Récits
Fessées suivantes
il y a 2 ans

Quand on y a goûté, on a envie d'y revenir

Après cette première expérience très marquante et très euphorisante, j'avais très envie d'offrir mon postérieur à sa main sévère.... le divorce devait avoir lieu, Mais j'avais quand même très envie de regouter aux joies de la fessée. Ma future ex épouse m'a donné quelques fessées, dont deux m'ont laissés des souvenirs La première a eu lieu à mon travail, il fallait faire des photos de documents pour le dossier, le photocopieur du boulot étant le meilleure solution et ayant l'accès aux locaux en dehors des horaires de travail, je lui ai proposé de nous retrouver le samedi matin pour être tranquille. J'étais devant le photocopieur occupé à passer les feuilles quand elle me dit : tu portes quoi sous ton pantalon ? je portais un string noir et je lui ai dit, ses mains se sont glissées autour de mes hanches, elle a défait ma ceinture, mon bouton de pantalon baissé la fermeture éclair.... je n'osais plus bouger Ses mains ont attrapé mon pantalon et elle l'a fait descendre so...
Prisonnier des Cythriennes (3)
il y a 2 ans

Nouvelle vie. Sous la contrainte.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) La voix d’Alrich me parvient de très loin comme assourdie. D’au-delà du sommeil. - Hervain ! Réveille-toi, bon sang ! Lève-toi ! Il insiste, me secoue tant et plus. - C’est Alvita et Parveille, les gardiennes ce matin. Et si elles te trouvent encore au lit. Allez, debout ! Oh, et puis zut ! Tu fais bien comme tu veux. Les couvertures brusquement arrachées. Rabattues jusqu’au pied du lit. Les deux gardiennes. Leurs cravaches s’abattent à pleines cuisses. Je me retourne sur le ventre. Ça continue à cingler. Je crie. Ça ne s’arrête pas. Une quinzaine de coups. Une vingtaine. Des mots que je ne comprends pas. Un répit. Je me jette hors du lit. Encore des mots. Elles sont furieuses. Elles me tournent le dos. Elles s’en vont. - Je t’avais prévenu… - Qu’est-ce qu’elles racontaient dans leur charabia ? - Que quand c’est l’heure, c’est l’heure. Que là, c’était juste un échantillon, mais que la prochaine f...
Première vraie fessée
il y a 2 ans

Il n'est jamais trop tard pour débuter et votre partenaire peut toujours vous surprendre

J'ai toujours aimé les culottes féminines, j'ai été marié pendant 20 ans, mon épouse ne voulait pas entendre parler ni de mon goût pour les petites culottes ni de mon envie de recevoir la fessée. Il y a 15 ans maintenant je l'ai quittée pour pleins de raisons dont celles-ci....c'était au début du mois de juillet, la situation semblant bloquée j'ai pris contact avec un avocat et fait une demande de divorce. Le premier samedi du mois d'octobre elle m'a envoyé un message en me disant qu'elle venait de recevoir la demande de divorce et qu'elle était très énervée et très fâchée que je ne l'ai pas prévenue. Je lui ai répondu que si elle était fâchée, elle n'avait qu'à me donner la fessée pour me le faire payer. J'étais sûr que cela allait clore la discussion mais à ma grande surprise elle m'a répondu qu'elle allait me donner une bonne fessée et que j'allais m'en souvenir. Elle m'a dit qu'elle viendrait le lendemain soir pour me donner la fessée. J'étais partagé entre le doute (vi...
Prisonnier des Cythriennes (2)
il y a 2 ans

Contre mauvaise fortune...

- Bienvenue à bord. Fais comme chez toi ! Un colosse dans la cellule, allongé nu sur son lit. Un colosse qui me considère d’un œil amusé. - Salut ! Moi, c’est Alrich. T’as l’air complètement paumé, dis donc ! Normal au début. Mais on s’y fait, tu verras. On s’y fait vite. De toute façon, on n’a pas le choix. Bon, mais installe-toi ! Reste pas planté là. C’est l’autre, ton lit. Forcément. Il y en a que deux. Et ton placard, c’est celui à gauche de la fenêtre. T’as tout un tas de trucs dedans : des vêtements, ce qu’il faut pour se laver ; et même des médicaments… T’as plus qu’à prendre tes marques. Ça surprend, hein ? - Quoi donc ? - Ben, de se faire dérouiller comme ça, à peine arrivé. - J’ai pas compris. Qu’est-ce qu’elles me reprochaient ? - Oh, mais rien du tout ! Non. C’est juste que les petits nouveaux, elles leur donnent, d’entrée de jeu, un échantillon gratuit de ce qui les attend si, d’aventure, il leur prenait l’envie de jouer les fortes têtes. Avertissement sans frais....
Premières expériences et engrenages : Chapitre 15 Maitresse et novices
il y a 2 ans

