La douleur dans le bdsm

Bonjour voilà ma question comme chaque question paraîtra bête pour certains ou bien légitime pour d'autres je ne serais le dire.

Ma question est sur notre seuil de tolérance à la souffrance avec et sans plaisir.
Sans parler de comment prendre du plaisir avec une douleurs cela pourrait être un autre poste à lui seul.

Mais j'aimerais avoir si possible des explications si cela s'explique ou avoirs des retour sur celui-ci.
Je m'explique je suis attiré par certaines pratiques bdsm impact play j'ai eu l'occasion de le voir pratiquer en donjon mais je me suis posé une question.
Je suis véritablement douillette... mais intrigué. Et dans ma recherche de relation soumise dominante j'aimerais pouvoir offrir cette facettes de plaisir à la Dame qui aimerait le partager avec moi.

1er cas de figure : Hors la question est la suivante peut ont apprendre à avoir mal ? Par la pratique et si plus il y a de pratique peut on mieux y résister. Et encore mieux apprendre à aimer.

2ème cas de figure : où alors c'est un peu un capitale de départ, on a tels ou tels ressentis face à la douleur et cela reste fixé peu importe la quantité de fois où l'on aurait pratiqué. Cela ne bouge pas.

Ou alors le deuxième cas de figure tout en gardant cette douleur figée comme base, mais apprendre à l'apprivoiser pour l'apprécier.

Ou alors certaines pratiques sont vrais juste douloureuse points barre. Et il s'agit juste de souffrir de manière brute pour faire plaisir à sa où son partenaire.
il y a 2 ans

bonsoir Grewv
le but de la douleur n'est pas de résister mais de prendre du plaisir et pour cela il faut tout de même être masochiste à la base
le masochisme est en soit, et on le découvre avec le temps . après c'est chacun selon son niveau et chaque niveau est respectable et n'est pas à moquer pour les bas niveaux soft, ou à craindre pour les haut niveau ou hard car le plaisir retiré est presque le même car il y a les jouisseur sexuelles; les jouisseurs sexuel et mental et les jouisseurs que mental d'ont je fait partis.
la monté du niveau d'un ou d'une masochiste vient pour moi du fait de la recherche du dépassement de soit à chaque séance et du laissé allé que l'on s'autorise mais aussi surtout de la Maîtresse ou du Maître qui dirige la séance. après le dépassement de soit vient du plaisir que l'on veut rendre à la personne qui Domine. soit par amour, par amitié ou simplement par respect de ce qu'il ou Elle est pour vous ( votre Maîtresse ou Maître )
je pense personnellement que l'on est masochiste ou pas mais il existe plusieurs formes de masochismes
le mental basé sur le rabaissement, l'humiliation et l'exhibition l'entrave ext-ext
le physique sur la douleur
et parfois les deux ce mélange, ce que j'aime douleurs plus humiliation est pour moi le top mais il empêche parfois la jouissance mental si l'on ne sait pas ou l'on refuse de ce rabaisser et perdre sa fierté, d'où l'importance de ce laisser aller entre les mains et le mental de la personne qui nous Domine
d'ailleurs être soumis c'est ce laisser mener par la personne Dominante après avoir bien sur définis ces limites, qui peuvent être parfois un peux bousculé.
voici ce que je peut vous dire et ce n'est que mon humble avis
il y a 2 ans

Merci pour vôtre retour.
il y a 2 ans

Bonsoir, Yann a bien exprimé ce que l'on vit avec ma douleur. Un connaisseur 😌
J'insiste la douleur dans le monde SM est là pour se porter vers le plaisir. Comme d'autres exercices BDSM d'ailleurs.
La finalité du plaisir est moins évidente dans deux cas :
la punition, dévolue à faire comprendre au récipiendaire qu'il mal agi, ainsi son éventuel plaisir n'est plus un but
lorsque le soumis reçoit la douleur pour le "rendre" au Dominant. Il résiste pour Lui (ou Elle). Et croyez moi, dans ce cas, l'accès au plaisir est aléatoire...

Enfin un conseil, si vous êtes curieux essayer ! Et précisant soigneusement vos limites. Vos doutes. Ce n'est pas interdit.
il y a 2 ans

Je rejoins Yannparis et Ricki dans leur réponse : tout est question de respect entre le soumis et le dominant. D'où l'intérêt d'établir un cadre avec ce qu'on s'autorise et ce qu'on s'interdit. Avec aussi une bouée de sauvetage au cas où : le SAFE WORD !
il y a 2 ans

Il y a plusieurs sortes de douleur.
1°) Le coup de marteau sur le doigt en bricolant. Cela ne peut qu'être douloureux. Il est inutile de s'entraîner.
2°) Le plaisir dans la douleur vient à travers les jeux. MAIS il faut que les endorphines libérées par le cerveaux s'associent au mental.
3°) La raison : si c'est une punition, cela fera obligatoirement mal, ALORS QUE, si c'est juste pour jouer SM, la douleur sera interprétée autrement.
4°) La façon de pratiquer du Dom va énormément jouer sur le plaisir. En effet, il y a ce que l'on appelle la montée en douleur. Cela est réellement de la technique SM qui vise, en étant soft au départ, sauf une pique légère de temps en temps, à accompagner la personne dans SON plaisir. Les endorphines noient la sensation de douleur dans le mental, cela apaise le douleur et on peut donc, monter un peu plus en puissance.

A savoir et 100 % réel : lorsque la montée en douleur est bien gérée A par le Dom + B par la personne dite soumise, il peut y avoir une fusion si puissante que la personne soumise ne sent presque plus rien. Et là, on approche du Subspace.
il y a 2 ans

Merci Mr TSM. Et tous

Voilà qui répond à ma question
il y a 2 ans

Merci pour ce sujet très intéressant qui répond à certaines de mes questions.
il y a 1 an

Merci pour ce sujet qui me permet de mieux comprendre certaines choses que l'on voit ou que l'on lit.
il y a 11 mois

Alors je sais pas si c'est moi qui lit mal ou qui comprends mal j'ai pas l'impression qu'il est une phase de "warm up" dans vos séances ça pourrait expliquer en l'absence de ça vos écrits, une séance d'impact c'est comme une séance de sport faut à mon avis et c'est que je fais une phase d'échauffement.
il y a 1 mois

Bonjour Neilerio, je pense qu'il est question de la douleur en général, et en particulier de sa découverte.

Je suis d'accord, la chauffe avant d'aller chercher la douleur est une pratique courante. Et recommandée lorsque l'on a à faire à un ou une novice.
il y a 1 mois

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