Récits
Emprise sexuelle en prison
il y a 9 ans

Emprise sexuelle en prison

Emprise sexuelle en prison Un texte gay très chaud qui va très loin. Chapitre 1 Les lumières s'éteignirent. C'était le moment que Jim avait redouté. C'était sa première nuit et dans la prison parmi les autres prisonniers et il a compris qu'il allait y passer. Tout lui indiquait que cela allait se produire. Quand l'autre homme dans la cellule l'a regardé, Jim pouvait voir que cela allait se produire. Jim avait 22 ans, 1m80 ", 75 kg, et aucune musculature. L'autre homme était bâti comme un athlète, mesurait au moins un 1m85, et pesait au moins 100 kg, d'environ 30 an. Son nom était Lou. Lou était un des chefs du clan des Frères Aryens de la prison. Jim était blond, yeux bleus, mignon et savait qu'il était un morceau de choix pour un male privé de sexe comme son compagnon. Il allait pouvoir se régaler. Jim s'assis sur sa couchette. Lou a marché vers lui et dit, "lèves-toi." Jim a tenu bon. Lou l'a regardé droit dans les yeux. "Je vais te baiser. Cela peut être facile ou cela peut ê...
Emprise sexuelle en prison 2
il y a 9 ans

Emprise sexuelle en prison

Emprise sexuelle en prison Un texte gay très chaud qui va très loin. Chapitre 6 Quelque chose a frappé Jim sur la tête, le cognant dans son sommeil. C'était Lou, qui lui ordonnait "lèves-toi, au boulot." Jim, chancelant encore, n'a pas compris les mots mais a réagi automatiquement à l'ordre de Lou et glissé hors du lit pour s'agenouiller aux pieds de Lou. "Tournes-toi, " commanda Lou, en tordant les épaules de Jim. Jim s'est mis dans la position que voulait Lou et puis, aux ordres de Lou, et puis se coucha et mis ses bras en l'air. Pendant que Jim reprenait ses esprits, il a réalisé qu'il se trouvait sur le sol en béton à côté des couchettes avec sa nuque contre la toilette en métal. Jim avait obéi à l'ordre de Lou et ses bras ont été étirés jusqu' au mur de chaque côté de la cuvette. Lou se reposait sur la cuvette et il attachait les poignets de Jim. Jim s'est rendu compte qu'il y avait une corde derrière la cuvette et que Lou l'attachait à la cuvette. Et alors Jim a réalisé la c...
Pensionnaire chez des adeptes du BDSM
il y a 9 ans

Une location sans bail et à hauts risques

A la recherche d'un logement, j'avais repéré chez un libraire une petite annonce peu engageante, mais dont le prix et la situation me convenaient. On proposait deux pièces pour une personne seule, sans animaux, discrète, propre et non fumeur. Toutes ces conditions n'étaient pas pour me séduire. Hélas, je n'avais pas le choix. J'ai donc été me présenter pour visiter l'appartement. Je fus reçu par les propriétaires, un homme et sa soeur, qui se présentèrent par leurs prénoms. Roger et Marguerite. Ils m'invitèrent à boire un café dans la cuisine qui faisait office de salon, pour, avait dit Roger d'une voix grave, bavarder un peu. En fait de bavardage, je fus d'abord détaillé des pieds à la tête. L'âge des propriétaire était difficile à évaluer. Roger éclaira indirectement ma lanterne en déclarant qu'il était en préretraite ce qui m'étonna. Il devait sa bonne conservation apparente à une qualité de peau assez remarquable. Il semblait avoir l'épiderme d'une femme de quarante ans sur...
Pensionnaire chez des adeptes du BDSM suite
il y a 9 ans

Les surprises de la location

SECONDE PARTIE Le pensionnaire mûrit... Frère et soeur se chamaillèrent sur la posture dans laquelle la petite biche allait recevoir la délivrance. Marguerite le voulait agenouillé sur le sol devant le lit, bien cambré, face à Roger. Roger préférait quelque chose de plus sobre. Pour tester la volonté du petit, il le voulait simplement debout, légèrement penché, les mains bien à plat sur le lit avec interdiction de les ôter sous peine de doubler la punition.. Marguerite insista, ...toi et ta satanée sobriété..... Elle eut gain de cause. Résigné, le jeune homme n'intervenait plus dans la conversation. J'entendis Marguerite dire à Roger : Tiens-le bien, puis un sifflement accompagné d'un claquement sec et un cri de douleur. Le jeune homme protesta. Je l'entendis rouspéter : vous êtes folle ! Ca fait terriblement mal !. Marguerite dit : Mais non, la première fois ça surprend un peu, laisse toi aller à tes sensations... Elle frappa une nouvelle fois puis s'énerva : Mais tiens...
Jeux BDSM partagés
il y a 9 ans

