Récits
Spleen au camping : Du rêve à la réalité
il y a 9 ans

1ère série de 7 coups.

Nous avons trouvé un petit camping bien sympa, avec une rivière à proximité pour permettre au chien de se baigner. Parcours acrobatique pour y accéder, mais le coin est désert et je remarque de belles tiges de forsythia, bien droites, longues, flexibles à souhait. Je les regarde avec envie tout en lançant nonchalamment un bâton au chien. Ma Déesse nous regarde jouer, elle ne semble pas s'être aperçue de mon trouble, de mon envie d'être fouetté et je n'ose pas lui en parler. Le soirée me paraît morne; J'a b u s e de nouveau de l'alcool et celui-ci aidant, j'exprime mon besoin d'être fouetté à ma Déesse. Elle m'indique alors que je ne perds rien pour attendre et que demain, elle accédera à mon désir. Sur ce, elle va se coucher, me laissant seul avec ses paroles qui résonnent dans ma tête, devant une bouteille de rosée pamplemousse que, pour une fois, je ne finis pas. Le lendemain, nous retournons à la rivière. L'endroit est toujours aussi désert. Ma Déesse m'ordonne alors de cou...
Souvenir d'une fessée d'ancienne génération
il y a 10 ans

Confidences sur une fessée de jeunesse

##### La fessée à l'époque n'était pas interdite J'étais peinard à la maison, les "vieux" n'étaient pas là. Profitant de leur absence j'écoutais sur la chaîne Hi-fi de mon père un disque des Rolling Stones prêté par un copain. Le son " à fond la caisse" comme nous disions à l'époque m'a coûté très cher comme vous allez pouvoir le constater. Vautré sur le canapé en jouant de la game boy, je traumatisais les voisins en écoutant la face deux quand une envie de faire pipi m'est venue. Plutôt que de monter à l'étage pour aller soulager cette envie pressante et me priver de la puissance de la dernière chaîne Hi-fi de mon père, j'ai bifurqué vers la cuisine pour me soulager dans l'évier. La zigounette à la main, alors que je chantais à tue-tête sur le solo de guitare de George Harrison en soulageant ma vessie, un son nettement moins agréable troubla soudain le solo guitare : la voix de ma mère entrant dans la cuisine ! ! ! J'ai eu beau remballer la zigounette à la hâte sans même t...
Punition par la Directrice
il y a 10 ans

La directrice perverse aime fesser

Michel montait l'escalier la gorge nouée par l'angoisse. Il sentait l'appréhension monter au creux de son ventre. La Directrice avait la réputation d'être très sévère Plusieurs élèves avaient dû, déjà, se rendre dans son bureau après les cours, et les récits avaient de quoi effrayer un élève de 18 ans. Dans cette institution privée, les châtiments corporels étaient admis, et les parents de Michel avaient même signé une décharge autorisant la responsable de l'établissement à les appliquer en cas de besoin. Jusqu'à présent, cette éventualité n'avait pas préoccupé le jeune homme Michel arriva devant la porte du bureau Il était 13h. Sur la plaque de cuivre polie vissée sur le bois, le mot "DIRECTRICE" était écrit en majuscules. Michel essuya ses mains moites à son pantalon et frappa timidement. "Entrez!" répondit une voix autoritaire. Michel poussa la porte et s'immobilisa à un mètre devant le bureau de chêne massif. La Directrice était occupée à signer des papiers et Michel n'osait...
Ma première bonne fessée à l'école
il y a 10 ans

Souvenir de jeunesse sur la fessée scolaire

##### Ma première fessée à l'école m'a été donnée par le Maître, et devant toute la classe. J'avais alors sept ou huit ans. Notre professeur avait une règle carrée en bois, il nous corrigeait avec. C'était le protocole, lorsqu'on ne suivait pas la lecture nous devions nous soumettre au règlement, c'est à dire se lever de son pupitre traverser la classe et venir près du Maître pour y attendre notre punition. Lorsque la lecture était terminée il n'était pas rare de voir un ou deux élèves à punir sur l'estrade, près du bureau du Maître. Ce jour là je devais être distrait ou pas suffisamment concentré, en tout cas j'étais un peu perdu dans ma leçon. Lorsque le Maître prononça mon nom, j'étais perdu et incapable de retrouver où la lecture s'était arrêtée. J'étais pris sur le fait, j'étais en faute ! Rouge de honte je devais aller chercher ma fessée devant toute la classe. Bien sûr j'étais en culotte courte ce jour là, ce qui augmentait ma stupeur. Et j'attendais là, debout, l...
Depuis que je domine mon mari, j’ai découvert des sensations
il y a 10 ans

