Récits
Maitresse Gaëlle
il y a 1 an

Comment une délaissée devint dominatrice

J’ai rencontré Maitresse Gaëlle dans un bar. Elle n’était pas Maitresse à l’époque. Je la trouvais très belle : la quarantaine, cheveux mi-long blond roux, belle poitrine, superbe cul et de longues jambes magnifiques. Il faisait chaud, les terrasses étaient bondées. Je me pressais pour arriver avant la fermeture d’un magasin. C’est là que je bouscule la dernière table de cette terrasse et renverse le verre de vin de la cliente, ma future Maitresse. Je me confonds en excuse et lui demande ce que je peux faire pour réparer ma maladresse. Et elle se mit à pleurer. Je ne savais plus où me mettre. Aussi, je me suis assis pour la consoler. Je lui pris la main, la tapotais et lui dit que ce n’étais pas grave. Que je remplacerai la robe et lui offrait un nouveau verre. Il a fallu quelques minutes avant qu’elle ne puisse me répondre. « Ce n’est pas votre faute » dit-elle « Mon mari vient de me plaquer. Le verre n’a fait que faire déborder le vase ». Elle m’expliqua qu’il ét...
Seul aux mains de ma cousine Sarah
il y a 1 an

La grande sœur donne la fessée

Peu après l’épisode de la fessée magistrale au martinet que notre mère administra à ma sœur pour avoir négligé de mettre des bretelles à sa jupe, je ne fus pas moi-même en reste ! Mon tour n’allait pas tarder. Nous avions une cousine, Sarah, âgée de 14 ans, en qui notre mère voyait une jeune fille modèle . « Elle qui savait si bien s’occuper de ses jeunes frères ! ». Elle l’invita à venir passer les vacances chez nous. Il est vrai que notre chère cousine paraissait nettement plus que son âge car, plus grande et plus forte que nous et dotée d’une poitrine déjà bien développée, elle avait l’allure d’une belle et grande jeune fille. De plus, notre mère la complimentait pour ses jolies blouses à double boutonnage qu’elle portait constamment sur elle. il est non moins vrai que le frêle petit blondinet d’angelot en culotte courte de 13 ans que j’étais alors ne pouvait pas faire le poids face à elle. Quelque chose me gênait un peu chez Sarah. En effet, elle aimait à se vanter...
Sasha et Vivien
il y a 1 an

Quand on est amoureuse et qu'on découvre que l'élu de son coeur aime un autre homme...

On avait le même âge, Sasha et moi. Dix-neuf ans. Et les mêmes cours à la fac. Aux mêmes horaires. Si bien qu’on était amenés, par la f o r c e des choses, à se retrouver sans arrêt au même moment aux mêmes endroits. À la cafétéria. À la bibliothèque. Au resto U. Ce n’était pas pour me déplaire. Bien au contraire. C’était quelqu’un avec qui on avait plaisir à discuter, Sasha. Il connaissait une foule de choses, avait un goût très sûr et un sens artistique très développé. Si bien que j’en étais arrivée à tomber plus ou moins amoureuse de lui et à me dire qu’un jour ou l’autre tous les deux peut-être… Il se montrait toutefois très réservé. Sans doute lui fallait-il du temps. Ce qui, finalement, plaidait plutôt en sa faveur. Mais il y a eu ce mardi-là. On venait de se quitter. - À demain ! Il était parti de son côté et moi du mien quand je me suis brusquement ravisée. Et si je poussais jusqu’à la librairie ? Histoire de m’offrir une petite heure d’immersion au milieu des b...
Entre amis
il y a 1 an

Quel plaisir pour cette jeune fille que de voir son camarade fessé!

On avait le même âge, Sasha et moi. Dix-neuf ans. Et les mêmes cours à la fac. Aux mêmes horaires. Si bien qu’on était amenés, par la force des choses, à se retrouver sans arrêt au même moment aux mêmes endroits. À la cafétéria. À la bibliothèque. Au resto U. Ce n’était pas pour me déplaire. Bien au contraire. C’était quelqu’un avec qui on avait plaisir à discuter, Sasha. Il connaissait une foule de choses, avait un goût très sûr et un sens artistique très développé. Si bien que j’en étais arrivée à en tomber plus ou moins amoureuse et à me dire qu’un jour ou l’autre tous les deux peut-être… Même s’il n’entreprenait pas quoi que ce soit. Sans doute lui fallait-il du temps. Ce qui, finalement, plaidait plutôt en sa faveur. Mais il y a eu ce mardi-là. On venait de se quitter. - À demain ! Il était parti de son côté et moi du mien quand je me suis brusquement ravisée. Et si je poussais jusqu’à la librairie ? Histoire de m’offrir une petite heure d’immersion au milieu d...
La féminisation de Nicolas: Les brunes comptent pas pour des prunes
il y a 1 an

Maîtresse Elvira découvre le plus grand secret de Nicolas quant à Marie...

