Récits
Alyssia, ma femme (12)
il y a 2 ans

Le début de la fin entre l'amant et la maîtresse?

[Le début de cette saga est ici](/recit/192881) - On descend pas déjeuner ? - Non. Ce matin, on se fait servir dans la chambre. - Par Eugénie ? - Évidemment, par Eugénie… Ça t’a pas déplu, avoue, la petite séance d’hier soir, hein ? - Je serais difficile. - Et t’es pas au bout de tes surprises. Elle est très joueuse, cette petite. Et pleine de ressources. - C’est-à-dire ? - Tu verras bien. - Mais si, dis ! Au moins un peu. Il y a eu du bruit dans le couloir. Puis dans la chambre d’à côté. Encore dans le couloir. - Tiens, ben la v’là justement ! Elle a frappé, est entrée, vêtue de son petit tablier de serveuse blanc. - Bonjour ! Avec un grand sourire. Et elle nous a tourné le dos pour aller déposer le plateau sur la table, près de la fenêtre. Ses fesses étaient nues. Totalement nues. Superbement nues. Elle a pris tout sont temps, fait mine de rectifier la position des tasses, celle des couverts avant de majestueusement naviguer vers la porte sur le pas de laqu...
Auto bondage
il y a 2 ans

Dès mon plus jeune âge j’ai été attiré par le BDSM j’ai donc joué seul.

Bien entendu, ça n’était pas sous une forme élaborée et sexuelle. Simplement les scènes ou les récits où il était question de liens, de chaînes, de fouets, d’esclaves peu ou pas vêtus m’attiraient et me troublaient. a d o l e s c e n t ce fut un de mes clichés favori de masturbation. En parallèle j’ai bien sur expérimenté une sexualité tout à fait classique avec des copines, puis quelques liaisons, mais évoquer les jeux SM, même très softs, était tout simplement inimaginable, sauf à passer pour un dangereux détraqué. Il faut dire que c’était il y a déjà pas mal d’années et qu’histoire d’O était considéré comme un délire érotique irréaliste et irréalisable. J’ai eu ma première expérience de dominateur, par hasard, à 24 ans. Je suis resté dans cette attitude pendant une dizaine d’années. Jusqu’au jour où une « esclave » particulièrement coquine et joueuse a demandé à inverser les rôles. J’ai dit oui, je confesse que ça ne m’a pas déplu, et je suis donc devenu « switch », changeant d...
Ma première visite médicale et confessions
il y a 2 ans

A sa majorité elle rencontre un médecin pervers à qui elle dévoile sa sexualité

Je toussais depuis le début de la semaine, ma mère décida de m’emmener chez le médecin. J’attendais dans la salle d’attente car elle avait décidé que j’étais une adulte et qu’elle pouvait aller faire des courses pendant ce temps. « A ton tour jeune fille. Ta mère n’est pas là ? » « Non, elle a décidé que maintenant que j’avais 18 ans voir même bientôt 19, elle pouvait me laisser seule pour aller se promener en attendant » « Ah mais oui, tu es majeure et vaccinée maintenant, j’avais presqu’oublié. J’ai entendu que tu toussais beaucoup. Déshabille-toi, enlève ton soutien-gorge aussi. Avec un frère asthmatique comme le tien, je ne veux rien laisser passer, je te ferai une radio des poumons en même temps » Il souleva un des seins et posa son stéthoscope en dessous et fit la même chose avec l’autre puis dans le dos, comme si de rien n’était sa main se posa sur un de mes seins pendant ce temps. Mon téton se durcit aussitôt. Il le prit entre ses doigts toujours comme si c’était no...
Grands moments de solitude (5)
il y a 2 ans

Une bourrasque soudaine peut parfois jouer des tours quand on est en robe et sans culotte

Le lendemain, le sable avait séché. Et on s’est fait une orgie de soleil, de mer et d’huîtres. - Qu’est-ce qu’on est bien ! Ah, ça, elle pouvait le dire, Pauline. - Et ça passe nickel, en plus, tous les quatre. - Il y a pas de raison. D’autant mieux qu’évoquer ces souvenirs, là, comme on le faisait, ça créait un climat vraiment très très complice, elle trouvait, elle, Chloé. Pas nous ? - Si ! Si ! Bien sûr ! Et elle se posait une question. Parce que là, c’était toujours avec des inconnus qu’on s’était trouvés dans ce genre de situation. Mais avec des gens qu’on connaissait ? Ça nous était jamais arrivé avec des gens qu’on connaissait ? - Si, moi ! - Toi, Océane ? - Et à la fac, en plus ! - À la fac ? Oh, faut que tu nous racontes ça ! Faut absolument que tu nous racontes ça ! Julien a proposé. - Ce soir alors ! À l’intérieur. Et à poil ! Comme moi, hier. Il y a pas de raison. Elles ont fait chorus. C’était vrai, ça ! Il y avait pas de raison. 2-...
Tous les nouveaux doivent être bizutés
il y a 2 ans

