Récits
Cinq à sept
il y a 2 ans

Une fessée pour déculpabiliser

- Qu’avons-nous fait, Léon ? Mais qu’avons-nous fait ? - L’amour, très chère… - Mon Dieu, mais c’est horrible. - Ah, vous trouvez ? - Non… Enfin, si ! Oui. - Cela semblait pourtant, il y a quelques instants, vous paraître fort plaisant. C’est même vous qui, à deux reprises, êtes remontée à l’assaut. - J’ai honte… - Et de quoi donc, chère amie, je vous prie ? - Je suis mariée. - Qu’à cela ne tienne ! Moi aussi. - Ce n’est pas la même chose. - Vraiment ? - Vraiment. Votre femme ne vous satisfait pas. - Ah, parce que votre mari, lui, par contre… - Est mon mari. Et je lui avais juré fidélité. S’il apprenait… - Il n’apprendra pas. - Oui, mais moi, je sais. Comment voulez-vous que je puisse désormais… - Quoi donc ? - Non, il faut que je rachète ma faute. D’une façon ou d’une autre, il faut que je la rachète. - Je puis m’en charger. - Comment cela ? - En vous infligeant la sanction que vous estimez avoir méritée. - Que faites-vous ? - Vous le voyez, très chère. Je détac...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 29 : jalousie
il y a 2 ans

Le héro est confronté à des fantasmes, plus pervertis que ce qui lui arrive. A force de regarder le trou, on finit par y tomber.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 29 : Jalousie - Laisse-le ! Il n’a pas le choix. Tu vois Christian, notre jeune ami va réfléchir. Nous n’userons pas de la f o r c e. Quel serait l’intérêt d’avoir ces photos et de connaître ses perversions si nous devions en user ? Christian me lâcha à contrecœur, mais resta derrière moi dans une attitude supérieure, prédatrice, dominatrice. Ses mains gigantesques s’apprêtaient à m’attraper à nouveau. Christian était les bras et mon voisin, dont je ne connaissais toujours pas le prénom, le cerveau. Cela promettait. - Nous te laissons une semaine pour décider. Nous repasserons dimanche soir prochain. La propriétaire doit venir durant la semaine suivante, avant noël, l’habitude des étrennes. Cela me laissera le temps de préparer quelques agrandissements. La vieille rombière appréciera. - Maintenant que vos intentions sont claires, vous pouvez sortir de chez moi. Vous n’aurez rien, que des emmerdes si vous venez enco...
Prisonnier des Cythriennes (6)
il y a 2 ans

L'entraînement sera dur...

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Le même car. Le même itinéraire. Les mêmes gardiennes. Les mêmes rues claires et dégagées. Les mêmes magasins illuminés. Les mêmes coquettes petites maisons dans lesquelles il doit faire si bon vivre. Pourquoi ici ? Pourquoi elles ? Les larmes me montent aux yeux. Je m’efforce, tant bien que mal, de les retenir. Et le même stade. Un car vient se garer à côté du nôtre. Deux autres encore. Gamelot fait la grimace. - Et zut ! C’est une générale. - Ce qui veut dire ? - Que, contrairement à ce qui se passe d’habitude, où on s’entraîne par petits groupes, tous les SIB qui défendent les couleurs de l’amillon trois vont être, aujourd’hui, confrontés les uns aux autres. - Et ça change quoi ? - Qu’il va pas faire bon perdre. Que ceux qui obtiendront les plus mauvais résultats, dans chaque discipline, le payeront cash. Ils se ramasseront sur le champ une mémorable fouettée. - Et voilà pourquoi elles sont si n...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 28 : Négociation
il y a 2 ans

Les engrenages s'entrainent et se multiplient. Le héro se sent de nouveau dépassé par les évènements. Y aura-t-il une fin à ses tourments.

Chapitre 28 : Négociation Je regardai par la fenêtre. Il s’agissait encore de mon voisin du quatrième et de son petit ami. J’ouvris la fenêtre pour ne pas les laisser entrer. Si le premier me faisait peur, c’était pire pour le second, mesurant plus d’un mètre quatre-vingt-dix pour probablement près de cent kilos. Poilu, barbu, d’une pilosité noir corbeau, qui aurait pu appartenir à la légion étrangère défilant les quatorze juillets avec sa pioche, il possédait un physique qui m’aurait fait changer de trottoir, si je l’avais croisé un soir. - Qu’est-ce que vous voulez encore ? dis-je méchamment, comme si j’étais occupé, et surtout protégé par le mur nous séparant. - Nous voulions discuter au sujet des photos. - Effacez-les, branlez-vous dessus ou publiez-les mais sachez que, dans ce dernier cas, je porterai plainte ! Le retour chez moi ce weekend m’avait fait du bien. J’étais prêt à en découdre, en tout cas avec ceux que je n’appelais pas maitresse. - D’accord, répondi...
Une colocataire intrusive
il y a 2 ans

Un coup monté? Allez savoir...

