Récits
Ginette
il y a 3 ans

Confessions sur la dysphorie de genre

Quand il rentrait chez lui avec de mauvaises notes, devait s'habiller en fille. Ma triste histoire... Je suis née en 1930 dans une famille bourgeoise, pudibonde, janséniste... fanatiquement catholique et c'est pour cela que j'ai tant souffert car dès ma plus tendre enfance, je pleurais le soir dans mon lit de ne pas être une fille comme ma soeur dont je mettais les robes en cachette. Au collège, alors que j'avais sept ou huit ans, je me suis lié d'amitié avec un garçon de ma classe qui, quand il rentrait chez lui avec de mauvaises notes, devait s'habiller en fille (punition très fréquente à l'époque) avant de recevoir le martinet, le soir, en guise de dessert et il devait rester "enjuponné" jusqu'à ce qu'il revienne avec un bon bulletin. Un samedi, alors que sa maman m'avait invitée à passer le week-end, il avait reçu un mauvais bulletin et avant même de se mettre à table, il avait dû aller se changer et est revenu tout rouge de honte. J'ai failli me mettre à pleurer... d'en...
Pourquoi j’ai décidé d’en faire une sissy
il y a 3 ans

Suprematiefeminine et sissification

Mon mari quitta la maison quelques années seulement après notre mariage, me laissant seule avec le fils qu’il avait eu d’une précédente union. Le voyou commença alors à se prendre pour le chef de la maisonnée et me posa de plus en plus de problèmes au fil du temps. Excédée par son comportement de plus en plus irrespectueux envers moi, je décidais de mettre un terme à cette situation en mettant mon beau-fils au pas. Je ne savais pas encore comment j’allais obliger mon beau-fils à m’obéir quand le destin me montra la direction à prendre. J’étais dans mon salon de beauté habituel quand deux femmes, la mère et la fille, entrèrent. On installa la mère à côté de moi pendant que la fille, un joli brin de femme brune, accaparait toute l’attention de l’esthéticienne. La jeune fille semblait timide et parlait peu, mais la mère était plus loquace et nous nous mîmes à discuter avec animation. La conversation nous mena rapidement sur le sujet des e n f a n t s. Je lui parlais des soucis qu...
Ile d'Hélène
il y a 3 ans

Histoire vraie de bondage et TV

J'aimerais vous parler d'une expérience très effrayante que j'ai eue. Peu de temps après que mon intérêt pour le bondage à la télévision soit devenu très fort, j'ai ressenti le besoin de photos de bondage en extérieur. Ma femme ne participe pas, donc tout mon esclavage est auto-appliqué. L'emplacement était le sud de l'Alabama au milieu des années 60. Vous ne vouliez pas vous faire prendre parce qu'il n'y avait pas de libéraux en Alabama à cette époque. Les plans étaient tous faits, c'était un jour de semaine, donc les e n f a n t s étaient tous à l'école et la saison de chasse était fermée. L'emplacement était une île fortement boisée sur une rivière sinueuse peu profonde entourée de bois afin que personne ne se promène dans la région. Tout était parfait et sûr. J'ai roulé aussi près que possible dans mon camping-car, puis je suis allé à l'arrière pour mettre mon soutien-gorge, mon serre taille, mon porte-jarretelles, mes bas et ma culotte, puis mes vêtements masculins par-dessus....
Féminisé par sa propriétaire FIN
il y a 3 ans

Une nouvelle vie professionnelle

Féminisé par sa propriétaire 3 Une nouvelle vie professionnelle Le lendemain fut mon premier jour au magasin. Ce fut aussi le premier jour de ma nouvelle existence. Aussi loin que je me souvienne, c'est à dater de cette journée que je me mis à parler naturellement, et surtout à penser à moi, au féminin. Pour la circonstance, je portai une robe bleue avec une ceinture, des collants chair et des chaussures à talons à bride adaptées à la saison. Marchant dans la rue avec Catherine, nous tenant le bras comme deux filles, j'eus pour la première fois de ma vie cette impression curieuse de me sentir presque femme. Je sentais que ma poitrine faisait partie intégrante de mon corps, que mon entrejambes s'était subitement allégé ! Arrivé au magasin, ce fut le début de mon apprentissage, il me fallut tout apprendre : les différents articles (lingerie de jour, de nuit, lingerie classique, sexy, de maintien et même les tiroirs très fétichistes réservés au articles en cuir). Je dus apprendre...
Féminisé par sa propriétaire 2
il y a 3 ans

