ben, je fais avec. Il faut bien. - Tu vas aller voir ailleurs, alors, hein ? - Mais jamais de la vie, enfin ! - Ben, si ! Si ! Tu vas aller voir ailleurs. C’est obligé. Les hommes, ça peut pas s’en passer. Je jurais mes grands dieux que non, mais elle n’en croyait pas un mot. Et revenait constamment à la charge. - Tu vas me tromper. Même que, si ça tombe, c’est déjà fait. - N’importe quoi ! - Tu parles ! Avec toutes les nanas qui te gravitent autour, là-bas, au boulot. J’avais beau protester, elle n’en démordait pas. - Te fatigue pas, va ! C’est très vite devenu une obsession. - J’arrête pas d’y penser. De t’imaginer avec une autre. Ça me rend folle ! Elle soupirait. - Et dire que le toubib a été formel : dans l’intérêt du bébé, pas de stress. Pas de soucis. Pas d’anxi...

Es-tu prêt, mon garçon ? Oui Monsieur. Ne parlons plus. Nous en parlerons plus tard. Bien plus tard. Ouvre-toi. Le gros bâillon, habilement inséré et cadenassé derrière, rendait la commande précédente inutile. Il faisait également tendre ma bite déjà dure - ma réaction typique lorsqu'on lui met un bâillon. Il le savait bien. J'avais une vague idée de ce que cette journée allait nous apporter, nous avions discuté de nos fantasmes, de nos goûts, de nos dégoûts, de nos objectifs, etc. Et, au cours des derniers jours, j'avais été attachée dans de multiples scénarios, d'intensité variable, pendant des durées croissantes. Chaque scène jusqu'à présent avait exploré nos intérêts mutuels et lui avait donné plus d'idées à poursuivre. Il savait qu'au fond de moi en tant que soumise - plus c'est mieux. Plus de retenue, plus de sangles, plus de contrôle pris. Pourquoi utiliser une sangle quand on peut en utiliser trois - ou cinq ? En tant que dom, il aimait ma volonté d'aller plus en...

Nous voici donc Dimanche, et Maitresse S à décidé que finalement elle ne voulait pas de moi dans la chambre, elle m'as donc descendu et j'ai passé ma nuit dans la cage pour chien. Le jour se leva, et j'attendais avec impatience que ma Maitresse vienne me libéré. Toujours en chasteté, mes chevilles liée, mes mains menotté dans le dos je ne savais pas faire grand choses comme mouvement, surtout coincé dans cette cage. Enfin Maitresse S se leva, elle avait le cheveux mouillé, je compris donc qu'elle avait pris sa douche avant de descendre, surtout qu'elle est descendue complètement nue, voir toutes les courbes de son corps la silhouette de magnifique seins, c'est à ce moment que je me rend compte que j'étais toujours en chasteté car mon érections poussa fort celle-ci. Dans un premier temps, Maitresse S ne s'occupa pas de moi, elle déjeuna sans se préoccuper de moi, toujours dans ma cage. Une fois finit, elle vient vers moi toujours aussi nue, et mon excitation repartait de plus belle...

John était assis dans sa voiture, les nerfs en émoi, mêlés d'excitation et d'appréhension. Son téléphone vibra de nouveau et il ne put s'empêcher de sourire au message enjoué de Rachelle, qui déclencha en lui un frisson familier. « J'ai hâte de te voir ce soir, mon pote. Souviens-toi de ce que tu es censé porter sous tes vêtements. Retrouve-moi à l'hôtel, chambre 110. » Elle a ensuite envoyé une photo incroyable d'elle sur un lit d'hôtel en lingerie rouge moulante. John est immédiatement devenu dur dans sa ceinture de chasteté. D'un souffle calme, John ajusta sa chemise, conscient de la délicate dentelle de la lingerie rose et de l'étreinte ferme du dispositif de chasteté caché sous son pantalon. Chaque mouvement lui rappelait sa soumission aux désirs de Rachelle, le désir de lui faire plaisir animant chacune de ses actions. En sortant de sa voiture, John entra dans le hall de l’hôtel, conscient des regards curieux qui le suivaient. Il s’approcha de la réception d’un pas assur...

