Récits
Une petite amie très déterminée
il y a 8 mois

Daphné est bien décidée à prendre les choses en mains.

On s’était connus, Daphné et moi, à la fac de droit, en première année. On s’était tourné un bon moment autour et puis, finalement, ça « l’avait fait ». Dans la journée, entre deux cours, on se retrouvait chez elle, un petit studio que lui louaient ses parents, à quelques centaines de mètres de la fac. J’avais aussi fini par y passer la nuit. Au lit, elle était très ardente et, au fil du temps, se laissait de plus en plus aller. Au point de se mettre à m’expédier sur les fesses, au cours de nos ébats, un certain mardi de novembre, une salve de claques extrêmement énergiques. Une fois la ferveur retombée, elle a voulu s’en excuser. - Désolée, je suis désolée, mais prise dans le feu de l’action… - Oh, mais ça fait rien. Ça fait rien. Je n’allais pas me plaindre : elle avait joui de façon beaucoup plus expansive encore que les fois précédentes, ce que j’avais, pour ma part, énormément apprécié. Forte de cette première expérience, que je n’avais pas réprouvée, elle a recommenc...
Souvenirs cuisants (2)
il y a 8 mois

On ne s'arrête pas en si bon chemin.

Comme elle me l’avait demandé, je me suis rendu dans sa chambre pour me dessiner. Nu. De dos: mes fesses, mes cuisses, le bas de mon dos, striés de longues zébrures rougeâtres qui commençaient déjà, pour certaines d’entre elles, à boursoufler. Et de face: en pied, le visage baigné de larmes. Je faisais d’incessants va-et-vient entre la glace, dans laquelle je me regardais pour être au plus près de la « vérité » et son secrétaire sur lequel j’avais posé crayons et papier à dessin. Je travaillais à genoux. J’avais bien essayé de m’asseoir, mais j’avais le derrière littéralement en feu. Et la douleur était bien trop insupportable.  De temps en temps, elle venait me voir à l’œuvre. Elle s’attardait quelques instants. - Oui, c’est ressemblant. Et elle repartait sans un mot. Devoir me fixer sur le papier dans l’état pitoyable où elle m’avait mis, avait quelque chose de profondément mortifiant, mais en même temps, paradoxalement, j'éprouvais une sorte de volupté trouble à le faire. Je...
Souvenirs cuisants
il y a 8 mois

Elle a attendu longtemps, mais elle est parvenue à ses fins.

En 1939, mon père s’était fiancé à Blanche. Des fiançailles qui, à cause de la guerre, s’étaient éternisées. Il avait été fait prisonnier, transféré en Pologne où il avait rencontré ma mère, Anna, dans des conditions sur lesquelles il n’a jamais, par la suite, voulu vraiment s’étendre. Toujours est-il qu’à la Libération, c’est avec elle qu’il est rentré en France. Où il s’est empressé de rompre ses fiançailles. Au grand dam de Blanche qui, ce qu’on peut comprendre, lui en a infiniment voulu. Avec Anna, ma mère, il a vécu des mois de pur bonheur. Je ne l’ai malheureusement pas connue : elle est morte en 1946, en me mettant au monde. C’est ma grand-mère paternelle qui m’a alors élevé. Jusqu’en 1954, date à laquelle elle est à son tour décédée et où Blanche a surgi dans ma vie. Mon père et elle s’étaient revus, expliqués. Ils avaient décidé de reprendre leur relation et, le 9 juin de cette année-là, elle est venue s’installer définitivement à la maison avec nous. 2- Il m’est tout de...
Fessée par ma tante
il y a 8 mois

A force de vouloir baisser le pantalon de mon cousin, ma tante décida de me faire subir le même sort.

Je devais avoir 11 ans, ou peut-être 12 je ne sais plus trop, toujours est il que j'étais un garnement à cette époque et que mon passe temps favoris était de déculotter les amis ou cousins devant les filles. Un jour que j'étais chez ma tante avec mes 2 cousines Émilie et Christine, et mon cousin David, il pleuvait, on était à l'intérieur à jouer dans le salon avec tout pleins de jeux différents. Un moment ou je m'ennuyais j'ai décidé de baisser le pantalon de David qui avait mon âge, devait sa sœur Émilie qui en avait 10 et notre cousine Christine qui en avait 13. Il est parti le pantalon baissé se plaindre à sa mère qui était dans la cuisine. MA tante le rhabilla et vient me sermonner en disant que c'était pas bien. Ho ça je le savais que c'était pas bien, mais ça avait beaucoup plu aux filles, alors quitte à me refaire engueuler, j'ai recommencé un peu plus tard. Sauf que cette fois j'ai tiré très fort et baissé le slip en même temps, en disant "regardez les filles le zizi...
Une correction salutaire pour la sauvegarde de notre couple
il y a 9 mois