La Française des jeux BDSM

Il y a quelques mois j’ai répondu à une annonce sur un site internet de Bondage. Cette annonce était rédigée de la façon suivante : Femme âge 30 ans cherche homme du même âge pour partager ma passion du bondage et du SM soft. Je reçois chez moi. Après plusieurs échanges sur MSN, nous convenions d’un rendez vous pour un week-end. Etant célibataire, je pouvais facilement bloquer tout un week-end pour vivre pleinement cette expérience nouvelle pour moi. J’ai toujours été tenté par des expériences de SM léger, mais je n’avais jamais osé franchir le pas. Le samedi matin suivant, je me retrouvais devant la porte d’entrée d’une belle villa située à la sortie Ouest de Bourges. Une ravissante jeune femme m’ouvrit la porte en me souhaitant la bienvenue. - Si vous en êtes d’accord, vous m’appellerez « Maîtresse » et je vous appellerez « mon jouet ». Si c’est vous qui gagnez le tirage au sort, nous inverserons les noms. La ravissante brune qui me faisait face me conduisit dans une gra...
LA PUNITION D'ELISABETH
il y a 9 ans

La vilaine lesbienne se fait sévèrement punir

Elisabeth était la plus dévergondée du dortoir des terminales. Nous nous doutions qu’elle entretenait avec Florence une relation homosexuelle. A plusieurs reprises Elisabeth avait été surprise entrain de prendre Florence par la main. Dans les douches de l’internat, elles étaient systématiquement à coté et il était évident que leurs échanges de regards trahissaient leur plaisir à se regarder réciproquement. Plusieurs fois, Elisabeth avait proposé à Florence de lui laver le dos, mais notre présence avait fait reculer cette dernière. Un mercredi après midi, alors que toutes les autres terminales décidaient de sortir en ville, Elisabeth et Florence décidèrent de rester dans la chambrée. Persuadés qu’elles allaient en profiter pour avoir des relations sexuelles, nous avons décidé de les surprendre. Afin de ne pas éveiller leurs soupçons, nous annonçons que nous allons toutes au cinéma pour voir le dernier James Bond. Elles tombent dans notre stratagème et nous regardent partir avec...
Mon premier fist
il y a 9 ans

Un poing dans mon cul

Je m’étais déjà enfilé bien des choses dans le trou du cul, depuis un crayon jusqu’à un manche de pelle en passant bien entendu par un gode et les leviers de vitesse de mes voitures, lorsque, par l’intermédiaire de Sling, j’ai eu rendez-vous avec un homme à Arnage, dans la banlieue du Mans, où je suis allé à poil dans ma voiture. Celui qui me recevait habitait un pavillon en bordure des bois et garé devant chez lui, j’ai vu qu’il ne devait pas passer beaucoup de monde, je suis sorti donc à poil et, entrant dans le jardin, suis allé sonner à la porte, qui ne s’est pas ouverte tout de suite, sur un type de mon âge, Jacques, lui normalement habillé.N’ayant rien convenu sur le déroulement de la rencontre et n’ayant alors aucune expérience SM, j’ai demandé à Jacques de se mettre lui aussi à poil. Il n’en avait pas envie mais, comme j’insistais, il s’est déshabillé en gardant son slip et m’a dit que, avant de faire autre chose, allait commencer par me fouetter. Je ne m’y attendais pas ma...
Roulette russe
il y a 9 ans

Roulette russe

Auteur ? L'ennui règne dans une résidence de grande école, en grande banlieue parisienne, loin de tout. Seules activités possibles : celles organisées par les élèves (et on en fait rapidement le tour) et les discussions sans fin dans les chambres. Ce soir là nous étions quatre dans la chambre de Véronique et la conversation était venue sur le terrain des paris et des risques. Jacques nous parlait d'un film (j'ai oublié lequel) avec une scène de roulette russe. Béné soutenait qu'il fallait être fou pour faire un truc pareil. Véro lui a répondu que c'était le résultat de l'ennui qui peut conduire à faire n'importe quoi, rien que pour se changer les idées, pour montrer que l'on existe, pour sentir un frisson. J'ai fait remarquer que coté ennui nous étions servis mais que nous n'avions pas de six coups. A cet instant la conversation a basculé du général au particulier et nous a entraînés vers une situation inédite. Véro : « C'est le principe qui compte. Prendre un risque. Faire un pa...
Roulette russe : seconde soirée
il y a 9 ans