Après son retour à Paris Nicolas éprouvait du chagrin. Rien ne lui faisait plaisir. De plus ses main et ses pieds étaient constamment froids. Il prit un rendez-vous chez son médecin qui était une dame de cinquante-cinq ans environ. - Vous avez un problème de circulation, constata-t-elle. - C’est grave docteur? s’inquiéta le travesti. - Il suffit de faire un peu de sport. - Et vous pouvez pas me prescrire des cachets? - Des cachets! Mais ils abîment le foie, l’estomac, les reins. Si vous n’aimez pas le sport il existe un moyen médiéval. - Lequel? s’intéressa le fétichiste. - La flagellation, dit la femme lentement en regardant son patient dans les yeux en espérant qu‘il préférera faire du sport. - La flagellation?! s’étonna-t-il. - Oh, ne vous faites pas d‘espoir, je la pratique plus, ajouta-t-elle. - Vous ... vous... étiez une..., Nicolas la prit au sérieux mais ne trouva pas le mot exact. - Faites du sport, jeune homme, au moins une demi-heure par jour, c’est un conseil d’...
La féminisation de Nicolas: L'aventure québécoise.
il y a 1 an

Nicolas trouve son bonheur outre-océan.

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...
La matrone et les eunuques
il y a 1 an

Une grande dame romaine et ses plaisirs

Un arrivage d’esclaves. Des Thraces. De fiers guerriers que nos troupes ont vaincus. Qu’elles ont faits prisonniers. Qu’elles ont ramenés enchaînés à Rome. Où ils ont été mis en vente. Calpurnia, ma maîtresse, m’a chargée d’aller lui en acquérir un. Un de plus. Qu’elle fera castrer comme tous les autres. Et qu’elle utilisera à sa guise. Si toutefois sa verge peut encore, quand on l’aura débarrassé de ses génitoires, s’élancer et durcir. Il y en a, oui, ils peuvent bander. Il y en a d’autres, non. C’est selon. Et Calpurnia ne se sert, pour se satisfaire sexuellement, que d’esclaves qui ont été préalablement châtrés. Pour ne pas risquer une grossesse intempestive et parce que, dans le feu de l’action, ils tiennent souvent beaucoup mieux la distance, et beaucoup plus longtemps, que qui que ce soit d’autre. Je connais les goûts de ma maîtresse. Il les lui faut jeunes, virils, bien charpentés et disposant d’un appendice sexuel de bonnes dimensions. Et surtout bien épais. Je prend m...
La proprio (2)
il y a 1 an

Une proprio qui étend son emprise sur ce jeune couple qu'elle héberge si gentiment...

Nous avons passé, Clotilde et moi, le dimanche au lit. À baiser. Encore et encore. À l’évidence, se faire cingler le derrière par notre logeuse l’avait excitée au plus haut point. J’y trouvais incontestablement également mon compte: elle se montrait enfin passionnément ardente au lit, ce qui, il faut bien le dire, n’avait pratiquement jamais été jusque-là le cas. Et jamais à ce point-là. Je me sentais toutefois, en arrière-fond, quelque peu inquiet: si elle appréciait autant le martinet, elle allait faire en sorte de se le faire administrer aussi fréquemment que possible. Et, dans la foulée, je le recevrais également. Aussi souvent qu’elle. Et aussi fort. Sinon plus. Et c’était une perspective qui ne m’enthousiasmait guère. Qui m'épouvantait au contraire. Le soir, sur le coup de huit heures, notre proprio est passée. On venait tout juste de finir de dîner. - Vous êtes contents de vous ? On l’a regardée sans comprendre. - Hein ? Vous êtes contents de vous ? Vous croyez pas q...
La proprio
il y a 1 an

Une propriétaire qui vous loue un appartement à l'œil, c'est bigrement intéressant. Oui, mais...

