Récits
Eric
il y a 4 mois

Mon premier travail, pas si mal

Il venait juste d’être embauché dans cette entreprise de bâtiment comme homme à tout faire. Éric était bien bâti, épaules larges et bonne poigne et le matin du premier jour il a trimballé des tonnes de sac de ciment du chariot élévateur aux quatre coins du chantier. Quand le klaxon a retenti annonçant la pause j’étais vanné. Les ouvriers se sont rassemblés et ont sorti leur boîte repas. Moi je n’avais rien prévu mais au moment du café un black m’a tendu sa thermos. Vas-y c’est du bon mon mec me le prépare tous les matins -Ton mec ? -Ben oui je suis gay comme pas mal ici et on s’entend bien. Tu n’y as pas gouté toi avec ta petite tronche d’amour ? Euh non j’ai une petite amie mais elle se coince quand je veux aller plus loin. Il a eu un éclat de rire. Eh les mecs on a un puceau ! Pas vrai ! -Et si, il vient de me le dire. Tu n’as mais joué avec un pote ? Non, enfin juste se la montrer c’est tout. -Et à nous, tu nous la montre, on est entre nous et le patron n’est pas chien...
Entre belles-mères
il y a 4 mois

Carine s'est vraiment mise en très mauvaise posture en couchant avec son gendre...

- Vous vouliez me voir ? Elle m’a fait la bise, tout sourire. - Oui. Qu’on parle un peu de nos enfants. Entre belles-mères, ça s’impose. Nos enfants. Sa fille. Mon fils. Qui formaient un si charmant petit couple. Que c’en était un vrai plaisir de les voir si amoureux. Si heureux. - Ah, ils se sont bien trouvés, ces deux-là, on peut pas dire ! - Oui. Et puis jamais un mot plus haut que l’autre. Jamais une dispute. Rien. On s’est félicitées. On s’est attendries. On s’est rengorgées. Et puis, d’un seul coup, sans que rien le lui laisse présager, j’ai lâché ma bombe. - Mon fils ne me cache rien. Absolument rien. Jamais. Dans ses yeux, la panique. Une fraction de seconde. Elle s’est immédiatement reprise. S’est voulue impassible. A même souri. - C’est une chance. Pour lui comme pour vous. - Mais sans doute pas pour vous… Cette fois, elle a blêmi. - Comment ça ? - Vous savez très bien ce que je veux dire. - Pas du tout, non. - Allons, Carine, a...
Attendre le retour de Madame...
il y a 4 mois

Ça fait des jours que j'avais envie d'écrire ce texte... en fait j'y pense depuis le matin où Madame et moi avons dû nous quitter (on s’est revue depuis) ... Le temps m'a manqué, est passé, pourtant l'intensité de ce moment que je décris ci-dessous ne me quitte pas, tous les jours je me revois dans cette chambre à l’attendre... Après l’avoir relu et illustré, Madame m’a donné l’autorisation de le publier ce récit sur le site afin que Vous, «les autres», membres de Fessestivités, sachiez ce que j'ai ressentis ce soir-là...

Mi-novembre j’avais RDV avec Madame dans un hôtel parisien. Une fois de plus il y a beaucoup à raconter sur cette rencontre qui a encore été très, très forte. Cependant, vu les circonstances, Madame se réserve le droit de vous en dire plus. Mais, avec son accord, je ne résiste pas à l’envie (au besoin) de partager avec vous ce que j’ai vécu à un moment précis de cette soirée mémorable. Après être entrée dans la chambre où je l’attendais (à quatre pattes et encagée) et s’être installée, Madame a pris le temps de s’occuper de moi alors qu’Elle avait un autre rendez-vous de prévue. Donc, avant de partir, et après m’avoir ordonné de me mettre à genoux, Elle a pris soin de me mettre en laisse et de m’attacher « comme une chienne » au pied du lit. Puis Elle m’a mis un bâillon écarteur de bouche, avant de poser sur chacun de mes tétons des pinces avec des poids. « A tout à l’heure ma belle » m’a-t-Elle dit après avoir caresser ma tête et déposé un baiser sur mon front. En prenant du recul...
Une Sereine Convivence 6 et 7
il y a 4 mois

Parties 6 et 7

6 Je suis restée ainsi, insatisfaite, frustrée et humiliée d'avoir envoyé ce message à Stefania. C'était absurde, je m'excusais auprès de mon ex qui m'avait trahi ... mais cette humiliation était aussi tellement excitante... Je ne sais pas ce qui m'arrive. Monica et moi nous sommes habillées et sommes sorties ensemble, elle m'a dit qu'elle avait des courses à faire. Nous sommes allées au centre-ville et avons visité plusieurs magasins, tous féminins. C'était vraiment agréable de voir Monica essayer différentes robes, t-shirts, jupes, elle était extrêmement provocante et j'étais fier d'être à ses côtés. Bien sûr, j'ai proposé de porter tous les colis et elle m'a également demandé de tenir son sac à main lorsqu'elle choisissait de nouveaux vêtements dans les magasins. Le meilleur moment s'est produit dans un magasin de lingerie. Elle venait d'acheter trois soutiens-gorge et regardait des strings lorsqu'elle m'a regardée d'un air interrogateur. Monica : « Alby, que dirais-tu...
Une Sereine Convivence 4 et 5
il y a 4 mois

