Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner
il y a 2 ans

Le choix des matières d’un engrenage est essentiel, ductilité, résistance à l’usure, type de lubrifiant, tout est réfléchi, pensé.

Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner Ladyscar m’ôta les pinces. Cette fois la douleur était sans commune mesure. Je les avais gardées trop longtemps et ce n’étaient plus les jouets de débutants qu’elle m’avait offerts quinze jours auparavant. Je me frottais longuement les tétons sans qu’aucune maîtresse ne me le proscrive. J’espérai qu’elles poursuivraient le démontage, mais à part de dévisser les crins de cheval du plug et de ne me remettre ni le bâillon ni le masque, je gardais la même tenue que ce matin. Outre les vêtements féminins, il me restait l’attirail au centre de mon corps, le plug anal, la cage électrique et les poids alourdissant mes testicules. Ben redescendit avec une robe d’été bleue un peu transparente. Elle était courte, élastique et très moulante. Elles se mirent à plusieurs pour me l’enfiler. - Le plug est trop visible, dit Ladyscar. - C’est un problème ? demanda Tata Marguerite, usant d’un ton démentant la question-même. - C’est dommage qu’on lui enfi...
Poussé sur la scène
il y a 2 ans

Obligé de s'habiller comme une fille

Quand j'étais jeune, j'avais l'habitude d'aller occasionnellement dans le New Jersey et de rester avec ma tante (la sœur de ma mère) et ses deux filles, en particulier après la m o r t de ma mère. Sheila avait mon âge et Denise avait 2 ans de moins. Je les ai toutes aimées et nous avons généralement passé un bon moment. Lors d'une visite quand j'avais 14 ans, je n'étais pas plus tôt arrivé que ma tante m'a attrapé et m'a emmené dans la cuisine pour discuter de quelque chose de "très important". Elle a dit qu'un ami proche et voisin de la ville avait écrit une pièce qui allait être jouée dans la maison de théâtre de la ville samedi soir. Dans l'une des scènes, un a d o l e s c e n t est obligé de s'habiller comme une fille, y compris des sous-vêtements de fille et une robe à froufrous avec une jupe ample et des jupons. Une fille dans la pièce tire ensuite sa jupe révélant sa culotte à froufrous. Le garçon qui devait jouer ce rôle venait de se retirer parce qu'il avait peur des...
Premières expériences et engrenages :Chapitre 66 : Humiliation ultime
il y a 2 ans

Parfois un engrenage prévu pour de petites charges, par suite d’un écartement parfait des dents, peut en soulever de grandes.

Chapitre 66 : Humiliation ultime - Tu as déjà une idée, n’est-ce pas ? demanda Lady Christine. - Si tes autres valets déchargeaient dans la figure de ta pute, proposa Tata. - Nous avons passé beaucoup de temps à la maquiller, protesta Diane. - Alors, juste dans sa bouche. Regarde, il t’en redemande, ajouta-t-elle, alors que sans instruction, je continuai à la garder ouverte. J’avais l’impression qu’en refroidissant le sperme commençait à me coller à la bouche et aux dents et je n’avais qu’une envie, m’en débarrasser d’un côté ou de l’autre. - Vous serez capable de viser, sans en mettre partout, leur demanda leur patronne. Ayant écouté toute la conversation, tous répondirent par l’affirmative. Aucun n’aurait pris le risque de se voir rejeter de ce jeu qui semblât les amuser grandement. Je dois vous avouer, qu’à ce moment précis, cela ne m’inquiétait, ni ne me dérangeait. Mon esprit était entièrement focalisé sur le mexicain et ce qu’il avait dévoilé un peu plus tôt...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse
il y a 2 ans

Une fois activé et lancé, le plus dur pour un engrenage c’est de savoir l’arrêter, car souvent il ne veut pas lui-même

Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse Dès le début, je sentis que je n’avais plus affaire à mon meilleur ami, intimidé qui ne recherchait qu’une fellation amoureuse. Il s’agissait de deux hommes plus expérimentés qui ne voyaient en moi que de la chair fraiche pour les satisfaire d’un besoin élémentaire. Il n’y avait plus la douceur qu’avait mise Vincent, que je ne décelais que maintenant qu’elle était absente, cachée par la honte, la peur et le dégoût qui saturaient mes sens depuis que j’avais compris ce qui allait m’arriver. Pourtant, je protestais à peine. Je laissai aller mon esprit vagabonder sur les prairies de mon imagination. J’omettais cet instant de mon esprit, comme lui demandant de couper l’enregistrement de ce qui allait suivre, jusqu’à ce que ce soit fini. Ou, si je ne pouvais pas, l’enregistrer dans le cerveau pervers et féminisé de Lassie qui appréciait follement ce qui m’arrivait. Cette part de moi que je refusais de reconnaître malgré le plaisir que je pris à te...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 64 : Tête-à-queue
il y a 2 ans

Quand un nouvel engrenage débute, il ne sait pas plus que nous comment tourneront ses roues lors du premier tour.

