Récits
2 jeunes hommes m'observent
il y a 3 ans

Presque 15 ans d'exhibition et de libertinage, je croyais être maître en la matière

Deux jeunes hommes très sexy sont invités chez cette femme mature, très décomplexée. Ils l'observent tout d'abord sous la douche. À 52 ans et presque 15 ans d'exhibition et de libertinage, je croyais être maître en la matière et bien non, je me suis fait blouser par 2 petits voyeurs. Voilà ce qui s'est passé, J'ai un l'ami d'un ami qui à 19 ans et qui vient de temps en temps à la maison. Il habite le village voisin à 8 km. J'avais bien remarqué qu'ils me mâtaient un peu, par exemple mes jambes quand je suis en voiture, il faut dire que je m'habille assez court, mais correct, mais ils reluquent aussi mon décolleté s'il est légèrement ouvert, mais ça me semblait bénin vu leur âge et leur morphologie bien que parfois ils n'avaient pas un regard innocent. Quand ils sont à la maison, je me consacre à mes habitudes, vu qu'ils sont habitués. Il m'arrive de lire sur la terrasse en m'installant sur un relaxe, mais cette fois il ne faisait pas assez chaud malgré le soleil alors je me s...
Bas noirs, porte-jarretelles et fessées
il y a 3 ans

Comment l'esprit vient ... aux hommes.

Plusieurs tenues me titillent mais l’une d’elle plus que les autres puisqu’elle me renvoie l’image de femmes qui ont accompagné ma pré-adolescence et ont contribué à la construction de ma sexualité et de mes orientations sexuelles. J’ai grandi dans les années soixante (époque bénie du porte-jarretelles, de la robe ou de la jupe triomphante) dans un petit commerce qui comptait plusieurs vendeuses et comble du bonheur pour un gamin curieux de ce qui se passait sous les jupes, elles devaient parfois utiliser des escabeaux pour accéder à tel ou tel rayon. Elles prêtaient sans doute peu d’attention à moi qui n’était qu’un enfant et je m’arrangeais toujours pour trainer dans le magasin et en particulier tout près de l’escabeau. Je découvrais ainsi les jambes de ces demoiselles, apercevais souvent la chair blanche au dessus des bas, parfois un peu de tissu d’une petite culotte, parfois furtivement un peu du gras des fesses… C’était aussi l’époque des combinaisons, jupons… et on découvra...
Cage de chasteté numérique le piratage infernal
il y a 3 ans

L'histoire d'une TV sous cage de chasteté piratée sur un site de rencontres

Louisa est une jolie petite travestie assez avec un très beau petit fessier et des jambes à rendre les femmes jalouses. Suivant les tenues qu’elle porte, à 22 ans, elle peut largement passer pour une little. Depuis des années, elle rêve d’avoir une Maîtresse et de se faire opérer pour devenir lesbienne soumise. Hélas, la nature est ce quelle est et, entre ses délicieuses jambes, se trouve un sexe masculin. Lorsqu’elle n’est pas féminisée, les femmes sont attirées par la douceur de ses traits, sa gentillesse. Si bien, que Louis n’est pas en peine de conquêtes. Le souci est que, quand ils dévoile sa vraie nature, les femmes le fuient. Par désespoir, Louis s’est tourné vers les hommes pour trouver un Maître, ce fut une catastrophe ! Trop sexe et trop durs, les deux rencontres que Louisa a faite, l’ont vraiment convaincu qu’il est hétéro ou lesbienne dans l’âme. Sur Fessestivites, Louis rencontre une Maîtresse très à l’écoute. Trop à l’écoute et, en grand naïf, il ne respecte pas le...
Négociée à la médina
il y a 3 ans

Un petit gang bang libertin au Maroc

Je m'appelle Christine, j'ai 40 ans et j'habite une petite ville de l'aube. Je suis marié à un mari imaginatif avec qui je mène une vie sexuelle plutôt active. Voici ce qu'il m'a fait vivre il y a moins de dix jours alors que nous visitions Rabat, dernière ville de notre séjour de quinze jours au Maroc. Nous avions une journée complètement libre dans le planning (un peu trop chargé à mon goût) organisé depuis Paris par mon mari. Nous résidions dans un hôtel de luxe du centre ville. Rabat est une très jolie petite ville où les différents quartiers s'assemblent grâce à de larges zones de verdure. Nous avions décidé d'aller dans la Médina, la vieille ville où les petites rues succèdent aux artères plus larges aux échoppes abondantes. Toutes les senteurs, toutes les visions du Maroc traditionnels sont là à portée de pas de notre hôtel si moderne. Mon mari et moi flânions, d'échoppe en échoppe, découvrant au hasard des rues les cavernes d'ali baba des vendeurs de tapis. Nous nous s...
Journal intime
il y a 3 ans

