Récits
Où tout a commencé pour moi
il y a 2 ans

Les confidences d’un homme fessé dans sa jeunesse et qui.....

À l’âge de douze ans, je quittai ma région natale pour aller habiter à E…, non loin de Paris. Je cherchai naturellement à me faire des copains, et, sur les indications de collègues de mon père, je liai connaissance avec le garçon de la maison du garde-barrière. Il n’y avait plus de garde-barrière, mais on avait alloué la maison à sa veuve. C’était à deux pas de chez moi. Le petit garçon s’appelait William, il avait dix ans. C’était un e n f a n t plutôt gras, gavé de sucreries, et de bandes dessinées de mauvaise qualité. Il avait une grande sœur, fille plutôt forte, qui était en ménage, et passait de temps en temps voir sa mère et embrasser le petit. William avait une habitude qui m’agaçait, c’est de dire, comme les personnages de ses lectures, « GLUPS » à chaque phrase. Dans un souci pédagogique (j’étais un insupportable petit cuistre), je le menaçai de lui donner un coup de poing dans l’épaule à chaque fois qu’il prononcerait cette interjection. Et je tins parole, lâche c...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 2 ans

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
Publie ton histoire et augmente tes chances de faire des rencontres
il y a 2 ans

Se faire connaître par le biais de ses publications

#### La publication d’histoire érotique est gratuite. Elle permet aux auteurs et aux membres de se faire connaître. Elle doit faire au minimum l’équivalent d’une page Word par exemple. ##### Nos conseils : - Faites attention à l'orthographe, la ponctuation, les majuscules, les paragraphes. Utilisez un correcteur. Faites des paragraphes, un pavé est difficile à lire. - Ajoutez une photo ou BD qui corresponde à votre texte augmente sa visibilité. - Choisissez bien les rubriques au moment de poster. ##### CE QUI EST INTERDIT Les histoires érotiques avec des personnes de moins de 18 ans, sauf exception (mais sans sexe) pour raconter votre première fessée par exemple ou, autre exemple avec l’ABDL ---> je régressais comme par magie et me suis retrouvé dans le corps d’un bébé, je pissais au lit, j’ai volé des couches à ma petite soeur. Zoo, racisme, inceste et Pédo. Pédo = suppression du texte et --> de votre compte. Fessestivites ne revendique aucun droit s...
Le cuisant week-end d’un jeune homme en Famille
il y a 2 ans

Il y a des familles où la discipline domestique est bien encrée et où la mère et la fille se partagent les fessées.

Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portière pour sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout sur le trottoir, le temps de dire au revoir à son amie restée à l’intérieur pour se faire reconduire chez elle. - Ma chérie je te laisse, on se voit samedi pour le dîner, comme prévu! - Entendu. A Samedi... Je n‘amène rien de particulier ? » demande Edwige après une chaleureuse embrassade . - Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais bien, il y a tout ce qu’il faut à la maison! A moins que tu préfères utiliser tes instruments habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie pas t’amener ton mari, évidemment! » Les deux femmes échangèrent un clin d’œil complice et éclatèrent de rire en même temps. - « Oh ça ne risque pas! Nous serons là pour dix neuf heures. J‘ai hâte d‘y être » répondit Edwige en se tortillant d’impatience sur la banquette au milieu de ses paquets. Gladys descendit de la voiture et, sans même regard...
Fessées de vacances
il y a 2 ans

On peut parfois regretter amèrement d'être parti en vacances;