Partie 4 et 5

4 Assis sur le canapé, Monica et Claudio regardent la télévision. Je viens de finir de tout nettoyer dans la cuisine et de laver le sol, quand j'apparais devant eux. Moi : « Qu'est-ce que vous regardez ? » Monica : « Une série télévisée très populaire, viens la regarder toi aussi... pendant que vous me massez les pieds. Ou bien l'avez-vous déjà oubliée ? » Moi : « Non, absolument. Je peux commencer maintenant si tu veux. » Claudio : « Excusez-moi, mais qui vous a dit que j'étais d'accord ? Je suis d'accord, mais n'oublie pas que je ne veux pas que tu fasses quelque chose qui ne me convienne pas. Monica : « Tu as raison, mais de toute façon il n'y aura jamais de contact sexuel, ne t'inquiète pas et puis tu es là ». Moi : « Claudio, je ne ferais jamais rien pour te déranger ». Monica : « Bon, maintenant que tout est clair, assieds-toi par terre et commence le massage ». J'ai commencé à masser les pieds de Monica et elles m'ont ignoré pendant une bonne demi-heure en regardant...
Le réveil
il y a 4 mois

Réveil a 6h00

Voilà je passe ma nuit un peu tranquille, seule emblousée et attachée a mon sommier bercée par le cliquetis de mes entraves et le bruissement du nylon de ma blouse complètement boutonnée qui frotte sur le plastique souple de ma culotte. Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il puisse être ,quand soudain j'entends sourdement le verrou du sous-sol s'ouvrir, je sais que Marine la Gouvernante est arrivée et qu'elle ne tardera pas à me libérer de ma cellule et de mon couchage... la lumière s'éclaire progressivement et les portes de ma cellule se déverrouillent électriquement....Marine me secoue vigoureusement en m'hurlant énergiquement ; il est 6h00 ,ma gourdasse, finis les rêves.... elle me décadenasse les poignets du sommier sur lequel elle me demande de m'asseoir et les menotte a nouveau dans le dos . Elle détache ensuite les chevilles et ajoute une laisse a mon collier qu'elle tire assez fort pour me descendre du lit. Je suis tirée avec énergie de la cellule et me retrouve dans la sal...
Asile automatisé
il y a 4 mois

Le bâton et la carotte, la douleur ou le plaisir pour une femme

« J’AI ENFIN RÉUSSI ! » me suis-je dit. Il y a quelques semaines, j’ai gagné la plus grosse loterie de tous les temps. Après l’avoir gagnée, j’ai acheté un grand terrain dans le nord des Rocheuses. J’ai fait construire une maison sur le terrain et, grâce aux technologies de construction modernes, elle était déjà terminée. Désolé, je m’avance un peu. Nous sommes en 2104. Après une série de progrès technologiques et l’invention de voyages spatiaux pratiques, les gens se tournaient vers la Lune, Mars et IO pour la colonisation, oubliant la Terre. C’est ainsi que j’ai pu acheter le terrain et faire construire la maison si rapidement. C'était une belle journée de printemps et comme je l'avais fait ces dernières semaines, je suis parti explorer mon terrain. Je prenais mon temps pour profiter du paysage et des vues. J'étais sur le point de faire demi-tour et de rentrer chez moi lorsque j'ai atteint le sommet d'une colline et remarqué une tour dans une vallée que je venais de trouver. Comme...
Surpris par des chasseurs très pervers
il y a 4 mois

Les mésaventures d’une pauvre femme Texte hard

Un dimanche du mois de septembre, il fait très chaud, les jours précédent étant pluvieux nous décidons mon mari et moi d'aller faire un tour dans les bois de Léognan. Nous garons la voiture dans un petit chemin, et nous entrons dans une belle forêt de chênes. Après un quart d'heure de marche, nous commençons à avoir chaud. J'enlève ma veste et la noue autour de ma taille. Nous nous enfonçons dans la forêt, traversons des pare-feux, en cherchant en vain des champignons. On entend des coups de fusil, la chasse à ouvert ce week end et plus on va, plus on s'approche de la zone de chasse. Cela commence à être dangereux, on décide de retourner vers notre véhicule, et tant pis pour les cèpes. Après plus d'une heure de marche, on n'arrive pas à se repérer, j'ai la nette impression que l'on s'est égarés. Nous commençons à être fatigués, il est plus de midi et la chaleur est étouffante. On commence à s'inquiéter, impossible de se repérer, tous ces chemins se ressemblent, on a l'imp...
Une Sereine Convivence 3
il y a 4 mois