Roulette russe : seconde soirée

Auteur ? Je suis à peine sorti de la chambre de Véro que je croise Béné dans le couloir : « A tout à l'heure. Tu te souviens que tu es la première à tirer ! » Béné me retourne : « S'il y a une justice, ce soir c'est le tour d'un garçon ! » A neuf heures me voici de retour chez Véro. Elle s'est vêtue d'un bas de survêt ample et d'un tee-shirt collant. Sur la table trônent les instruments du destin : dé, brosse et cravache. Béné nous rejoint. Jacques arrive enfin. Véro semble avoir retrouvé la forme : « Tout le monde est partant ? Douleur et humiliation au menu ! A toi l'honneur, Béné. » Béné se saisit du dé. Elle attend et laisse le calme s'installer. Ce soir elle porte un jean collant et un sweat-shirt qui cache les formes de sa poitrine. Nous la sentons agitée, à la fois inquiète et tentée de nous montrer qu'elle non plus ne reculera pas. Jacques décide de faire monter la pression : « Alors tu nous fais attendre, tu veux te faire désirer ! Après la blonde, la brune va-t-elle dé...
Un dimanche à la campagne
il y a 9 ans

La servante accorte se fait punir

Il était venu l'attendre à la descente du train. Elle portait un petit tailleur noir dont la jupe était encore plus courte que celle qu'elle avait mise pour leur première rencontre. Pendant le voyage, elle avait dû prendre son air le plus sévère pour tenir à distance deux jeunes soldats qui ne cessaient de guigner ses jambes nues. Elle était d'autant plus sur ses gardes qu'elle ne portait rien sous sa jupe comme Rodolphe le lui avait recommandé. Dans la spacieuse demeure, il lui fit tout d'abord déposer dans le tiroir d'une commode, le fouet qu'elle s'était bien gardé d'oublier, puis, lui faisant retirer sa veste, il lui tendit un tablier de soubrette et une petite coiffe blanche qu'elle mit dans ses cheveux. Elle se trouva transformée à l'instant en une servante "accorte" comme on dit dans les romans de gare. Mais ne sommes-nous pas précisément dans un roman de gare ? Les six invités qui arrivèrent peu après midi étaient des hommes graves du même âge que Rodolphe. Valeria s'aper...
Lola Femme soumise
il y a 9 ans

Lola Femme soumise

Lola Femme soumise Par Miriouchka Lola enfonce ses ongles dans les épaules de Flavian. Leurs souffles se mêlent et leurs cris s’envolent vers un plaisir commun. D’un coup de reins, Flavian fait basculer leurs deux corps enlacés sur le côté. Il plonge son regard dans les yeux bleus de sa compagne. — À quoi tu penses ? Ses yeux sourient. Flavian est blond. Il a un visage fin mais un peu poupin, qui lui donne l’air de tout sauf d’avoir trente-cinq ans. Nu sous le drap, encore alangui et un peu flou, il a maintenant l’expression d’un gamin devant un pot de nutella. — Alors ? — À rien… Lola s’étire puis appuie sa tête dans le creux de sa main. Ses longs cheveux bruns en bataille retombent sur son visage. Longs cheveux bruns et grands yeux bleus. Des mains fines à l’image de son corps, de petits seins ronds et des fesses fermes. Il est amoureux et gourmand d’elle depuis maintenant près de cinq ans. Et il la connaît par cœur. — Tu mens ! Mon dos en témoigne. Tes griffes y sont encore...
Les vraies fessées que j'ai reçues
il y a 9 ans

La première fessée ne s'oublie pas

Les vraies fessées que j'ai reçues m’ont beaucoup marquées surtout la première. Je devais être en Terminale, j’avais 18 ans. J’avais redoublé, j’étais « en retard ». J'avais une prof que je trouvais très laide qu’on appelait "la Mère Michèle" je ne sais plus pourquoi. J'étais une vraie chipie, pourrie par ma tante qui faisait la plus part du temps office de mère car mes deux parents travaillaient, rentraient tard le soir et c’est elle qui me surveillait. A l'école j'étais abominable, une peste ! je n'en ratais pas une. L’absence de mes parents que je voyais peu y était pour beaucoup ! J'étais parmi les dernières de la classe et j'en ‘faisais baver’ à "la Mère Michèle". Elle n'avait pas d'autorité, laissait faire et à bout de ressources piquait des vraies colères et finissait par flanquer des coups de règles sur les mains ou sur les mollets. C'était au début des années 2000 et les instits anglais utilisaient encore les bonnes vielles méthodes. J'avais une souffre douleur : « Ch...
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