Les internes vivent parfois un enfer

J'étais en terminale, interne dans un nouveau lycée. Le premier soir, je découvre la chambre que l'on m'a assignée. Frédéric est arrivé avant moi et a commencé à déballer ses affaires. Très brun avec un regard noir perçant, des traits fins et des cheveux mi-longs, Fred, finement musclé, est de ma taille. Nous nous présentons. Fred me dit qu'il est aussi nouveau dans ce bahut. Immédiatement, je ressens un bon feeling avec mon roommate. Après avoir rangé nos affaires, Fred me propose de prendre ma douche en premier dans la salle de bain que nous partageons. Je me dépoile et je sens son regard perçant qui m'observe. Après ma douche, je me sèche, mets un caleçon et entre dans la chambre. "La place est libre !" Fred se désappe devant moi et j'en profite pour bien mater son petit cul. Le 4e soir, alors que nous avions pris nos douches et que nous étions tous les deux couchés, vêtus simplement d'un caleçon, quatre mecs débarquent dans la chambre, allument la lumière et nous immobilisent c...
Alyssia, ma femme (11)
il y a 2 ans

Pas facile de courir plusieurs lièvres à la fois.

Séverine a attaqué, d’emblée, avant même d’avoir fini de s’asseoir. - Il a quelqu’un d’autre. - Quoi ? Qui ça ? - Benjamin. Quelqu’un d’autre que votre femme. - Vous êtes sûre ? - Pratiquement. - Et c’est qui ? - Alors ça ! Oh, mais je finirai bien par le découvrir. Ou bien vous. Vous le voyez souvent. Quelque chose va forcément, à un moment ou à un autre, vous sauter aux yeux. Ou même… vous pouvez susciter des confidences. Entre hommes, on aime se vanter. Et je le vois bien dans le rôle. - Vous allez faire quoi ? - J’aviserai. Quand je saurai. Mais pas la peine que je me berce d’illusions. Je ferai rien. Je subirai. Comme d’habitude. En espérant qu’il va pas se toquer de cette nouvelle conquête. Qu’il va pas avoir la lumineuse idée de vouloir « refaire sa vie ». Je l’ai dans la peau, qu’est-ce que vous voulez ! Alors il peut bien me faire cocue tant et plus. Du moment qu’il reste avec moi, qu’il parle pas de me quitter, qu’il dort, au moins de temps en temps, dans notre lit...
Les fringues de ma femme
il y a 2 ans

Le mari d’un couple libre, profite de la garde-robe de son épouse pour se travestir et aller jouer la salope.

Comme ma femme est très élégante, elle possède une importante garde-robe dans laquelle je n'ai qu'à choisir. Elle le sait, mais elle ne dit rien car, de son côté aussi, elle mène également une double vie. Lorsque je suis seul à la maison, je me fous à poil devant le grand miroir et je me caresse doucement la queue en imaginant que je suis une belle femme, sexy et aguicheuse. Pour confirmer ce fantasme, j'enfile une guêpière. Ma femme en a plusieurs, mais celle que je préfère c’est celle en satin blanc, avec des attaches pour les bas. Les bas justement, je les choisis de la même couleur que la guêpière. Tout en les attachant, je me tripote encore. Puis je m'assieds devant le miroir et je me maquille les yeux, la bouche. Je pare mes oreilles de longues boucles d'oreilles pendantes. Là je commence à devenir très troublant. Troublante plutôt, car je me sens tellement femme quand je me mire dans la psyché. Souvent je suis obligé de m’interrompre pour me masturber franchement et me faire...
Martine et le sulky Partie 4
il y a 2 ans

Nous allons enfin profiter de l'attelage

Suite de martine et le sulky L’opération fut très simple : il a suffit de faire passer la pouliche entre les deux branches et de fixer chacune d’elles par une sangle et un mousqueton à l’anneau situé sur la ceinture, de chaque coté du torse. C’est là que je compris pourquoi les branches étaient incurvées : attachées par leur extrémité à la ceinture au niveau de la taille, leur forme courbe permettait ensuite de contourner les rondeurs de la croupe de chaque côté des hanches. Les sangles courtes et tendues rendaient le couple sulky pouliche très solidaire. Le système était très étudié. Il pourrait aussi bien s’utiliser en attelage debout (à condition de faire passer les rênes par-dessus les épaules avant de les passer dans l’anneau central de la ceinture) qu’à 4 pattes. C’est cette dernière option que nous avons retenue compte-tenu de l’espace disponible dans la salle d’exposition dont toutes les voitures étaient regroupées au fond. Nous penserons ultérieurement à la possibilité...
Grands moments de solitude (4)
il y a 2 ans

Au tour de julien de raconter...

