Récits
Alyssia, ma femme (5)
il y a 2 ans

Un mois de vacances. Ce sera long sans l'amant.

Elle s’était occupée de tout. -  C’est pas plus mal que t’aies la surprise… Avait choisi le point de chute. - Tu verras… Au calme. En pleine campagne. Mais à proximité d’une grande ville quand même. Qu’on puisse sortir si on a envie. Aller visiter des trucs. Et préparé les valises. - On est opérationnels. Il y a plus qu’à embarquer. Demain matin. Aux aurores. Mais avant… je peux te demander quelque chose ? Seulement te sens pas obligé. Faut que tu me dises carrément. Ça t’embêterait s’il venait Benjamin ? - Avec nous ? En vacances ? - Ça, c’est pas possible, non. Il y a sa femme. Et ses enfants. Non. Ici, ce soir. Parce que faut pas trop que j’y compte qu’il réussisse à se libérer quand on sera là-bas, à ce qu’il m’a dit. Et je vais pas le voir d’un moment, du coup. - Évidemment qu’il peut venir ! Elle m’a sauté au cou. - T’es un amour ! A tapé un SMS en toute hâte. Et s’est engouffrée dans la salle de bains. On a attendu tous les deux, lui et moi, de concer...
Alyssia, ma femme (4)
il y a 2 ans

Le mari et l'amant font connaissance.

- Tu seras là ce soir, je suppose. Dans la chambre d’à côté. - Peut-être. Sûrement. - T’aimes ça m’entendre, hein ? - De plus en plus. Ça t’ennuie ? - De moins en moins. Et même… - Oui ? - Je crois que maintenant ça me manquerait que tu sois pas là. Je l’ai prise dans mes bras. - J’aime ton plaisir. Même si c’est pas moi qui te le donne. Nos lèvres se sont brièvement effleurées. - Et moi, j’aime que tu l’aimes. Elle s’est doucement dégagée. - Faut que j’aille me préparer. Si je veux pas le faire attendre. 2- C’est moi qui ai attendu. Jusqu’à huit heures. Ils ont monté les bagages dans la chambre et ils ont décidé de descendre aussitôt dîner. - Mais avant… - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je te déculotte. Tu sais ce qu’on avait dit. - Mais pas déjà ! Pas aujourd’hui ! - Ben, pourquoi ? - Mais parce que… - Si je t’écoute, on le fera jamais. T’auras toujours une excellente raison. Allez, route ! - Laisse-moi changer de jupe au moins. Mettre...
Alyssia, ma femme (3)
il y a 2 ans

Entre cocue et cocu on peut facilement s'entendre.

Le mercredi, elle m’a appelé. Sur le coup de midi. - Alex ? Je voulais te dire… Ne m’attends pas ce soir. Benjamin a une opportunité. Alors on la saisit. - Tu rentres plus tard ou tu rentres pas du tout ? - Pas du tout. On va rester dormir là-bas. - Au petit castel ? - Au petit castel, oui. Pourquoi ? - Non. Pour rien. Vous auriez pu avoir envie de changer. - Ben, non, tu vois ! Dis-moi… - Oui ? - Toi, tu… ? - Si je vais venir ? Dans la chambre d’à côté ? Peut-être. Je sais pas encore. Elle est arrivée toute seule. La première. En chantonnant. S’est aussitôt précipitée dans la salle de bains. Quand elle en est sortie, trois quarts d’heure plus tard, elle chantait toujours. Il a presque aussitôt surgi. Un long silence. Et puis… - Qu’est-ce t’avais de si important à me dire ? - J’avais envie de te voir. Tellement. - De me voir ou de te prendre un bon petit coup de queue ? - Oh, Benjie… - C’est pas ça, peut-être ? - Aussi, oui, mais pas seulement. - C’est loin v...
J’ai léché le sperme dans sa culotte
il y a 2 ans

Les confessions érotiques d’un candauliste

Ce matin, sur le lit défait, gisait sa culotte, jetée, ébouriffée. Une confection rose en dentelle et en satin, elle est faite de presque rien. Une poignée de merveilles froissées, une couverture intime et minuscule pour son sexe. Je les ai touchées, les yeux fermés, et j’ai senti le glaçage gluant de son sperme. J’ai senti, les yeux fermés, ce qui avait été laissé là, un marqueur de ce qu’il avait pompé en elle. Je ne peux pas dire pourquoi je les ai approchés ainsi, par le toucher. Peut-être était-ce parce que voir ses résidus aurait été trop fort ? Peut-être que de le voir scintiller sur sa dentelle de confiserie aurait été trop terrible. Et si c’était épais, et copieux, et gluant, je pourrais… avoir besoin de le lécher. Je pourrais avoir besoin de faire plus que ce que j’ai fait soudainement, en pliant les yeux fermés pour sentir sa visite. J’aurais pu balayer la culotte et lécher et lécher jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de sa semence infecte. Carol couchait avec Richard, m...
Alyssia, ma femme (2)
il y a 2 ans

Un mari qui laisse sa femme s'épanouir comme elle l'entend.

