Récits
La salle des accessoires en fera une soumise comblée 2
il y a 1 mois

Le patron est très intéressé par cette employée en mauvaise posture.

Il tira la chaise dans l'allée et s'agrippa à son bras pendant qu'il l'y conduisait. « Asseyez-vous ici et dites-moi. Je ne suis pas pressé. Il semble que vous n'irez nulle part non plus. Il s'appuya contre le bureau, croisa les bras et la regarda. « Darlene, n'est-ce pas ? En comptabilité? Vous pouvez commencer par m'expliquer comment vous êtes arrivé ici. Je ne savais pas que nous donnions les clés du bâtiment à tout le monde. Toujours bouleversée d'avoir été découverte, elle a dû tenir ses mains ensemble pour les empêcher de trembler. Son expression sévère alors qu'il la dominait ne faisait qu'ajouter à sa nervosité. Elle a commencé par le vendredi après-midi, comment elle s'était endormie et s'était retrouvée enfermée dans l'entrepôt après les heures normales, et son plan d'attendre jusqu'au samedi matin quand quelqu'un viendrait pour le ramassage prévu. Puis comment elle s'était ennuyée et était partie à la recherche d'un film. Et enfin à l'arrivée inattendue au milieu de la nu...
Seul aux mains de ma cousine Sarah
il y a 1 mois

La grande sœur donne la fessée

Peu après l’épisode de la fessée magistrale au martinet que notre mère administra à ma sœur pour avoir négligé de mettre des bretelles à sa jupe, je ne fus pas moi-même en reste ! Mon tour n’allait pas tarder. Nous avions une cousine, Sarah, âgée de 14 ans, en qui notre mère voyait une jeune fille modèle . « Elle qui savait si bien s’occuper de ses jeunes frères ! ». Elle l’invita à venir passer les vacances chez nous. Il est vrai que notre chère cousine paraissait nettement plus que son âge car, plus grande et plus forte que nous et dotée d’une poitrine déjà bien développée, elle avait l’allure d’une belle et grande jeune fille. De plus, notre mère la complimentait pour ses jolies blouses à double boutonnage qu’elle portait constamment sur elle. il est non moins vrai que le frêle petit blondinet d’angelot en culotte courte de 13 ans que j’étais alors ne pouvait pas faire le poids face à elle. Quelque chose me gênait un peu chez Sarah. En effet, elle aimait à se vanter...
Jeune gay cherche Daddy Dom 1
il y a 2 mois

Little-boy, à 18 ans Lucas rencontre un Daddy Dom manipulateur qui le conduira au delà de ses fantasmes.

Lucas est un jeune homme qui, de par sa petite taille n’a pas eu grand succès auprès des filles qu’il n’appréciait pas plus que ça. Mesurant un mètre soixante et pesant 54 kilos tout mouillé à seize ans, taille qui n’a pas évolué depuis, il n’entrait pas vraiment dans la recherche des filles préférant les beaux pectoraux. Essuyant échec sur échec avec la gente féminine, le gringalet de l’école avait fini par se faire une vie imaginaire, une vie de solitaire. Un évènement scolaire aux douches de la piscine a perturbé sa vie de jeune homme. Repéré par un vieux pervers, il ne s’est pas enfui et n’a pas hurlé quand le vieux lui a porté une attention particulière. Certes, si se faire laver le dos par un « copain » ne lui a pas déplu, il n’a été que gêné lorsque la douche est devenu plus « tactile » sur d’autres parties de son corps. Pour une fois, quelqu’un s’intéressait à lui, un peu comme si il était une fille et ce n’était pas désagréable du tout. Ce premier contact charnel fut le dé...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée 1
il y a 2 mois

La fabuleuse saga d’une femme piégée en selfbondage par son patron.

Une histoire à rebondissement que j’ai adoré car très réaliste. Darlene secoua la tête, essayant de rester éveillée. Un coup d'œil à l'horloge montra les aiguilles rampant lentement vers 15 heures. Il restait encore deux heures un vendredi après-midi avant un long week-end de vacances. Elle était la dernière dans le petit bureau comptable, couvrant tous ceux qui étaient partis plus tôt. Même le téléphone ne sonnait pas et elle n'entendait aucune activité dans l'entrepôt. Darlene travaillait depuis environ trois mois. En tant que membre junior du personnel administratif, elle s'était portée volontaire pour rester jusqu'à l'heure de fermeture lorsque le bâtiment s'était vidé à midi. C'était le monde passionnant de la réalisation de films, ou aussi proche qu'elle en était jamais venue. L'entreprise a loué des accessoires pour des productions télévisuelles, cinématographiques et théâtrales. Leur activité secondaire, petite mais très rentable, vendait des souvenirs de films. Les...
Histoire vécue (6)
il y a 2 mois

