Récits
Les punitions d'Antoine (4)
il y a 1 an

Irène prend de plus en plus le pas sur Antoine.

Elle m’a fait déshabiller et m’allonger à plat ventre sur le lit. - Là ! Parfait ! Elles vont apprécier. Et pas qu’un peu ! J’ai enfoui la tête dans les oreillers. Il s’est passé une heure. De temps à autre elle passait la tête. Pour vérifier que je n’avais pas bougé. Deux heures. - Ça va ? T’appréhendes pas trop ? Oh, si, j’appréhendais, si ! Trois heures. - Elles ont appelé. Elles arrivent. Un coup de sonnette. Leurs voix. Et celle d’Irène. - Venez ! Il est là. Un rire étouffé. Un autre. - Ça a pas fait semblant, dis donc ! - Ah, pour ça, non ! - Et c’était quoi, la raison ? - Rien. Ce qui m’est passé par la tête. Elles ont pouffé. Et puis le silence. Qui a duré. Je ne les voyais pas, mais je pouvais sentir leurs regards goguenards sur moi, sur mes fesses exposées. Le silence .Qui s’est éternisé. C’est Océane qui l’a rompu. - Il a beaucoup crié ? - Ah, ben ça ! Tu te doutes… Rien qu’à voir l’état de son cul ! - T’as dû...
Les punitions d'Antoine (3)
il y a 1 an

Irène se prend de plus en plus au jeu.

[Le début de cette histoire est ici](/recit/202488) J’étais de plus en plus souvent chez elle. J’y dormais de plus en plus souvent. - C’est presque comme si on vivait complètement ensemble, hein, finalement maintenant… Et puis il y a eu ce soir où elle s’est faite boudeuse. - T’as honte de moi ? - Non ! Bien sûr que non ! Pourquoi tu dis ça ? - Parce qu’il y a combien de temps qu’on sort ensemble ? Six mois, bientôt sept. Et jamais tu m’as invitée à manger chez toi. Ta mère, je la connais à peine. Tout juste si je l’ai entraperçue deux ou trois fois, comme ça, en coup de vent. Ma mère, justement, a plissé le front d’un ait entendu. - Eh, mais c’est que ça devient sérieux, vous deux, on dirait… Bien sûr que tu peux l’inviter ! Bien sûr… 2- Et ce fut le dimanche suivant. Elles ont d’abord fait connaissance. Parlé un peu de tout. Et ce n’est qu’à la toute fin du repas, alors qu’elles s’étaient bien apprivoisées qu’Irène a lâché… - Alors comme ça, vous le...
Les punitions d'Antoine (2)
il y a 1 an

Ce que femme veut...

- T’en as eu une hier soir ? - Non ! - Menteur ! Fais voir ! Allez, fais voir ! Elle me scrutait longuement le derrière. - Non, il y a rien. C’est pas marrant ! T’es pas marrant ! Ça a duré deux bonnes semaines comme ça. Jusqu’à ce lundi matin-là où, au moment de la rendre en classe, je n’ai pas trouvé, dans mon cartable, ma dissertation de philosophie que j’étais pourtant certain d’y avoir rangée. Le soir, je suis passé chez elle. - J’aurais pas laissé mon devoir de philo chez toi, des fois ? - Si ! - Ah, il est où ? - Là ! Dans la corbeille à papiers. En minuscules petits morceaux. - T’as pas fait ça ! - Ben si, tu vois ! Ah, ça, pour voir, je voyais ! - C’était ce matin que tu devais le rendre ? - Oui. - Tu vas avoir zéro alors… - Ah, ben ça, oui, forcément ! - Et ta mère va te donner une fessée… - Sûrement aussi, oui ! - Chouette ! C’est trop bien. Tu me raconteras ? Je lui ai lancé un regard noir. - T’es fâché ?...
Les punitions d'Antoine
il y a 1 an

Quand votre petite amie découvre que vous êtes fessé...

Ma mère vouait une reconnaissance infinie à la sienne. - Si je ne l’avais pas eue… Si elle ne l’avait pas eue, jamais, disait-elle, au grand jamais elle ne serait devenue celle qu’elle était. Et, entre autres, jamais elle ne serait parvenue à mener ses études à bien. Et à obtenir son CAPES. Puis son agrégation. Jamais. - L’être humain est naturellement paresseux, surtout quand il est jeune, et s’il n’y a pas quelqu’un derrière lui pour le contraindre à travailler et à préparer son avenir, tout part à vau-l’eau. Inéluctablement. Et elle se félicitait, a posteriori, d’avoir reçu de sévères fessées qui l’avaient chaque fois remise dans le droit chemin. - Même en fac j’y ai eu droit. Jusqu’à vingt-deux ans. Et c’était, chaque fois, amplement mérité. Aussi allait-il de soi, dans son esprit, qu’une méthode qui avait donné d’aussi bons résultats avec elle, ne pouvait qu’en donner d’excellents avec moi. Et elle m’a infligé, tout au long de ma scolarité, de vigoureuses et i...
De mari à esclave
il y a 1 an

