Récits
A l'orphelinat
il y a 1 an

Des années difficiles...

Quand mes parents sont décédés, juste avant la guerre, j’avais à peine deux ans et je n’ai évidemment pas le moindre souvenir d’eux. Ni des années qui ont suivi. Tout y est flou. Il me revient parfois des images… Une cour. La façade d’un immeuble. Des soldats, peut-être allemands. Un grand pré. Sans que je puisse vraiment faire le lien entre elles. Mon histoire m’échappe. Mes premiers vrais souvenirs datent de l’année de mes dix ans. Je suis reclus dans un orphelinat, au nord de Lyon. Tout y est gris. Les locaux. Les journées. Les surveillants. Les repas. Heureusement, je vais à l’école. Ce sont mes meilleurs moments. Et de loin. Regagner le centre, chaque soir, est un véritable crève-cœur. Les dimanches, eux, s’éternisent. Les vacances aussi. Quand j’ai quatorze ans, on m’envoie en apprentissage. Chez un boulanger. J’y resterai six mois : il s’avérera que je suis allergique à la farine. S’enchaîneront alors cinq ou six patrons. Dans toutes sortes de domaines. Je serai initié au...
Joyeux anniversaire ! Chapitre 2
il y a 1 an

Régis "goutte" à son cadeau d'anniversaire organisé par Solange.

Régis était à genoux sur le tapis au milieu du salon les yeux bandés. Il était tout abasourdi par ce qu'il venait de vivre. Tout d'un coup, il entendit enfin la seconde voix. " A mon tour, grosse salope ! Tu vas passer à la casserole, sale pute !". Sa voix était plus grave et plus agressive que la première. Une main prit brutalement la mâchoire de Régis et l'ouvrit pour y enfourner son sexe. Régis sentit qu'il était gros et dur, bien chaud, le gland proéminent. Il était plus gros que les godes de Solange. Il devait bien faire entre 4,5 et 5cm de diamètre. Régis se mit à le sucer avec application, craignant cette voix peu amicale. Il attarda sa langue sur la tige afin d'en jauger la longueur. Elle était un peu moins longue que celle de la première voix mais d'une longueur tout de même respectable. Régis la suça avec la même dextérité que sa première fellation. "Mais c'est qu'elle suce bien la cochonne ! Vas-y continu ma chienne !" fit la grosse voix en prenant la tête de Régis et l'...
fessee pour cause de chomage
il y a 1 an

le titre veut tout dire ; ici c est la première version de 1960 notre héroïne ,sans travail accepte un emploi chez une infirmière . bien sur le livre n est pas écrit par moi la suite si ca vous plait

La soubrette ne répondit point et gagna l'office. Je sentis le regard de Gwladys se poser sur mes fesses, - avant de lire mon courrier, je me propose de vous soumettre à un autre test que vous devez connaître, venez vous allonger sur mes genoux. Je n'osais pas discuter et inquiète je me disposais comme elle me le recommandait ; je l'entendis ouvrir un tiroir et la crainte d'une nouvelle fessée me dissuada de tourner la tête. Un léger tintement de verre m'alerta, un thermomètre ! Gwladys se préparait à me prendre la température et ma position par elle-même me laissait deviner où. - noooon madame, je vous en supplie, je ne suis plus une petite fille, je n'ai plus reçu le thermomètre là depuis mes douze ans ! - mais si Sandrine, vous venez bien de recevoir la fessée et je vous assure que votre petit orifice s'ouvrira à la pénétration du thermomètre ; c'est fréquent ici, alors tenez vous Lorsque je sentis qu'elle écartait mes deux globes et que son doigt mouillé se posait su...
ma femme a pu faire caca
il y a 1 an

histoire trouvée sur un site " médical" dont je ne suis pas l auteur

. Il y a 3 jours nous sommes allés chez ses parents et j'en ai profité pour récupérer une boite de suppositoires qui se trouvait dans une boite à pharmacie fixée au mur dans les toilettes. Je suppose que ses parents sont en permanence constipés : j'avais remarqué qu'il avaient des dizaines de boites de suppo à la glycérine dans cette pharmacie. Une fois rentrée à la maison, je dis a ma femme : "au fait es tu allée au toilettes ?". Elle me réponds " non, toujours pas". Je l'informe donc du fait que j'ai récupéré une boite chez ses parents. Elle n'a pas l'ai plus surprise que ça car elle a du voir elle aussi qu'ils en ont un stock conséquent. Mais elle me dit qu'elle préfère attendre demain au cas ou elle irait aux toilettes ce soir. Le lendemain matin après le ptit dèj je lui demande ce qu'il en est et elle me confirme n'avoir toujours pas été aux toilettes ni la veille, ni le matin. Elle me dit " ok, je vais mettre un des suppositoires que tu as ramenés". Etant excitée à l'idée d...
Joyeux anniversaire ! Chapitre 1
il y a 1 an

Solange organise une surprise pour l'anniversaire de Régis, son soumis.

