Rencontres adultérines

Mon portable vibre.
[i:3fqgd85w]Serait-ce le message tant attendu ?[/i:3fqgd85w] me dis je en déverrouillant le plus vite que je peux l’appareil et me précipitant sur le sms. Même si ce dernier est des plus laconiques, j’en ai déjà le corps en ébullition.
De fait, je suis rapidement les instructions à la lettre pour me rendre au lieu-dit et à l’heure indiquée. Bien sûr j’ai pris soin de revêtir les sous-vêtements qui le feront à coup sûr frémir et sauront exacerber encore son désir, pour peu qu’il le faille.

Me voici donc debout devant la fenêtre de cette chambre d’hôtel faisant dos à la seule issue et attendant seulement vêtue de ma dentelle écarlate. J’ai passé mon masque occultant assorti à l’ensemble et guette chaque pas dans le couloir, me mordillant la lèvre en tentant de reconnaître le sien.
Tout à coup, il me semble le reconnaître, et sans doute est ce bien le cas, car je l’entends s’arrêter juste avant d’entendre les 4 bips précédant l’ouverture de la porte d’entrée. J’en frissonne déjà. Non que j’aie froid malgré le peu de tissu qui me couvre, mais l’excitation déjà monte d’un cran alors que la porte s’ouvre.
Le temps semble alors suspendu …

[i:3fqgd85w]Sans doute est il en train de m’observer[/i:3fqgd85w], ne puis je m’empêcher de penser, juste avant d’entendre ses pas s’approcher doucement.

A peine pose t il un doigt léger sur mon cou, que ce simple contact m’électrise. Tout mon corps frissonne de le sentir descendre si doucement et s’arrêter à la limite de mon string. Alors qu’il prend le chemin de la caverne aux trésors, mes jambes s’écartent pour le laisser passer. Il s’attarde à peine jusqu’aux lèvres, avant de prendre le chemin inverse, alors que je ne peux m’empêcher de soupirer de désir et de frustration.
Alors que son doigt humide de mon propre désir se pose sur ma bouche, mes lèvres s’entrouvrent pour le laisser passer. Je l’aspire goulument et le suce avec envie, me goûter ne m’a jamais dégoutée au contraire d’autres femmes et sans doute apprécie-t-il ce petit côté gourmand de ma personne. En tout cas c’est ce que je me plais à croire. Une claque sur les fesses conclue trop vite, à mon goût, ce premier contact du jour.
D’une poigne ferme, il me fait alors pivoter sur moi-même, en direction du lit que je sais à quelques pas à peine, et sur lequel je l’entends s’étendre.

De nouveau quelques minutes d’attente, qui ne font qu’éveiller un peu plus encore mes sens. Sans doute laisse-t-il s’attarder son regard sur mes formes et peut-être sur mes seins, dont j’ai habillement laissé dépasser les mamelons hors de la dentelle pour le provoquer. Cela lui plait sans doute, car il n’est pas long à me demander d’ôter l’écrin qui entoure mes seins.
[b:3fqgd85w]‘’ Fanny, enlevez le haut ! ‘’[/b:3fqgd85w], l’ordre bref à claqué dans le silence environnant.

J’obtempère, bien sûr, mais c’est pourtant avec une certaine lenteur, comme pour faire monter en lui le désir d’un cran que mes mains passent derrière mon dos, jusqu’à l’agrafe qui retient le vêtement et l’ouvre habilement. Puis, tout doucement, je fais glisser les bretelles, jusqu’à sentir qu’il tombe. Je me penche alors en avant pour le ramasser et l’envoie vers le lit, là où il me semble que Monsieur est étendu.
Mes seins sont à présent dénudés, et leurs mamelons dressés laissent entendre quel désir anime mon corps…

[i:3fqgd85w]
[color=#8000BF:3fqgd85w]Voici le premier opus ou du moins son début de divers textes sur le sujet des rencontres adultérines que j'ai écrites, parfois à 4 mains, mais pour des raisons évidentes je ne publie que les parties que j'ai moi-même écrites.
Si cela vous plait, je vous livrerai la suite, alors faites moi savoir si vous en voulez plus ...
Lady F[/color:3fqgd85w][/i:3fqgd85w]
il y a 3 ans

