Récits
Sévères voisines (5)
il y a 3 ans

Le nombre de copines au courant de ce que subit le "pauvre" Raphaël ne cesse de croître. Des copines qui sont bien décidées à profiter de la situation et à s'en amuser.

On m’a appelé sur le campus. - Hou ! Hou ! Raphaël ! C’était Manon. - Écoute ! Viens voir là ! Il y avait une autre fille avec elle. - C’est Johanna. Une copine. Dis-lui ! Je l’ai regardée, interloqué. Que je lui dise ? Mais que je lui dise quoi ? - Ce qu’on te fait, Emma et moi. Elle veut pas me croire. Je me suis dandiné, d’une jambe sur l’autre. Que je… - Ben alors ? Qu’est-ce t’attends ? Grouille ! J’ai baissé la tête. - Elles me mettent des fessées. - Ah, tu vois, Johanna ! Tu vois que c’est pas des mythos. La fille a éclaté d’un rire moqueur. Offensant. - Non, mais j’hallucine, là ! J’hallucine complètement. - Et je peux te dire que pour être de la fessée, c’est de la fessée… - Et il se laisse faire ? - Bien obligé, tiens ! Il a pas le choix. S’il veut pas que ça s’ébruite ce qu’il a fait… - Eh ben, dis donc ! Elle a encore ri. Et elles se sont éloignées. Au resto U, à midi, elle est venue, Manon, comme souvent, s’installer à...
Sévères voisines (4)
il y a 3 ans

Emma et Manon ne résistent ni au plaisir de continuer à punir leur voisin pour ce qu'il a fait ni au plaisir de mettre de plus en plus de copines au courant.

Je m’y attendais. J’en étais sûr. Sûr que Manon ne manquerait pas de venir s’installer, le lundi suivant, en face de moi au resto U. Ce qui n’a pas loupé. - Alors ? Qu’est-ce t’en penses de tout ça ? Qu’est-ce que je pensais de quoi ? - Fais bien l’imbécile ! Tu sais très bien de quoi je veux parler. Tu t’attendais pas à ce que la frêle petite Manon tape aussi fort, hein, avoue ! Et de façon aussi convaincue. Ben si, tu vois ! Même Emma elle en revenait pas. « Comment tu l’as soigné ! » Ma mère non plus. « Tu m’as impressionnée ! » Et c’est pas fini ! Quoi ! Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi tu me regardes comme ça ? - Non. Pour rien. - Parfaitement, c’est pas fini. T’as encore rien vu. La prochaine fois, ce sera pire. Je suis hyper motivée, là. Et de plus en plus. Non, parce qu’au début je trouvais qu’elle exagérait Emma, qu’il y avait quand même pas de quoi en faire tout un fromage. T’avais fait une connerie. Oui, bon, ben voilà. On marquait le coup et on passait à autre cho...
Sévères voisines (3)
il y a 3 ans

Les victimes du petit voyeur, maintenant qu'elles ont barre sur lui, sont bien décidées à lui faire payer ses méfaits au prix fort. Et le plus longtemps possible.

Encore elle ! Manon. Venue s’installer en face de moi, au resto U, avec un grand sourire. - Ça baigne ? Ça allait, oui. Je lui ai dit que ça allait. Du bout des lèvres. - On dirait pas… - Oh, si, si ! - Tu te demandes, je suis sûre qui c’était, hier, avec le martinet. Non ? - Un peu. - Et alors ? À ton avis, c’était qui ? Je n’en avais pas la moindre idée. - Dis toujours ! - Toi ? - Non. C’était pas l’envie qui m’en manquait, vu la façon inqualifiable dont tu t’es comporté, mais non ! C’était pas moi. C’était Emma. Tu peux t’attendre, d’ailleurs, à ce qu’elle remette ça incessamment sous peu. D’abord parce qu’elle est hyper remontée contre toi ! « Quand je pense que cet espèce de petit salaud, il m’a matée pendant des semaines et des semaines dans la salle de bains ! Il va me le payer ! Ah, ça, je peux vous dire qu’il va me le payer » Et ensuite, et peut-être surtout, parce que ça l’a beaucoup amusée de te tanner le cuir. « Comment il gigotait du croupion, vous...
Sévères voisines (2)
il y a 3 ans

Raphaël s'est vraiment mis dans une très mauvaise situation. Madame Beauchêne et ses deux filles ont désormais totalement barre sur lui.