Toujours attaché, le jeune garçon se trouve aux prises de jeunes étudiantes, novices dans l'art du BDSM, que Ladyscar lui a envoyées.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 15 : Maitresse et novices. - Retournez-le face à moi, ordonna Ladyscar avec une voix toujours engoncée, bâillonnée, comme si elle avait un tissu devant la bouche. Une nouvelle boule de neige me frappa les fesses, accompagnée du rire enfantin de Nathalie. - Tu peux approcher, lui demanda Ladyscar tandis que Valérie me tordait le bras pour me faire me retourner. - Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle. - Une cage de chasteté. Cela empêche les hommes de bander, de se branler ou de copuler, et cela leur fait du mal s’ils essayent. Valérie attrapa la cage et la tira vers elle comme si c’était le seul moyen de la voir de plus près. - C’est ça que tu avais en cours cet après-midi ! Je ne répondis pas. D’ailleurs ce n’était pas une question. Sa main descendit sur mes couilles et les serra. Si c’était pour me faire mal, c’était raté, elle ne serrait pas assez. C’était juste excitant. Ma bite gonfla entre les barres d...
Prisonnier des Cythriennes
il y a 2 ans

Un petit tour dans le futur...

Deux femmes au bord de la route. Deux femmes dont les mains se lèvent simultanément dans ma direction, quand je passe à leur hauteur. Qui pointent vers moi quelque chose de rouge et de sphérique. Quelque chose qui me force à m’arrêter. Mes jambes ne m’obéissent plus. Mes bras ne m’obéissent plus. Impossible de bouger la tête. Elles s’approchent. Tout près. Débouchent un flacon dont elles me font respirer le contenu. Tout chavire. Je perds connaissance… Quand je reviens à moi, je suis dans un camion qui roule à vive allure, assis, entravé, au beau milieu d’une douzaine de compagnons d’infortune que les cahots de la route projettent les uns contre les autres. - Qu’est-ce que je fais là ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Où on va ? Mon voisin hausse les épaules. - On est prisonniers. - Prisonniers ? Mais de qui ? - Des Cythriens. Ou plutôt des Cythriennes. Ce sont elles qui ont le pouvoir là-bas. - Mais pourquoi ? Qu’est-ce qu’on a fait ? Qu’est-ce qu’elles nous veulent ? - Ell...
Pauvre Michael
il y a 2 ans

Il découvre le plaisir d’assister à une fessée déculottée

A 12 ans, Michael était un garçon étonnant tant par sa jolie frimousse semée de taches de son que par la vigueur de son corps élancé et la vivacité de son esprit. Il était Américain mais parlait couramment le français grâce à sa mère, française d’origine. Ses parents venaient de s’installer en région parisienne, mandatés pour une mission diplomatique ou militaire. Entré au cours du premier trimestre dans mon collège, il n’avait eu aucune peine à s’intégrer parmi nous comme de se plier au strict régime de discipline qui régissait quotidiennement la vie de tous les élèves. Dirigée d’une main de fer par la directrice, cette institution privée continuait à prôner et à mettre à l’honneur, dans les années qui suivaient la 2ème Guerre Mondiale, l’usage des châtiments corporels dans l’éducation des e n f a n t s et des a d o l e s c e n t s. Nos professeurs, rien que des femmes ou plutôt des « demoiselles », disposaient à leur gré de toute une panoplie de punitions et de pénitences p...
L'avocat véreux régressé 1
il y a 2 ans

Un avocat macho et méchant transformé en bébé va vivre un enfer psychologique aux côtés de deux femmes.

Paul est un véritable coureur de jupons particulièrement irrespectueux de ses proies qu’il malmène autant moralement que physiquement. Lors de la préparation de son divorce, ce brillant avocat s’est défoulé dans la perversité au point de vouloir laisser son ex-femme sur la paille, couverte de dettes et dans un état psychologique nécessitant une psychothérapie. Plusieurs de ses conquêtes furent à deux doigts de porter plainte pour agression mais s’attaquer à un avocat brillant et aussi prévoyant est aussi aisé que de vouloir s’attaquer à une falaise avec une cuillère à gâteau. Du haut des cieux, la Déesse mère décide d’intervenir pour qu’il cesse de broyer des femmes et parfois même des couples. En l’observant pour préparer sa stratégie, l’Elfe Jeanne a été particulièrement horrifiée lorsque comme une bête il s’acharna sexuellement sur une fille-mère désirant faire une « pause » pour aller allaiter son bébé. Il criait dans la chambre à côté de celle de leurs ébats. Cet être abjec...
L'avocat véreux régressé 2
il y a 2 ans