Lucas attendait avec impatience le barbecue de ce soir-là, une impulsion d’excitation le parcourant alors qu’il choisissait sa chemise et son pantalon les plus élégants, s’assurant que chaque détail était parfait. Il prit son temps, lissant soigneusement le tissu avant de chercher son eau de Cologne, dont l’odeur subtilement enivrante flottait dans l’air. Il savait qu’il devait faire bonne impression ce soir-là – après tout, Klara serait là. Klara était bien plus qu'un simple coup de foudre ; elle était une vision de la perfection aux yeux de Lukas. Sa beauté allemande était indéniable : des cheveux blonds et doux qui tombaient en cascade dans son dos, des yeux qui brillaient de chaleur et un sourire qui pouvait illuminer une pièce. Mais ce n'était pas seulement son apparence qui le captivait. Klara était l'incarnation de la gentillesse, sa nature douce et son âme bienveillante se reflétaient dans la façon dont elle prenait soin de chaque créature vivante. En tant que vétérinaire...

La venue de S S est une travestie très crédible qui postulait pour faire Sissy et ménage. Elle était convoquée pour son entretien d' embauche à 12h15 et est arrivée à l' heure. Son CV atteste de sa passion puisqu' elle a servi depuis 2001 chez plusieurs Maîtresses professionnelles à la fois comme bonne ménagère et également comme servante sexuelle fessée, fouettée sodomisée etc. Pour cela elle s' est formée, comme elle l' écrit sur le tas, mais aussi en consultant des sites de tâches ménagères et des tutos pour les services sexuels Son PROJET PROFESSIONNEL : Devenir une soubrette parfaite, docile soumise et très salope, prête à tout pour les service de son propriétaire ; Comme nous l' avions convenu, elle s' est changée dans une première pièce et s' est présentée à l' entretien en tenue de soubrette, tablier court sur une toute petite robe noire, maquillée et rouge à lèvres, bas résille noirs et chaussure talons hauts. Une jolie Sissy. J' ai vérifié qu' elle ét...

Je suis là, adossé au mur de notre petite “pièce secrète” depuis plusieurs minutes. Entièrement nu, les yeux bandés, je suis seul à attendre sagement. J’ai reçu l’ordre de ne pas bouger. J’écoute le moindre petit bruit pouvant m’indiquer à quelle sauce j’allais être mangé ce soir. Le bébé dort profondément, mes deux grands regardent la télé dans la salle à manger. La porte de la chambre parentale est verrouillée et la télé a été allumée uniquement pour dissimuler les éventuels mots crus qui me seraient destinés. Je suis dans le noir complet. La lumière est pourtant allumée dans la pièce mais le ruban de soie autour de ma tête est serré très fort et m’oblige à garder les yeux fermés. J'ai auparavant été informé qu’à partir de maintenant, Maîtresse ne rigole plus et que les choses seront faites exactement comme elle l’a décidé. Ce ruban qui d’habitude ne tient pas tout seul tellement elle avait peur de me faire mal en est la preuve. J’ai un esprit provocateur, beaucoup d’intuition...

Le matin arriva, la nuit était un peu compliquée avec les mains dans le dos mais cela en valait la peine, j'ai adoré cette sensation de soumission, d'obéissance et surtout d'appartenance à une maitresse. Ma meilleur amie était toujours endormie, tandis que moi, je ne pouvais qu'attendre qu'elle se réveille pour pouvoir être libéré de mes menottes et de la ceinture de chasteté. Mais ce ne fut pas bien grave puisque je n'ai pas pu arrêter de penser à cette nuit et à ce qu'il c'était passé dans la journée d'hier, ce qui n'as pas arrêter de me faire remplir la ceinture de chasteté et me frustré au plus au point. Ma Maitresse ce réveilla enfin, le temps de quelques étirements, elle traîna un moment sur son téléphone. Après quelques minutes, j'osa lui dire un bonjour tout timide ou gêné. - Bonjour Maitresse - Mon petit soumis, as tu bien dormi? - oui Maitresse - Fort bien, nous avons des choses à faire aujourd'hui. Elle se leva du lit, et vit vers moi pour me faire des caresses...

