Récits
Les voyeurs bien punis
il y a 2 ans

S’attaquer à un camp de scout est osé

Scouts toujours… prêts ! Nous habitions un petit village de l’Allier et, comme chaque année en Juillet, un camp de jeunes filles scoutes s’installa pour le mois dans un terrain boisé de la commune qui longe la rivière. Ces jeunes filles en uniforme, qui avaient entre 16 et 17 ans, intriguaient fortement les jeunes garçons que nous étions alors. Nous connaissions la région comme notre poche et savions en profiter en nous cachant sous la passerelle en bois qui menait à leur camp pour regarder sous leurs jupes kaki et constater que, si toutes portaient le même modèle de culotte en coton blanc, pour certaines d’entre elles il arrivait que de petites portions de fesses s’échappent de l’étoffe, et pour d’autres, que le coton marque dans l’entrejambe un léger sillon, ce qui excitait grandement notre curiosité. A d’autres moments, planqués dans les arbres, nous les observions sur leur lieu de campement. Elles avaient construit une douche en plein air le long de la rivière. Des p...
Si c’est lui, on va lui donner une bonne fessée !
il y a 2 ans

Confidences de jeunesse

Le verdict était tombé, annoncé de façon magistrale. Tout était dans ce « on », cette façon quelque peu désuète et qui ne manque pas de noblesse d’employer la troisième personne. Cela confère une certaine supériorité et laisse dans cette situation entendre que la fessée ne sera pas une réaction personnelle mais plutôt un dû, un dû collectif. C’était très clairement articulé et presque chanté, d’une voix devenue vive, un « bôoneu » accentué à la méridionale. C’était peut-être ses origines à cette maîtresse de maternelle ? Je la perçois dans mes souvenirs comme jeune, pimpante, dynamique, et attachée à ses élèves. Attachante et maternelle; une mère en quelque sorte, mais moins « reine mère » que la mère biologique. Je dirais plutôt une seconde maman qui savait plein de choses et aimait nous en faire profiter. Maternelle ? C’était justement à l’école maternelle, avant les six ans et avant cette « terrible fessée » du CE2 que j’ai déjà relatée. « Bonne », c’était sa façon à ell...
Spanking day (1)
il y a 2 ans

C'est maintenant ou jamais.

- Il se passe quoi au juste ? Coralie a pris un air étonné. - Mais rien ! Qu’est-ce tu veux qu’il se passe ? - Je sais pas. Il y a toute une agitation, là. Ça s’affaire. Ça court dans tous les sens. De bureau en bureau. Magda se promène partout avec des listes. Elle fait une collecte ? Quelqu’un se marie ? - Pas du tout, non. Non. Disons qu’on prépare le Spanking Day de mercredi prochain. - Qu’est-ce c’est que ça ? - Le jour de la fessée. Tous les ans, le 8 août, c’est le jour de la fessée. - Ah ! Jamais entendu causer. Et ça consiste en quoi ? - Tu te doutes bien, non ? - Je sais pas, moi ! À se mettre des fessées ? - Voilà, oui. - Et vous allez faire ça ici ? Dans la boîte ? Elle a éclaté de rire. - Ah, non ! Sûrement pas, non ! Il y a pas de risque. On se retrouve ailleurs. Dehors. Avec d’autres gens. - Et pourquoi personne m’en a parlé de tout ça à moi ? - À toi ? Mais… - Mais quoi ? Je suis la coincée de service, c’est ça ? Et je suis partie furieuse. J’...
Prisonnier des Cythriennes (14)
il y a 2 ans

Piégé!

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Germie hoche la tête. - Elles t’ont tendu un piège. Et t’as sauté dedans. À pieds joints. - Le moyen de faire autrement ? - Je sais bien, oui. T’avais pas le choix. Sauf que maintenant, Korka, pour toi, c’est mort. Vassilène s’est ouvert un boulevard. Il ne lui reste plus qu’à faire en sorte que, ce week-end, tes résultats soient catastrophiques. Et c’est dans la poche. Dans quinze jours, tu es à elle. Sauf imprévu, bien entendu… Et il m’adresse un discret sourire entendu. Des vivats retentissent soudain dans le couloir. Des applaudissements. Des cris de joie. - Deuxièmes ! Les filles ont fait deuxièmes ! On rejoint les autres, agglutinés autour de l’entraîneuse en chef. - Oui. Deuxièmes. Juste derrière celles de l’amarillon quatre. - Et de douze points seulement il s’en faut. - Oh, ça se rattrape douze points. Et on va les rattraper. C’est moi qui vous le dis ! - On va gagner ! Pour l’am...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 49 : Hurlements intérieurs
il y a 2 ans

La qualité d’un engrenage ne se teste réellement qu’au-delà de son couple maximal d’utilisation.