Il m’a quittée. Il est parti travailler. Je m’étire voluptueusement. Je somnole. Quelle nuit, non mais quelle nuit ! Ah, il sait y faire, le salaud, ça, on peut pas dire. Je n’étais plus que jouissance. Bloc de jouissance éperdue. Fessée. Enfilée. Tringlée. Baisée. Fouettée. Pour mon plus grand plaisir. Et le sien. Je suis repue. J’ai un brasier dans le derrière. Qui irradie partout. Dans mes cuisses. Dans ma chatte. Et jusqu’à la pointe de mes seins. Mais je suis heureuse. Rassasiée. Comblée. La clef dans la serrure de la porte d’entrée. Sa colocataire. Il m’a prévenue. - Elle travaille de nuit. Elle rentre vers dix heures. Mais elle est très discrète. Elle s’occupera pas de toi… Discrète ? Voire. La porte de la chambre s’entrouvre tout doucement. Je feins un profond sommeil. Elle se referme sans bruit. Des odeurs de pain grillé et de café entremêlées viennent me titiller les narines. Je pense à lui… À ses bras. À ses mains. À sa bouche. À sa queue. Et dire que j’ai failli...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 27 : Ami d'enfance
il y a 2 ans

Sa maitresse, même sans être présente, poursuit la main mise sur ce pauvre étudiant, l'espionnant.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 27 : Ami d’enfance Vendredi, il ne se passa rien. J’en profitai pour faire un ménage rapide et en particulier, les différents jouets que je nettoyai et rangeai. Je me refusai à retourner sur ce site, cause de tous mes déboires. Mon père vint me chercher le soir après mes cours et me ramena chez moi. J’avais pris beaucoup de retard et emportais de nombreux cahiers de prise de notes pour réviser et les remettre au propre. Je laissai mon ordinateur portable, pour m’éviter toute tentation. De toute façon, j’avais mon téléphone et si Ladyscar avait trouvé ceux de Nathalie et Valérie, si elle connaissait l’infirmière de mon école, nul doute qu’elle disposât du mien. Comme à mon habitude, rodé depuis une dizaine de semaine, je passai la soirée et la matinée entre mes révisions et mes parents et ne m’accordai que l’après-midi et la soirée du samedi avec mes amis. Ma mère me trouva anormalement calme et avare d’anecdotes. Ils...
Prisonnier des Cythriennes (5)
il y a 2 ans

Perplexités et rapprochements

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Alrich m’écoute avec infiniment d’attention. - Et elles étaient à poil ? - Complètement. - La prof aussi ? - Aussi… - Oui. Alors un conseil ! Pas un mot là-dessus. À personne. Ou on te prendrait pour un gros mytho ou, pire, on te jalouserait à mort. Mets-toi à leur place aux mecs : déjà de savoir que tu bénéficies d’un régime de faveur, c’est pas facile à encaisser pour eux, mais alors s’ils apprennent que ça te donne l’occasion de côtoyer des nanas, et à poil ce qui plus est, ils vont devenir fous. Tu te rends compte que certains, il y a près de dix ans que ça leur est pas arrivé ? - Ce que je comprends pas, c’est pourquoi moi ? Et comment on m’a sélectionné. - Oh, alors ça, moi, je peux te le dire. Ça vient des douches du stade. Où il y a des caméras. Comme dans tous les coins et recoins ici. À cette différence près que celles-là sont directement reliées au domicile des dirigeantes qui, du coup, peuven...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 26 : Le voisin
il y a 2 ans

Le passage au réel l'a pris au dépourvu. Il est trop tard pour éteindre l'ordinateur et se cacher derrière. Apprendre à nager, sans avoir pied, au milieu de la mer, n'est pas sans risque.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 26 : Le voisin L’avantage du cours de sport était qu’il n’était pas mixte. Durant deux heures à ne rien faire sur le banc, je n’eus pas à me méfier des personnes qui me croisaient et c’était reposant. Je craignais juste que Valérie n’en eut parlé à Sébastien, mais son attitude indiquait qu’il ignorait mes perversions, autant que ma personne. Nous terminions par un dernier cours en amphithéâtre. Alors que je me trouvais une place isolée dans les premiers rangs, Valérie fit bouger mon voisin pour s’installer à côté de moi. - Tu risques d’attraper ma maladie, si tu restes près de moi. - Je crois que Nathalie est déjà atteinte, me répondit-elle. - Je parlais de ma grippe. - Ce n’était pas à cause du cours de sport. - Si, avouai-je. Juste à cause de la douche. - J’imagine, me répondit-elle. Comment vas-tu ? Je n’ai pas trouvé le moyen de te le demander hier. Nous t’avons laissé dans un sale état. - Cela va...
J'allais devenir son objet de plaisir 3 sur 3
il y a 2 ans

