Récits
Selfbondage sous la machine à fessée
il y a 1 an

J’ai testé la machine à fessée en faisant de l’auto bondage mais beaucoup trop testée.

##### Lors de mon séjour au gîte fétichiste, j’ai fait des folies que je n’oublierai jamais. J’ai pris cher mais qu’est-ce que c’était bon ! Au gîte fétichiste, ils disposent d’une machine à fessée. Je leur ai demandé de me la prêter, ce qu’ils ont fait volontiers mais sous réserve de m’expliquer comment elle fonctionne. Une fois les explications données, ils m’ont souhaité « bon jeu » en rajoutant : « et si vous faites un selfbondage hard, n’hésitez pas à nous prévenir au cas où. Comme ça, en cas de loupé, nous pourrons venir vous libérer ». A peine Marc sortit du donjon, comme la machine était installée et semblait me dire « viens jouer avec moi » j’ai baissé mon maillot de bain pour m’installer sur le banc à fessée. Au départ, j’ai mis la machine sur puissance « deux » pour voir ce que cela donne. C’était vraiment trop soft. Je l’ai donc mise sur puissance « cinq » et là, j’ai bien senti la différence même si cela n’était pas hard. Les coups de canne arrivaient régulièreme...
Cours particuliers (1)
il y a 2 ans

Passer ses vacances au même endroit que sa prof de latin, ce n'est pas forcément une sinécure.

En 1958, en classe de seconde, j’ai eu mademoiselle Joubert comme professeur de latin. C’était une grande femme sèche, d’une cinquantaine d’années et d’une extrême sévérité. Elle ne tolérait pas le moindre bavardage, le moindre chuchotement et tenait la paresse pour le péché capital par excellence. Le latin était une matière dans laquelle je ne brillais guère. J’avais en effet, depuis la sixième, accumulé, d’année en année, tant et tant de lacunes que, même avec la meilleure volonté du monde, il m’aurait été impossible de les combler. De la bonne volonté, j’en avais bien un minimum, mais, devant l’énormité de la tâche, je cédais vite au découragement. Mais mademoiselle Joubert ne me lâchait pas. Ne me lâchait jamais. Elle m’interrogeait encore et encore. Et levait les yeux au ciel. ‒ Tu as des possibilités. Seulement, tu es paresseux comme une couleuvre. Il serait temps de t’y mettre, mon garçon, hein ! Il serait vraiment temps. Et je baissais la tête d’un air coupable. Si me...
Cours particuliers (2)
il y a 2 ans

Elle ne lâchera rien.

3- Le surlendemain, le jeudi, c’est l’angoisse chevillée au corps que je me suis à nouveau présenté chez Mademoiselle Joubert. Elle m’avait donné quelques lignes de version à faire. Et elle a estimé, à mon grand soulagement, que je m’en étais « à peu près » bien sorti. Dans la foulée, elle m’a présenté le programme qu’elle avait établi pour toute la durée des vacances. ‒ Révision, étape par étape, de la grammaire dans sa totalité. J’ai intérieurement soupiré, en prenant bien soin de ne rien en laisser paraître, devant l’énormité de la tâche. ‒ Par ailleurs, tu auras deux devoirs à me rendre par semaine. Le mardi, on corrigera le thème et, le jeudi, la version. Si, en ce qui concernait les versions, j’arrivais plus ou moins à me débrouiller, pour les thèmes, par contre, c’était une véritable catastrophe. J’avais beau y consacrer des heures et des heures, les copies que je lui rendais étaient systématiquement truffées de fautes. Elle hochait douloureusement la tête. ‒ ...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 2 ans

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques 2
il y a 2 ans

Cela va se corser pour Henri....

Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie. - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras les clés. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en coûterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses. La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoûtantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté. Il s’imagine les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très c...
Après la ballade
il y a 2 ans

Lorsqu'on a un compagnon déplaisant il faut le lui faire comprendre

Sous un ciel d’éclaircis nous marchons sur un chemin qui sépare un champ d’orge - beige - de cultures maraîchères - vert-violet. J’aime randonner, le contact avec la nature ; cette petite plaine ici me plaît beaucoup. Aujourd’hui j’ai emmené Serge avec moi ; à part ses lamentations ponctuelles cette matinée me plaît. Il nous reste à rejoindre une forêt, la traverser par une petite colline et notre périple d’une demi-journée sera achevé. Le petit topo que l’on m’a confié indique qu’à l’orée du bois il faudra prendre un sentier à gauche. Rendu au point en question, il existe en fait deux sentiers qui montent à gauche. - «Eh bien voilà encore une incertitude ! On prend quel chemin à gauche maintenant ? Il y a eu pleins de complications dans cette ballade ce qui coupe notre rythme. Ça m’énerve !!!» peste Serge. - «Tu râles à nouveau Serge alors qu’on marche tranquillement depuis ce matin. Je te l’ai déjà dit rien de plus détendant que la rando, mais avec toi qui geins...» Cela m’ag...
L'initiation (partie 2/5)
il y a 2 ans

La vue est belle

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Lilian avait un an de moins que moi. Cela dit, il était devenu élève de Kassandra bien avant moi. À peine eut-il ses dix-huit ans qu’il se retrouva dans la salle d’attente de l’éducatrice. Quand je vis son visage, je compris que c’était pour lui aussi une première. Après en avoir reçu l’ordre, Lilian alla se déshabiller et vint se placer en position d’attente à ma droite. — Tu as encore mis en colère Madame Kassandra ! constata celui-ci dans un chuchotement. Nous nous étions croisés chez Kassandra et nous sommes devenus en quelque sorte amis. Amis de circonstance. Chaque fois que nous étions ensemble dans la salle d’attente, celle-ci devenait un havre de bavardages, de plaisanteries et de rires. Si bien que notre éducatrice fit le choix de ne plus nous prendre en rendez-vous le même jour. Ou à minima dans la même demi-journée. Mais peu importe. Nous avions suffisamment de temps libre pour nous voir en dehors de nos tâches ménagèr...
L'initiation (partie1/5)
il y a 2 ans

Suite de l'éducatrice

Préambule Avant que vous commenciez à lire la suite des aventures de Marc, je tiens à apporter quelques remerciements. En premier lieu, je tiens à remercier le webmasteur de ce site ainsi que ses administrateurs. Par leur création et leur travail, ils nous permettent à toutes et tous de nous évader à notre façon et de faire des connaissances (même si pour ma part, j’avoue être quelque peu timide). En second lieu, je tiens à remercier Msoufrir qui a su captiver mon imagination ainsi que mon attention durant de longues semaines avec son histoire. J’attendais chaque soir la suite avec impatience et appréhension pour le héros de son histoire. Je suis convaincu que je ne suis pas le seul dans ce cas. ;). C’est grâce à lui que j’ai franchi le pas pour vous proposer à mon tour une histoire. En troisième lieu, je tiens férocement à remercier LadyKira qui a accepté de créer les illustrations qui accompagneront ce récit. Pour que cela soit possible, elle a eu le droit de lire cette...
Proposition et contre proposition
il y a 2 ans

Proposition simple contre proposition compliquée

Après cette dernière fessée, le temps a passé, il y a eu beaucoup de moments difficiles avec mon ex-femme. Les enfants en commun nous ont obligés à garder des contacts. Au fil du temps, la situation s'est apaisée et nous avons des rapports plutôt cordiaux au point qu'elle me loue sa caravane pour les vacances. Je la taquinais en lui disant que j'aimerai bien qu'elle me donne une fessée. Bien sur, elle répondait qu'il n'en était pas question. Au début du mois de février 2020 elle m'a contacté parce qu'elle avait un problème important. Elle m'expliqua qu'elle voulait déménager, qu'elle et son compagnon avaient trouvé un nouveau logement mais qu'ils avaient un problème financier et qu'ils n'avaient pas assez pour la caution. Elle souhaitait donc un prêt pour pouvoir régler la caution. Somme qu'elle me rembourserait dès que l'ancien propriétaire aurait rembourser la caution de l'ancien logement. C'était une demande surprenante, je pouvais financièrement le faire mais j'y mi...
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 2 ans

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 2 ans

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 2 ans

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
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