Je suis donc resté toute la semaine sous cage de chasteté car ma meilleure amie était repartie avec les clés de celle - ci. Je ne connaissais pas ma meilleure amie sous ce jour, j'ai découvert une véritable maitresse sadique qui sais comment torturer son esclave d'une façon à vous faire oublier l'être humain que vous êtes. Maitresse S était née! Mais bon dieu que j'adorais ça, être totalement dévoué à une maitresse et être soumis au point d'être un esclave sexuel. Je vous dis ça car, pendant cette fameuse semaine de chasteté, Maitresse S, m'envoyais une vidéo pornographique par jour, et je devais me filmer en train de la regarder et l'effet que cela faisais dans la cage pour lui prouver que je suivais ses ordres. Autant vous dire que la frustration pendant cette semaine fut grande, et je ne puis rien y faire. Vient enfin le vendredi, je l'attendais avec impatience, mais d'un autre côté j'étais anxieux à me demander ce qui allais ce passer le week-end. Ce fut le moment, j'ent...

Après une longue semaine difficile, je discute de mes soucis avec ma meilleur amies et c'est naturellement qu'on décide de se retrouver chez moi pour se changer un peu les idées. Finalement, elle me propose de passer le weekend ensemble et de rester à la maison. Aucun soucis pour moi, c'est ma meilleur amie on se connait depuis des années on est très fusionnel mais il ne se passera rien de plus entre nous, mais en revanche elle sais tout de moi, de mes selfbondage etc... d’ailleurs c'est ma personne de sécurité en cas de soucis. Bref, on décide de regarder un film, et la, madame décide de s'endormir, super, elle me propose qu'on passe du temps ensemble et elle dort pfff. Du coup sachant qu'elle savait pour le selfbondage, j'ai décidé de monter dans la chambre, descendre les clés devant elle avec un petit mot je suis attaché en haut vient me libérer quand tu seras réveillée. Je commençais donc à m'attacher solidement les jambes avec trois cordes, une pour les chevilles, une autre...

17 h je suis sur le parking, je descends de mon véhicule pour rejoindre la porte sud. Je le reconnais de loin il est là , assis sur un banc. Je m’assieds à côté de lui. Moi: « bonjour » Mr X : « bonjour comment vas tu ? » Je lui raconte ma semaine, et c’est avec une certaine fierté que je lui dit que je tiens le coup. Mr X: « c’est bien ! La première semaine est la plus dure, ça vas aller mieux maintenant. » J’espère vraiment qu’il dit vrai. Le maître sors de son sac à dos un sachet et me le donne. J’ouvre le sachet et y trouve un maillot de bain et une paire de lunette. Je ne comprend pas trop ! Mr X : « tu m’avait dit que tu nageais régulièrement, alors si on allait nager ? » Il se lève et commence a marcher vers la piscine qui est à 300m à pied. A ce moment précis je regrette d’avoir parlé de ça ! Je me lève également et le suit en accélérant le pas pour lui dire d’une voix inquiète « heu, la cage ?! » Mr X : « Quoi la cage ? » Moi: « j’ai toujours la cage...

Je suis entré dans le château et j'ai été émerveillé. L'extérieur ne ressemblait pas à un château. C'était innocent. Cela ressemblait à n'importe quelle autre habitation. Mais en entrant par la porte d'entrée, cela semblait toujours sans prétention. Deux ou trois marches plus haut, l'atmosphère devenait pesante. À chaque pas, des images de fantaisie, de désir, d'histoire et de rêves. Au deuxième palier, une collection d'objets métalliques qui pourraient retenir un éléphant. De lourdes attaches en acier. Inévitables. Glaçantes. Mais j'étais là pour donner des conseils. J'étais là pour aider Amanda Wildefyre, la légendaire Domme et propriétaire du Château Diabolica, avec une partie de mon expertise. Comme je sais qu'elle est très exigeante avec les gens qui entrent dans son espace, je lui ai demandé si j'étais habillée correctement. Elle m'a dit que je pouvais enfiler quelque chose de plus confortable et semblait avoir un œil sur ma combinaison violette brillante. Je l'ai enf...