Le ton monte et cela devient plus hard

[Le début de cette saga est ici](/recit/194863) Nous nous déshabillons et nous nous nettoyons la bite comme vu dans le film. Thomas nous inspecte les uns après les autres. Il prend Marco et fait une démonstration de nettoyage " en direct ". Marco bande. Thomas finit par le branler. Evidemment Marco éjacule. Thomas lui demande de tout nettoyer, avec sa bouche. L'air dégoûté Marco s'exécute. Il a des hauts le coeur, mais il ne veut pas d'une autre correction. Il est à peu près 21 heures quand nous remontons à notre chambre : douche, puis panier à déposer à la lingerie. Nous sommes étonnés en arrivant, Françoise est présente. Nous sommes un peu gêné, d'être nus devant cette femme, mais elle ne semble pas faire attention à nous. Toutefois quand Jean-Luc lui remet son panier, elle regarde fixement sa bite. Nous tentons de cacher notre sexe, mais Thomas nous demande de mettre les mains sur la tête pour retourner dans la chambre. Nous pouvons alors nous coucher. Pour cette deuxième nui...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 25 : L’infirmière
il y a 2 ans

L'exemption au cours de sport à son coût, plus dispendieux en énergie que le sport lui-même.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 25 : L’infirmière - Une dominatrice ? Non. Je n’en suis pas une. Enlève tes vêtements ! Je ne vais pas te faire de mal, ajouta-t-elle en se dirigeant vers la porte. Elle la ferma à clé, nous enfermant à l’intérieur. Je ne savais pas qu’elle était la sensation la plus forte, celle qu’on ne sera pas surpris ou celle d’être enfermé. - C’est normalement verrouillé de midi à deux. Personne ne nous dérangera. Je n’agissais toujours pas. Je n’étais pas attaché cette fois. J’avais mon libre arbitre. Je l’exerçai. - Veux-tu que je te fasse un mot pour éviter le sport ou tu préfères t’exhiber avec ta cage sous la douche devant toute ta classe plutôt que devant moi. Ladyscar lui avait parlé de la cage. Combien d’autres personnes comptait-elle faire intervenir ? - Que voulez-vous ? - Voir comment tu vas. Nathalie n’a pas été tendre avec toi. Ladyscar a hésité à la faire arrêter, mais comme elle voyait que tu apprécia...
Au coin
il y a 2 ans

Pas toujours facile de dire la vérité...

- Bon, tata, s’il te plaît, je pourrais pas me rhabiller maintenant ? Ils vont arriver. - Ils devraient pas tarder, en effet. Et voir dans quel état est le derrière de leur cousine. - Je t’en supplie, tata ! Pas ça ! - Alors tu me dis ce qui s’est passé. - Je peux pas. - Comme tu voudras. Mais moi, je veux savoir qui a flanqué une fessée carabinée à ma grande nièce de vingt-deux ans et pourquoi… 2- - Tata… - Oui, ma chérie. - Tu le répéteras pas ? A personne ? - Dis toujours… - J’ai fait une bêtise. Une grosse bêtise. - Quel genre de bêtise ? - Tu sais, la bijouterie ? Dans la grand rue… - Oui. Eh bien ? - Il était pas là le patron quand j’y suis rentrée ce matin. Et il y avait une vitrine, à l’intérieur, qu’était restée grande ouverte. C’était trop tentant. J’ai pris une bague. Sauf que juste à ce moment-là il s’est relevé de derrière son comptoir. Il était en train de traficoter quelque chose là-dessous. Il m’a laissé le choix. Les gendarmes ou « ça ». T’es connue...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 24 Seconde douche froide
il y a 2 ans

Comment prendre une douche après le sport avec une cage de chasteté ? Question dont le soumis aura à répondre.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 24 : Seconde douche froide Cette semaine n’en finissait pas. Nous étions jeudi et ma cage ne serait pas enlevée avant le weekend en huit. C’était trop long. Aujourd’hui j’avais décidé de ne pas répondre et de ne rien faire aux diverses sollicitations. Quelque soit ce que Nathalie, Valérie, ou Ladyscar prévoyaient pour moi ! Mais alors que je me faisais cette promesse, je savais que mes penchants naturels n’en tiendraient pas compte, s’en moqueraient. J’étais même convaincu que, d’ici un ou deux jours passés sans ordre, c’est moi qui les quémanderais. Je préparai mon sac pour aller en cours, quand je me rappelai que j’avais deux heures de sports. Pourquoi avait-on besoin de pratiquer du sport pour être ingénieur ? Je m’énervai dix minutes sur le programme de mon école avant de chercher une solution. J’optai pour un slip moulant, recouvert d’un caleçon et d’un jogging. Heureusement que ce n’était pas l’été. Nous entamions le...
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