Une soirée d'anniversaire rendu mémorable par une fessée conjugale méritée et inoubliable

Comme certains d’entre nous, j’ai hésité à exposer sur ce blog mon vécu de fessées au sein de notre couple. En effet, il n’est pas toujours aisé de confier une part de sa vie privée, en l’occurrence le souvenir encore « chaud » et honteux d’une correction conjugale, même si je reconnais qu’elle fut amplement justifiée et méritée. Pour tout vous dire, ce fut une fameuse fessée dont mon cul fit la douloureuse expérience et qui marqua la célébration de notre troisième anniversaire de mariage pour mon épouse et moi. Mais au bout du compte, ce qui m’a encouragé à écrire, c’est que je partage cette expérience avec des gens qui considèrent cette méthode de punition comme juste et souhaitable, voire indispensable à l’équilibre d’une vie de couple et ce, malgré l’humiliation et la honte qu’un adulte peut ressentir à la recevoir. On trouvera peut-être mon récit trop sensuel, osé, déplacé, mais il est avant tout véridique, soit ma vérité qu’aucun discours, aucune opinion hostiles ne sauraient...
C'est bientôt mon anniversaire...
il y a 9 mois

Ne dit t'on pas plus c''st long plus c''s bon :) une idée à adapter suivant Vos envies et Votre âge :)

En fin d'année, en décembre, j'aurai 58 ans et je rêve de celle qui m'infligera 58 coups de cravache pour l'occasion... lentement... bien appliqués en me laissant le temps de compter et d'apprécier chacun d'eux... Bien entendu il y aura un joli gâteau avec 58 bougies que je soufflerai pas car Elle prendra chacune d'elles pour les faire couler l'une après l'autre sur mon corps... Ensuite Elle découpera une part de ce gâteau pour me la faire manger à 4 pattes à ses pieds... enfin Elle m'offrira une coupe de son Champagne chaud et doré... Puis, si Elle le souhaite, je pourrais passer ma langue à 58 reprises sur sa chatte, au rythme qu'Elle m'ordonnera de suivre... je serai ainsi le plus heureux des hommes soumis...
Mon premier "petplay"
il y a 9 mois

Je ne savais pas ce qu'était le "petplay" jusqu'à aujourd'hui :)

Je suis là, adossé au mur de notre petite “pièce secrète” depuis plusieurs minutes. Entièrement nu, les yeux bandés, je suis seul à attendre sagement. J’ai reçu l’ordre de ne pas bouger. J’écoute le moindre petit bruit pouvant m’indiquer à quelle sauce j’allais être mangé ce soir. Le bébé dort profondément, mes deux grands regardent la télé dans la salle à manger. La porte de la chambre parentale est verrouillée et la télé a été allumée uniquement pour dissimuler les éventuels mots crus qui me seraient destinés. Je suis dans le noir complet. La lumière est pourtant allumée dans la pièce mais le ruban de soie autour de ma tête est serré très fort et m’oblige à garder les yeux fermés. J'ai auparavant été informé qu’à partir de maintenant, Maîtresse ne rigole plus et que les choses seront faites exactement comme elle l’a décidé. Ce ruban qui d’habitude ne tient pas tout seul tellement elle avait peur de me faire mal en est la preuve. J’ai un esprit provocateur, beaucoup d’intuition...
Qui suis-je ?
il y a 9 mois

Ce site me donne envie de parler et de partager, j'ai donc j'ai envie de Vous en dire plus à mon sujet... A travers ce mail je vais donc tenter de me présenter le mieux possible, je vais me dévoiler, me livrer sans rien Vous cacher... loin de moi l’envie de Vous choquer ou de me défouler, je désire juste que Vous sachiez sincèrement qui je suis ou ce que je peux être… Ensuite libre à Vous d'en parler avec moi...

Tout d'abord, vis à vis des Femmes j’accorde une grande importance au Vouvoiement, une marque de respect essentielle pour moi et qui ne trouve son écho, sa véritable dimension, que dans le tutoiement en retour de la Femme qui me fait face… grâce à ses « tu » je me sens déjà parfaitement à ma place, déjà presque à genoux devant Elle… mais avec les "soumis", puisque nous sommes souvent (presque) pareils (pareilles) je pense que je peux les tutoyer, non ? J'ai 57 ans , 1,80 m pour 90 kg (parfois moins, parfois plus), cheveux longs, ondulés, de plus en plus gris, pas de barbe ou de moustache, pas de tatouage, myope avec des lentilles. Je ne fume pas, ne bois pas d'alcool ou de café... peau blanche qui marque... dans la vie de tous les jours j'ai un look "cool", pas BCBG 😊 plutôt "jean / baskets" jamais de "costume /cravate" 😊 Soumis depuis l'âge de 17 ans, je l'assume depuis mes 23/24 ans... Je vis en couple, ce qui entraîne donc certaines contraintes certes, mais cela a aussi l’av...
Maso mais pas trop...
il y a 9 mois

Fessée ou cravache ? Gifle ou caresse ?