Les Pages Jaunes. Les hôtels. Dans un rayon de trente kilomètres. Puis de cinquante. « Le petit Castel » Voilà. J’ai pris ma matinée. C’était donc là. Une coquette petite auberge dans un parc aux arbres centenaires. Un couple déjeunait sous la glycine. La femme m’a souri. Je me suis installé à la table voisine de la leur, me suis fait apporter un café-crème et des croissants que j’ai tranquillement dégustés, la tête levée vers la rangée des fenêtres là-haut. À la réception j’ai attendu un long moment. Fini par sonner. - Monsieur ? - Une chambre pour samedi soir, ce serait possible ? - Mais certainement ! En façade ou sur l’arrière ? - J’aurais souhaité, si elle est libre, la 123. - Elle l’est… - C’est parfait. Je la prends. 2- Elle se coupait les ongles des orteils, dans la salle de bains, un pied posé sur le tabouret, la joue appuyée sur le genou. - Et pour les Vacances cet été ? - Eh bien ? - On va toujours à Vienne ? - Évidemment qu’on va toujours à Vienne. Po...
Alyssia, ma femme (1)
il y a 2 ans

Quand la vie conjugale ne satisfait pas...

- Faut que je te parle, Alex. Faut vraiment que je te parle. - Eh bien, je t’écoute… Elle a éteint la télé, est venue s’asseoir, sur le canapé, à mes côtés, s’est éclairci la gorge. - Tu sais que je t’aime. Que je tiens énormément à toi. Tu es quelqu’un avec qui il fait bon vivre. Partager le quotidien. - Mais ? - Mais… Oh, la la ! C’est vraiment pas facile. - Jette-toi à l’eau ! - J’ai rien à te reprocher. Absolument rien. Sauf… que je m’éclate pas au lit avec toi. Que je me suis jamais vraiment éclatée. - C’est pourtant pas l’impression que tu donnes. - Je sais, oui. J’ai eu tort. J’aurais pas dû. Mais tu as tellement de qualités par ailleurs. Je voulais pas te faire de peine. Risquer de te perdre. Alors j’ai fait comme si. Et puis… ça avait pas tellement d’importance jusque-là tout ça pour moi. C’était pas l’essentiel. - Mais ça a fini par le devenir. - Dans un sens, oui. Pas l’essentiel, non. Mais quelque chose d’important. Très. - Et donc ? - Ben, donc… Il y a eu...
Le plaisir d'être cocu
il y a 2 ans

Candaulisme quand tu nous tiens

Encore cette odeur chimique qui agresse mes narines. Comme une odeur de pétrole. Depuis quelque temps déjà elle flottait dans l’appartement. J’avais fouiné partout en vain dans l’espoir d’en débusquer l’origine. Et ma femme, elle, prétendait ne rien sentir. Étais-je devenu fou ? Ce matin-là je m’étais levé vers 8 heures. J’avais très mal dormi. Depuis quelque temps il était question de divorce, or j’étais toujours très attaché à ma femme et cette perspective me faisait frémir. J’ai téléphoné à ma secrétaire pour lui dire que je ne viendrais pas aujourd’hui, qu’elle se débrouille sans moi. Ma femme dirige une petite entreprise de chaussures en gros. Elle était déjà partie travailler. Tant mieux. Je ne m’étais pas senti le courage de partager le petit déjeuner avec elle. Rien n’allait plus entre nous. J’ai préparé mon café et malgré son arôme enivrant, l’horrible effluve subsistait ! Quitte à mettre la maison sens dessus dessous j’étais décidé à en déterminer l’origine coûte que co...
Cocu en cage
il y a 2 ans

Une femme avide de plaisir et un mari insuffisant

Elle commence toujours comme ça. Un petit tour, le nez au vent, par les rues. Des rues très fréquentées de préférence. D’un pas tranquille. Il la suit. Les regards des mâles s’accrochent à elle, la déshabillent, s’attardent. Elle les ignore. Elle passe, en apparence souverainement indifférente. Elle repasse. Elle prolonge. Pour le plaisir de se sentir encore et encore désirée. Au retour, il lui fait aussitôt couler un bain. Assis sur le tabouret, à côté de la penderie, il la regarde s’y prélasser longuement. De temps à autre, sa queue tente de s’élancer vers elle, mais la cage la maintient, la contraint à rester sage. Quand elle sort de la baignoire, c’est nue qu’elle se lave les cheveux au-dessus du lavabo. C’est nue qu’elle se les sèche. C’est encore nue qu’elle se maquille. Avec le plus grand soin. Et c’est également avec le plus grand soin qu’elle choisit ses sous-vêtements. Sa robe. Son collier. Ses bracelets. Avant de s’en aller, elle se lance, dans la grande glace en pied...
Pourquoi je domine et trompe mon mari
il y a 2 ans

Pourquoi le faire cocu ? Par amour tout simplement ! Les confidences érotiques d’une Maîtresse