Journal intime d’une femme devenant nounou

##### Il m'a avouée en fait qu'il aime se sentir langé comme un bébé, porter un change complet sous ses vêtements et faire dedans comme s'il était incontinent. Il n'a pas de problème particulier, mais seulement qu'il est fétichiste des couches. Je m'appelle Pauline, j'ai 26ans je viens d'être embauchée dans une grande entreprise. Je partage mon bureau avec un ingénieur. Je tiens un journal intime, voici les passages qui parlent de lui. Lundi 1er Mars Assis a la cafétéria a midi, on a discuté tout les deux afin de faire plus amples connaissances. Par moment, je baissais les eux vers le sol. Machinalement mon regard s'est posé sur son entrejambe... Oh mon dieu, cher journal, j'aurais aimé que tu vois ça. Il se tenait les jambes écartées avec les pieds sous son siège cela mettait son paquet en évidence. J'en n'ai jamais un aussi gros. Je sais pas la taille qu'elle doit faire mais cela lui fait une énorme bosse sur le jeans. Mardi 9 Mars J'ai remarqué une chose étrange. Stéphane,...
Une fessée d'autorité
il y a 3 ans

Eléa et Antoine se connaissent depuis longtemps. Mais délaissée par Antoine, Eléa prends ses aises avec les règles établies. Ce n'était pas forcément une bonne idée pour ses fesses.

Eléa et Antoine c’était rencontré alors que cette dernière entrée en première année de commerce. Comme toute première année, Eléa eut besoin de cours particulier afin de pouvoir se maintenir à un bon niveau. C’était à cette occasion qu’elle avait rencontré Antoine pour la première fois. Mais après une dizaine de cours, l’attention d’Eléa diminua. Antoine la menaça d’une sévère fessée si elle ne se remettait pas très vite au travail. Cette menace n’eut aucun effet sur la jeune femme. La raison à cela ? Eléa faisait partie du monde de la fessée. Pour elle, c’était un plaisir pas une douleur. Et puis, encore fallait-il qu’il ose. Ce qu’elle ignorait, c’est qu’Antoine faisait lui aussi partit de ce monde. Il osa donc, trois cours plus tard. Et ce fut la première fessée punitive que reçu Eléa, elle ne savait pas ce que c’était et aurait préféré ne pas le découvrir. Cela remontait à six ans maintenant. Entre temps, ils avaient été amis, amants, connaissance puis de nouveau amis. Aujourd’h...
CLAIRE
il y a 3 ans

Histoire érotique libertine

J'ai connu Claire (nous l'appellerons ainsi) dans le TGV qui m'amenait à Paris. Je ne pus avoir, cette fois là, de siège « isolé ». Je pris donc place dans le wagon qui m'avait été assigné. Je m'installais confortablement, pris un livre que je venais d'acheter sur les conseils d'un ami et commençais à le lire. En gare de Montpellier, une personne pris place à mes côtés et, après les formules de politesses habituelles, me replongeais dans la lecture. Je remarquais que cette personne en fit de même. Au bout de quelques instants et une exclamation : « Vous aussi ?», je me tournais vers elle et la détaillais plus en détail. Elle était charmante, habillée avec goût et la longueur de sa jupe me laissait entrevoir de biens belles jambes. Je remarquais qu'elle portait une attention toute particulière au roman que je lisais et la regardais plus attentivement. Elle comprit mon interrogation muette et me montra la jaquette du livre qu'elle même dévorait : il s'agissait du même roman (« Le...
Didgeridoo
il y a 3 ans

Un didgeridoo au cul, c'est pas commun mais c'et jouissif

Un didgeridoo, c'est une sorte de trompe en bois, creuse, de 2 à 3 mètres de longueur, autrefois utilisée par les aborigènes pour communiquer à grande distance. Aujourd'hui, les aborigènes préfèrent le téléphone portable, mais continuent à fabriquer et décorer des didgeridoo pour les touristes. Un ami australien m'en a donné un, un modèle réduit d'environ un mètre de longueur et 7 à 12 centimètres de diamètre. Dès que j'ai vu l'engin, j'ai eu envie de l'utiliser pour me ramoner le cul et, mon ami étant comme moi adepte de la dilatation anale, je me suis aussitôt mis à poil et, devant lui qui m'a dit avoir prévu cet usage de son cadeau, me suis empalé sur l'objet aussi profondément qu'il a bien voulu pénétrer. Très jouissif, mais ce fut aussi jouissif de savourer le goût de mon cul en léchant bien l'extrémité sortie de mes entrailles. Des visiteurs et visiteuses me demandent ce qu'est cet engin, je le leur explique et j'aime bien les faire souffler dedans sans généralement préciser qu...
Cônes de chantier
il y a 3 ans