Quand je me suis réveillée, il faisait grand jour. Et il y avait plus personne dans la chambre. Pauline était dehors, au soleil, sur le sable. - Ils sont où, les autres ? - Chloé dans la salle de bains. Et Julien, porté disparu. Sans doute retourné nous chercher des croissants. Sûrement. Il nous doit bien ça. Après la nuit qu’il nous a fait passer ! Je me suis étendue à ses côtés. - Ah, ça, faut reconnaître que pour donner, ça a donné. - Et que ça aurait pu donner davantage encore… - Comment ça ? Elle s’est appuyée sur un coude, a approché son visage tout près du mien. - J’ai pas osé. Te caresser… J’ai pas osé. Mais comment j’en avais envie ! Elle m’a souri, m’a pris la main, me l’a serrée. Je ne me suis pas dérobée. Je la lui ai laissée. J’ai pressé la sienne. On est restées un long moment comme ça. C’était doux. Très. C’était apaisant. Et apaisé. - Océane… - Oui ? - Je peux te demander quelque chose ? Ta cabine d’essayage, là, t’y repenses des fois ? - Ça...
Les confidences d’un fétichiste des odeurs féminines et des culottes portées
il y a 2 ans

Cette histoire raconte comment il a commencé à piquer des culottes sales et des collants portés dans le panier à linge des femmes.

Cela a commencé probablement huit mois après que j’ai commencé à porter des collants en 7e année. Ces derniers mois, j’avais été très sournois. Je me faufilais dans les tiroirs à culottes de mes amies mères et je fouillais dans leurs culottes et leurs collants. Je ne prenais généralement qu’une paire de chaque. Mais parfois, j’en prenais plus. J’avais quelques amies dont les mères portaient des collants. Entre l’achat de mes propres collants et le fait de les passer en revue, j’avais une très belle collection. Mais j’avais toujours besoin de plus de bas et de lingerie pour me faire plaisir. Une nuit, quelques amis ont fait une soirée pyjama. Mon amie avait une mère sexy qui ressemblait à Peggy Bundy et s’habillait comme elle. Et elle portait toujours des collants sous ses jambières. Elle était très sexy. Il avait aussi une soeur de 18 ans qui était une pom-pom girl sexy. On s’est endormis quelques heures plus tard et je me suis réveillé avec une rageuse. J’ai essayé de m’endormir, m...
Maté par l’odeur de mes pieds
il y a 2 ans

Il n’était peut-être pas fétichiste des pieds

Cette journée commence comme toutes les autres, mis à part qu’on est vendredi et que cela signifie que le week-end approche à grand pas. J’en ai bien besoin. Cette semaine a été stressante et la chaleur étouffante des derniers jours n’arrange rien. Pendant le dernier cours de la journée, alors que je prends des notes, je décide de retirer discrètement mes chaussures pour aérer un peu mes pieds qui en avaient bien besoin. A peine quelques secondes plus tard, un de mes voisins d’amphi se penche sous la table puis se redresse vers moi en me chuchotant: « Ah, c’est tes pieds qui sentent comme ça ? Remets vite tes chaussures ou je vais finir asphyxié avant la fin du cours ». m o r t e de honte, je les remets aussitôt et prie pour que le cours finisse bientôt. Une fois rentrée chez moi je décide qu’un peu de sport me ferait du bien. En enfilant mes baskets pour aller courir je me rends compte qu’effectivement l’odeur de mes pieds est très forte, pas étonnant que mon voisin m’ait fait...
Alyssia, ma femme (10)
il y a 2 ans

Mari et amant font plus intimement connaissance.

Au petit déjeuner, c’était elle, la fille du patron, qui était de service sur la terrasse. Elle y faisait de rapides apparitions, débarrassait un plateau, passait vite fait un coup de torchon sur une table. En évitant soigneusement de trop s’approcher de nous. Et sans jamais jeter le moindre regard dans notre direction. De toute évidence, elle n’en menait pas large. Alyssia a fini par l’appeler. - S’il vous plaît… Elle s’est approchée. À contrecœur. - Vous vous appelez comment ? - Eugénie… - Et vous avez quel âge ? - Vingt-deux. - Alors comme ça, Eugénie, on espionne les clients… Une grande fille comme toi ! Tu sais que c’est pas bien du tout ? Elle est devenue écarlate. - Je vous jure… Alyssia a éclaté de rire. - Ben, voyons ! N’empêche… Qu’est-ce que ça a dû être frustrant pour toi ! Être interrompue, comme ça, en pleine action. Elle se dandinait d’un pied sur l’autre, se grattait nerveusement la joue. - Tu t’es finie dans ta chambre, j’parie ! Non ?...
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