Récits
La roulette russe pour la fessée
il y a 2 ans

Les étudiants jouent un drôle de jeu

L'ennui règne dans une résidence de grande école, en grande banlieue parisienne, loin de tout. Seules activités possibles : celles organisées par les élèves (et on en fait rapidement le tour) et les discussions sans fin dans les chambres. Ce soir là nous étions quatre dans la chambre de Véronique et la conversation était venue sur le terrain des paris et des risques. Jacques nous parlait d'un film (j'ai oublié lequel) avec une scène de roulette russe. Béné soutenait qu'il fallait être fou pour faire un truc pareil. Véro lui a répondu que c'était le résultat de l'ennui qui peut conduire à faire n'importe quoi, rien que pour se changer les idées, pour montrer que l'on existe, pour sentir un frisson. J'ai fait remarquer que coté ennui nous étions servis mais que nous n'avions pas de six coups. A cet instant la conversation a basculé du général au particulier et nous a entraînés vers une situation inédite. Véro : « C'est le principe qui compte. Prendre un risque. Faire un pari fou...
Selfbondage au tapis roulant
il y a 2 ans

Il ne devait pas durer longtemps

Terri s'est réveillé excitée comme l'enfer. Elle a glissé sur ses chaussures à plateforme haute et a commencé son bondage. Elle a enfilé un collier BDSM et un bâillon. Ensuite, attacher les pinces à tétons avec les chaînes attachées à la seule chose qu'elle a pu trouver qui était proche du même niveau que sa poitrine... son tapis roulant. Mettant soigneusement une ceinture en cuir autour de son corps juste sous ses seins, elle y plongea ses deux bras et fit monter la ceinture au-dessus de ses coudes et sous ses seins. liant efficacement ses bras étroitement à son corps. Avec un petit effort, elle réussit à glisser ses poignets dans des menottes en cuir et à serrer les sangles du bout des doigts. Cela a pris du temps, mais elle a finalement réussi à les serrer suffisamment pour qu'elle ait du mal à s'en sortir toute seule. Heureusement, son mari devait bientôt rentrer à la maison et l'aiderait à se libérer. Mais alors qu'elle se tenait là, admirant son corps ligoté dans le miro...
Piégée par une femme de chambre lesbienne
il y a 2 ans

S’endormir nue après s’être masturbée dans sa chambre d’hôtel n’est pas sans risque.

La réunion était terminée. Le reste de la journée était à elle, et elle n'avait pas à partir avant le matin. Il était temps de se détendre, alors elle a fait couler un bain d'eau chaude, s'était déshabillée puis glissée dans une eau revigorante. Après son bain, elle marcha vers le lit, fouilla dans sa valise et récupéra son compagnon de voyage préféré ; un gode rose. Allongée nue sur le lit, Dana écarta largement les cuisses et guida la pointe vers son sexe en attente et avide. Des fantasmes mentaux décadents de mecs chauds avec de longues bites épaisses envahissant ses trous affamés remplissaient son esprit. alors qu'elle se taquinait et se stimulait vigoureusement. Au moment où elle est arrivée à son deuxième orgasme, la serviette sous les plis de son cul était trempée. Elle éteignit le petit jouet sexuel et s'endormit, ne prenant même pas la peine de se couvrir. Son sommeil bienheureux terminé, elle ouvrit lentement les paupières. Elle était incapable de bouger. Ses yeux s'...
Rencontre gay sous cage de chasteté
il y a 2 ans

La cage de chasteté n’empêche pas de baiser au gode ceinture

Wouah le mec ! Une soirée en boite des plus banale. Fred, la tafiole du coin se faisait remarquer comme d'habitude, il dansait torse nue au milieu de la piste et jouait les gogo danseurs. Un couple se pelotait, ils étaient torse nue et n'avaient pas remarqué que la séquence slow était terminée … C'est beau l'amour … Et c'est à ce moment qu'il est entré, tous les regards se sont dirigés vers lui, sauf toujours les deux amoureux qui continuaient à danser le slow en plein milieu d'un bon vieux rock. Eux, ils n'ont rien vu. Il était habillé tout en jeans, le pantalon bien sûr, la chemise, la veste et le chapeau, les santiags devait être en cuir, je précise parce que j'avais dit tout en jeans … Bref il avait de l'allure. Ou je sais, une telle tenue avait tout pour être ridicule mais lui, ça lui allait bien, il avait de l'allure, il était beau comme un cow-boy à la télé, plus beau que Montgomery clift et plus viril que John Wayne, c'est tout dire, si vous voyez de quoi je parle …...
Mémoires d'une fesseuse (7)
il y a 2 ans

Photos...

