• 1

Le gîte fétichistes a été retenu comme lieu d’exécution des sentences. Les condamnés y sont convoqués le matin pour y recevoir leur fessée punitive par TSM.

En cas de non présentation le jour du rendez-vous, la peine des condamnées se transforme automatiquement en mois de prison et au payement d’une très lourde amende pouvant atteindre les 100 000 euros. Comme la prison et le montant de l’amende sont très dissuasifs, des hommes et des femmes n’ont pas réellement d’autres choix que d’aller purger leur peine.

Ces « touristes » sont facilement reconnus dans le petit village Espagnol car ils conduisent très prudemment, respectent les passages piéton et se garent correctement, un peu comme si leur sentence pouvait être diminuée pour bonne conduite. Les hommes comme les femmes ont un point commun, leur visage. Aucun sourire n’étire leur visage parfois livide.

A leur arrivée, après le contrôle d’identité, pour bien leur faire comprendre qu’ils sont dans un milieu carcéral, il leur est posé des chaînes aux chevilles et des menottes. Ils sont ensuite conduit dans une salle dite « d’accueil » où il n’y a qu’une chaise, celle de l’exécuteur des sentence. Elle se trouve devant une table recouverte de dossiers, c’est là que, debout la mine triste et les joues blêmes, les condamnés attendent patiemment sans possibilité de fumer ou consulter leur téléphone.

Lorsque l’exécuteur prend place sur sa chaise, il fait un rappel des faits puis de la condamnation au haute et intelligible voix. Il rappelle au prévenu que la moindre rébellion sera sanctionnée pour le doublement de la peine. A la suite de quoi, le prévenu est mis au coin des pénitences comme les gamins d’une autre époque en attendant que l’heure sonne. L’heure qui va faire mal aux fesses, l’heure qui va leur faire comprendre qu’il faut respecter les règles mais qui ne respectera pas leur pudeur en exposant leur parties charnues.

Pour éviter les pertes de temps et la salive de l’exécuteur, il est indiqué en trois langues sur un papier collé au mur près du coin des vilains, que si pour prétexter un besoin aller aux toilettes, les prévenus devront le faire porte ouverte devant un surveillant. Cela dissuade les petits malins espérant repousser l’heure fatidique.

Lorsque l’heure a sonné, les prévenus sont conduits à la salle de punition où un banc à fessée les attend. La suite est identique pour les hommes et les femmes. Les fesses sont mises à nu, les condamnés doivent prendre place tout seul sur le banc à fessée où ils seront entravés.

TSM est un exécuteur très sympathique. En effet, pour prévenir le condamné que l’application de le sentence va commencer, il fait siffler une canne anglaise. Dans les secondes qui suivent, le premier coup s’abat sur le fessier exposé. Il est fréquemment suivi d’un « A », allez donc savoir pourquoi toujours un A ?

Pendant la suite de la sentence, les mains se serrent tout autant que les lèvres voulant faire taire des cris ou plaintes par pudeur. Les fesses aussi se serrent comme si cela pouvait atténuer la douleur. Lorsque l’exécuteur estime que les fesses sont bien striées, suivant la faute du condamné, il utilise un paddle sévère de chez ABCplaisir pour continuer la fessée.

Pour les cas graves, la fessée se terminera au chat à neuf queues toujours de chez ABCplaisir, le fournisseur officiel agréé par le tribunal. Il n’est pas rare que les condamnés supplient inutilement, bien que les femmes moins douillettes sachent mieux se tenir que les hommes.

Avant de les délivrer, l’exécuteur applique un baume pour soigner après les coups, sur les fesses rougies, comme il est rafraîchissant et mentholé, cela ne plait pas vraiment puisque il fait durer les effets de la sentence.

Ce qui est paradoxal pour la suite, c’est que lorsque les personnes sont libérées du banc à fessée, ce n’est pas sur leur devant qu’ils ou elles mettent leurs mains par pudeur, non, c’est sur leur derrière qui a pourtant été bien vu et même massé avec le baume.

Lorsque TSM leur dit « au plaisir de vous revoir » beaucoup ne répondent pas, soit parce qu’ils ne souhaitent vraiment pas revenir, soit parce qu’ils n’osent pas dire qu’ils ont aimé recevoir une bonne fessée.

Il arrive parfois que ce soit des femmes qui envoient leur mari en punition dans le cadre de la discipline domestique, mais c’est un tout autre registre.

.................

Chers lecteurs,

Vous l’avez compris, cette histoire est fictive mais ce jeu de rôle gratuit est REEL.

En conclusion, si vous ne voulez pas aller confessez vos pêchés chez le curé, ou si vous avez envie de recevoir une bonne fessée, vous pouvez prendre rendez-vous avec TSM et vous rendre au gîte fétichistes.

Vous pouvez même louer le gîte fétichistes pour vos vacances et recevoir une ou des fessées gratuites.

QUESTION

Aimeriez-vous être le condamné de ce jeu de rôle ?

• 0

Oui j'aimerais bien.

• 1

Pour avoir été jugée par ce tribunal partial et corrompu, je confirme avoir vécu un tel traumatisme.
Ce ne sont pas des mains, ce sont des portes avions. 😖
Mais le Syndicat des Soumises zé des Soumis veille et assure votre défense.

Ne choisissez JAMAIS les avocats proposés tels que TSM ou Main Foudroyante.

Oui, vous avez bien lu.
TSM avocat... Mais aussi juge.
Vous comprenez maintenant le niveau de corruption du système !? 🤬

Ceci dit, pour le frustrer, il suffit de ne pas crier et même de s'endormir.
Comme ça devient moins drôle il passe à autre chose.
Sinon au pire, vous pouvez occuper vos mains avec ses lacets, ses poils de jambes... Ça c'est rigolo.

Quoi qu’il en soit ça restera une expérience marquante. 🤣