Je me présente...
Ma présentation
J'ai 28 ans. Je suis professeur dans l'enseignement supérieur.
Je suis hyper sportive - 1,80M - Mince - Brune aux cheveux longs.
Je suis mariée à un homme adorable qui est mon complice en toute chose.
Nous ne sommes pas un couple échangiste. Les rencontres ne nous intéressent pas.
Et certainement pas avec des hommes seuls. Je suis totalement hétérosexuelle.
Je suis une vraie et authentique exhibitionniste. Toutefois discrète et secrète.
Je me suis inscrite sur ce site uniquement pour partager les récits de mes aventures.
Il n'est absolument pas question de scénariser un projet avec qui que ce soit. Jamais.
Nous ne répondons à aucune demande, à aucune sollicitation. Les "plans" ne nous intéressent pas.
J'ai donc tout ce qu'il me faut. Il est tout à fait inutile de perdre son temps à tenter de me contacter.
J'ai une vie sociale, professionnelle et amoureuse qui me comble totalement. Je suis heureuse.
Je suis amoureuse de mon mari qui m'apporte absolument tout ce dont j'ai besoin. Le bonheur.
Il faut lire et bien relire ma présentation. Tout y est clair, net et précis. Pas de contact.
Les "boulets", ceux qui insistent, qui ne comprennent pas, seront impitoyablement bloqués.
Je ne me suis pas inscrite sur un site de rencontre mais uniquement sur un forum d'écriture.
- J'ai désactivé ma messagerie privée - Je n'accepte aucune demande d'amitié -
D'avance MERCI pour le respect et la considération de chacun qui sera réciproque.
Isa
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il y a 6 ans
Bin bonne exhib scripturale isolée hein =^.^=
il y a 6 ans
Pouvoir raconter sans choquer via des écrits est une aussi une forme d'exhibition qui permet de continuer de vibrer après une expérience vécue.
Merci pour cette présentation claire comme de l'eau de roche. Nous avons hâte de vous lire.
Cordialement
Le webmaster
il y a 6 ans
Merci pour l'accueil.
Il y a un monde fou et ça se bouscule au portillon.
J'ai publié quelques textes. Principalement dans la rubrique "Exhibition".
J'aimerais beaucoup avoir mon avatar, moi aussi
La petite photographie de moi, (novembre 2015), que je mets partout. Et ici...
Si l'administrateur du site pouvait s'en occuper.
Car chez moi, j'ai beau essayer, encore et encore, ça ne fonctionne pas.
D'avance merci
A bientôt
Isa
il y a 6 ans
Volontairement, je poste cette petite histoire à la suite de ma "présentation".
Ainsi le lecteur pourra se faire une idée beaucoup plus précise de ma personne.
Bonne découverte
Je n'ai que six heures de cours par semaine. Seize heures consacrées à la recherche.
Hier, après les cours, une collègue enseignante, m'invite à boire un chocolat.
Nous quittons la faculté. Je lui propose mon salon de thé préféré. Endroit charmant.
Nous prenons un chocolat chaud. Elle prend un croissant. Il y a peu de monde.
Nous bavardons, échangeons quelques considérations générales. Nous aimons rire.
Bien sûr, nous sommes toutes deux passionnées par notre travail. Nous en parlons.
Comme le mien, son mari est enseignant en troisième cycle. Ils sont un peu plus âgés.
Propriétaires de magnifiques chevaux, nous aimons en parler. Evoquer nos balades.
Je n'ai pas beaucoup de temps. Après les cours, j'aime rentrer. J'ai d'autres passions.
J'apprécie tant d'être dans la quiétude de notre grande maison avec mon mari. Plaisir.
Avant de prendre congé, je me lève et je vais aux toilettes. Elle garde mes affaires.
Je me lave les mains au lavabo. Mon attention est attirée par un bruit venant du cabinet.
Je regarde sur ma droite. Là, par la porte entrebâillée, je vois un jeune type. Tête baissée.
La trentaine, de style "baba-cool", en train de se masturber. Il fait un peu "John Lennon".
Il me regarde avec un sourire vicieux. Je lui fais un sourire. Un peu gênée quand même.