C’est au cours de l’une de ces réunions paroissiales dont elle était extrêmement friande que ma mère avait fait la connaissance de Madame Brugent. - Une femme très pieuse. Qui est toute nouvelle dans la commune. Qui a beaucoup souffert. Et qui est très souvent venue lui rendre visite. Son fils Thomas l’accompagnait parfois. - Je l’ai amené. Qu’ils puissent s’amuser tous les deux. Et on nous expédiait dans ma chambre. Nous avions le même âge, quinze ans, mais très peu de points communs. Très vite, ça nous était apparu comme une évidence dont on s’était tranquillement accommodés. On échangeait quelques mots et puis je retournais à ma collection de timbres ou à mes maquettes tandis qu’il s’affalait sur mon lit avec un livre dont il n’émergeait que lorsque sa mère l’appelait. - Tu viens, Thomas ? On y va. C’est lui qui m’en a parlé le premier. Fin mai. - Apparemment que tu vas venir en vacances avec nous. Mais tu sais rien, hein ! Je t’ai rien dit. - Ah, oui ? En va...
Une éducation dans les années cinquante (12)
il y a 2 ans

Une dernière fessée

J’ai passé des vacances épouvantables. Mon renvoi avait agi comme un électrochoc. À la très longue phase libidineuse que j’avais traversée où rien d’autre ne comptait vraiment que voir, voir et encore voir, où je m’étais étourdi encore et encore de nudités volées, où j’avais étouffé sans scrupule toutes considérations morales, succédait désormais une phase de culpabilité intense. Je me percevais avec les yeux de l’autre partie de moi-même, celle de la droiture et de l’honnêteté, et l’image que je me renvoyais me faisait profondément honte : un être pervers, vicieux et faux. D’une hypocrisie sans nom. Je m’efforçais de me regarder en face, bien en face, et j’étais profondément découragé. Cela ne me passerait donc jamais ? Me reprendrait toujours alors même que je croirais m’en être définitivement débarrassé ? Il me fallait être lucide. Aussi lucide que possible. Chaque fois que j’avais réussi à rester dans les clous, qu’est-ce qui m’y avait maintenu ? Des scrupules moraux ? L’idée d...
Une éducation dans les années cinquante (11)
il y a 2 ans

Des maillots de bain à bas prix tentent forcément de jeunes étudiantes.

Une partie de la famille de Milena, la tante tchèque qui m’avait hébergé au moment de la mort de ma grand-mère, venait d’émigrer clandestinement en Autriche. Alenka, sa petite cousine, ne comptait pas, quant à elle, s’y éterniser. Elle souhaitait plutôt venir poursuivre ses études en France. Pour obtenir des diplômes français. Dont elle considérait, à tort ou à raison, qu’ils étaient d’un niveau supérieur aux diplômes autrichiens. Ma mère, consultée, avait trouvé l’idée excellente et proposé de l’accueillir à la maison. - Mais non, que ça me dérange pas ! Bien sûr que non ! Au contraire. Ça fera un peu d’animation. Et puis, comme ça, Herbert pourra l’aider si jamais, dans une matière ou dans une autre, elle rencontre des difficultés. J’ai voulu savoir. - Elle est en quelle classe ? - Elle entre en seconde. Elle a quinze ans. Ma mère s’est occupée de tout. Des formalités administratives. De l’inscription au lycée. Elle a même changé les rideaux et les lampes de la chambre q...
Une éducation dans les années cinquante (10)
il y a 2 ans

On peut faire preuve d'infiniment d'ingéniosité pour arriver à ses fins.

Dès mon retour de vacances, je me suis précipité chez Clémence. Qui venait, elle aussi, de rentrer. On s’est littéralement jetés l’un sur l’autre. Je l’ai chevauchée. Elle m’a chevauché. On est retombés, tout essoufflés. Elle m’a submergé de baisers. - Comment tu m’as manqué ! Comment ça m’a manqué ! Elle s’est appuyée sur un coude. - Je peux te demander un truc ? Mais tu me dis franchement, hein ! Tu me jures ! - Vas-y ! - T’en as eu une autre que moi quand t’étais là-bas ? - Pas une, non ! Plein ! Elle m’a bourré les côtes de coups de poing. - Idiot ! Sérieux ! - Personne, non. - Moi non plus ! Et pourtant ce ne sont pas les occasions qui m’ont manqué. T’aurais vu tous ces types qui me tournaient autour. Mais j’ai pas craqué. Il y avait qu’à toi que je pensais. D’ailleurs… - Oui ? Elle a baissé la voix. Chuchoté. - Quand j’avais trop envie, je me le faisais toute seule des fois, mais même là, c’est toujours à toi que je pensais. Et on a refait l’amour....
Une éducation dans les années cinquante (9)
il y a 2 ans

Les vieux démons resurgissent.