Le début de ce texte est délicieux, lire la suite nous serait agréable.
il y a 3 ans

[i:1oxl9z44][color=#8000BF:1oxl9z44]Même si je n'ai eu qu'une simple opinion, il me plait à croire que ceux qui sont venus parcourir le premier opus, même s'ils n'ont rien dits, y ont pris un certain plaisir, je continue donc ...[/color:1oxl9z44][/i:1oxl9z44]


Je sais ma poitrine pas des plus opulentes, mais il m’a semblé jusque-là qu’elle vous convenait de par sa taille et son galbe. Mes aréoles roses tendres à la base, ont tendance à foncer sous l’effet du désir. Ma poitrine s’affermit à vue d’œil, tandis que mes mains dansent savamment dessus quelques instants, avant que vous ne m’interrompiez.
Mes mamelons se dressent fièrement, saillants et vous faisant presque le signe de venir y goûter.
Je reste là, plantée et quelque peu fiévreuse à l’affût du moindre geste que vous ferez ou de la moindre parole que vous prononcerez pour m’amener à combler vos attentes et les miennes par la même occasion, car je ne doute pas qu’en cet instant elles se correspondent.
Toujours dans l’attente et la vue occultée, je guette le moindre bruit.

Après quelques instants ainsi à l'affût, j’entends du mouvement sur le lit.
Peu après je devine ou plutôt sens votre présence devant moi et votre souffle caresser ma peau alors que votre main glisse de mon cou vers ma poitrine. Lorsque vos mains saisissent mes seins pour les malaxer un léger soupir d’aise m’échappe.
Alors que vous vous saisissez de mes mamelons tendus et les faites roulez entre vos doigts en pinçant puis en les mordillant, je me tortille et soupire de nouveau avant de me mordiller la lèvre pour ne surtout pas vous faire le plaisir de dire un mot ou émettre un son un peu trop évocateur du plaisir que j'en ressens.
D’ailleurs sans doute n’aurais-je pas dit celui que vous attendiez ...
Soudainement vous tirez sur mes tétons comme pour me faire avancer, mais sous l'effet de surprise je tente, en vain, de résister et esquisse ce pas qui me séparait du lit presqu'en trébuchant. Je m'attends à ce que vous me fassiez choir dessus et suis un peu déçue que tel ne soit pas le cas.
Pourtant cela passe bien vite lorsque je sens vos mains commencer à faire glisser mon string qui a bien du mal à se déloger de l’humidité dans lequel il s’était englué.
Je rougis en m’en rendant compte tout en me disant que vous aussi allez vous en apercevoir et je referme mes jambes pour protéger, comme avec pudeur, mon intimité détrempée. Pourtant, vue la situation présente, cette pudeur, qui n'est pourtant pas feinte, n'a pas de raison d'être.

[i:1oxl9z44][color=#8000BF:1oxl9z44]Si vous êtes bien sage, vous aurez une suite dès demain ...
Lady F[/color:1oxl9z44][/i:1oxl9z44]
il y a 3 ans

J'suis très sage, j'suis très sage, nous sommes tous très très sages !
il y a 3 ans

Un texte délicieux, encore s'il vous plait, encore.
il y a 3 ans

[color=#8000BF:3p90o9es][i:3p90o9es]Désolée du léger contretemps, mais comme je suis maman le mercredi ben c'est un peu le jour de ma pitchoune...[/i:3p90o9es][/color:3p90o9es]