Chapitre 64 : Tête-à-queue Vincent passa devant moi. Je fermais les yeux. Peut-être cela serait-il plus supportable comme cela, si je n’en gardai pas l’image en mémoire ? Que devais-je faire maintenant ? Juste ouvrir la bouche ? - Dans quelle situation t’es-tu donc mise, dit-il, usant comme mes maîtresses de ma féminisation pour m’en attribuer le genre. Alors que je voulais répondre, elles me mirent un objet dans la bouche. Cela me fit rouvrir les yeux, juste devant son sexe bandant. Je voyais même à cette distance, le flux et le reflux sanguin qui le faisait tenir droit, horizontal. Je ne pus que le jalouser. Non seulement il était plus gros que le mien, mais il était libre et fonctionnel ! L’appareil dans ma bouche était une sorte d’écarteur qui prit naturellement sa place derrière mes dents avant d’être mis en tension, ouvrant ma bouche, écartant mes mâchoires. Pendant que Ladyscar le manipulait, les autres maîtresses, devant mon corps attaché, ne purent éviter d’en u...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 63 : Trahison
il y a 2 ans

Deux dents s’accouplent ou se mettent en porte-à faux, dans le dernier cas, les contrevenants en subiront les conséquences.

Chapitre 63 : Trahison Vincent mon ami d’enfance ! - Salut, comment tu vas ? me dit-il simplement, comme si nous nous rencontrions par hasard dans notre rue, à une vingtaine de kilomètre de là. Que faisait-il ici ? Avait-il suivi la veille Ladyscar ? S’était-il fait attraper ? Avait-il négocié pour servir de garde-fou, si cela dégénérerait ? - Je vois que tu t’es déjà bien amusé, poursuivit-il en s’approchant de moi. Tu devais me prévenir pour que je ne m’inquiète pas. Tu te rappelles ? - Oui, acquiesçai-je. Mais je ne sais pas comment j’aurai pu. - C’est une excuse ? dit-il. Son ton avait changé. J’allai bien. Je n’avais pas besoin de lui. C’était en même temps rassurant et dérangeant de le savoir ici. - Que fais-tu là ? demandai-je un peu perdu. - C’est Ladyscar qui m’a invité la semaine dernière. Vendredi dernier exactement, quand elle m’a envoyé les photos de toi. - Avant que tu ne m’en parles ? me rappelant qu’il n’avait dit n’en avoir reçu qu’une et...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 62 : Surprises sans fin
il y a 2 ans

L’engrenage ne peut fonctionner si une des roues entrainées et déjà une de celle qui entraine.

Chapitre 62 : Surprises sans fin Cette fois, je décidai de rester plus concentré sur mon travail, pour aller plus vite. Je ne voulais pas subir quatre fois de plus ce que j’avais vécu. Je ne le pourrai d’ailleurs pas. Mais c’était peine perdue. Ces hommes savaient manier leurs mains et me procuraient des sensations d’excitations et de plaisir. Ils prirent moins de temps à s’activer, connaissaient mes points sensibles, ceux qui m’avaient fait le plus vibré. Et si, par la grâce de Dieu, j’arrivai à reprendre, pendant quelques secondes de trop, le contrôle de moi-même, c’étaient Lady Christine et Maîtresse Diane qui pianotaient une nouvelle mélopée sur leur télécommande, remuant les fils invisibles du pantin que j’étais devenu. A travers la vitre, je vis même cette dernière reproduire mes gestes de ses doigts et de sa langue. Ceux qui l’avaient mise en transe, ceux que je lui avais rappelés durant la soirée. Elles non plus ne me donneraient aucun répit. J’arrivai à la troisièm...
Confessions d’un soumis chanceux fétichiste du corset et des chaussures
il y a 2 ans

L’histoire d’un couple réel fétichiste dont le mari va être féminisé et dominé par 2 Maîtresses avant de se retrouver sous cage de chasteté H24.

##### Message à l’attention des lecteurs. J’ai l’autorisation de publier cette histoire de vie d’un couple bien réel que j’aurai peut-être le plaisir de recevoir [au gîte fétichiste](http://gitefetichistes.com/). Par discrétion, je garderai évidement pour moi leurs coordonnées. Il est donc inutile de me les demander. #### Résumé de cette très belle histoire La vie de couple d’un fétichiste des chaussures et du corset évolue lentement vers la soumission, et la féminisation totale ainsi que la chasteté. Une TRES belles histoire d’Amour et de vie à savourer sans modération. Chapitre 1 : Période de jeunesse, Cathie En remontant dans ma mémoire, je pense que j’ai toujours été profondément fétichiste. Mes premiers souvenirs précis sont vers mes 10 ans avec une jeune femme qui venait s’assoir sur un banc en face de chez nous. Je pouvais longuement regarder avec émotion ses longues jambes gainées de collants noir et ses chaussures à talons. A cet âge, ce n’était pas encore d...
Les vêtements de fille m'étaient réservés comme punition
il y a 2 ans