Rester chez les parents de Clotilde, ce n’était plus possible. - On est pas à notre main, attends ! - Et puis ces réflexions, sans arrêt, à propos de tout. On n’a plus douze ans. Et on s’est mis à chercher un appart. Pas trop loin de la fac, mais pas trop loin de son petit boulot non plus. Ni du mien. Ni des commerces. - Ça va être compliqué. Ça l’était. C’était minuscule. Ou insalubre. Ou hors de prix. Mais dans tous les cas… On était sur le point de renoncer quand… le truc de ouf. Spacieux. Clair. Hyper bien situé. Au premier étage. Avec vue sur un parc immense. Le rêve. Sauf que, forcément, ça allait pas être pour notre bourse. On a tout de même demandé le prix. Sans grand espoir. La propriétaire, qui nous faisait elle-même visiter, nous a longuement considérés. A paru réfléchir. S’est enfin décidée. - Je vous le laisse à titre gracieux. On s’est regardés, Clotilde et moi, stupéfaits. - Hein ? Mais… - Mais j’y mets des conditions. Vous tiendrez cet ap...
Sauvés des folies du gang des fesseurs
il y a 1 an

Enquêter conduit un homme et une femme chez des fous adapte de la fessée et bien plus encore.

Dans le cadre d’un job d’été, Marion et moi arpentons les rues de Roubaix pour enquêter sur les loisirs des habitants. Le quartier qui nous a été attribué est tellement défavorisé que les réponses se limitent souvent au bistrot du coin et au PMU. Et encore quand on ne nous claque pas la porte au nez. A presque 17 ans, je peux dire en toute modestie que je suis plutôt beau mec : un mètre quatre-vingt pour soixante cinq kilos et quelques années de natation derrière moi qui ont sculpté sans excès mes abdominaux. Marion est une camarade de lycée, petite blonde d’à peine un mètre soixante, un joli minois et quelques rondeurs bien placées, notamment un petit fessier bien rebondi. Bien qu’extrêmement timide, elle est d’agréable compagnie. Après, plusieurs coups de sonnette sans réponse, une porte s’ouvre enfin. Nous expliquons le but de notre passage à une dame, la quarantaine, vêtue d’une robe à fleurs bleue pâle et d’un tablier rose bonbon, le tout agrémenté d’une paire de chausso...
Les punitions du lundi (1)
il y a 1 an

On ne plaisante pas avec la discipline dans cet établissement...

Ma mère était anglaise et, lorsqu’elle a divorcé de mon père, au tout début des années soixante, elle s’est tout naturellement rapatriée avec moi dans les Highlands. Elle m’y a inscriet dans un établissement privé mixte aujourd’hui disparu. Il y régnait, comme c’était pratiquement partout le cas à l’époque, une discipline de fer. Les châtiments corporels y étaient monnaie courante et rares étaient ceux qui, une fois leurs études terminées, pouvaient se vanter d’avoir réussi à s’y soustraire tout à fait. C'était systématiquement le lundi matin, à la toute première heure, dans le bureau du directeur, que les corrections étaient administrées. Les élèves qui avaient été avertis, au cours de la semaine précédente, qu’ils recevraient la pagaie attendaient dans le couloir devant sa porte. Ils n’étaient parfois que deux ou trois, d’autres fois près d’une quinzaine. Avec tous les cas de figure intermédiaires possibles et imaginables. Les garçons, qui étaient, dans l’immense majorité des...
Les punitions du lundi (2)
il y a 1 an

Chacun(e) son tour...

Et je suis devenu complètement addict. Je ne vivais plus qu’à travers ces lundis qui voyaient s’abattre les pagaies sur les derrières des garçons. Je n’en profitais d’ailleurs pas autant que je l’aurais souhaité. Faire en effet en sorte de me retrouver « là-haut » tous les lundis alors que j’avais été jusque-là irréprochable n’aurait pas manqué d’éveiller les soupçons. En outre, la directrice-adjointe, qui avait tout d’abord fait preuve de mansuétude à mon égard, risquait, à me voir revenir trop souvent, de se montrer beaucoup plus sévère. Il me fallait donc sauter des épisodes et c’était un véritable crève-cœur. J’avais toujours le sentiment que ce serait justement quand je ne serais pas là, ou parce que je ne serais pas là, que se présenteraient les opportunités les plus intéressantes. J’avais désormais ma lecture à moi de l’école et de la cour de récréation. Il y avait d’un côté ceux à proximité desquels je m’étais trouvée quand ils avaient été punis, que j’avais, pour bon nombre...
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