Récits
Premières expériences et engrenages :Chapitre 66 : Humiliation ultime
il y a 2 ans

Parfois un engrenage prévu pour de petites charges, par suite d’un écartement parfait des dents, peut en soulever de grandes.

Chapitre 66 : Humiliation ultime - Tu as déjà une idée, n’est-ce pas ? demanda Lady Christine. - Si tes autres valets déchargeaient dans la figure de ta pute, proposa Tata. - Nous avons passé beaucoup de temps à la maquiller, protesta Diane. - Alors, juste dans sa bouche. Regarde, il t’en redemande, ajouta-t-elle, alors que sans instruction, je continuai à la garder ouverte. J’avais l’impression qu’en refroidissant le sperme commençait à me coller à la bouche et aux dents et je n’avais qu’une envie, m’en débarrasser d’un côté ou de l’autre. - Vous serez capable de viser, sans en mettre partout, leur demanda leur patronne. Ayant écouté toute la conversation, tous répondirent par l’affirmative. Aucun n’aurait pris le risque de se voir rejeter de ce jeu qui semblât les amuser grandement. Je dois vous avouer, qu’à ce moment précis, cela ne m’inquiétait, ni ne me dérangeait. Mon esprit était entièrement focalisé sur le mexicain et ce qu’il avait dévoilé un peu plus tôt...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse
il y a 2 ans

Une fois activé et lancé, le plus dur pour un engrenage c’est de savoir l’arrêter, car souvent il ne veut pas lui-même

Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse Dès le début, je sentis que je n’avais plus affaire à mon meilleur ami, intimidé qui ne recherchait qu’une fellation amoureuse. Il s’agissait de deux hommes plus expérimentés qui ne voyaient en moi que de la chair fraiche pour les satisfaire d’un besoin élémentaire. Il n’y avait plus la douceur qu’avait mise Vincent, que je ne décelais que maintenant qu’elle était absente, cachée par la honte, la peur et le dégoût qui saturaient mes sens depuis que j’avais compris ce qui allait m’arriver. Pourtant, je protestais à peine. Je laissai aller mon esprit vagabonder sur les prairies de mon imagination. J’omettais cet instant de mon esprit, comme lui demandant de couper l’enregistrement de ce qui allait suivre, jusqu’à ce que ce soit fini. Ou, si je ne pouvais pas, l’enregistrer dans le cerveau pervers et féminisé de Lassie qui appréciait follement ce qui m’arrivait. Cette part de moi que je refusais de reconnaître malgré le plaisir que je pris à te...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 64 : Tête-à-queue
il y a 2 ans

Quand un nouvel engrenage débute, il ne sait pas plus que nous comment tourneront ses roues lors du premier tour.

Chapitre 64 : Tête-à-queue Vincent passa devant moi. Je fermais les yeux. Peut-être cela serait-il plus supportable comme cela, si je n’en gardai pas l’image en mémoire ? Que devais-je faire maintenant ? Juste ouvrir la bouche ? - Dans quelle situation t’es-tu donc mise, dit-il, usant comme mes maîtresses de ma féminisation pour m’en attribuer le genre. Alors que je voulais répondre, elles me mirent un objet dans la bouche. Cela me fit rouvrir les yeux, juste devant son sexe bandant. Je voyais même à cette distance, le flux et le reflux sanguin qui le faisait tenir droit, horizontal. Je ne pus que le jalouser. Non seulement il était plus gros que le mien, mais il était libre et fonctionnel ! L’appareil dans ma bouche était une sorte d’écarteur qui prit naturellement sa place derrière mes dents avant d’être mis en tension, ouvrant ma bouche, écartant mes mâchoires. Pendant que Ladyscar le manipulait, les autres maîtresses, devant mon corps attaché, ne purent éviter d’en u...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 63 : Trahison
il y a 2 ans

Deux dents s’accouplent ou se mettent en porte-à faux, dans le dernier cas, les contrevenants en subiront les conséquences.

Chapitre 63 : Trahison Vincent mon ami d’enfance ! - Salut, comment tu vas ? me dit-il simplement, comme si nous nous rencontrions par hasard dans notre rue, à une vingtaine de kilomètre de là. Que faisait-il ici ? Avait-il suivi la veille Ladyscar ? S’était-il fait attraper ? Avait-il négocié pour servir de garde-fou, si cela dégénérerait ? - Je vois que tu t’es déjà bien amusé, poursuivit-il en s’approchant de moi. Tu devais me prévenir pour que je ne m’inquiète pas. Tu te rappelles ? - Oui, acquiesçai-je. Mais je ne sais pas comment j’aurai pu. - C’est une excuse ? dit-il. Son ton avait changé. J’allai bien. Je n’avais pas besoin de lui. C’était en même temps rassurant et dérangeant de le savoir ici. - Que fais-tu là ? demandai-je un peu perdu. - C’est Ladyscar qui m’a invité la semaine dernière. Vendredi dernier exactement, quand elle m’a envoyé les photos de toi. - Avant que tu ne m’en parles ? me rappelant qu’il n’avait dit n’en avoir reçu qu’une et...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 62 : Surprises sans fin
il y a 2 ans

L’engrenage ne peut fonctionner si une des roues entrainées et déjà une de celle qui entraine.