Suite et fin des cinq épisodes précédents

Or, il advint que les choses ne tournèrent pas comme l'avait prévu et voulu mon infernale subalterne. En dépit de "mon" dithyrambique rapport de stage, il fut décidé en haut lieu de ne point reconduire le contrat de Mlle Svetlana S...... . Certainement les comptables de la société n'avaient t-ils pas estimé son renfort suffisamment productif pour le service que, jusqu'à sa venue, j'assurai seul. Toujours est-il qu'elle apprit la nouvelle seulement quelques jours avant le fin du mois, et exactement au même moment, car de la même façon, que moi : par courriel. Je levai les yeux, affolé à l'idée qu'elle puisse penser que j'y étais pour quelque chose : cette furie aurait bien été capable de ma masturber par force jusqu'à épuisement, ou de m'arracher mes habits pour me pousser nu dans l'ascenseur, ou me laisser ligoté toute la nuit jusqu'à l'arrivée des techniciennes de surface, au petit matin... Je vis ses yeux devenir deux puits noirs insondables. Puis elle leva la main droite,...
Histoire vécue (5)
il y a 2 mois

Suite des quatre chapitres précédents

En arrivant au travail le lendemain, je trouvais ma subalterne assise dans mon fauteuil directorial, ses pieds nus sur mon bureau. "Bonjour Svetlana" lui dis-je "veuillez avoir l'obligeance de regagner votre place, s'il vous plaît", et je vins me planter tout près d'elle pour l'inciter à déguerpir. Mais elle se contenta de lever les yeux vers moi en faisant la moue, avant de dire "Tourne-toi et baisse ton pantalon" Serrant les dents de rage impuissante, je m'exécutai : cette garce voulait voir si le Propriété de Svetlana qu'elle m'avait la veille écrit sur les fesses au feutre indélébile était toujours là, conformément à ses ordres. Il y était. "C'est bien" me dit-elle en m'octroyant une tape sur le postérieur "tu mérites une récompense. Fais-moi face" Je pivotai sur moi-même et, me gratifiant d'un regard langoureux de ses yeux noisettes, elle commença à me branler. Puis elle se rassit et me prit en bouche. Je n'avais jamais été sucé ainsi : sa langue virevoltait tout...
Selfbondage zentaï à la piscine du gîte fétichiste
il y a 2 mois

Grosse peur d’avoir besoin d’aide pour me sortir de ce water selfbondage.

J’aime la sensation que procure le spandex sur le corps. Cette matière moulante fait comme des caresses et mouillé, c’est encore plus fort. Adepte du selfbondage, j’enfile souvent ma tenue zentaï pour décupler les plaisirs. J’ai découvert cette matière grâce aux cyclistes qui ont une sorte de short doublé de mousse à l’intérieur pour des raisons de confort sur la selle. Je m’en suis offert un puisque je fais un peu de vélo. L’idée de m’offrir une tenue zentaï n’a donc pas tardé. Cette tenue intégrale est basique, classique de couleur noire. Il en existe de toute sorte en terme de couleur et de motif pour jouer à Spider Man ou autres comme ressembler à un animal. Les responsables du gîte m’ont mis à l’aise dés le départ, je dirai même qu’ils m’ont excité lors de la visite des lieux. Quand on visite le donjon et la nurserie, les commentaires de Marc servant juste à donner des « pistes » d’idées perverses ne laissent pas de marbre. A cela, se rajoute la visite de la salle aux secre...
Histoire vécue (4)
il y a 2 mois

Suite des histoires vécues 1, 2 et 3

En arrivant au travail le lendemain, je trouvais Svetlana déjà à son ordinateur, et les clés du local étincelant sur mon bureau. Je la saluai et elle leva la tête pour me dire, de son air le plus nunuche "Bonjour chef, comment ça va?" en se payant le luxe de papillonner des cils, par-dessus le marché ! "Comme un homme vaincu et humilié par une fille" songeai-je par devers moi - mais je me contentai de lui signifier assez sèchement que les fantaisies des deux soirs précédents étaient terminées et n'auraient plus jamais lieu. Emme m'adressa son petit sourire en coin caractéristique pour toute réponse. Je remis les clés dans ma poche, accrochai ma veste et me mis au travail. Dix heures venaient de sonner lorsqu'une culotte écarlate atterrit sur mon clavier. Interloqué, je levai la tête et vis que Svetlana, vêtue d'une robe très échancrée, s'était subrepticement approchée. Elle était déchaussée - ce qui explique que je ne l'avais pas entendue venir - et son téléphone dépassa...
La folle journée de Sophia
il y a 2 mois

Mon mec venait de me quitter. effondrée, j'appelais ma belle soeur... qui décida de me remonter le moral à sa façon... Masi la journée fut entrecoupée de souvenirs plus ou moins... particuliers.