En guise d’introduction je tiens d’abords à préciser que bien qu’assumant (et entretenant) à 200% de ma position de « soumis » vis-à-vis des Femmes et étant conscient que cela est lié à une certaine forme de « masochisme », je ne pense pas particulièrement aimer être « frappé ». En tout cas pas « gratuitement » et certainement pas par une Femme qui n’y prend pas un réel plaisir personnel… en effet, c’est le Plaisir que « Ma Maîtresse » va prendre en m’humiliant verbalement et/ou physiquement, qui va me permettre d’endurer certaines « choses » pour Elle… mon but est avant tout de La satisfaire, que l’emprise qu’Elle a sur moi l’emplisse de jouissances… j’aime voir les yeux d’une Femme briller lorsque qu’Elle me fait subir certaines choses et qu’Elle prend conscience que je fais (j’endure) cela pour Elle… que pour son Plaisir, j’accepte tout, ou presque tout… mon plaisir cérébrale (très important) et physique (l’éjaculation n’étant cependant pas une finalité pour moi) passe par le Plaisi...
Mon histoire...
il y a 9 mois

mon parcours vers la soumission en perpétuelle évolution... j'espère que Vous aimez lire :)

Aujourd’hui j’ai 57 ans (à l’époque où j’ai écrit ce texte j’en avais 39) … Je me considère comme étant un homme qui aime être « sexuellement » (et même au-delà) soumis aux Femmes. Vous allez trouver ci-dessous les « faits » principaux qui m’ont « guidé » à travers les années et qui m’accompagnent toujours quelque part dans ma tête… il s’agit d’une confession « à brut » qui ne laisse pas beaucoup de place aux « sentiments » (et pourtant il y en a eu et il y en a encore) et qui, du coup, peut paraître parfois « trop direct ». En tout cas sachez que c’est un « sujet » sur lequel je peux parler pendant des heures… Gamin, la première fille qui m’a montré son sexe s’appelait Isabelle, on jouait « au papa et à la maman », du coup c’est aussi la première fille devant laquelle que j’ai « exhibé » mon « zizi », cela m’excitait beaucoup. Ensuite, assez jeune, j'ai commencé à me masturber régulièrement. J'ai très vite pris plaisir à goûter mon sperme et à jouer avec, à l’étaler sur mon ventr...
Le club libertin des dominatrices
il y a 11 mois

Sur une idée du gîte fétichistes, un club libertin devient BDSM sexe.

##### « Une dominatrice est une femme avant tout. Son statut de Maîtresse n’est pas incompatible avec des besoins ou envies d’un ou plusieurs sexes mâles. A cela se rajoute, que parmi les hommes, être soumis et ramper aux pieds des femmes, lécher leurs sexes ou fesses comme des larbins sont des fantasmes récurrents. Je suis convaincu qu’ouvrir un club libertin avec cette orientation nous permettrait de faire fortune tout en comblant des hommes et des femmes ». C’est avec cette idée que Marc racheta un club libertin à Saragosse après la vague destructrice du Covid. A cette époque, les clubs en berne suite à la crise économique se vendaient pour une bouchée de pain. Son choix géographique était basé sur une stratégie économique et pratique. Madrid et Barcelone étant déjà des lieux orientés gays puis des villes pourvues de clubs divers, son choix portait à la fois sur le côté pratique puisque son gîte fétichiste n’est qu’à 40 minutes de Saragosse et surtout, un secteur ou les club...
Une petite amie attentionnée
il y a 1 an

Il arrive un moment où il faut que la mère passe le relais à sa future belle-fille

J’ai jeté un coup d’œil à mon radio-réveil. Midi. Midi? Le temps de réaliser qu’on était dimanche. Que je n’avais pas besoin de me lever. Que j’avais un épouvantable mal de tête. Que j’étais nauséeux. Le temps aussi que tout se remette en place. La soirée. J’avais bu. Plus que de raison. Beaucoup plus que de raison. Et perdu la notion de bien des choses. De tout, en fait. J’avais suivi les copains. On avait cassé des trucs. On en avait arraché d’autres. Quoi? Je ne me rappelais pas au juste. Il y avait eu un bruit de verre brisé. À plusieurs reprises. Et puis des rires. Et les gendarmes. Qui m’avaient ramené à la maison. Que j’avais vaguement entendus, tandis que je m’effondrais sur mon lit, discuter avec ma mère. Lui parler de dédommagement. De plainte. Elle avait enfin fini par venir éteindre la lumière. - On réglera nos comptes demain. 2- Oui, valait mieux que je me lève. Que je prenne le taureau par les cornes. Un mauvais moment à passer. Il fallait reconnaître aussi que...
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