Elle n’en a reparlé que lors du retour des vacances. Dans la voiture. - Dis-moi, Herbert, il y en a eu d’autres ? J’ai fait mine de ne pas comprendre. - D’autres ? - Tu sais très bien de quoi je veux parler. J’ai commencé par nier. - Ne mens pas, s’il te plaît ! Je ne te demande pas qui ni où ni comment. Je m’en contrefiche. Je veux juste savoir si, oui ou non, tu t’étais déjà livré auparavant à ce genre de pratique. Je l’ai admis. - Tu as bien conscience, j’espère, de ce qu’un tel comportement a de répréhensible. Je me suis agité sur mon siège. - Oui ou non ? - Oui. En un murmure. - Que tu éprouves une certaine curiosité pour tout ce qui concerne la sexualité, c’est, à ton âge, probablement tout à fait légitime, mais, ce qui l’est beaucoup moins, c’est que tu te permettes de vouloir surprendre des femmes, malgré elles, dans leur intimité. Ça, c’est du vol. Et c’est tout à fait inacceptable. Est-ce que tu comprends ? Oh, oui, que je comprenais ! Ou...
Site de rencontres
il y a 2 ans

Tel est pris qui croyait prendre.

Jessica s’est laissée tomber sur le canapé. - Vous savez quoi, les filles ? Ben finalement, il est pas divorcé. - Ah, ben ça ! On te l’avait dit. On te l’avait pas dit ? - Oui, mais il va le faire. Il va engager la procédure. - Quand ? Il t’a dit quand ? - Bientôt. Il m’a promis. Pauline et Chloé ont éclaté de rire. - Ben, voyons ! Tu veux qu’on te dise ce qui va se passer ? On le connaît, le truc, depuis le temps. Il va te lanterner tant et plus. Jusqu’à ce que sa femme soit sortie de sa dépression nerveuse. Ça la tuerait, la pauvre ! Ou que les enfants soient grands. Qu’ils soient autonomes. Qu’ils n’aient plus besoin de lui. Ou que la maison soit finie de payer. Ça le mettrait dans une situation pas possible. Ou tout ça à la fois. Il aura toujours tout un tas de bonnes raisons. Mais il divorcera pas. Il divorcera jamais. Il n’en a jamais eu et il n’en aura jamais l’intention. - Oui, mais à ce qu’il me dit, sa femme… - Est la pire des mégères. Et lui rend la vie impo...
Une éducation dans les années cinquante (8)
il y a 2 ans

Voir, voir et encore voir! C'est devenu une véritable obsession pour notre héros. Une obsession qui lui vaudra bien des déboires.

Au tout début du mois d’octobre, Hervé Brancholle, l’un de nos camarades de classe, nous avait invités, Jean Brionce et moi, à son anniversaire. Ce n’était pas désintéressé : nous étions désormais en première et il escomptait bien que nous lui apporterions notre aide dans les matières littéraires pour lesquelles il était, il faut bien le dire, assez peu doué. Ses parents, qui avaient les moyens, avaient fait les choses en grand. Loué une salle avec un petit orchestre. Et même autorisé l’a l c o o l. À condition que ce soit dans des proportions raisonnables. Il y avait une quarantaine d’invités parmi lesquels cinq ou six filles de l’école Sainte-Marie où sa cousine poursuivait ses études. Très vite je me suis enflammé pour l’une d’entre elles, une certaine Clémence aux longues tresses brunes et aux yeux d’un velouté vert profond. On a dansé. Et je suis tombé amoureux. Résolument, désespérément amoureux. Les jours suivants, j’ai fait obstinément le siège de la maison de ses parents. J...
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