Je m'enferme dans ma cabine. Je pisse. Pour attirer l'attention, je lâche plusieurs jets sonores.
Sans m'asseoir, car je ne m'assoie que chez moi, je vise dans l'eau du fond. En appuie contre le mur.
Plusieurs jets bruyants qui résonnent. Je le fais bien sûr exprès. Je suis devenue une virtuose du jet.
Je sors. Je reviens devant le lavabo. Le jeune homme est toujours là. Il semble couvert de sueur.
Il me regarde comme halluciné. Je sens qu'il voudrait me parler. Il est beaucoup plus gêné que moi.
Ce qu'il a entendu a certainement dépassé ce qu'il souhaitait vivre ici. Au-delà de ses fantasmes.
Je m'essuie les mains, je m'apprête à sortir des toilettes. Je regarde avec insistance le gaillard.
Je me retourne pour lancer le plus délicieux des < Bonsoir >. J'ai affaire à un mutique. Silencieux.
Il se tourne subitement vers moi pour éjaculer sans aucun contrôle. Il en perd peut-être ses moyens.
Je reste devant la porte. Je l'observe avec un certain amusement. J'ai un sourire lourd de sens.
Il se reboutonne terriblement gêné. Il évite de me regarder. Il est soudain comme un vrai gamin.
Pourtant je suis debout là, à quelques mètres et j'en veux encore. Je demande : < Tout va bien ? >
Il ne me répond pas. Il semble confus. Perdu. Il ferme la porte pour se soustraire à mon regard.
Je rejoins ma collègue. Elle se lève pour enfiler son manteau. < Je dois y aller ! > me dit elle.
Nous payons, debout devant la caisse de la pâtisserie. Je regarde en direction des toilettes.
J'observe la porte derrière l'aquarium. Discrète. Je tente de voir si le type est sortit des WC.
J'aimerais beaucoup l'embarrasser un peu plus. Par jeu. Je peux me comporter en vraie salope.
Nous sortons de la boulangerie-pâtisserie. Nous sommes sur le trottoir. Il fait plutôt froid.
Je salue ma collègue car je vais dans l'autre direction. Je marche un peu. Je suis pensive.
Je m'arrête à une centaine de mètres. Entre deux camionnettes je guette. Je veux contrôler.
Le jeune homme arrive enfin. Il vient par là, agitant des clefs. Il marche vite. Préoccupé...
Je regarde avec une grande attention partout autour de moi. Je reste entre les deux autos.
Il n'y a personne. Les circonstances me poussent à mon vice. L'occasion est trop tentante.
Je m'accroupie, il arrive à ma hauteur. Il me voit. J'écarte les cuisses. Je n'arrive pas à pisser.
Curieusement, au lieu de saisir l'opportunité d'un contact verbal, il fuit ! Je me sens stupide.
Je me redresse, je m'avance sur le trottoir. Il est déjà loin. Suis-je soudain devenue si laide ?
J'ai déjà souvent remarqué cette attitude chez les jeunes exhibitionnistes. Ils sont fuyants.
Comme s'ils étaient en même temps vicieux et timides. Cela m'excite beaucoup. S'ils savaient !
Les quinquagénaires, eux, sont le plus souvent beaucoup plus "entreprenants". On le sait bien !
J'arrive à la maison pour dix sept heures trente. Je raconte mon aventure à mon mari.
Il m'écoute, bien amusé. Il m'invite à venir le rejoindre devant l'écran de l'ordinateur.
Rapidement nous parlons de nos cours, des préparations, des priorités professionnelles.
Je me promets de retourner dans ce salon de thé le plus tôt possible....
Isa
il y a 6 ans
Vendredi soir, avec mon mari, nous sommes dans un de nos restaurants préférés.
Nous y avons nos habitudes. On y mange très bien. Le lieu est très bien fréquenté.
A une table voisine, un peu plus loin, il y a un couple de quinquagénaires qui mange.
Parfois, discret, le monsieur aux tempes grisonnantes me regarde avec insistance.
Je suis vêtue d'une jupe kilt à carreaux rouge, d'un chemisier blanc sous un pull noir.