Comment je suis devenu l'esclave soubrette soumise de ma femme

Nous sommes arrivés sur le lieu ou Maîtresse trouvait qu’il était approprié. Elle s’assit sur le muret au-dessus de la digue, regarda par-dessus. L’espace sur le sable de la plage était libre. Elle descendit par l’escalier de côté y déployer la bâche afin d’y recevoir tout le monde. Nous étions en été et la température était bien chaude en cette soirée de demi-lune. La contre-allée permettait aux voitures de passer au ralenti et ainsi de bien me voir. Puis elle remonta s’asseoir et me dit : « Enlève ton pardessus ». La première chose que l’on voyait était le panneau entre mes seins et ma cage ou était inscrit : « MA MAITRESSE CHERCHE 10 VRAIS MALES POUR ME DEFONCER – 20 € - FILMÉ ». « Tu n’as plus qu’à faire le trottoir, esclave » me dit-elle. Comment j’en étais arrivé là ? Nous nous sommes connus un été en vacances. Elle avait une superbe belle poitrine de bonne taille et un cul avec des formes juste ce qu’il faut. Elle était blonde avec de beaux yeux verts et un migno...
La patronne aime fesser les hommes
il y a 1 an

Piégé par sa patronne, un jeune employé va découvrir malgré lui, qu’elle est une adepte du spanking.

Devenue la patronne de l’entreprise, suite au décès de son père, Lydia la dirige d’une main ferme. Au début les hommes voyaient ça d’un mauvais oeil qu’une femme gère un garage automobile, pour eux, elle ne connaissait rien à la mécanique. Ils ont rapidement changé d’avis et pour cause, avec un diplôme d’ingénieur elle leur a donné quelques cours d’électro-mécanique, afin qu’ils puissent suivre les évolutions technologiques. La secrétaire est rapidement devenue son amie intime, lorsqu’elles sont seules dans les bureaux, les confidences fusent entre femmes. Si bien qu’elles se sont découvert une passion commune : la fessée. La grosse différence entres elles, c’est que Lydia aime les donner et que Martine, c’est les recevoir qui l’a fait vibrer, qui l’excite et parfois même, la conduit à l’orgasme. Il n’est donc pas rare que le soir, après la fermeture du garage, lorsque les hommes sont partis, sous des prétextes fallacieux, Martine s’invente des fautes pour que sa patronne lui do...
Le goût du risque - Partie 4
il y a 1 an

Suite et fin

[Le début de ce récit est ici](/recit/201628) Je ferme les yeux et prends une profonde inspiration pour tenter de contrôler la tension au niveau de mon bas ventre. Le comble de l’humiliation serait que les deux jeunes femmes découvrent mon excitation. Subitement Elodie m’interpelle et m’autorise à sortir du coin. Je me retourne et, instinctivement, je mets les mains devant moi pour protéger le peu d’intimité qu’il me reste. Trop tard. Julie et Elodie ont remarqué l’horizontalité que je tente de dissimuler. Elles échangent un sourire complice et des sueurs froides me font frissonner. - « Les mains dans le dos, mon chou », ordonne Elodie d’une voix douce. Je m’exécute la mort dans l’âme. Je n’ai plus rien à dissimuler. Je baisse les yeux, honteux. Est-ce bientôt la fin ? Elodie me demande de la regarder, ce que je fais difficilement. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas ressenti autant de gêne à devoir regarder quelqu’un dans les yeux. Elle, me fixe sans difficulté. Elle...
Le goût du risque - partie 3
il y a 1 an

Le début d'un étonnant voyage

[Le début de ce récit est ici](/recit/201628) Le temps semble désormais s’éterniser. Je suis toujours debout, à fixer l’angle du mur et je n’entends quasiment plus les deux complices. J’essaie de ne penser à rien et je me concentre sur les aspérités de la cloison. Les irrégularités forment une cartographie que je n’avais jamais remarquée, et je m’imagine un court instant parcourir cette géographie imaginaire. Que s’est-il passé exactement ? Comment Julie a-t-elle fait pour prendre autant d’ascendant sur moi ? J’ai du mal à imaginer ce qui va suivre et pourtant j’en rêve depuis plusieurs années. Un silence lourd s’installe. Je commence à m’inquiéter et me retourne discrètement pour essayer de comprendre ce qu’il se passe. Je ne vois personne et une légère angoisse d’abandon m’envahit. Au lieu de quitter cette position humiliante, j’ai l’étrange reflexe de rester en pénitence comme si j’étais de toute façon surveillé. M’ont-elles abandonné ? « Ça va mon chou ? » Les mots sont chuc...
Une après-midi inoubliable
il y a 1 an

Piégé!