J’ai passé une journée épouvantable. D’abord parce que mon derrière était un véritable brasier. Il me lançait en permanence. Et il était sensible d’une force ! Le moindre frottement de vêtements constituait une véritable torture. Et m’asseoir était un calvaire. Mais il y avait pire. Il y avait ce sentiment de honte profond, ravageur, qui ne me lâchait pas. Qui m’habitait, lancinant. Qui m’a accompagné toute la matinée. Et toute l’après-midi. J’avais été fessé, cul nu, par cette madame Beauchêne. Je revoyais la scène. Je la revivais. En boucle. J’avais été puni comme un gamin infernal. Et j’avais gémi. Et j’avais crié. Et j’avais pleuré. Quelle humiliation ! Je lui en voulais de me l’avoir imposée. Je m’en voulais de l’avoir méritée. J’en voulais à ses filles de m’avoir donné la folle envie de les voir nues. Et d’en avoir subi les conséquences. J’en voulais à la terre entière. Elle m’avait fixé rendez-vous. Pour le soir même. « Et tâche de pas oublier parce que sinon… » Sinon quoi ?...
Sévères voisines (1)
il y a 3 ans

C'est très vilain d'épier ses voisines sous la douche. Et si on se fait surprendre, on n'a pas d'autre solution, pour éviter que ça s'ébruite, que d'accepter d'être honteusement puni

Avec madame Beauchêne, notre nouvelle voisine, ma mère avait tout de suite sympathisé. - C’est quelqu’un de très intéressant. Et puis, avoir élevé ses deux filles, comme ça, toute seule, elle a bien du mérite, la pauvre femme ! Ses deux filles, c’était d’abord Emma, une petite brune toute potelée, aux yeux noirs, au sourire mutin, à la poitrine conquérante. Qui avait toujours le mot pour rire. Et qui devait fêter ses vingt-deux ans en octobre. - Comme toi, Raphaël ! Tout comme toi ! Vous êtes pour ainsi dire jumeaux. Et Manon, de deux ans sa cadette. Brune aussi, mais à la poitrine plus sage, au regard plus velouté, à l’attitude plus réservée. Elles ne me laissaient pas indifférent. Ni l’une ni l’autre. Elles me laissaient d’autant moins indifférent qu’elles me tenaient délibérément à distance. Rapports de bon voisinage, oui. Elles n’avaient rien contre. Mais c’était tout. Pas question de me laisser m’immiscer vraiment dans leurs vies. De quelque façon que ce soit. Ni de ma...
Retard fatal
il y a 3 ans

Une bien fâcheuse habitude qui fait mal aux fesses

Lorsque, tout essoufflé, je toquai à la porte de ma classe, j’avais la gorge nouée, l’estomac retourné et le cœur sur les talons. La leçon avait commencé depuis huit minutes et une fois de plus, pour la 3ème et fatidique fois, j’étais en retard ! En retard ! Une bien fâcheuse habitude… Et ce, malgré ma mère qui, chaque matin, me houspille en me réveille du plat de mon chausson. Le mal semblait inguérissable, plus fort que les menaces. « C’est mon dernier avertissement. La prochaine fois, ce sera chez Madame la Directrice ! », m’avait prévenu Mlle Roselyne, notre professeur principale, tout en chauffant mes mains d’une bonne dizaine de coups de férule suivis de cinq minutes de pénitence à genoux à côté de son bureau. Ce matin n’est pas comme les autres. A peine suis-je réveillé qu’une pensée lancinante comme des coups d’aiguille m’a jeté bas du lit. Désormais, une crainte folle gouverne tous mes gestes. Vite ! Débarbouillage exprès sous la douche, petit déjeuner sur le pouce, et...
La fessée est entrée comme par hasard dans leur couple
il y a 3 ans

Le petit mari a souvent les fesses rouges

« Au coin » Bien qu’il lui arrivât de se considérer comme quelque peu féru de psychologie, il était bien obligé d’en convenir : il était bien incapable de s’expliquer le mécanisme qui l’avait amené à cette situation pour le moins paradoxale. Pour tous, il était le professeur, l’homme installé dans la vie, l’adulte estimé de ses collègues, considéré par tous comme un homme sérieux sinon parfois austère. Il apparaissait aux connaissances de son couple comme un mari attentif, respecté par son épouse et peut-être même un peu autoritaire. Et pourtant il était là,debout, le nez collé au mur, le derrière nu, le pantalon et le slip aux chevilles. Il était, selon l’expression que tous auraient considérée comme e n f a n t i n e, « mis au coin ». Il venait de prendre une fessée ; la couleur cramoisie de ses fesses ne pouvait du reste laisser le moindre doute à cet égard. Cette raclée qui lui laissait le postérieur endolori et brûlant cette fessée qui lui faisait monter les larmes au bor...
Tel est pris qui croyait prendre
il y a 3 ans

Un flic agresse une femme, cela ne se passe pas comme prévu. (Le pauvre......)