Pourquoi et comment je suis devenue dominatrice

##### Depuis que je domine mon mari, j’ai découvert des sensations physiques très agréables que je ne connaissais pas avant. Mesdames c'est à vivre ! Commençons par le début, avec le pourquoi et comment je suis devenue dominatrice ? C'est arrivé comme ça un jour. J'étais furieuse après lui, j'avais une irrépressible envie de le gifler mais je ne l'ai pas fait bien sûr, je n'étais pas dans le mouv. Lors de notre dispute je lui ai dit qu'il mériterait de recevoir les gifles et les fessées que sa mère aurait du lui donner. Mon macho m'a répondue en se foutant de ma poire : "ça fait longtemps que je mérite des fessées que tu ne me donnes pas" en jetant le sac de courses sur la table dans un mouvement d'humeur. La bouteille d'huile d'olives a roulé et s'est brisée sur le sol. J'étais à deux doigts d'imploser et de pleurer de rage. J'étais toute seule à quatre pattes en train d'essayer de limiter les dégâts avec du Sopalin quand ses mots me sont revenus en mémoire. [Ah il voulait d...
Fessée au collège
il y a 10 ans

Il est fessé dans une institution privée

Lorsque j'avais 14 ans j'étais scolarisé dans une institution privée et mes parents m'y avaient mis pensionnaire bien que nous n'habitions pas très loin (15 km environ) pour m'éviter des trajets en car scolaire auxquels ils attribuaient, pour une part, mes mauvais résultats scolaires. Cette année-là je redoublais ma quatrième. Il y avait un surveillant qui s'occupait plus particulièrement des internes. Il avait une chambre-bureau à proximité du dortoir. Ce surveillant avait une trentaine d'années, célibataire, il n'était pas très grand mais assez râblé, brun, barbu. Plutôt sympathique d'ailleurs, bien qu'ayant parfois mauvais caractère. Ce que je ne tardais pas à remarquer c'est qu'il avait un goût prononcé pour les châtiments corporels car il en parlait souvent, nous disant volontiers, en plaisantant plus ou moins, que nous mériterions une bonne fessée. Un jour j'appris qu'il donnait effectivement la fessée à plusieurs garçons. J'étais avec un de mes camarades de classe qui avait l...
Fessée 2 Fessée dans les vestiaires du club de judo
il y a 10 ans

Une histoire d'homme fessé

Je vous ai raconté ma fessée du camp de vacances  en vous disant que j'avais reçu plus tard une fessée beaucoup plus humiliante. C'était deux ans plus tard. J'avais alors 16 ans et j'étais élève de seconde dans un lycée privé. Il y avait un club de judo avec un professeur qui venait de l'extérieur tous les jeudis après-midi pour entraîner les élèves du lycée qui faisaient partie du club. Nous n'étions pas très nombreux, une dizaine environ, entre 12 et 16 ans. Un jour après l'entraînement nous étions dans les vestiaires en train de nous rhabiller et je me suis mis à embêter un des plus jeunes, un garçon d'une douzaine d'années. Je l'immobilisai et je lui donnai une série de claques sur les fesses (par dessus le kimono). A ce moment là un de mes camarades intervint . Il s'appelait Dominique. C'était un garçon de mon âge et de la même classe que moi. C'était le plus fort d'entre nous (il est d'ailleurs devenu prof de gym). A l'époque il était ceinture verte (j'étais seulement ceint...
Fessée 3 En famille
il y a 10 ans

La fessée comme les autres

Lorsque j'avais 17 ans je suis allé passer quinze jours pendant les vacances de Pâques chez mon oncle Philippe, le frère cadet de mon père. J'aimais beaucoup aller chez lui car l'ambiance était beaucoup plus décontractée et "nature" que chez mes parents. J'aimais bien mon oncle qui était un homme costaud et jovial ainsi que ma tante Martine, qui m'aimait beaucoup aussi. Et surtout je m'entendais bien avec mes cousins et en particulier avec ma cousine. Mon oncle et ma tante avaient en effet trois enfants, Hélène qui avait seulement un an de moins que moi, Daniel qui avait 13 ans et le petit dernier Jean-Pierre qui avait 8 ans. L'ambiance était chaleureuse, beaucoup moins "coincée" que chez moi comme je l'ai dit. Par exemple on pouvait parler de tout, très librement, y compris de sujets qui à la maison étaient "tabou", comme la sexualité. En plus mon oncle et ma tante n'étaient pas du tout pudibonds, alors que chez mes parents c'était le cas. Un jour j'étais dans la salle de bains en...
Elle donne des Free fessées hard
il y a 10 ans

Une fessée Free ? Chiche !