- Franchement, je te comprends pas pourquoi tu prends le risque de briser ton couple avec un mari aussi génial que le tien ! - Écoute, comme cela fait plusieurs fois que tu m’en parles, je vais t’expliquer mais il faut que tu me jures de ne jamais en parler ! Répond Elodie à son amie. Lorsque je l’ai rencontré, j’ai eu le coup de foudre. Un bon parti disait ma mère qui me poussait dans ses bras parce qu’il est riche. Alors oui, il est riche, ce n’est pas pour me déplaire mais ce n’est pas pour cette raison que je me suis mariée avec lui. Paul est gentil, attentionné, follement amoureux de moi, dans la vie c’est une perle en tous points. - Ben alors, pourquoi le tromper, tu aimes tant le sexe que ça ? Serais-tu devenue nymphomane ? - Un peu je l’avoue mais c’est entièrement de sa faute. Et puis tu sais, la vie sexuelle des couples n’est pas que « vanille ». - « Vanille » cela signifie couple sage et conventionnel, mais il y a aussi des couples libertins, des couples féti...
Les grands moyens
il y a 2 ans

Quand le fesseur perd la motivation, il faut la lui faire retrouver.

Il a tiré les rideaux, ouvert la fenêtre. La douce lumière de septembre a inondé la chambre. Elle s’est brusquement redressée. - Ah, c’est toi ! - C’est moi, oui ! Mais c’est quoi, tout ce bazar ? Il s’est passé quoi, ici ? - Ici ? Je t’ai fait cocu, mon chéri. J’en ai profité que t’étais pas là. T’es content ? - Non, mais tu te fous de moi, là ! - Ah, mais non ! Non. Pas du tout. Et dans notre lit en plus, je l’ai fait. Le lit conjugal. C’était bien plus excitant. - Tu peux pas être sérieuse deux minutes ? Et m’expliquer ? - Mais je suis sérieuse. Très sérieuse. J’ai ramené un mec, cette nuit. Je voulais qu’il reste à t’attendre ce matin, mais il a préféré partir. - Non, mais alors là, c’est la meilleure ! - J’en avais trop envie, attends ! Non, et puis ce qu’il y a surtout, c’est que c’est plus ce que c’était, maintenant, quand tu me donnes la fessée. Tu fais ça du bout des doigts. Tu t’investis plus. On dirait presque que tu t’ennuies. - Hein ? Mais pas du tout ! - Je...
Vengeance de femme
il y a 2 ans

Quand on trompe sa femme, on peut parfois se retrouver en cage et condamné à la voir s'envoyer en l'air avec d'autres.

Christine avait besoin d’en parler à quelqu’un. De se confier. Ce fut à Anna, la collègue de travail avec qui elle déjeunait tous les midis. - Il me trompe. Je crois bien qu’il me trompe. - Ton mari ? Qu’est-ce qui te fait dire ça ? - Plein de choses. Le temps qu’il passe maintenant, le matin, dans la salle de bains. Une heure. Au lieu de vingt minutes avant. Son smartphone. Qu’il ne quitte pas un seul instant des yeux. Même pour trente secondes. Les bouquins d’astrologie qui s’entassent sur sa table de nuit. Il y a encore quinze jours, c’est un truc qui le faisait ricaner, ça, l’astrologie. - Mouais… Et au lit ? Elle a haussé les épaules. - Au lit, il y a encore, oui, mais c’est plus ce que c’était avant, mais alors là, plus du tout. - Oui, oh, ben, t’es cocue, il y a pas photo. Et, j’ai pas de conseils à te donner, mais moi, à ta place, je laisserais pas s’installer la situation. Parce que pour en sortir après… - C’est bien ce que je me dis aussi. Seulement je sais pas...
L’odeur préférée du cocu
il y a 3 ans

Cocu volontaire pour le plaisir des odeurs et du goût de l’autre un récit coquin de candauliste

Comment me trouves-tu ? Ma femme sort de la salle de bain en petite tenue ; un ensemble slip- soutien- gorge que je ne lui connais pas. Je dis -superbe Et comme ça ; elle fait une pirouette sur elle-même et je me rends compte qu’en fait de slip elle porte un string qui met son petit cul en valeur - Ma cochonne, tu vas l’affoler ! Et disant cela je sens mon sexe se dresser aussitôt. Cela n’échappe pas au regard lubrique de ma femme d’autant plus qu’en ce jour de canicule je ne suis vêtu que d’un ample caleçon. Elle tend sa main et empoigne ma bite érigée comme une pique. Ca t’excite de penser que ta petite femme va se faire baiser. Vraiment tu es un beau salaud. J’essaye d’en profiter et de l’attirer à moi mais elle s’esquive et court dans sa chambre en rigolant et sous le prétexte qu’elle va être en retard. Elle s’est faite belle, fardée, pomponnée et elle craint que je ne mette en désordre la belle ordonnance. Elle enfile une robe légère de coton largement décolletée...
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