Récits
Souvenirs d’une éducation à l’ancienne
il y a 2 ans

Les fessées de sa jeunesse

Je suis né en 1989. À cette date, même si la fessée souffrait déjà des théories sur l’éducation « positive », on n’avait pas encore atteint la surenchère de ces dernières années où un père de famille s’est vu condamné pour avoir donné une fessée déculottée à son fils de 9 ans. Chez moi, mes parents pouvaient être considérés comme les tenants de la vieille école avec des idées arrêtées sur les principes d’éducation convenant aux e n f a n t s. Je puis affirmer que j’ai eu la chance d’avoir une famille très aimante et attentive à mon bien-être, ce qui ne l’empêchait nullement d’être stricte et d’exiger le respect et l’obéissance aussi bien à la maison qu’à l’extérieur, à l’école par exemple, et de me punir à bon escient quand il le fallait, en cas de fautes avérées. Pour eux, une vraie sanction devait être rapide et efficace, un châtiment corporel étant de loin préférable à un long sermon ou à des restrictions et privations de longue durée qui n’avaient plus aucun sens en raison pr...
Voler fait mal aux fesses
il y a 2 ans

Rien de tel que la fessée pour remettre dans le droit chemin

Il y a des âges où la fessée s’avère être la punition idéale pour rentrer dans le droit chemin avant qu’il ne soit trop tard. Cette leçon, fort douloureuse sur l’instant, me fut donnée à temps. E n f a n t , j’étais un élève relativement sage à l’école, mais j’avais un gros défaut : le mensonge. Un jour, en classe de 7ème, j’avais prétexté un léger mal de tête pour demander à la maîtresse la permission de ne pas aller en récréation. En fait, il faisait froid dehors et je préférais rester bien au chaud à l’intérieur. Et c’est là que mon petit démon familier se mit à titiller ma curiosité. « Dis-moi, Jean Phi, qu’est ce que la maîtresse cache dans le tiroir de son bureau ? Allez, va vite jeter un coup d’œil ! » me susurrait-il jusqu’à ce que je lui obéisse. Désormais seul, j’en profitai pour m’approcher en catimini du tiroir et l’ouvrir. Sans trop m’en étonner, j’entrevis la règle avec laquelle elle cinglait les mains ou les cuisses des punis, mais surtout, un billet de 50 fran...
Féministes et fesseuses de mère en fille
il y a 2 ans

Déculotter et fesser, une tradition familiale

- J’ai de qui tenir ! maman adorait fesser. Mais, les garçons surtout. Par chance, elle en avait un, mon aîné de trois ans. Il faut vous dire d’abord et ceci explique tout, peut-être, que maman était une féministe convaincue. Restée veuve après quatre ans de mariage, elle n’avait pas voulu se remarier, bien qu’elle eût été demandée plus d’une fois. C’est qu’elle n’avait pas été heureuse et sa première expérience ne l’incitait pas à recommencer. Mon père était, paraît-il, un coureur et s’il n’avait pas trouvé la m o r t dans l’accident du métro, en 1908, cela aurait tourné mal. Dans les affaires, ayant une belle situation, il lui laissait de quoi vivre et nous élever. Maman avait de l’instruction et s’occupait activement de politique et surtout de revendications féminines. Elle fréquentait certains groupements et assistait aux réunions, aux meetings prenant parfois la parole avec une énergie passionnée. C’était une grande femme châtain foncé. Je tiens mon blond de papa. Devanç...
Où tout a commencé pour moi
il y a 2 ans

Les confidences d’un homme fessé dans sa jeunesse et qui.....

À l’âge de douze ans, je quittai ma région natale pour aller habiter à E…, non loin de Paris. Je cherchai naturellement à me faire des copains, et, sur les indications de collègues de mon père, je liai connaissance avec le garçon de la maison du garde-barrière. Il n’y avait plus de garde-barrière, mais on avait alloué la maison à sa veuve. C’était à deux pas de chez moi. Le petit garçon s’appelait William, il avait dix ans. C’était un e n f a n t plutôt gras, gavé de sucreries, et de bandes dessinées de mauvaise qualité. Il avait une grande sœur, fille plutôt forte, qui était en ménage, et passait de temps en temps voir sa mère et embrasser le petit. William avait une habitude qui m’agaçait, c’est de dire, comme les personnages de ses lectures, « GLUPS » à chaque phrase. Dans un souci pédagogique (j’étais un insupportable petit cuistre), je le menaçai de lui donner un coup de poing dans l’épaule à chaque fois qu’il prononcerait cette interjection. Et je tins parole, lâche c...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
Publie ton histoire et augmente tes chances de faire des rencontres
il y a 2 ans

Se faire connaître par le biais de ses publications

#### La publication d’histoire érotique est gratuite. Elle permet aux auteurs et aux membres de se faire connaître. Elle doit faire au minimum l’équivalent d’une page Word par exemple. ##### Nos conseils : - Faites attention à l'orthographe, la ponctuation, les majuscules, les paragraphes. Utilisez un correcteur. Faites des paragraphes, un pavé est difficile à lire. - Ajoutez une photo ou BD qui corresponde à votre texte augmente sa visibilité. - Choisissez bien les rubriques au moment de poster. ##### CE QUI EST INTERDIT Les histoires érotiques avec des personnes de moins de 18 ans, sauf exception (mais sans sexe) pour raconter votre première fessée par exemple ou, autre exemple avec l’ABDL ---> je régressais comme par magie et me suis retrouvé dans le corps d’un bébé, je pissais au lit, j’ai volé des couches à ma petite soeur. Zoo, racisme, inceste et Pédo. Pédo = suppression du texte et --> de votre compte. Fessestivites ne revendique aucun droit s...
Le cuisant week-end d’un jeune homme en Famille
il y a 2 ans

Il y a des familles où la discipline domestique est bien encrée et où la mère et la fille se partagent les fessées.

Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portière pour sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout sur le trottoir, le temps de dire au revoir à son amie restée à l’intérieur pour se faire reconduire chez elle. - Ma chérie je te laisse, on se voit samedi pour le dîner, comme prévu! - Entendu. A Samedi... Je n‘amène rien de particulier ? » demande Edwige après une chaleureuse embrassade . - Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais bien, il y a tout ce qu’il faut à la maison! A moins que tu préfères utiliser tes instruments habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie pas t’amener ton mari, évidemment! » Les deux femmes échangèrent un clin d’œil complice et éclatèrent de rire en même temps. - « Oh ça ne risque pas! Nous serons là pour dix neuf heures. J‘ai hâte d‘y être » répondit Edwige en se tortillant d’impatience sur la banquette au milieu de ses paquets. Gladys descendit de la voiture et, sans même regard...
Fessées de vacances
il y a 2 ans

On peut parfois regretter amèrement d'être parti en vacances;

C’est au cours de l’une de ces réunions paroissiales dont elle était extrêmement friande que ma mère avait fait la connaissance de Madame Brugent. - Une femme très pieuse. Qui est toute nouvelle dans la commune. Qui a beaucoup souffert. Et qui est très souvent venue lui rendre visite. Son fils Thomas l’accompagnait parfois. - Je l’ai amené. Qu’ils puissent s’amuser tous les deux. Et on nous expédiait dans ma chambre. Nous avions le même âge, quinze ans, mais très peu de points communs. Très vite, ça nous était apparu comme une évidence dont on s’était tranquillement accommodés. On échangeait quelques mots et puis je retournais à ma collection de timbres ou à mes maquettes tandis qu’il s’affalait sur mon lit avec un livre dont il n’émergeait que lorsque sa mère l’appelait. - Tu viens, Thomas ? On y va. C’est lui qui m’en a parlé le premier. Fin mai. - Apparemment que tu vas venir en vacances avec nous. Mais tu sais rien, hein ! Je t’ai rien dit. - Ah, oui ? En va...
Une éducation dans les années cinquante (12)
il y a 2 ans

Une dernière fessée

J’ai passé des vacances épouvantables. Mon renvoi avait agi comme un électrochoc. À la très longue phase libidineuse que j’avais traversée où rien d’autre ne comptait vraiment que voir, voir et encore voir, où je m’étais étourdi encore et encore de nudités volées, où j’avais étouffé sans scrupule toutes considérations morales, succédait désormais une phase de culpabilité intense. Je me percevais avec les yeux de l’autre partie de moi-même, celle de la droiture et de l’honnêteté, et l’image que je me renvoyais me faisait profondément honte : un être pervers, vicieux et faux. D’une hypocrisie sans nom. Je m’efforçais de me regarder en face, bien en face, et j’étais profondément découragé. Cela ne me passerait donc jamais ? Me reprendrait toujours alors même que je croirais m’en être définitivement débarrassé ? Il me fallait être lucide. Aussi lucide que possible. Chaque fois que j’avais réussi à rester dans les clous, qu’est-ce qui m’y avait maintenu ? Des scrupules moraux ? L’idée d...
Une éducation dans les années cinquante (11)
il y a 2 ans

Des maillots de bain à bas prix tentent forcément de jeunes étudiantes.

Une partie de la famille de Milena, la tante tchèque qui m’avait hébergé au moment de la mort de ma grand-mère, venait d’émigrer clandestinement en Autriche. Alenka, sa petite cousine, ne comptait pas, quant à elle, s’y éterniser. Elle souhaitait plutôt venir poursuivre ses études en France. Pour obtenir des diplômes français. Dont elle considérait, à tort ou à raison, qu’ils étaient d’un niveau supérieur aux diplômes autrichiens. Ma mère, consultée, avait trouvé l’idée excellente et proposé de l’accueillir à la maison. - Mais non, que ça me dérange pas ! Bien sûr que non ! Au contraire. Ça fera un peu d’animation. Et puis, comme ça, Herbert pourra l’aider si jamais, dans une matière ou dans une autre, elle rencontre des difficultés. J’ai voulu savoir. - Elle est en quelle classe ? - Elle entre en seconde. Elle a quinze ans. Ma mère s’est occupée de tout. Des formalités administratives. De l’inscription au lycée. Elle a même changé les rideaux et les lampes de la chambre q...
Une éducation dans les années cinquante (10)
il y a 2 ans

On peut faire preuve d'infiniment d'ingéniosité pour arriver à ses fins.

Dès mon retour de vacances, je me suis précipité chez Clémence. Qui venait, elle aussi, de rentrer. On s’est littéralement jetés l’un sur l’autre. Je l’ai chevauchée. Elle m’a chevauché. On est retombés, tout essoufflés. Elle m’a submergé de baisers. - Comment tu m’as manqué ! Comment ça m’a manqué ! Elle s’est appuyée sur un coude. - Je peux te demander un truc ? Mais tu me dis franchement, hein ! Tu me jures ! - Vas-y ! - T’en as eu une autre que moi quand t’étais là-bas ? - Pas une, non ! Plein ! Elle m’a bourré les côtes de coups de poing. - Idiot ! Sérieux ! - Personne, non. - Moi non plus ! Et pourtant ce ne sont pas les occasions qui m’ont manqué. T’aurais vu tous ces types qui me tournaient autour. Mais j’ai pas craqué. Il y avait qu’à toi que je pensais. D’ailleurs… - Oui ? Elle a baissé la voix. Chuchoté. - Quand j’avais trop envie, je me le faisais toute seule des fois, mais même là, c’est toujours à toi que je pensais. Et on a refait l’amour....
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