Lisa est formatrice dans un centre de formation pour adulte. Manque de chance pour le centre, deux des trois personnes devant suivre cette formation ne se présentent pas. Afin de ne pas trop perdre d’argent, le directeur du centre décide de laisser tourner cette formation, quitte à être perdant, il tirera toujours quelques argents pour payer sa formatrice. Paul est donc seul avec Lisa, sa formation de commercial téléphonique initialement collective sera donc individuelle et personnalisée, le conseil général ne s’en plaindra pas bien au contraire, son bénéficiaire du RSA en bénéficiera. Paul est un dragueur adepte de la fessée. Inscrit sur le réseau social Fessestivites il recherche une fesseuse pouvant satisfaire ses fantasmes autour de la fessée puis de discipline domestique s’il parvenait à rencontrer une femme avec laquelle il trouverait affinités. Lors de cette formation avec la belle et charmante Lisa, il n’a de cesse que d’essayer de la séduire mais en vain, le cœur de...
La fessée mère et fille
il y a 11 ans

La fessée d'un ancien soixante-huitard

J'avais 27 ans. Je menais une vie décousue, d'ancien soixante-huitard déçu, incapable d'admettre que j'avais perdu. Que je ne verrais jamais la société que j'avais rêvée. Qu'il me fallait accepter la réalité, trouver un métier qui me plaise, ou, du moins, que je supporte. Que les grands élans style Woodstock, avec peace and love universel, et amour candide pour tous (et toutes !), c'était un film. Et c'était fini. Je vivais avec une grande fille nommée Chantal, plus jeune que moi de 5 ans. Elle sortait de l'école normale, et était imprégnée de contre-culture puisée dans le journal Actuel. Elle croyait encore que tout était possible, et ça me fatiguait. Elle était fâchée avec son père, cheminot plutôt borné, autoritaire, catégorique, mais nous avions souvent la visite de sa mère Marcelle, mince femme blonde d'une petite quarantaine, sympathique, énergique, et affectueuse. Elle réconfortait sa fille souvent découragée, nous conseillait, et même, parfois, nous dépannait lors d'une fin...
Antoine et Pascale (Homme fessé)
il y a 11 ans

Sorti de la rue par la fessée

Auteur : un membre du réseau Fessestivites publié par Ecrivaillon Il lui dit que cette fois c'était trop. Elle y était allée trop fort. La correction avait largement dépassé ses limites. Il garderait des marques sur les fesses et les cuisses pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Elle le regardait de haut, son ceinturon toujours à la main, une expression de déception mêlée de colère sur le visage. L'anxiété l'envahit aussitôt. Il leva la main par réflexe pour intercepter la gifle qui allait, il en était sûr, tomber. Mais elle se détourna simplement de lui. - Madame, je... - Tais-toi. Je me dévoue pour toi, pour t'apporter cette éducation que tu recherches, et lorsque je m'exécute, tu trouves le moyen de te plaindre. On en a fini tous les deux. Rentre chez toi, tu n'auras plus de nouvelles de moi. - Non ! S'il vous plaît, je ferai des efforts, je vous le jure ! C'est simplement, cette fessée, elle était vraiment trop forte, et je... - Je t'ai dit de te taire...
La fessée du commissaire
il y a 11 ans

Un policier fessé, TROP TOP ! ! ! !

Louis avait tout pour être heureux : femme, enfants, pavillon, ainsi qu'un poste à responsabilités dans une petite ville de province. Lorsqu'il parlait, tout le monde s'arrêtait pour l'écouter. Et pour cause, Louis est le commissaire de l'hôtel de police de sa ville. Personne ne s'opposait à Louis, sous peine de faire l'objet d'une procédure, ou bien pour ses hommes, de voir leur vie professionnelle se compliquer de façon exponentielle. Souvent, il aimait penser à ses fonctionnaires comme à des marionnettes, qu'il animait selon son bon vouloir. Et, tel un enfant jetant ses jouets au sol lorsqu'il est énervé, Louis parvenait à s'assurer qu'aucun d'eux ne couperait ses fils. Ses hommes étaient au moins d'accord sur un point : ils le haïssaient. Le taulier, comme ils l'appelaient, était l'objet de toutes les moqueries, le moindre de ses mots répété, consigné, commenté. Deux d'entre eux avaient même failli en venir aux mains avec lui, avant d'être rapidement évincés dans un service...
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