Chapitre 62 : Surprises sans fin Cette fois, je décidai de rester plus concentré sur mon travail, pour aller plus vite. Je ne voulais pas subir quatre fois de plus ce que j’avais vécu. Je ne le pourrai d’ailleurs pas. Mais c’était peine perdue. Ces hommes savaient manier leurs mains et me procuraient des sensations d’excitations et de plaisir. Ils prirent moins de temps à s’activer, connaissaient mes points sensibles, ceux qui m’avaient fait le plus vibré. Et si, par la grâce de Dieu, j’arrivai à reprendre, pendant quelques secondes de trop, le contrôle de moi-même, c’étaient Lady Christine et Maîtresse Diane qui pianotaient une nouvelle mélopée sur leur télécommande, remuant les fils invisibles du pantin que j’étais devenu. A travers la vitre, je vis même cette dernière reproduire mes gestes de ses doigts et de sa langue. Ceux qui l’avaient mise en transe, ceux que je lui avais rappelés durant la soirée. Elles non plus ne me donneraient aucun répit. J’arrivai à la troisièm...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 61 : Frottements pernicieux
il y a 2 ans

Le frottement est l’ennemi de l’engrenage, il use et échauffe, c’est tellement mieux bien huilé.

Chapitre 61 : Frottements pernicieux - Maîtresse Diane m’a demandé d’obtenir une échelle auprès du jardinier, dis-je en gardant la voix la plus masculine que je pouvais. Je devais bien avouer, qu’à dix-huit ans, je n’avais pas encore mué autant que je l’aurai voulu en cet instant. C’est alors que les vibrations se mirent en marche. Je me trémoussai, gémissant, devant ces hommes qui me regardaient, me détaillaient, me scrutaient sans rien dire. - Je te l’amène, dit l’un des hommes, un roux avec un accent anglais. Tu me devras un service, ajouta-t-il en me faisant un clin d’œil. Je le remerciai de la tête sans valider ouvertement mon accord dont d’ailleurs je me refusai à deviner à quoi il consentirait. Et j’attendis, résistant aux vibrations qui m’obligeaient à exécuter comme une danse lascive, attrayante de ce que je pouvais percevoir dans les yeux pervers de mes voyeurs. Je m’approchai de la première fenêtre, encore un peu plus près d’eux et déposai le seau. Je n’avais...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres
il y a 2 ans

Quand toutes les roues se mettent à tourner, il devient difficile de contrôler un engrenage.

Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres Ben m’empoigna l’aspirateur des mains, me facilitant la tâche. Il avait déjà installé la servante vers l’une des grandes fenêtres donnant sur le devant de la maison, si j’en croyais mon sens de l’orientation. La fenêtre montait presqu’au plafond. Je m’y dirigeai. Je n’avais jamais nettoyé une vitre de ma vie. Je ne savais même pas comment l’on faisait. Il m’avait montré l’instrument composé d’une brosse et d’un racloir disposé ensemble au bout d’un bras qui pouvait s’allonger. A nouveau, à cause de mes mains attachées entre elles, et malgré son manche télescopique, la brosse n’atteindrait pas le haut de la fenêtre. Je devais reprendre l’escabeau. - Commence par les fenêtres de ce côté d’abord ! m’ordonna maitresse Diane, alors qu’on commençait à y distinguer de l’animation. Je m’y déplaçai, emmenant moi avec la servante le seau et la brosse à vitre, dans un premier temps. Je reviendrai pour l’escabeau. Derrière la fenêtre, l’on pouvait dist...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 29 : jalousie
il y a 2 ans

Le héro est confronté à des fantasmes, plus pervertis que ce qui lui arrive. A force de regarder le trou, on finit par y tomber.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 29 : Jalousie - Laisse-le ! Il n’a pas le choix. Tu vois Christian, notre jeune ami va réfléchir. Nous n’userons pas de la f o r c e. Quel serait l’intérêt d’avoir ces photos et de connaître ses perversions si nous devions en user ? Christian me lâcha à contrecœur, mais resta derrière moi dans une attitude supérieure, prédatrice, dominatrice. Ses mains gigantesques s’apprêtaient à m’attraper à nouveau. Christian était les bras et mon voisin, dont je ne connaissais toujours pas le prénom, le cerveau. Cela promettait. - Nous te laissons une semaine pour décider. Nous repasserons dimanche soir prochain. La propriétaire doit venir durant la semaine suivante, avant noël, l’habitude des étrennes. Cela me laissera le temps de préparer quelques agrandissements. La vieille rombière appréciera. - Maintenant que vos intentions sont claires, vous pouvez sortir de chez moi. Vous n’aurez rien, que des emmerdes si vous venez enco...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 28 : Négociation
il y a 2 ans

Les engrenages s'entrainent et se multiplient. Le héro se sent de nouveau dépassé par les évènements. Y aura-t-il une fin à ses tourments.