Mes bas, mon porte jarretelle. Je suis chaussée de mes bottes noires à hauts talons.
Je commente en temps réel à mon chéri ce que je fais de mes jambes sous la table.
Je les croise et les décroise en exagérant le mouvement sous le regard de l'homme.
Mon mari, toujours très amusé, me chuchote : < Ce soir, c'est moi que tu excites ! >
Je prends sa main. Il rajoute : < Ce soir, je te fais ta fête au retour, à la maison ! >
J'ai écarté largement mes cuisses sous la table. L'inconnu observe avec attention.
L'avantage avec les messieurs accompagnés, c'est qu'ils sont tenus à la réserve.
Je descends discrètement ma main pour la placer entre mes cuisses. Je me touche.
A chaque fois que sa femme regarde ailleurs, l'inconnu me lance un sourire entendu.
Je le raconte à mon mari qui me fait : < Il est peut-être temps d'aller aux toilettes ! >
Je me lève. Je regarde avec insistance le beau quinquagénaire. Je descends. Sous sol.
Je suis accroupie entre les deux urinoirs muraux. Je fais semblant de fouiller mon sac.
Un bruit de pas dans l'escalier. Je suis prête à me relever si ce n'est pas ma "cible".
C'est lui. Il me découvre ainsi. < Bonsoir ! J'apprécie beaucoup ! > me fait l'inconnu.
Il se déboutonne. Il agite son sexe qu'il tient à sa base entre son pouce et son index.
< Vous seriez tentée par une pipe ? Je suis généreux ! > me fait il d'un ton rassurant.
Je m'entends lui dire : < Je ne suis pas une pute ! Et vous avez une femme ! Non ? >
< Oui, mais elle ne suce pas ! >. Je regarde son sexe magnifique. Long, droit et fin.
< Parfois je m'offre un "extra" ! Voulez vous en être ? > me demande encore le type.
Je me redresse en déclinant son offre. Même si j'en meure d'envie. Pas ici. Le danger.
C'est un gentleman. Il ne tente rien. De sa veste il sort une carte de visite qu'il tend.
< Réfléchissez bien. Vous êtes magnifique et délicieusement salope ! > fait il encore.
J'apprécie le compliment sans rien en montrer. Je prends et mets la carte dans le sac.
Je file à toute vitesse. Je raconte ma petite aventure à mon mari qui m'écoute amusé.
< Je t'aime ! > me fait il en serrant ma main. Je suis pétrie d'émotion. C'est agréable.
Le monsieur est revenu. Assis. Discrètement il me fait de rapides sourires significatifs.
Nous payons. Debout, avant de partir, je lui fais un clin d'œil en dressant mon pouce.
Dans la voiture, je suce mon homme qui roule toujours doucement. C'est un bonheur.
Je pense à ce pauvre inconnu qui ne connaît pas ces plaisirs avec la femme qu'il aime.
Mon mari me fait très rarement part de ses ressentis quand à mes petites aventures.
Ce soir pourtant, en roulant, victime consentante de ma fellation, il me dit des choses.
Nous faisons l'amour. Mon mari me confie son désir que j'accepte la proposition du type.
< Tu as ses coordonnées ! On se fait le plan ! Je veux te voir le sucer ! > me dit il encore.
Mon mari est mon complice. C'est la plus belle chose que je connaisse sur terre. Ma joie.
Sans lui, rien de tout cela ne serait possible. La différence d'âge. 11 ans de plus que moi.
Je lui promets d'y réfléchir...
Isa
il y a 6 ans
Mon chéri évoque très rarement mes frasques. Depuis vendredi il ne cesse pas.
Ce sont autant d'appels du pied lorsqu'il me chuchote : < Téléphone au mec ! >
Mon mari parle évidemment de l'inconnu rencontré au restaurant vendredi soir.
La carte de visite de "monsieur Charles" reste posée sur le buffet de la cuisine.
Quand je pense à cette aventure, dans les toilettes, j'ai quelques agréables émois.
Il me revient à l'esprit toute la scène précise où l'inconnu me surprend accroupie.
Ses mots résonnent encore. Ses attitudes vulgaires restent dans mes souvenirs.