Partie 3

Je me suis réveillé tôt, étrangement moins en colère que les jours précédents. J'avais beaucoup réfléchi à la discussion de Monica et Claudio et peut-être avaient-ils raison. Je me suis regardé dans le miroir, nu, et je n'ai vu aucune matière susceptible de faire jouir une femme. Pourquoi n'avais-je pas ouvert mon esprit plus tôt ? Et maintenant ? Je n'aurais certainement pas accepté les cornes, mais je voulais quand même une relation satisfaisante. Peut-être que la clé était de me rendre utile à une femme et peut-être qu'elle m'aimerait et me respecterait même si je n'étais pas très doué. Je me sentais à l'aise, mais je savais que je devais commencer à expérimenter et à repousser mes limites. Je suis allé à la cuisine et j'ai préparé le petit déjeuner pour nous trois, en faisant attention à ce que Monica et Claudio aimaient le plus. Tout était prêt lorsqu'ils sont entrés dans la cuisine. Monica : « Oh, quelle belle surprise ». Claudio : « Ah, je te vois enfin rétabli ». Moi :...
Fessée au bureau
il y a 5 mois

Quand on cherche la fessée, on la trouve même au bureau

J'avais rencontré Xavier au bureau. C'était un grand maigre, parfaitement maître de lui, psychorigide, aussi peu démonstratif que possible, mais que je croyais sensible. Nous avions tout de suite été amenés à travailler ensemble sur les mêmes dossiers, ce qui avait été un succès. Nous nous comprenions bien malgré notre différence de caractère (je suis plutôt expansive) et notre amitié grandit. Que cet homme-là s'ennuyât dans son ménage, qui était d'une morosité plon-plon exemplaire, cela sautait évidemment aux yeux. N'ayant point d'amant, et commençant à souffrir pas mal de ne point en avoir, je ne tardais pas à lui proposer une fois par semaine la récréation d'une après-midi de plaisir. Il refusa, horrifié. Je fus cruellement déçue, et je décidais de mener dès lors, au travail, une vie d'enfer au malheureux. Ennuyé de ma méprise, tenant à mon amitié et surtout, sans doute, à la paix sur le lieu de travail, il ne savait comment parer mes attaques, qui se multipliaient. C'était, là,...
Une randonnée un peu spéciale
il y a 5 mois

MaitresseM emmène SlaveG en randonnée en forêt pour le soumettre de façon assez particulière devant une de ses amies

A la fin du séjour partagé avec son amie neerlandaise Else, M annonça à G qu’elle comptait faire une petite randonnée un peu particulière à travers les bois qui entouraient JONCOUS et dont elle était propriétaire. C’était le matin de la veille du départ d’Else . Il était tôt et juste après le petit déjeuner, M dit à G qu’elle allait le préparer pour la randonnée. G Comme il était de règle, était entièrement nu, et s’inquiétait de ce qu’il pourrait être vu. M lui répondit qu’il n’y avait aucun risque car JONCOUS était tout au fond d’un vallon et qu’il fallait passer par là pour accéder à la sapinière. Il pourrait donc rester entièrement nu tout au long de la randonnée. G portait comme d’habitude les attributs de sa soumission, des pinces avec des poids aux tétons ainsi que sur le frein du sexe. Étonnamment son anus avait été laissé libre de toute contrainte . M et Else étaient habillées en tenue de randonnée toutes les deux, petit short et chemisette légère . M prit un...
G Est initié aux plaisirs de l’éducation anglaise, sur site
il y a 5 mois

G est initié aux plaisirs de l’éducation anglaise par une quinquagénaire britannique lors de vacances au pair en Angleterre .

G découvre l’éducation anglaise. Cet été là, G tout juste majeur avait été envoyé en Angleterre pour renforcer son anglais. Il devait en effet passer son bac l’année d’après, et les résultats n’avaient pas été à la hauteur des attentes de sa mère. Celle-ci avait donc décidé de l’envoyer prendre des cours particuliers d’anglais, en qualité de garçon au pair chez une dame d’une cinquantaine d’années qui était professeur de français en Angleterre, et plus exactement à Aylesbury . Elle avait réussi à avoir cette adresse par le biais de la lectrice d’anglais du lycée dans lequel G suivait les cours. A l’époque, il avait fallu que G prenne l’avion de Toulouse à Londres Gatwick Il avait ensuite pris le train jusqu’à AYLESBURY où l’attendait. Madame Jennifer Wilson. sa maison était située à l’extérieur de la petite ville, dans une allée très champêtre, au milieu d’un grand terrain arboré et entouré d’une grande haie. G ce présenta au portail et activa à la sonnette. Il attend...
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