Régis et Solange ont la trentaine. Ils forment un beau couple. Ils sont tous les deux blonds aux yeux bleus avec un teint mat, un corps effilé mais sportif. Au lit, Régis est soumis et Solange sa maîtresse. Chacun s'épanouit dans son rôle. Ils adorent tous les deux les grandes chaussettes. Avec le temps, les pratiques s'enhardissent. Régis finit par porter une cage de chasteté en permanence. Solange le sodomise régulièrement. Chez eux, ils portent en permanence de grandes chaussettes ou jambières s’arrêtant au niveau du genou et un short court. Un jour, Solange demande à Régis s'il ne serait pas contre de se faire prendre par un homme, lui expliquant que cela l'exciterait beaucoup, autant que deux femmes ensemble puissent exciter Régis. Régis, surpris par la question, hésite à répondre. Mais dans le cadre de leur relation domination soumission, il avait appris à ne rien cacher de ses sentiments les plus intimes. - Si le phallus m'attire, l'homme qu'il y a au bout, beaucoup moins ! J...
La secrétaire du directeur de Saint-Patrick
il y a 1 an

A Saint-Patrick on ne plaisante ni avec la discipline ni avec le travail.

J’ai été, près de dix ans durant, la secrétaire du directeur de Saint-Patrick. Saint-Patrick était une institution religieuse mixte qui accueillait des élèves ayant échoué à leurs examens de fin d’études. Leurs parents, rêvant pour eux d’une brillante carrière, tenaient néanmoins à ce qu’ils les obtiennent et étaient prêts, pour cela, à y mettre le prix. Un prix élevé. Aussi s’estimaient-ils en droit d’exiger des résultats. Il y en avait. Grâce à une discipline de fer. On ne laissait strictement rien passer. À qui que ce soit. Tant sur le plan du comportement que sur celui du travail. Les châtiments corporels étaient monnaie courante. Du moins en ce qui concernait les garçons. Les filles, elles, y échappaient. On leur donnait, quand elles les avaient méritées, d’autres punitions, telles que mises en retenue, privation de week-end, travaux domestiques ou devoirs supplémentaires. En ce qui concernait les garçons, c’était le directeur qui officiait. En ma présence. Je faisais en que...
Alpha et Oméga Partie 2, chapitre 3
il y a 1 an

La suite des aventures de Cassandra et sa petite bande

Une semaine plus tard, je recevais un coup de téléphone de Liz, me suppliant de venir avec eux au club, le samedi. Comme d’habitude, je me suis laissé convaincre… Sauf, que je ne faisais que jouer les accompagnatrices. En aucun cas, je ne participerai au show. Je portais donc une petite robe rouge dos nu, cintrée à la taille et des escarpins noirs. Mes mèches de devant étaient retenues par une pince et le reste de ma chevelure était libre. J’étais sagement assise à une table, pendant que Liz et Fitg, étaient partis se préparer pour leur représentation. Enfin sagement... Mes yeux suivaient avec un intérêt certain, l’homme en train de libérer son modèle des cordes, sur la scène. Pourquoi cet intérêt me direz-vous ? Parce qu’il ne s’agit de nul autre que de Luc. Surpris ?? Alors imaginez-moi, quand je l’ai vu monter sur scène sous le pseudonyme de Maître Attila ! Je suis tellement plongée dans ma contemplation, que je ne sens pas la personne arriver à ma table. Je la vois uniquement,...
La vilaine petite camarade (2)
il y a 1 an

Quand le souvenir de la fessée reçue devient envahissante...

Quand ça m’était arrivé, quand je l’avais reçue, cette fessée dans les vestiaires du stade, je m’étais efforcée de ne voir personne, tant j’avais honte. Ça avait été un bloc compact de visages indifférenciés, face à moi, quand je m’étais relevée. Tout juste en avais-je identifié deux ou trois devant lesquels j’avais très vite baissé les yeux en rougissant. Mais maintenant que je m’y étais accoutumée à cette honte, que je prenais infiniment de plaisir à la câliner voluptueusement, la donne avait changé. J’aurais voulu la nourrir de tous ces visages, ma mortification. Savoir à qui ils appartenaient, comment ils avaient réagi, ce qu’ils avaient pensé. Savoir tout sur eux. Absolument tout. Quand je croisais un garçon dans la cour, quand je parlais avec lui, quand mes yeux s’attardaient, en classe, sur la nuque de l’un ou l’autre d’entre eux, je ne pouvais pas m’empêcher de me poser la question. Et celui-là ? Est-ce qu’il avait été là ? Est-ce qu’il avait vu ? Et celui-là ? Et celui-l...
Un "confort"
il y a 1 an

Lorsqu'on ne choisit pas, la Maîtresse le fait à notre place !