Un changement de vie s’opère

Au cours de la journée, je m'aperçus d'un changement de comportement chez Sophie, elle me demandait conseil sur les vêtements qu'elle essayait, me demandant parfois de l'aider, comme si nous étions très intimes. Je me pris au jeu et avouai y trouver du plaisir. Comme la fois précédente, nous finîmes dans le magasin de lingerie fine, cette fois Sophie hésita encore moins à me demander mon avis sur ses choix. Cela semblait naturel, il n'y avait aucune gêne entre nous. A un moment la vendeuse s'absenta nous laissant seuls dans le magasin. - Laurent ? - Oui ? - Si nous en profitions pour acheter vos propres articles ? - Mais .. - Allons, ne me dis pas que tu ne comprends pas, que cela ne te tente pas, me dit-elle en me tutoyant pour la première fois. J'ai bien vu le plaisir que tu avais à porter un article de femme, et surtout à le montrer pour que l'on te voit. Je suis sure que tu aimerais aller plus loin. Je ne dis rien, je savais au fond de moi qu'elle avait raison, que...
Féminisé par sa propriétaire
il y a 3 ans

Un étudiant tombe entre les mains d’une veuve coquine

Jeune étudiant en première année, je dus, comme de nombreux collègues chercher un logement en ville. Mes moyens ne me permettaient malheureusement pas de trouver un appartement à moi, je fus obligé de trouver une chambre chez l'habitant. Après avoir consulté la liste des propositions disponible au centre universitaire, je commençai à faire le tour des propriétaires. Je préférais orienter ma recherche vers les femmes seules, non pas pour en profiter, mais bien entendu pour m'assurer une plus grande autonomie, et surtout ne pas avoir à vivre à proximité d'un carcan familial externe. Il faut dire qu'à cette époque, on trouvait encore de nombreux logements de ce type. Des femmes seules préféraient avoir un locataire à proximité, ce qui leur apportait une certaine sécurité. Généralement ces femmes donnaient la préférence aux filles, j'étais quand même décidé à tenter ma chance. Je venais de quitter ma famille, et mes parents avaient consenti à m'aider pendant un an, charge pour moi d...
La première peur en selfbondage travesti
il y a 3 ans

Confidences érotiques d’une jeune TV pratiquant l'auto bondage

Je suppose que j'avais environ 11 ou 12 ans quand j'ai réalisé pour la première fois que j'avais un intérêt pour la servitude. Naturellement, j'ai gardé ma découverte cachée. Mais à partir de ce moment, les après-midi seuls dans ma chambre sont devenus mon laboratoire d'expérimentation ainsi que toute une ribambelle de repaires de ravisseurs imaginaires. Ces premières années, rétrospectivement, n'étaient également guère plus que des jeux légers et des fantasmes. J'avais bien trop peur pour vraiment essayer quelque chose qui ressemble à la vraie chose. Mais ensuite, juste après mon 17e anniversaire, je me suis retrouvée devant l'opportunité de profiter d'une semaine seule à la maison. J'avais les moyens. J'en ai eu envie. J'ai donc décidé qu'il était temps d'arrêter de rêver et de commencer à faire. Un magazine sur lequel j'étais tombé par hasard, au titre oublié depuis longtemps, illustrait un hogtie assez similaire à ce qui est décrit dans ce site même, sauf qu'il présentait l'...
Dure est la condition féminine
il y a 3 ans

Un supercherie qui change une vie

Vendredi 20 mars 1942, étude Maître X, boulevard Saint-Germain, Paris, 15 heures. Toute la famille en grand deuil est assemblée. Les sièges forment amphithéâtre autour du bureau du notaire. Les postures compassées sont démenties par le regard concentré de mes oncles et tantes et de ma mère sur l’enveloppe que le notaire caresse tout en parlant. Il parle du défunt, des regrets qu’il laisse, de son amitié pour lui, mais pas un mot de l’héritage. Les mains soignées de Maître X continuent à lisser l’enveloppe. Enfin le notaire saisit le coupe-papier, il va ouvrir l’enveloppe… Non, il s’arrête, prend sa respiration et ajoute : - Avant de vous donner lecture des dispositions testamentaires de votre parent, je dois vous rappeler, que le défunt était libre du choix de son héritier du fait qu’il n’avait reconnu aucun d’entre vous, ce qui fait de vous des enfants adultérins à supposer que vous soyez même en mesure de faire valoir ce titre. Comme par ailleurs, il était veuf et sans descendanc...
Ma fille Manon
il y a 3 ans