Chapitre 49 : Hurlements intérieurs Elle frappa cette fois de toutes ses forces, me faisant lâcher mon premier cri, mais surtout brisant sa canne en deux qui en couvrit le bruit. Je sentis même une écharde m’entrer dans la cuisse. Les trois maîtresses se regardèrent, en tous cas, je ne pouvais confirmer que pour les deux qui me faisaient face. Cela ne devait pas s’être produit auparavant, à la vue de leur air consterné. - Que dois-je faire ? me demanda Maîtresse Diane, se reprenant. - Prendre une canne plus épaisse, maîtresse, lui répondis-je avec arrogance. - Oui, et quoi d’autre ? Je réfléchis deux secondes. - Reprendre le compte à zéro, lui offris-je. Il serait malséant qu’un vice de matériel ne vous octroie que deux demi-séries, récitai-je en articulant chaque syllabe. - Ton soumis est merveilleux, dit-elle en tapant à nouveau dans ses mains. Elle me massa à nouveau le fessier endolori de sa main libre. - Faut que tu le partages, ajouta-t-elle, me conv...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 48 : Sadisme
il y a 2 ans

Un engrenage résistant acceptera d’être stimulé hors de ses limites, tant que cela ne dure pas trop longtemps

Chapitre 48 : Sadisme Ladyscar ne voulait pas être en reste et, pour ces cinq derniers coups, elle revint de l’étagère d’exposition avec un câble électrique. Maîtresse Diane, regardant coup sur coup le câble et le fouet, regrettait déjà son choix qu’elle jugeait probablement un peu conventionnel ou pas assez sadique. - Pour Nathan, dit Lady Christine, cinq coups de canne à l’arrière des cuisses et les cinq coups de câble sur le ventre. - Pour Ben, ajouta Maîtresse Diane, il recevra les cinq coups de fouets sur le dos et ceux des câbles sur les fesses. - Pour mon soumis, poursuivit Ladyscar, le fouet dans le dos également, et les coups de canne à l’arrière des cuisses. Au vu du jeu de cartes des emplacements d’anatomie humaine, comprenant plusieurs lieus dans les zones génitales, je soupçonnais que nos maîtresses tenaient secrètement à nous. Elles décidèrent ensuite de procéder soumis par soumis, plutôt que maîtresse par maîtresse et comme ma position convenait toujours a...
Prisonnier des Cythriennes (12)
il y a 2 ans

Tenter de prendre la fuite?

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Je m’effondre sur mon lit. Germie me jette un regard effaré. - Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que t’as ? T’es complètement décomposé. - Laisse-moi, s’il te plaît ! Laisse-moi ! - Sûrement pas, non ! Il s’approche, s’assied à mes côtés, me pose une main sur le ventre, me le caresse du bout du pouce. - Vide ton sac, va ! Ça te fera du bien. Il descend plus bas. - Non ? Tu crois pas ? Encore plus bas. Il m’effleure la queue, s’en éloigne, y revient, me la fait dresser. Je m’abandonne. Germie est orfèvre en la matière. Il n’a pas son pareil pour donner du plaisir avec les doigts. Je ferme les yeux. Il me fait surgir, s’allonge à mes côtés. - Là ! Ça va mieux ? Eh bien, raconte maintenant ! Et tout sort. D’un coup. En vrac. Vassilène. Guizwa. La fille qui veut que je l’engrosse. Korka. Xarma. Les types sous la tonnelle qui n’en sont plus. Tout. - T’es dans de sacrés beaux draps...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 45 : Donjon, scène deux
il y a 2 ans

Même entre deux utilisations, un engrenage travaille ; la gravité, les tensions, les efforts résiduels le fatiguent.

Chapitre 45 : Donjon, scène deux - Tirons au sort avant. Nous n’aurons peut-être pas à tous les détacher, proposa la pragmatique Lady Christine, alors que je cherchais encore ce qui nous attendait. Ma maîtresse n’avait pas dit un mot depuis le début de la précédente activité. - Nous avons à nouveau quatre tirages, le soumis, l’objet, l’endroit et le nombre, précisa Maîtresse Diane que le hasard amusait, excitée probablement par ces jeux qu’elle avait préparés. - Pour l’objet et l’endroit, je propose qu’on ne fasse pas de présélection, dit Lady Christine. En revanche pour le nombre, je ne veux pas entendre cinq ou dix. Nous devons être intraitables. Nos soumis nous ont tous déçus. Ils ont été mauvais ce soir. Ben n’a pas donner satisfaction à Ladyscar. Nathan s’est trouvé mal, probablement les conséquences d’une vie malsaine de malbouffe et de tabac et le nouveau a tendance à être sarcastique, il n’écoute pas et renverse du vin sur la robe de notre hôtesse. Je voulais rép...
Prisonnier des Cythriennes (11)
il y a 2 ans