Régression, fessée, féminisation et cocufiage, cela devient hard

Paul n’a pas d’autre choix que de s’habituer à sa nouvelle vie, à cette adultolance involontaire. Il arrive à présent à jouer avec son petit robinet quand sa mamam / ex femme ne le voit pas. Le résultat de ces jeux ne donne pas les effets espérés, s’il a des érections, il ne parvient jamais à l’heureuse conclusion. Il n’y a pas que lui que la sexualité travaille. Laura commence à manquer de masculinité le soir dans son lit. Elle en a pris conscience quand une nuit, Paul, qui dormait avec elle, a réussi à aller la toucher entre ses jambes. Ne s’étant pas réellement réveillée, elle s’était laissée caresser et ce n’est que quand elle avait voulu guider la main masculine, qu’elle s’était réveillée. Soudainement gênée, elle avait repoussé cette main enfantine puis, pour vérifier qu’elle ne rêvait pas, Laura avait glissé ses doigts dans la couche de Paul. Son bébé, ex mari, avait une érection ! Il était bien conscient de ce qu’il faisait ! Depuis cette nuit là, il est enfermé dans so...
Souvenirs d’une éducation à l’ancienne
il y a 2 ans

Les fessées de sa jeunesse

Je suis né en 1989. À cette date, même si la fessée souffrait déjà des théories sur l’éducation « positive », on n’avait pas encore atteint la surenchère de ces dernières années où un père de famille s’est vu condamné pour avoir donné une fessée déculottée à son fils de 9 ans. Chez moi, mes parents pouvaient être considérés comme les tenants de la vieille école avec des idées arrêtées sur les principes d’éducation convenant aux e n f a n t s. Je puis affirmer que j’ai eu la chance d’avoir une famille très aimante et attentive à mon bien-être, ce qui ne l’empêchait nullement d’être stricte et d’exiger le respect et l’obéissance aussi bien à la maison qu’à l’extérieur, à l’école par exemple, et de me punir à bon escient quand il le fallait, en cas de fautes avérées. Pour eux, une vraie sanction devait être rapide et efficace, un châtiment corporel étant de loin préférable à un long sermon ou à des restrictions et privations de longue durée qui n’avaient plus aucun sens en raison pr...
Voler fait mal aux fesses
il y a 2 ans

Rien de tel que la fessée pour remettre dans le droit chemin

Il y a des âges où la fessée s’avère être la punition idéale pour rentrer dans le droit chemin avant qu’il ne soit trop tard. Cette leçon, fort douloureuse sur l’instant, me fut donnée à temps. E n f a n t , j’étais un élève relativement sage à l’école, mais j’avais un gros défaut : le mensonge. Un jour, en classe de 7ème, j’avais prétexté un léger mal de tête pour demander à la maîtresse la permission de ne pas aller en récréation. En fait, il faisait froid dehors et je préférais rester bien au chaud à l’intérieur. Et c’est là que mon petit démon familier se mit à titiller ma curiosité. « Dis-moi, Jean Phi, qu’est ce que la maîtresse cache dans le tiroir de son bureau ? Allez, va vite jeter un coup d’œil ! » me susurrait-il jusqu’à ce que je lui obéisse. Désormais seul, j’en profitai pour m’approcher en catimini du tiroir et l’ouvrir. Sans trop m’en étonner, j’entrevis la règle avec laquelle elle cinglait les mains ou les cuisses des punis, mais surtout, un billet de 50 fran...
Féministes et fesseuses de mère en fille
il y a 2 ans

Déculotter et fesser, une tradition familiale

- J’ai de qui tenir ! maman adorait fesser. Mais, les garçons surtout. Par chance, elle en avait un, mon aîné de trois ans. Il faut vous dire d’abord et ceci explique tout, peut-être, que maman était une féministe convaincue. Restée veuve après quatre ans de mariage, elle n’avait pas voulu se remarier, bien qu’elle eût été demandée plus d’une fois. C’est qu’elle n’avait pas été heureuse et sa première expérience ne l’incitait pas à recommencer. Mon père était, paraît-il, un coureur et s’il n’avait pas trouvé la m o r t dans l’accident du métro, en 1908, cela aurait tourné mal. Dans les affaires, ayant une belle situation, il lui laissait de quoi vivre et nous élever. Maman avait de l’instruction et s’occupait activement de politique et surtout de revendications féminines. Elle fréquentait certains groupements et assistait aux réunions, aux meetings prenant parfois la parole avec une énergie passionnée. C’était une grande femme châtain foncé. Je tiens mon blond de papa. Devanç...
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