- Tu peux pas t’asseoir, Marie-Clémence ? Tu me donnes le tournis. Ça faisait un quart d’heure qu’elle arpentait de long en large la cuisine. - Si ! Oui. Mais je voulais te demander… Les photos… Elle s’est agenouillée sur la chaise. - Quelles photos ? - Ben… De l’autre soir… - De ton derrière tout rouge ? Quand t’étais au coin ? - Voilà, oui. - Tu les veux, c’est ça ? Je t’en ferai une copie, c’est pas un problème. - Non, mais surtout… Ce que j’aimerais savoir… Tu… Tu les as montrées ? - Évidemment ! Quel intérêt sinon… T’as de ces questions ! - À qui ? - Tes copains à la fac… Elle a pris un air horrifié. - T’as pas fait ça ! - Ben si, pourquoi ? Fallait pas ? Ils étaient enchantés. Ils te découvraient sous un jour complètement nouveau. - Oui, oh, ben alors là, je remets pas les pieds là-bas, moi ! C’est hors de question. - Mais non, idiote, je les ai pas montrées. Mais je le ferai. Pas à eux. À d’autres. Tu perds rien pour attendre. - À qui ? - Tu connai...
Une soirée d’étudiants très coquine
il y a 2 ans

Quand les langues servent à autre chose qu’à parler

Je m’appelle Antoine, j’ai 18 ans et je mesure 1m85 pour 71 kilos. Je n’ai jamais vraiment eu de difficultés côté fille, il faut dire que je ne suis pas non plus très moche. Depuis cette année j’étudie à l’université du Mans en DUT GMP. Cette année était un grand changement pour moi. En effet, cela faisait 14 ans que je vivais dans la même petite ville de 10 000 habitants. J’avais mes amis depuis toujours, mais habitudes, et la proximité avec mes parents. Ayant obtenue mon bac, mon choix d’étude m’a transporté jusqu’au Mans, en DUT GMP (Génie Mécanique et Productique). Je ne connaissais donc personne mais je sympathisa vite avec quelques camarades. Je savais que les filles étaient rares dans ce domaine mais là c’était vraiment désespérant, 6 filles pour 52 élèves, la m o r t ... La promo est divisé en quatre groupe de classe et dans la mienne, deux filles (on peut dire que c’est une chance). Parmi elles, une sortait un peu plus du lot, même si ce n’était pas vraiment un mannequin. E...
Tout est perdu, fors l'honneur
il y a 2 ans

Défaite.

- Les nouvelles ne sont pas bonnes, Madame ! - C’est-à-dire ? Parle, Guillaume, je te l’ordonne ! - Elles sont même très mauvaises. - Monseigneur ? - Capturé. - Notre fils ? - Également. - Dieu soit loué : ils sont néanmoins sains et saufs. Nos troupes ? - Défaites. Avant ce soir l’ennemi sera ici. Si j’ai un conseil à donner à Madame… - Fuir ? Jamais ! 2- - La ville est entre leurs mains, Madame. - J’y vais. Ma place est là-bas. - Vous n’y songez pas ! On tue. On pille. On saccage. On viole. - Je m’interposerai. Je supplierai. Je convaincrai. - Ce serait pure folie. Vous exposeriez inconsidérément votre vie. - Peu m’importe désormais. - Vous ne sortiriez de toute façon pas du château. Il est cerné de toutes parts. 3- - Il y a là un émissaire du prince, Madame ! - Faites entrer… Un homme en armes qui salue. Qui s’incline. - Mon maître prie Madame d’accepter ses plus fervents hommages. - Laissons cela ! Où sont-ils, Monsieur ? Dites-le-moi ! Je vous en c...
Fessée suprise
il y a 2 ans

Il y a des moments où ce n'est pas prévu et où la suite est troublante

C'était au début de l'année suivante, j'avais un document à signer pour l'école des e n f a n t s, j'avais un peu temps dans ma journée de travail, je suis donc passé à mon ancien domicile pour signer le document en question. J'ai sonné à la porte, elle m'a fait rentrer dans la salle à manger, elle m'a dit qu'elle allait chercher les papiers dans la chambre de ma fille. Il y avait du linge à sécher sur un étendoir et sur une pince... je me suis approché et j'ai vu qu'il s'agissait de deux culottes qu'elle portait.. ma main a touché le tissu. Elle est revenue à ce moment là et m'a demandé ce que je faisais, j'étais gêné, elle m'a tendue les papiers et m'a dit de signer. J'ai posé le document sur la table et sorti un stylo et je me suis dépêché de signer. Je comptais partir, je me suis dirigé vers la porte et j'allais ouvrir la porte quand elle m'a dit ça t'as excité de toucher ma culotte... tu mérites une fessée. Viens ici tout de suite. Je me suis approché, elle...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir.
il y a 2 ans

Deux roues symétriques, dans deux engrenages différents n’interagissent qu’en pensée.

Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir. Le liquide s’écoula d’abord lentement, puis plus rapidement. Une cascade d’eau saumâtre et mousseuse sortit de mon être directement dans le seau positionné avec expertise. Même les valets s’étaient arrêtés de v i o l enter Lisa pour me regarder. L’action était tout aussi humiliante que la position jambes écartées et attachées à laquelle je ne pouvais remédier. Deux ou trois fois je crus que j’en avais fini, mais quelques filets sortaient toujours de mon anus, devenu presque insensible à ce déversement. Plus assez pour que cela intéresse encore mes spectateurs, mais suffisant pour ne pas atténuer ma honte. Les valets reprirent leur affairement sur la pauvre Lisa. Celle-ci se défendit. Profitant de leur distraction, elle réussit même à se redresser, hurlant, giflant. Mais elle était en face de cinq hommes qui reprirent vite le dessus sur elle. - C’était juste une pause, dit l’un des valets. Ce n’est pas fini. Je c...
Un travail d'équipe
il y a 2 ans

Après un différend avec une collègue, un jeune homme doit, sur ordre de son patron, former la nouvelle arrivée dans l'équipe et ainsi redorer son blason. Malheureusement pour lui, ça ne se passe pas comme il l'avait espéré.

Un travail d’équipe. C’était un pluvieux matin de septembre. L’été venait de faire place nette à un automne bien décidé à faire valoir son autorité. Le froid accompagnant la pluie obligeait tout être censé à se couvrir, entassant les épaisseurs les unes sur les autres pour passer de son domicile à la voiture, de la voiture à son bureau… Ce matin là, Marc, mon patron, nous appela, Nathalie, Florence, Paul, Yann et moi dans son bureau. Je ne vis que son visage d’ange une fois passé la porte, hypnotisé par ses grands yeux bleus et sa bouche aux contours parfaits. Je ne prêtais aucune attention à Marc qui haussa la voix me tirant à regret de la peau fine et légèrement rougissante de la nouvelle venue. • Je vous présente Sandrine. – sembla redire Marc à mon attention. - Elle va compléter notre équipe dès aujourd’hui. Je compte sur vous pour l’aider à s’intégrer, d’une, et de deux, qu’elle soit rapidement opérationnelle sur les projets en cours ! Marc nous présenta à la jeune f...
Mémoires d'une fesseuse (6)
il y a 2 ans

De fessée en fessée...

[Le début de cette saga est ici](198703) C’est le sentiment d’une présence dans ma chambre qui m’a réveillée en sursaut, sur le coup de deux heures du matin. J’ai allumé. Marie-Clémence était toujours au coin. Là où je l’avais envoyée en début de soirée. Elle n’avait pas bougé. - Qu’est-ce tu fous là ? Va te coucher ! L’image d’Hélène, penchée à poil sur sa table, m’a effleurée. Est-ce qu’elle non plus n’avait pas bougé, attendant patiemment que je vienne la délivrer ? Peut-être. Sûrement même. On verrait ça. Plus tard. Et je me suis rendormie. À neuf heures, j’ai déjeuné. Je me suis douchée. Habillée. Ce n’est qu’ensuite, bien après, que je l’ai appelée. Ça a d’abord sonné sept ou huit fois dans le vide avant qu’elle ne finisse par décrocher. - Hélène ? - Oui. - Tu m’as désobéi. Tu n’es pas restée comme je te l’avais dit. - Ah, mais si ! Si ! Je t’assure. - Ah, oui ? Et comment t’as fait pour attraper ton téléphone alors ? Il était dans la cuisine. Il y a eu un...
Jouer dans tripot clandestin amical avec des pervers n’est pas sans risque
il y a 2 ans

Récit érotique hard écrit à deux mains où les vieux fantasmes deviennent réalité

J’étais un redoutable et invétéré joueur de poker, et cela faisait plus de trente ans que cela durait. Mais je ne jouais ni en ligne dans des cercles de jeux. J’étais connu dans le milieu du poker et depuis des années je ne jouais plus que dans un cercle d’initiés, des amis fortunés comme moi. C’était un cercle privé d’une dizaine de membres où l’on ne rentrait que par cooptation – et rarement. Il fallait montrer patte blanche pour venir jour avec nous, être accepté par les membres (qui en décidaient par vote à bulletin secret et à la majorité.) ; et encore, quand un nouveau intégrait notre groupe c’était tout d’abord pour une seule soirée, après laquelle les personnes qui avaient joué avec cette personne donnaient leur avis à tous les membres et il y avait à nouveau vote. Bien entendu, la personne devait être connue non seulement de celui qui le cooptait, mais on devait disposer de renseignements fiables sur elle. Et ce devait être une personne hautement solvable mais égaleme...
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