Je vous sens vous déplacer et tourner autour de moi, comme si en quelque sorte vous évaluiez la marchandise et son état de fraîcheur après la vue que vous venez d'avoir de ce string quelque peu poisseux. A moins que vous ne vouliez que me faire patienter un peu plus. Je sens vos mains survoler la ligne de mes hanches et venir se poser sur mes fesses, alors que je devine que vous vous mettez à genoux, tandis que votre souffle vient délicatement caresser la ligne médiane de mon dos.
Vos mains glissent le long de mes jambes jusqu'à mes genoux puis elles remontent lentement mais sûrement le long de mes cuisses, les repoussant l'une de l'autre, m'invitant à les écarter pour vous faciliter les choses. Bien sûr j'obtempère à votre désir, non sans plaisir, rougissant de nouveau.
D'une main ferme et douce à la fois vous me penchez vers l'avant et le haut de mon corps vient alors se coucher sur le lit.
Je suis totalement offerte dans cette position que je sais impudique et cette gêne de nouveau s'empare de moi, alors que je n'aurais jamais pensé ressentir cela.
Je suis dans l'expectative de nouveau de ce que vous allez faire quand je sens votre souffle glisser cette fois sur mes lèvres.
Un frisson me parcours, et je sais qu'en cet instant je suis à vous et ne pourrais rien vous refuser.
Pas un mot n'est prononcé aucun ordre, et pourtant déjà mon corps répond à chacun de vos gestes et mes jambes s'écartent un peu plus tandis que mes lèvres s'entrouvrent comme pour vous inviter à en prendre possession.

Pourtant au lieu de cela, je vous sens vous relever et vous éloigner.
[i:3p90o9es]Aurais-je fait quelque chose de mal[/i:3p90o9es], me dis-je aussitôt, restant telle que vous m'avez laissée, et n'osant esquisser le moindre geste ni prononcer la moindre parole de peur que tout cela ne cesse.

L'attente s'installe de nouveau et je guette le moindre son qui pourrait me donner un quelconque indice sur votre position et ce que vous faites ...

[color=#8000BF:3p90o9es][i:3p90o9es]Aurez-vous la force d'attendre jusqu'à demain ...
Pourtant il vous faudra patienter jusque là pour avoir les suites des péripéties de cette jeune fille.
LadyF[/i:3p90o9es][/color:3p90o9es]
il y a 3 ans

[color=#8000BF:1v3shisn][i:1v3shisn]Bien que cette fois vous ne m'ayez rien demandé, comme je vous ai fait faux bond mercredi, je vous mets un petit volet en plus.[/i:1v3shisn][/color:1v3shisn]