Ce que je voulais faire après le bac ? Langues O. Mes parents se sont efforcés tant qu’ils ont pu de m’en dissuader. Parce que cette filière n’existait qu’à Paris. Et qu’à leurs yeux Paris était la mère de toutes les turpitudes. On s’y égorgeait à tout-va. On s’y massacrait. On s’y violait. On s’y droguait à tous les coins de rue. L’horreur absolue ! Mais, devant ma détermination, ils n’ont pas eu d’autre solution que de céder. Tout en posant leurs conditions. Soit ! Mais ils s’occuperaient eux-mêmes de mon hébergement. Pas question de me laisser m’installer n’importe où, n’importe comment et dans n’importe quelles conditions. Ils ont cherché. Plus d’une semaine durant. Et ils ont fini par me trouver une chambre, dans un quartier tranquille, chez une veuve qui ne demandait pas mieux que d’accueillir un étudiant pour arrondir ses fins de mois. - Tu verras. C’est quelqu’un de très bien. Une vraie grand-mère gâteau. Tu seras comme un coq en pâte là-bas. Et ils m’ont laissé partir...
Appel à l'aide (3)
il y a 1 an

Quand la petite Madame est satisfaite...

Elle était allongée contre moi. Sa main jouait négligemment avec l’un de mes tétons. - C’est fou, ça, quand même ! - Quoi donc ? - Que les choses aient tourné comme elles ont tourné ! Que je prenne mon pied à me faire fouetter. Et plus encore à te voir fouetté, toi ! Rien qu’à y penser, des fois, dans la journée, qu’à revoir la scène, je trempe ma petite culotte. Je sais pas pourquoi ça me fait ça. Ou du moins pourquoi ça me le fait à ce point-là ! Elle a fait ballotter, dans un sens, dans l’autre, ma cage de chasteté. - C’est comme ce truc, là ! D’un côté, c’est frustrant, parce que tu peux pas me baiser, que je peux pas l’avoir dedans, ta queue, mais d’un autre, tu peux pas savoir ce que ça me fait de me dire que tu l’es encore plus que moi, frustré, de pas pouvoir t’en servir. C’est trop génial. Elle s’est serrée contre moi. - Et ce qui l’est encore plus, génial, c’est de pouvoir en parler tous les deux. De pouvoir parler de tout, en fait. Elle a enfoui sa tê...
Le goût du risque - Parie 2
il y a 1 an

Et si la menace était réelle ?

Le cœur emballé, j’avance dans la rue avec un mélange d’appréhension et d’excitation. Depuis quatre ans que je connais Julie, j’ai parcouru des dizaines de fois le trajet entre mon appart et le sien. Dix minutes à pieds dans un quartier que je fréquente depuis toujours. Mais cette fois-ci, même si tout est pareil, tout semble différent. L’air est plus lourd, le bitume s’enfonce sous mes pas et les immeubles gris me toisent de leur hauteur. J’arrive au numéro 9. Quatre étages à grimper, ce n’est rien. Mais arrivé au deuxième, me voilà déjà essoufflé comme un coureur du Col du Tourmalet. Depuis une semaine, la suite m’obsède. J’ai donc fait la fac buissonnière samedi dernier, parce que je trouvais mon lit beaucoup plus confortable. Surtout, parce que j’ai cédé au désir de tester Julie. Est-ce que la menace était sérieuse ? Pour l’instant, je dois dire qu’il ne s’est rien passé. Ou presque. Samedi après-midi, sous le coup de 15h, j’ai reçu un texto de Julie qui ne contenait rien d’autr...
Appel à l'aide (1)
il y a 1 an

Un jeune couple sans volonté...

Léa était en larmes. - Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qui t’arrive ? Je l’ai prise dans mes bras. Et elle s’est blottie contre moi. - On n’y arrivera jamais, Ugo. Jamais. - À quoi ? - À avoir notre maison. - Bien sûr que si ! - Je vois pas comment. Dès qu’on a un peu d’argent, on le dilapide aussi sec. Moi en fringues, en godasses, en trucs de maquillage. Et toi pour ta moto. Alors ! Elle avait vingt-deux ans. J’en avais vingt-quatre. On vivait en couple. Et c’était notre grand projet, acheter une maison. Avec du terrain, mais pas trop. Et de grandes baies vitrées. Pour être chez nous. Ne plus avoir de loyer à payer. Seulement, oui… Elle avait raison. On n’avait aucune volonté. Ni l’un ni l’autre. On dépensait à tout-va. Pour tout. Et n’importe quoi. Elle est revenue sur le sujet le lendemain. - J’ai eu une idée… - Ah… - Mais ça m’étonnerait que tu veuilles. - Dis toujours ! - Faudrait qu’on se fasse aider. - Aider ? Comment ça, aider ? Par...
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