C'est bon, un cône dans le cul

Sur les chantiers il y a toujours des objets avec lesquels j’ai envie de me dilater l’anneau du cul. Les manches d’outils, c’est commun. Les fers à béton, en particulier les fers Tor, avec de grosses cannelures, c’est bien plus tentant, on ne trouve guère de diamètre supérieur à 32 mm mais les cannelures multiplient l’effet de ramonage, cela vaut bien des plugs ! Plus original encore, un cône de chantier. Depuis que j’en ai détourné un de son usage pour me le mettre au cul j’imagine un chantier où chacun des cônes serait couronné d’un homme ou d’une femme à poil en train de se branler, empalé au maximum : je bande et me branle encore davantage en conduisant.
Copine cochonne
il y a 3 ans

Ma copine est une cochonne qui joue à me travailler le cul

Ma copine est une sacrée salope, je peux même dire une bonne putain, car il lui arrive de monnayer une pipe dans les chiottes à un inconnu quand on sort, ou se faire tringler pour une cinquantaine d'euros, mais c’est juste pour le fun. Elle aime beaucoup s'occuper de mon anus. Justement la semaine dernière après s'être gouinée avec une de ses amies pendant que je me branlais en les matant, elle a enfilé son gode ceinture pour nous enculer tour à tour. Elle est la candidate idéale pour me défoncer le cul avec mon nouveau maxi gode. Elle l’a testé dans sa chatte et malgré une tonne de mouille, n’est parvenue à s’enfoncer que le gland. Cette après-midi, je suis allé chez elle qui, avec beaucoup de douceur et de patience, m’a godé pendant plus d’une heure avec un méga plug de 80 mm électrifié et vibrant, me dilatant progressivement le trou du cul pour m'y enfoncer d’une dizaine de centimètres la partie la plus épaisse, bien lubrifiée, faisant des va et vient au point de me faire crier...
Ruines hitlériennes
il y a 3 ans

M'exhibant à poil dans des ruines hitlériennes, j'ai été soumis à un couple et à leurs amis

Hitler a fait construire en France, dans une zone où j’ai l’habitude de marcher nu avec un plug au cul pendant des heures, un centre de commandement dont il reste, échelonnées à flanc de colline, les entrées, de cinq blockhaus souterrains, et, dans la vallée, les ruines du central téléphonique. Passant régulièrement à poil devant les entrées de blockhaus, j’ai eu envie, un jour d’été, de me photographier à poil devant l’une d’elles. Posant mon appareil sur pied d’un côté du chemin, j’ai armé le retardateur et suis allé poser de l’autre côté, devant une porte , vue de face, et vue de dos, cul bien évidence avec, juste dans la cible, l’habituel plug. Un jour où, une fois de plus, j’exposais à l’objectif mes fesses bien écartées pour dégager mon oignon étoilé, la tête basse et tournée vers le talus, je n’ai pas vu venir deux vététistes, un homme et une femme qui, intéressés par le spectacle, ont stoppé. Je les ai emmenés dans les ruines du central où je me suis bien volontiers lais...
Chez Michel
il y a 3 ans

Accompagné par Antoine, je vais chez Michel, nous nous travaillons les culs et les fesses

Michel m’ayant, au téléphone, proposé de venir chez lui avec un copain, j’y suis allé, partant aux aurores, en compagnie d’Antoine avec ma voiture dans laquelle, comme à mon habitude, j’étais à poil ― façon de parler car j’étais intégralement épilé ― avec un plug bien au fond du cul. Conduisant à poil, je me branlais de temps en temps pour continuer à bander sans juter. Ça excitait Antoine qui croyait bien me connaître mais n’imaginait pas ce périple autoroutier à poil. Aucun conducteur ou passager des autres véhicules ne semble avoir remarqué mon exhibition, sauf la passagère d’un fourgon que mon passager a vue manifester sa désapprobation. Vite à poil tous les trois chez Michel, nous avons fait connaissance en inventoriant le contenu de la valise que j’avais apportée. Un film de ballbusting tournait en boucle sur la télé. Michel ayant envie de se faire écraser les couilles, nous lui avons joyeusement balancé, en alternance et de toutes nos forces, de grands coups de pied bien...
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