Inconfort J'aime l'inconfort, à 47 ans comme depuis de nombreuses années je veux subir des périodes d'inconfort. Pour cela le bondage est adapté à mon goût, j'éprouve actuellement ces instants sous la coupe de Lady Délia. J'ai rencontré d'autres Dominatrices auparavant,  Délia ayant à peu près mon age et s'occupant juste d'une poignée d'hommes, toujours les mêmes, tous bien décidés à propos de leur pratiques, tout cela faisait qu'une complicité s'est installée entre Elle et moi. J'aime aussi le confort. Le rafinement. Les chambres vastes, excessif au vu des courts séjours où j'y reste, professionnels ou villégiature. Ou alors allongé dans un pré gazonnant au printemps, juste protégé par une serviette de bain des plus moelleuses.  Finalement je suis un conforto-bipolaire ! Lady Délia a fini par découvrir mon deuxième plaisir. Et le jugeant contraire à l'existence de ses soumis, en plus de m'attacher "classiquement", Elle organise des sessions de pénitence spécialement pour...
Pourquoi j'ai quitté la Terre...
il y a 1 an

On ne devrait jamais être obligé de faire semblant d'être qui on n'est pas.

Je m’appelle Kal-El. C’est ainsi que m’ont baptisé mes parents sur ma Planète de naissance, Krypton. Mes parents adoptifs sur Terre m’ont appelé Clark. Clark Kent. C’est ainsi que me connaissent mes proches, mes amis et mes collègues. Mais vous, vous me connaissez sûrement sous le nom de… Superman. Oui, je suis différent. Je suis ce que vous appelez un alien, un extraterrestre. Pourtant, j’ai grandi parmi vous, en plein milieu des terres du Kansas aux Etats Unis d’Amérique. Pourquoi ici ? Parce que Jor-El, mon père biologique, mon père Kryptonien, a décidé de m’envoyer sur Terre pour me sauver la vie alors que Krypton allait être détruite, par la folie de ses habitants et leur incapacité à anticiper l’implosion de notre Etoile, l’équivalent pour vous du Soleil. Il avait prédit que votre Soleil, une jeune Etoile allait me donner une force inconnue, une vitesse prodigieuse et une quasi invulnérabilité. Pourquoi le Kansas, le trou du cul du Monde au lieu d’une ville riche de...
La vilaine petite camarade
il y a 1 an

C'est pas beau de rapporter

Quelle idiote j’avais été de les dénoncer, ces trois filles, pour avoir fait le mur et être allées retrouver des garçons en pleine nuit ! Non, mais qu’est-ce qui m’avait pris ? C’était pas mes oignons. Et, de toute façon, elles étaient majeures. Elles faisaient bien ce qu’elles voulaient. Sauf que, majeures ou pas, elles étaient internes, il y avait le sacro-saint règlement qui valait pour tout le monde et, au final, elles avaient écopé de huit jours de renvoi. Elles m’en avaient évidemment voulu à mort et la “moucharde”, la “cafarde”, comme on s’était mis à m’appeler, avait été mise en quarantaine. On ne m’adressait plus la parole. Personne. Ni internes ni externes. Ni en classe. Ni au dortoir. Ni au réfectoire. Ni dans la cour. Nulle part. J’étais une pestiférée. Et c’était l’enfer. Vous imaginez ce que c’est, vous, de devoir passer toutes ses journées sans jamais pouvoir échanger le moindre mot avec qui que ce soit ? De se sentir en permanence en but à l’hostilité générale ? J’av...
Soumise aux pires formes d'esclavage sexuel
il y a 1 an

Entre fantasmes et réalité, il y a tout un monde. C’est ce que va découvrir Lydia en vivant un véritable enfer.

Un fouet accroché au-dessus d'un lit, de la lingerie au sol, des portes en fer et des fenêtres grillagées aux vitres peintes en noir. C'est dans ce décor sinistre d'un bordel au nord de Beyrouth qu’une Syrienne de 26 ans, a été durant des années coupée du monde, soumise avec des dizaines d'autres filles aux pires formes d'esclavage sexuel". "On devait coucher avec 15 à 20 hommes par jour, parfois avec 40 quand il y avait beaucoup de « travail »", affirme t’elle dans une rare interview accordée à l'AFP dans une ville au sud du Liban où elle a trouvé refuge. Début avril, le scandale éclate avec le démantèlement du plus grand réseau de trafic sexuel découvert, depuis le début de la guerre en Syrie qui a poussé plus d'un million de personnes à se réfugier au Liban. Rendus vulnérables par la guerre, de plus en plus de Syriens sont victimes d'exploitation sexuelle entre autres au Liban ou en Jordanie, selon la police et des organisations internationales. "On n'avait pas le droit d...
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