Une troublante histoire de dysphorie de genre

Une mère accouche d'un garçon alors qu'elle voulait une fille, de ce fait elle va inviter son fils à devenir une fille .. Je suis en train de coiffer les magnifiques cheveux blonds de ma fille Manon. Elle est nerveuse. C'est la rentrée des classes. Elle a dix-sept ans. Elle est très jolie, très féminine. Je suis vraiment fière d'elle… Et si heureuse de partager ces moments privilégiés avec elle. Elle retouche une dernière fois son maquillage discret. Nos regards se croisent dans le miroir. Elle me sourit, mais j'ai l'impression de lire de la tristesse dans ses superbes yeux. Est elle malheureuse? Est-ce qu'elle m'en veut? Je ne sais pas. A chaque fois que j'ai essayé d'en parler avec elle, elle m'a simplement dit: "Je t'aime, maman". Je me pose souvent des questions. Par moments, je me dis que je suis une maman horrible, que j'ai fait tout ça par pur égoïsme… J'aimerais être absolument sûre que Manon est heureuse. Pourquoi tant d'interrogations ? Pourquoi tant de scrupules? Po...
L’école des filles imposée à un garçon 3
il y a 3 ans

Petticoat Punishment

Quand Dominique revint le soir à la maison. Il eut l'impression que sa chambre avait été rangée. Initiative de la femme de chambre ? Surprenant, car au contraire, Dominique faisait les tâches ménagère pour apprendre son métier de maîtresse de maison, tout en satisfaisant au sadisme de sa cousine. C'était lui qui faisait le ménage dans sa propre chambre, faisait son lit, comme dans la chambre d'Agathe. Quand celle-ci avait quelque chose à repasser, elle le confiait à Dominique. Tout cela dans l'uniforme noir à jupe droite, veste cintrée, tablier bordé de dentelle et petite coiffe assortie au tablier. Tante Julie avait accepté le port des bas et des escarpins imposé par Agathe. Au début ces changements d'uniforme, jupe plissée pour l'école, uniforme de soubrette à la maison, l'irritaient. Mais on s'y habitue vite. Le matin il était autorisé à servir le petit déjeuner à sa tante et à Agathe en chemise de nuit. A la longue, son régime s'assouplit : il ne mettait son uniforme que pour fa...
L’école des filles imposée à un garçon 2
il y a 3 ans

Petticoat Punishment

Arriva l'été. Le rouquin invita Dominique à Saint-Tropez. Cette station commençait à être connue. Le rouquin savait que si Dominique venait, il aurait automatiquement Agathe en prime. Cela lui convenait parfaitement. Ils partirent un matin dans la Facel Vega des parents du rouquin par la route Napoléon. Dominique avait obtenu d'Agathe qu'elle se mît aussi en robe. Le rouquin entrevoyait un été chaud, c'est ce qu'il se disait en suivant ses parents en donnant le bras à deux canons au Lion d'Or à Saulieu. Il avait pour sa consommation Agathe sous la main et deux pin ups, comme on disait à l'époque, comme monnaie d'échange pour se faire inviter partout. Le fait que Dominique fût une chimère ne lui posait aucun problème pour passer ce marché. Tantôt Dominique serait une monnaie d'échange tantôt un pote avec qui il conservait une relation complice et un langage de charretier. Toujours est-il qu'en entrant dans le restaurant il tenait ses deux filles les considérant comme des escort girl...
L’école des filles imposée à un garçon
il y a 3 ans

Petticoat Punishment la discipline du jupon

L'histoire sera postée en 3 parties si vous êtes sage ou alors, vous serez vous aussi discipliné de la même façon. Dominique vivait à Aurillac. Il était alors âgé de 13 ans. C’était un garçon frêle et malgré sa stature, ou à cause d’elle, fort agité. Il était blond et mesurait un mètre quarante, près de dix centimètres de moins que les garçons de son âge. Orphelin de père depuis cinq ans, il n’avait connu aucune autorité paternelle. Sa mère, timide et faible caractériellement, n’avait de fait jamais réussi à asseoir son autorité sur lui. Or Dominique compensait sa faiblesse physique par sa hardiesse. Il était en plus servi par rapport à ses camarades de classe par le fait qu’il avait pris deux solides années de retard à l’école. Il était donc en 6e à 13 ans alors qu’il aurait dû être en quatrième s’il avait suivi le cursus de la plupart des e n f a n t s. Pas inintelligent, en vérité, mais cancre, qualité appuyée sur une répulsion très sincère et parfaitement opiniâtre pour le...
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