Les menaces se précisent.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Germie veut savoir. - Tu sors d’où ? - Je n’en ai pas la moindre idée. - Tu te fiches de moi ? On t’emmène. Tout le monde se demande où t’es passé. On te ramène six heures après. Et toi tu me viens dire, la bouche en cœur, que tu sais pas où t’étais ? Prends-moi bien pour un imbécile ! Je n’ai pas le temps d’inventer une explication plausible. Qui ménage les susceptibilités. Qui ne porte pas les jalousies des uns et des autres à incandescence. Parce que deux autres gardiennes surgissent. - Amène-toi ! Allez, grouille ! Ce n’est pas la route qui mène chez Korka. On se dirige plus au sud. - Vous m’emmenez où ? - Tu verras bien. Ferme-la ! C’est encore plus cossu que de l’autre côté. Une succession de gigantesques villas enchâssées dans des parcs immenses. On roule. Longtemps. Une grille. Qui s’ouvre devant nous. Les gardiennes m’abandonnent à l’entrée d’une allée. - C’est là-bas. En face...
mon 1er jour d'esclave
il y a 2 ans

un an de ma vie

Une fois Il a bien longtemps, je ne mettais pas très bien conduit avec ma compagne Sophie, qui avait décide de me virer de sa maison, j’avais 34 ans et elle 44 et nous étions perdu en Auvergne dans une ferme desservi par les corbeaux, elle tresse de l’osier et du jonc paniers, bijoux, batteur a tapis dont mes fesses feront plus tard une brûlante rencontre ! Mon sac devant la porte, j’essaie une dernière manœuvre, alors à genoux, je l’avais supplier de faire de moi, son esclave ! Soph me dit « tu es sur de toi là? car je suis assez furax et j’ai très envie de te mettre une branlée!!! … et, rien ne m’empêche de te renvoyer a Montparnasse après! Même pas, c’est toi qui va me demander de te renvoyer à Montparnasse pour que j’arrête de battre ton cul!!! » je lui dit un « oui!?! » pas très assuré en serrant les fesses et ayant un début d’érection « A poil, si tu es sur de toi, mais tu vas déguster, parce je vais vraiment te punir, tu pourras plus t’asseoir, au...
Prisonnier des Cythriennes (9)
il y a 2 ans

Une évasion qui coûte cher ... à ceux qui ne l'ont pas faite.

Je suis brutalement tiré de mon sommeil par tout un remue-ménage au cœur de la nuit. Des cris. Des hurlements. Des claquements de fouet. Alrich se redresse sur son lit, allume. - Qu’est-ce qu’il se passe ? - Qu’est-ce que tu veux que j’en sache ? Ça se rapproche. - Sortez ! Sortez des cellules ! Les mains sur la tête. Allez ! Se rapproche encore. - Elles ont l’air furieuses. - Elles ont pas l’air. Elles le sont. Elles font brutalement irruption dans notre cellule. - Debout ! Et on se dépêche ! Dehors ! Elles nous gratifient, au passage, l’un et l’autre, d’une bonne cinglée sur les cuisses. - Vous restez là. Vous bougez pas. Près de la porte. Mains sur la tête. Comme les autres. Comme tous les autres. On les entend s’activer à l’intérieur. Vider sans ménagement les placards. Renverser les lits. - Mais qu’est-ce qu’elles cherchent ? Alrich a un haussement d’épaules d’ignorance désabusée. On nous rassemble au bout du couloir. - Allez, en route...
Prisonnier des Cythriennes (8)
il y a 2 ans

Logés, elles et eux, à la même enseigne

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Du plus loin qu’elles m’aperçoivent, Varine et Marla se précipitent à ma rencontre. - Ah, te v’là ! On commençait à se dire que tu viendrais pas. Les gardiennes font claquer leurs fouets. - Oh, on se calme, sinon… Nous repoussent, à petits coups de lanière sur les mollets, jusqu’à l’entrée de la salle de classe. Les yeux de Marla plongent dans les miens. - Comment on y a pensé à toi ! Si tu savais… Glissent le long de mon torse, descendent. Varine confirme. - C’est tout le temps qu’on parle de toi. Sans arrêt. Dès qu’on peut. Leurs regards vont et viennent sur moi. Partout. S’accrochent ici. S’attardent là. Me dévorent à qui mieux mieux. Je me repais d’elles, moi aussi, tout mon saoul. De la brune. De la blonde. Ouvertement. Avec délectation. Marla soupire. - C’est de la torture ! Parce qu’attends, ça fait des mois et des mois qu’on n’a pas vu un mec. Même de loin. C’est tout ju...
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