Subir la discipline du jupon

De Daniel à Danaé. J'étais très jeune lorsque ma tante a dû s'occuper de mon éducation suite au décès de ma mère. Ma tante n'avait eu qu'une fille, ma cousine Nadine; elle n'avait pas l'habitude d'élever des garçons et ça lui faisait un peu peur. Vers cinq ou six ans, je me suis retrouvé habillé en fille chaque week-end: de son avis, de celui de sa fille et de ses amies, j'étais tellement plus mignon en petite robe. J'avais de longs cheveux, de longs cils : il n'en fallait pas plus pour que tout le monde me prenne pour une fille. Peu après, j'ai signifié à ma tante que je désirais désormais être habillé en garçon, même le week-end. A regret, elle m'a exaucé, même si, de temps à autre, je devais faire une concession : mettre une jupe lorsque son amie venait à la maison. Celle-ci me couvrait de compliments et de baisers : elle me trouvait si adorable ! Vint un jour où je n'acceptai plus de concessions. C'est à partir de ce temps-là que les vêtements de fille m'étaient réservés...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 61 : Frottements pernicieux
il y a 2 ans

Le frottement est l’ennemi de l’engrenage, il use et échauffe, c’est tellement mieux bien huilé.

Chapitre 61 : Frottements pernicieux - Maîtresse Diane m’a demandé d’obtenir une échelle auprès du jardinier, dis-je en gardant la voix la plus masculine que je pouvais. Je devais bien avouer, qu’à dix-huit ans, je n’avais pas encore mué autant que je l’aurai voulu en cet instant. C’est alors que les vibrations se mirent en marche. Je me trémoussai, gémissant, devant ces hommes qui me regardaient, me détaillaient, me scrutaient sans rien dire. - Je te l’amène, dit l’un des hommes, un roux avec un accent anglais. Tu me devras un service, ajouta-t-il en me faisant un clin d’œil. Je le remerciai de la tête sans valider ouvertement mon accord dont d’ailleurs je me refusai à deviner à quoi il consentirait. Et j’attendis, résistant aux vibrations qui m’obligeaient à exécuter comme une danse lascive, attrayante de ce que je pouvais percevoir dans les yeux pervers de mes voyeurs. Je m’approchai de la première fenêtre, encore un peu plus près d’eux et déposai le seau. Je n’avais...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres
il y a 2 ans

Quand toutes les roues se mettent à tourner, il devient difficile de contrôler un engrenage.

Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres Ben m’empoigna l’aspirateur des mains, me facilitant la tâche. Il avait déjà installé la servante vers l’une des grandes fenêtres donnant sur le devant de la maison, si j’en croyais mon sens de l’orientation. La fenêtre montait presqu’au plafond. Je m’y dirigeai. Je n’avais jamais nettoyé une vitre de ma vie. Je ne savais même pas comment l’on faisait. Il m’avait montré l’instrument composé d’une brosse et d’un racloir disposé ensemble au bout d’un bras qui pouvait s’allonger. A nouveau, à cause de mes mains attachées entre elles, et malgré son manche télescopique, la brosse n’atteindrait pas le haut de la fenêtre. Je devais reprendre l’escabeau. - Commence par les fenêtres de ce côté d’abord ! m’ordonna maitresse Diane, alors qu’on commençait à y distinguer de l’animation. Je m’y déplaçai, emmenant moi avec la servante le seau et la brosse à vitre, dans un premier temps. Je reviendrai pour l’escabeau. Derrière la fenêtre, l’on pouvait dist...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 59 : Tâches ménagères
il y a 2 ans

Un engrenage de qualité est efficace, son travail est reproductible et son résultat parfait.

Chapitre 59 : Tâches ménagères - Merci. Mais rappelle-toi que je suis un homme. Il secoua la tête. - Pas ce matin, dit-il. Comme avec mes voisins, je craignais qu’il ne cherche à me forcer la main, et pas seulement cette partie de mon corps. Enfermé dans ce placard, je n’étais pas en position de lui résister. Mais il dut penser à ce que Maitresse Diane ou Ladyscar lui ferait, car il tourna la tête vers le salon et son regard redevint celui du soumis sans résistance qu’il était. - Que dois-je prendre ? lui demandai-je, à part mes jambes à mon coup pensai-je derrière. Il m’indiqua différents éléments et leur utilisation. Il me montra aussi la servante à roulette pour les y mettre. Déjà nous n’étions pas le premier samedi du mois et j’évitai donc les cuivres. - C’est quoi cette histoire de fenêtres ? Combien y-a-t-il de serviteurs ici. Maîtresse Diane vit seule ? - Oui elle est veuve, répondit-il à la dernière question. Son mari était très riche, mais il est mort....
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