Lisa est une femme très sportive et un peu casse-cou de nature. Son sport préféré est le krav maga qui n'est pas conçu comme un art mais comme une méthode de combat rapproché. Et le corps à corps, elle adore..... Lieutenant de police, Jean vient de faire un détour pour déposer son coéquipier dont la voiture est en panne. Sur le chemin du retour, au feu rouge, il repère une jeune fille particulièrement canon près des Arnavaux, un quartier chaud de Marseille. Il l’intercepte près de l’entrée du marché, fermé à cette heure de la nuit en ce samedi 2 avril. Son idée est de la draguer et voir plus si affinités, enfin façon de dire, c’est plutôt si il lui sera possible de profiter de la situation. Après le contrôle d’usage des papiers du véhicule, il lui demande de sortir de son véhicule et d’ouvrir son coffre. Lisa portant une jupe courte, il ne résiste pas à lui demander de soulever le tapis de sol du coffre et même la roue de secours pour voir si elle cache quelque chose dessous. (...
Ma petite amie en couches
il y a 3 ans

Switcher autour de la fessée et bien plus

Je suis DL, un vrai. J’adore porter des couches par plaisir, les mouiller, “jouer” avec en somme mais le plus important est que ma petite amie porte des couches aussi. Les mouiller et prendre du plaisir aussi. Les couches en plastiques sont mes préférées. Le bruit de froissement du plastique lorsque l’on marche me plait beaucoup. Faire cela tout seul est une chose, mais avec une petite amie ça devient plus compliqué. Je possède un peu de matériel, pas de quoi faire un donjon mais j’ai toujours trois à quatre paquets de couches, de différentes absorptions mais aussi des accessoires comme un bock a lavement, un thermomètre rectal, des culottes plastique, plugs, tapettes en cuir. Le matériel de base d’une personne à la sexualité décomplexée. Avouer de but en blanc qu’on aime porter des couches fera fuir à coup sûr votre partenaire mais lors d’une relation si je sent qu’elle a un avenir quelconque, je m’engouffre dans la brèche pour voir ma dulcinée vêtue d’une couche. Mes fant...
L’éducation d’une autre époque
il y a 3 ans

Le prix d’un vol est d’une bonne volée !

Le summum de la honte dont je me souvienne, je crois l’avoir atteint lorsque j’étais en clase de 4ème. Ce fut à l’occasion de l’un des châtiments corporels les plus m o r t ifiants de ma jeunesse et dont je fus l’unique et tout contrit responsable, je l’admets bien volontiers encore. Nous avions pour professeur d’éducation physique une jeune et jolie femme qui nous en imposait à nous garçons tant par sa f o r c e et son endurance que par son extrême sévérité. Très attachée aux anciennes méthodes de discipline, elle ne tolérait aucun laisser-aller de la part de ses élèves et encore moins leurs insolences qu’elle punissait sans concession. Symbole de son autorité, elle détenait une méchante lanière de cuir à portée de main dont elle n’hésitait pas à cingler à l’improviste mollets, cuisses ou fesses. Ce n’étaient généralement qu’une ou deux cinglées rapides et peu douloureuses mais suffisantes pour stimuler les paresseux. Néanmoins, il lui arrivait parfois d’exprimer toute sa s...
Domination en forêt
il y a 3 ans

Cette histoire date d’il y a un peu plus de 25 ans, et je n’utilisais pas de caméscope pour immortaliser ces moments pervers. Internet n’en était alors qu’à ses balbutiements. Je vous invite donc à en profiter sous la forme écrite.

À l’époque, je faisais moins de rencontres, même si le 3615trav me servait déjà de terrain de chasse. Une période d’un an de célibat me permettait aussi de parfaire mon personnage, je sortais parfois en fille dans la rue pour tester ma crédibilité, et de nombreux regards se retournaient sur mes fesses moulées dans mes jupettes et jambes mises en valeur par de hauts talons. Jolies tenues sexy, perruque et maquillage soigné me rendaient indubitablement plus bandante que bobonne pour les plus coquins des passants. Une grosse quinzaine de kilos de moins facilitaient les choses. Pouvant recevoir facilement, de nombreuses soirées et week-end me permettaient de m’amuser avec des copines travestis, parfois des hommes, deux fois des couples (j’y reviendrai peut-être). Ma forte tendance à la domination s’est essentiellement affirmée durant cette période. Mes essais de « dominateurs » en tant que soumise étant régulièrement peu concluant (quel manque d’imagination chez la plupart d’entre eu...
Les fessées d’un premier de la classe
il y a 3 ans

Souvenirs de jeunesse sur la fessée

Ce récit n’est que partiellement fictif. Cependant, il est vrai qu’à l’époque, les faits de harcèlement et de brimades à l’école étaient rares et sévèrement punis. J’avais connu Pierre en 7e (CM2). Nous n’étions pas dans la même classe mais prenions le même autobus car il habitait à cinq minutes de chez ma grand-mère. Il vivait avec ses parents et ses trois frère et sœurs dans une grande maison bourgeoise. L’année suivante nous nous retrouvâmes dans la même 6e car il avait choisi tout comme moi l’option « allemand-latin », et cela dura jusqu’en Première. Il connut les mêmes difficultés d’adaptation que moi et, lui aussi, redoubla sa 6e. Quand Maman commença à me punir avec le martinet, il arrivait parfois que des traces de lanières subsistent sur l’arrière de mes cuisses. Malgré mes efforts pour en exposer le moins possible, Pierre, fut l’un des premiers à les remarquer lors d’une récréation. « Tu t’es pris une raclée ? » « Pourquoi tu dis ça ? » « Les fines marques...
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