Chapitre 28 : Négociation Je regardai par la fenêtre. Il s’agissait encore de mon voisin du quatrième et de son petit ami. J’ouvris la fenêtre pour ne pas les laisser entrer. Si le premier me faisait peur, c’était pire pour le second, mesurant plus d’un mètre quatre-vingt-dix pour probablement près de cent kilos. Poilu, barbu, d’une pilosité noir corbeau, qui aurait pu appartenir à la légion étrangère défilant les quatorze juillets avec sa pioche, il possédait un physique qui m’aurait fait changer de trottoir, si je l’avais croisé un soir. - Qu’est-ce que vous voulez encore ? dis-je méchamment, comme si j’étais occupé, et surtout protégé par le mur nous séparant. - Nous voulions discuter au sujet des photos. - Effacez-les, branlez-vous dessus ou publiez-les mais sachez que, dans ce dernier cas, je porterai plainte ! Le retour chez moi ce weekend m’avait fait du bien. J’étais prêt à en découdre, en tout cas avec ceux que je n’appelais pas maitresse. - D’accord, répondi...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 26 : Le voisin
il y a 2 ans

Le passage au réel l'a pris au dépourvu. Il est trop tard pour éteindre l'ordinateur et se cacher derrière. Apprendre à nager, sans avoir pied, au milieu de la mer, n'est pas sans risque.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 26 : Le voisin L’avantage du cours de sport était qu’il n’était pas mixte. Durant deux heures à ne rien faire sur le banc, je n’eus pas à me méfier des personnes qui me croisaient et c’était reposant. Je craignais juste que Valérie n’en eut parlé à Sébastien, mais son attitude indiquait qu’il ignorait mes perversions, autant que ma personne. Nous terminions par un dernier cours en amphithéâtre. Alors que je me trouvais une place isolée dans les premiers rangs, Valérie fit bouger mon voisin pour s’installer à côté de moi. - Tu risques d’attraper ma maladie, si tu restes près de moi. - Je crois que Nathalie est déjà atteinte, me répondit-elle. - Je parlais de ma grippe. - Ce n’était pas à cause du cours de sport. - Si, avouai-je. Juste à cause de la douche. - J’imagine, me répondit-elle. Comment vas-tu ? Je n’ai pas trouvé le moyen de te le demander hier. Nous t’avons laissé dans un sale état. - Cela va...
J'allais devenir son objet de plaisir 3 sur 3
il y a 2 ans

Le ton monte et cela devient plus hard

[Le début de cette saga est ici](/recit/194863) Nous nous déshabillons et nous nous nettoyons la bite comme vu dans le film. Thomas nous inspecte les uns après les autres. Il prend Marco et fait une démonstration de nettoyage " en direct ". Marco bande. Thomas finit par le branler. Evidemment Marco éjacule. Thomas lui demande de tout nettoyer, avec sa bouche. L'air dégoûté Marco s'exécute. Il a des hauts le coeur, mais il ne veut pas d'une autre correction. Il est à peu près 21 heures quand nous remontons à notre chambre : douche, puis panier à déposer à la lingerie. Nous sommes étonnés en arrivant, Françoise est présente. Nous sommes un peu gêné, d'être nus devant cette femme, mais elle ne semble pas faire attention à nous. Toutefois quand Jean-Luc lui remet son panier, elle regarde fixement sa bite. Nous tentons de cacher notre sexe, mais Thomas nous demande de mettre les mains sur la tête pour retourner dans la chambre. Nous pouvons alors nous coucher. Pour cette deuxième nui...
Il fait de moi une Sissy
il y a 2 ans

Sa féminisation la conduit à changer de sexualité et à faire des rencontres

Vous savez ce que c’est le problème de se sentir seul quand on est un mec ? C’est qu’on a sans arrêt envie de se branler. Dès que je me retrouve seul chez moi, c’est le même rituel : je ferme ma porte à clef, tire les rideaux de la chambre, allume mon PC et me paluche devant un porno. Ce qui est bien c’est que je suis assez ouvert niveau porno, parfois je vais avoir envie de regarder des lesbos se rouler des pelles et se brouter le minou, parfois c’est des belles déesses d’ébènes se faire du prendre par des grosses bites black, enfin bref j’aime tout. Un jour où je n’étais pas inspiré, j’ai traîné en long et en large sur mon site de porno préféré et j’ai découvert une catégorie qui m’étais inconnue et qui a changé ma vie : la catégorie « crossdresser ». J’ai regardé mon premier porno avec une belle travestie, toute de rose vêtue avec une toute petite bite qui pendouillait dessous sa jupette. J’ai empoigné machinalement ma bite et je me suis branlé face à ce cul de travelo en t...
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