J’entends alors un zip de fermeture éclair puis un tissu que l’on froisse et me demande alors si vous ne seriez pas en train de vous dénuder, ne sachant pas dans quelle tenue vous étiez jusqu’alors. Le désir monte en moi et l’attente le décuple autant que ce masque qui m’aveugle.
Mon ouïe a beau être aux aguets, je n’arrive pas à imaginer ce que vous pouvez bien faire.
Je finis cependant par entendre un bruit sec à quelques pas de moi, comme un claquement dans le silence, puis un second qu’on dirait calfeutré.
Quelques secondes s’écoulent avant que je n’entende, de nouveau, un claquement bref et l’air semble vibrer à quelques bons centimètres de moi, puis le même son et la même vibration plus près cette fois.
Et tout à coup, une sensation de caresse sur mon dos.
[i:1v3shisn]Serait-ce une plume ? Non plutôt un fil… mais pas de laine c’est trop velouté pour cela,[/i:1v3shisn] me dis-je alors que soudain le contact se brise avant de …
[b:1v3shisn]Clac ![/b:1v3shisn]
Cette fois, ce n’est plus une caresse et ce cinglement m’arrache un petit cri, autant de surprise que de douleur, et avant même que je ne réalise vraiment un deuxième vient se poser sur l’autre lobe de mes fesses.
Je me tortille et veux me redresser pour fuir cette morsure…
[b:1v3shisn]Non ! Ne bouge pas ![/b:1v3shisn]
L’ordre est bref et me tétanise.
[i:1v3shisn]Non mais je n’ai pas signé pour cela, moi,[/i:1v3shisn] me dis-je.
Et pourtant, alors que de nouveau le cinglement se fait sentir, je frémis malgré moi. Que se passe-t-il donc et pourquoi, cette sensation, pourtant douloureuse et cuisante sur mes fesses semble me faire en même temps un bien fou ?
[i:1v3shisn]Serais-je en train de devenir cinglée ?[/i:1v3shisn]
Je n’ai pas le temps de m’attarder sur la question, qu’un autre coup rejoint mon fessier alors que je me mordille la lèvre pour ne pas gémir cette fois. Car oui, contre toute attente et contrairement à tout ce que j’aurais pu imaginer jusqu’ici, la douce morsure du cuir est en train de m’exciter d’une façon insoupçonnée.
Un autre coup encore.
[i:1v3shisn]J’espère qu’il ne s’aperçoit pas de l’émoi dans lequel cela me met[/i:1v3shisn], me dis-je alors que les coups se suivent.
Sentant le plaisir monter encore, plus que de raison à chacun des coups reçus, je finis par resserrer un peu les jambes sans vraiment m’en rendre compte. Mais cela n'est pas passé inaperçu à votre œil, sans doute aguerri à ce genre de pratiques, et en guise de réprimande, je ne tarde pas de recevoir un coup plus cinglant cette fois, accompagné d’un :
[b:1v3shisn]Je t’ai dit de ne pas bouger il me semble !
As-tu bien compris ?[/b:1v3shisn]
Je hoche la tête, n’osant dire un mot et reçois un autre coup du même acabit que le précédent.
[b:1v3shisn]Réponds-moi d’un : Oui Maître, si tu as compris.
Oui Monsieur[/b:1v3shisn], dis-je.
Bien sûr, les mots sont inadéquats et suivis d’un autre coup encore plus cinglant, sans doute pour me faire passer le goût de faire la maligne, même si ce n’est pas vraiment ce que je voulais faire.
Je balbutie donc un faible « [b:1v3shisn][size=85:1v3shisn]Oui Maître[/size:1v3shisn][/b:1v3shisn] »
[b:1v3shisn]Pardon[/b:1v3shisn] dit-il, abaissant de nouveau le fouet sur mon dos cette fois, ce qui me semble bien plus douloureux.
[b:1v3shisn]Oui, Maître.[/b:1v3shisn] Dis-je enfin, les larmes aux yeux cette fois.
Alors que je prononce enfin les mots demandés, j’entends un bruit sourd, comme quelque chose qui tomberait au sol.
Peu après je vous sens derrière moi et je me demande ce qui va m’arriver…


[i:1v3shisn][color=#8000BF:1v3shisn]Voilà pour aujourd'hui.
Que pensez-vous qu'il va arriver à notre délicieuse Fanny ,
A vos pronostics pour tenter de le découvrir, car je ne sais si j'aurai véritablement le temps de vous en dévoiler davantage durant ce week-end...
LadyF[/color:1v3shisn][/i:1v3shisn]
il y a 3 ans

Une histoire bien agréable à lire.
Le bruit sourd pourrait être celui de son fouet jeté à terre, afin qu'il puisse attraper un tube d'Arnican Freeze.
Cette pommade n'a pas que pour effet de soigner, elle a un effet froid après une fessée par exemple et génère des fourmillements. Voilà donc une idée qui ne peut que motiver une soumise pour passer à une autre activité en tendant bien ses fesses......
il y a 3 ans

[i:pv5qd65o][color=#8000BF:pv5qd65o]Voilà pour aujourd'hui.
Que pensez-vous qu'il va arriver à notre délicieuse Fanny ,
A vos pronostics pour tenter de le découvrir, car je ne sais si j'aurai véritablement le temps de vous en dévoiler davantage durant ce week-end...
LadyF[/color:pv5qd65o][/i:pv5qd65o][/quote]
Bonjour Madame LadyF
Scène très excitante et beau récit...le bruit sourd vient du couloir de l'hôtel, et des pas se font entendre, et se rapprochent ....une main hésitante tocque à la porte, et le Maître d'un ton sec dit entre esclave.... Un homme nu portant un collier de chien et une cage de chasteté recouvrant son pénis.....
il y a 3 ans

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