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J'ai goûté au plaisir intense de la fessée avec mon ex, mon premier..... Je n'aurais jamais osé imaginer que j'aimerai cela. Ensuite j'ai découvert dans le feu de l'action que des mots un peu crus et humiliants m'excitaient et je lui ai fait comprendre que j'en voulais davantage dans ce domaine sans aller dans le BDSM, j'adorais être soumise. De la fessée de plus en plus coquine il est passé au sexe en m’attachant. Cela a été les plus forts moments de ma vie sexuelle, les plus intenses pendant lesquels mon esprit décadent s’est envolé.

De retour sur le site par nostalgie, je rêve à nouveau.

La bourgeoise décadente lui a dit un jour dans un moment d’égarement : « je suis à toi, fait tout ce que tu veux de moi sans écouter mes plaintes quoi que je dise ». J’étais attachée aux pieds du lit, les genoux sur la moquette, les mains liées et tendues devant moi, la tête sur le lit les fesses offertes. Cette position je l’adorais, c’est ainsi que la première fois il m’a traitée de « chienne » en me prenant sauvagement après une fessée. Ses mots m’ont rendue folle, non pas de colère mais de bonheur, de bien-être intérieur pendant l’acte très rude. C’est dans un de ces moments où l’esprit s’égare que je lui ai dit : « je suis à toi, fait tout ce que tu veux de moi sans écouter mes plaintes quoi que je dise ».

Quand il a commencé à mouiller mon petit trou de ses doigts, j’ai crié « non pas là ». A sa réponse j’ai compris qu’il était trop tard pour reculer. Je venais de lui ouvrir la porte toujours refusée en lui donnant carte blanche. Il l’a fait contre mon gré et je ne pouvais même pas lui en vouloir. J’ai eu plus honte que mal. Cet endroit interdit, sale et réservé aux simples besoins naturels est devenu le centre de mes préoccupations. C’était comme si des gens me voyaient, que tout le monde le saurait et donc honteux. Dans cette honte de soumise, les fesses brûlantes de la sévère fessée reçue juste avant j’y ai puisé un plaisir malsain au-delà de l’imaginable. Il ne m’a pas écoutée, il ne m’a pas lâchée tant que je ne suis pas redevenue sa « chienne soumise ». Il m’a conquise et rendue « légume ». Après avoir découvert un plaisir nouveau, mon anus continuait de frémir même après son passage.

Je me souviens avoir beaucoup pleuré après, quand j’étais sur ses genoux, entre ses bras, blottie contre sa poitrine. Il m’a demandé si je lui en voulais, je lui ai dit que je l’aimais. C’est là qu’il m’a appris les larmes aux yeux qu’il repartait au Canada la semaine suivante. Le mal du pays le rongeait.

Après un an de chagrin, je me suis inscrite sur Fessestivités, je n’ai pas osé aller plus loin que de lire, regarder des photos et des vidéos. Minée par la nostalgie, aidée par une amie qui me donne des coups de pieds aux fesses pour que je bouge, je reviens dans ce monde pervers où finalement j’étais heureuse.

Je me suis allumée,
Je me suis éteinte,
On m’a rallumée à coups de pieds aux fesses.
Mes surfs me rendent à nouveau folle.

Une précision sur mon profil. J’ai indiqué « Libertinage » je ne suis pas libertine, sauf si Mon Maître me l’impose après m’avoir attachée. Un fantasme de plus comme aux pieds du lit....

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Bien-re-venue parmi les décadents alors, sourire ....

SMment,


Maryna.

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Merci Maryna, c'est gentil.

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J'ai beaucoup aimé ce texte, cette présentation qui m'a donné le feu aux fesses
Merci à S-Mira

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Bonjour à vous S-Mira,

Pour vous retour sur ce site donc, mais plein d'envie et de projets de rencontre j'imagine...Alors foncez.

Ah cet immense pays qu'est le Canada... Comme vous en plus de m'arracher quelqu'un de formidable qui vit aujourd'hui à Peterborough, il m'a privé de la symbiose et des frissons que l'on avait mis si longtemps à construire...

Bonne chance à vous et souvenez-vous : celle ou celui qui n'essaie pas a déjà perdu...

Alter ego.