Je peux me remémorer, dans le moindre détail, son sexe, droit, long et si mince.
En rentrant de mes cours, j'arrête la voiture sur le bord de la route. Je téléphone.
Je reste sur mes gardes. L'homme est marié. Si c'est une voix féminine, je cesse.
C'est une voix d'homme. Une voix que je reconnais immédiatement. Grave. Douce.
Je me présente. Il se souvient très bien de moi et de la rencontre dans les toilettes.
Je lui propose de nous rencontrer en soirée dans l'endroit de son choix. Le silence.
Monsieur Charles semble surpris par mon appel. Il reste un moment sans répondre.
J'ai un nœud dans la gorge moi aussi. Il me propose de le rappeler. Et demain soir.
Je le prends certainement au dépourvu et il n'est sans doute pas seul dans la pièce.
Il a toutefois le temps de me témoigner de toute la joie que lui procure mon appel.
<< Dix huit heures ! >> me fait il deux fois avant que je ne raccroche rapidement.
De retour à la maison je fais part de mon courage à mon mari qui me félicite, riant.
Tout cela me tourne dans la tête toute la soirée. Bien évidemment tout ça m'excite.
Jeudi soir, il est pile dix huit heures lorsque je fais le numéro de monsieur Charles.
Cette fois l'inconnu est beaucoup plus loquace. Il s'excuse pour hier soir. Pas seul.
Nous bavardons un peu. Il revient avec insistance sur notre aventure aux toilettes.
Je le rassure. J'avoue à quel point cette situation m'a laissé d'agréables impressions.
Monsieur Charles me propose une récidive. Il connaît lui aussi le petit parc Diogène.
Ce parc très peu fréquenté situé entre deux grandes propriétés. Maisons de maître.
Au fond, il y a des toilettes publiques. Monsieur Charles me propose les pissotières.
Je suis à la fois confuse, gênée et terriblement excitée par le mot. Et par l'endroit...
L'homme me propose de le rejoindre lundi, en soirée, pour dix huit heures trente.
Le parc ferme toujours à vingt heures. C'est une employée communale qui ferme.
Monsieur Charles m'affirme très bien connaître parfaitement les lieux, les horaires.
Je lui promets d'être là. Avec la fraîcheur des soirées je serais en jean et en anorak.
Je monte dans notre pièce de travail pour tout raconter à mon chéri qui s'en amuse.
Quelle n'est pas ma surprise lorsqu'il me propose d'aller voir l'endroit dès demain !
Je me blottis contre lui. Il me fait plein de bises en chuchotant : << Coquine ! >>.
Le soir même, dans le salon et sur le canapé, nous faisons l'amour comme des fous.
Nous mettons au point notre petite expédition au parc Diogène pour le lendemain.
Il est dix sept heures, le vendredi, lorsque mon chéri gare la voiture près du parc.
Le lieu est désert. Le cabanon des toilettes publiques se trouve derrière des cyprès.
Il est quasiment invisible quelque soit l'angle. Un endroit hautement stratégique...
Nous entrons dans l'espace de gauche. Ce sont les pissotières. Des urinoirs muraux.
L'endroit semble vétuste. L'odeur est forte et âcre. Il y a trois cabinets sur la droite.
Mon mari monte sur le couvercle d'une des cuvettes. Avec sa haute taille il peut voir.
Par dessus la porte, dans l'obscurité, mon chéri pourra sécuriser sans être remarqué.
Nous mettons au point le stratagème ultime. A la maison nous feront un panonceau.
Un simple carton sur lequel il suffira d'écrire "Hors d'usage" qui sera fixé sur la porte.
La porte condamnée permettra à mon mari de surveiller les alentours et la rencontre.
Avant de partir nous regardons tous les horaires affichés à l'entrée du parc Diogène.
Tout est prêt. Dans la voiture, au retour, j'offre une délicieuse fellation à mon homme.
Il roule doucement en me racontant ses impressions. J'écoute émerveillée. Rassurée.
C'est la toute première fois que mon chéri s'implique autant. Il veut me faire plaisir.
Je savoure avec régal car notre conversation n'est pas sans l'exciter considérablement.
Isa
il y a 6 ans
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