7h30. J’abusais… La sonnerie me montrant que l’appel était en cours résonnait dans mon appareil. - Allô. – me fit la petite voix de ma nièce Justine. - Bonjour ma puce – soufflais-je entre deux sanglots. – Tu peux me passer maman ou papa s’il te plaît ? - Pourquoi tu pleures Tata ? C’est Tata Sophia – dit-elle, je suppose à mon frère ou à ma belle-sœur – elle pleure… - Allô ? – me fit la voix douce de Karine. - Excuse-moi de te déranger si tôt, mais… - je m’effondrais en larmes – Raphaëlmaquittée. - Je n’ai rien compris. - Raphaël m’a quittée. – parvins-je à articuler. - Mince ! C’est arrivé quand ? - Hier soir. Il a pris toutes ses affaires. Il est parti avec une vraie fille. - Le salaud. C’est Sophia – traduisit-elle pour mon frère qui devait juste arriver.- Raphaël l’a quittée hier soir. - C’est un connard, je l’ai jamais aimé ! – me lança-t-il de loin pour que j’entende bien.- Je le trouvais pas clair. C’est arrivé quand ? - Hier soir. – lui répondit Kari...
Histoire vécue (3)
il y a 2 mois

Suite des "Histoires vécues" 1 & 2

De l'autre côté des deux bureaux, disposés face à face, qui nous séparaient, Svetlana levait parfois la tête de son clavier pour m'adresser ce petit sourire légèrement asymétrique qui était un des nombreux éléments constitutifs de son charme. Elle pouvait se montrer narquoise, après ce qu'elle m'avait infligé la veille ! Je bouillais intérieurement d'une honte furieuse. Comment avais-je pu être défait par cette fille de 20 ans, 20 kg et 20 centimètres de moins que moi ? Je finis par me persuader que c'est parce qu'elle m'avait traîtreusement pris par surprise - parce que je ne croyais pas vraiment qu'il y aurait lutte, que c'était juste un prétexte pour s'envoyer son chef de service. Mais quand-bien même : quel besoin avait-elle eu, sa perfide victoire remportée, d'ainsi m'humilier ? Hier soir j'avais jeté au vide-ordure le slip qu'elle m'avait forcé à gorger de mon sperme, tant sa vue me rappelait la honte endurée. Et petit à petit, il m'apparut non seulement légitime, mais sus...
L'importance des mots entre une soumise et sa maîtresse
il y a 2 mois

Dans une journée qui se voulait banale une soumise s’abandonne totalement à sa maîtresse.

Baignée dans un mélange de lumière bleuté et vermillon, j’ouvre lentement mes paupières alors que les premiers rayons de soleil traversent la baie vitrée qui donne sur le jardin luxuriant. Mon corps s’étire lentement, et à chaque battement de paupière, je reprends peu à peu conscience. La nuit a été courte, les sévices pour mon insolence lourdes. Alors que je redresse mon corps sur le sofa, mes yeux se posent sur la lettre sous le magnolia. La fleur est posée sur cette table basse, mais la lavande me menace. La lavande, ce brin, je sais ce qu’il signifie et elle le sait aussi. Symbole de la défiance, ma bouche pâteuse déglutie tandis que mes orteils se tortillent. D’un geste lent, mais élégant - Elle y tient - j’avance sans prudence ma main vers la lettre. Le sceau fait de cire serti d’un majestueux « M » est un indice qui m’échappe sur le moment. Je l’ouvre et y découvre un mot, ou plutôt une liste. Les yeux parcourent les lignes finement écrites, je me vois même jalouser cette callig...
Histoire vécue (2)
il y a 2 mois

Suite de mon "Histoire vécue"

Il y avait, au sous-sol de cet immeuble de la rue de Miromesnil, une salle de gymnastique abondamment pourvue de machines et accessoires concernant tous les muscles du corps. J'y allai quelquefois entre 13h et 14h, et ma subordonnée aussi. Il advint qu'un jour, j'étais si occupé sur le banc de musculation que je ne pris pas garde que l'endroit s'était vidé... à l'exception de Svetlana qui entretenait sa musculature, dont elle avait grand besoin pour me vaincre, en faisant des tractions à la barre fixe. C'est donc ruisselante de sueur qu'elle s'approcha de moi - qui étais toujours allongé sur mon appareil - avec son sourire oblique et son abondante chevelure châtain ramenée sur le vertex. Avant que j'ai pu dire un mot, elle s'agenouilla à ma portée et plaça son aisselle sur mon visage. "Sens" ordonna-t-elle "inspire bien, je veux entendre" Tremblant d'épuisement et de rage impuissante, je n'eus guère d'autre choix que d'obtempérer en inhalant son âcre mélange de transpiration...
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