Récits
Sévères voisines (8)
il y a 2 ans

Quelle meilleure leçon pour Raphaël, que de le faire punir par sa complice voyeuse?

Au resto U, Manon était toute seule à une table, près de la fenêtre. - Tiens, un revenant ! Où t’étais passé ? Tu me fuyais ? - Hein ? Ah, mais non. Non. Pas du tout. - Ben, je sais pas. On dirait bien pourtant. Ça fait une éternité que je t’ai pas vu. Depuis l’autre soir en fait… - C’est parce que… - Je m’en fiche. Complètement. Ça m’intéresse pas. En attendant, t’as fait fort n’empêche, ce soir-là ! Bon, mais t’as pas oublié, j’espère ? J’ai froncé les sourcils, joué les innocents. - Oublié ? Oublié quoi ? - Tu sais très bien de quoi je veux parler. T’as une fessée en attente. Que Johanna doit te donner. Vu la façon inqualifiable dont tu t’es comporté avec elle. Johanna… J’ai fermé les yeux. Johanna. Qui faisait Léo cocu. Johanna. Ses gémissements de plaisir. Ses feulements de petit animal en rut. - Tu m’écoutes ? - Oui, je t’écoute. Oui. - On dirait pas. Et donc, puisque je t’ai sous la main, on va régler ça. Une bonne fois pour toutes. Qu’on n’en parle plus....
Mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir
il y a 2 ans

Un jolie histoire érotique avec de jolis mots

Voici un extrait des Mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir, rédigé en 1749 par l'Anglais John Cleland et traduit en français par Fougeret de Montbron. Dans ce passage, Fanny, qui se destine à devenir fille de joie, craint que les verges de ses futurs clients ne soient trop grosses pour elles. Pour la rassurer, Phoebé l'invite à épier une de leur collègue au travail. Quand nous fûmes ensemble je la mis sur cette voie en lui faisant un narré fidèle de ce que j’avais vu. Elle me demanda quel effet cela avait produit sur moi. Je lui avouai naïvement que j’avais ressenti les désirs les plus v i o l ents, mais qu’une chose m’embarrassait beaucoup. - Et qu’est-ce que c’est, dit-elle, que cette chose ? - Eh ! mais, répondis-je, cette terrible machine qui m’a paru pour le moins aussi grosse que mon poignet et longue de plus d’un pied, comment est-il possible qu’elle puisse entrer sans me faire mourir de douleur, puisque vous savez bien que je saurais y souffrir pas même le petit doi...
L’Art du BDSM et de l’extase dans la soumission
il y a 2 ans

Douleurs volontaires et plaisirs particuliers des soumises

Il n'y a derrière les sombres grilles rien qui puisse Faire brûler tendrement le plaisir dans ton ventre libertin. Mais quand ta voix deviendra cri, quand ton corps ne seras qu'une plainte Tu trouveras, petite, brillant comme un joyau couleur de s a n g au milieu des sévices L'extase. Avant de se pencher, Shyinaï soulève délicatement l'étoffe légère de sa robe, si légère qu'elle semble prête à rompre au moindre contact. Cette précaution évite à l'habit d'entrer en contact avec les épines du buisson qui l'auraient certainement déchiré. Pour cueillir la fleur nouvellement éclose, la jeune fille se courbe, donc, et ce avec toute la grâce que lui permet la souplesse exceptionnelle du corps ravissant dont la nature lui a fait don. Le geste est facile, sans effort, le buste descend harmonieusement vers le buisson, et se faisant, les seins saillants sont mus par un léger mouvement qui témoigne de leur totale liberté dans l'habit sans trahir une quelconque lourdeur. La main saisit...
Il rêvait de bondage
il y a 2 ans

Il faut se méfier d’une femme qui aime attacher et le shibari

Henri rêve d’être dominé et de rencontrer une Maîtresse. Un de ses fantasmes porte sur les contraintes physiques avec cordes, menottes et autre carcans. Hélas, si les femmes peuvent être attachantes, elles ne pratiquent pas pour autant le bondage. Il pratique donc le [selfbondage](https://abcplaisir.com/fr/73-selfbondage) pour compenser ses fantasmes inassouvis et drague les filles sur Fessestivites pour essayer de trouver celle qui lui fera vivre ses envies. Le problème est qu’il est « lourd » dans ses prises de contacts, ne parle que de lui et de ses fantasmes. A priori, celui des filles contactées, il s’en moque un peu. En clair, l’égoïste de service. M-Nina est une jeune femme dominatrice. Elle débute dans ce monde et s’y amuse depuis peu. Si elle est débutante, elle est aussi et surtout rusée, il faut dire que son cursus d’étudiante en psychiatrie l’a bien rodée dans les analyses comportementales. Il ne lui reste plus qu’un an d’étude et, depuis peu, elle s’accorde une...
Sondages
il y a 2 ans

Le travail de l'urètre, lui aussi c'est jouissif

Un jour, il y a bien longtemps, un médecin m’a fait passer une sonde dans la bite pour m’ausculter la vessie. Ça m’a fait bander et j’en ai ressenti une telle jouissance que j’ai eu une seule hâte, me le faire de nouveau tout seul, d’abord avec un crayon bien taillé, un stylo, le manche de mon rasoir. Puis je me suis procuré toute la gamme des excitateurs d’urètre, sonde bien sûr puis, progressivement, tout une panoplie des plugs d’urètre, jusqu’à 15 mm de diamètre et de différentes longueurs, la plupart en acier inox, d’autres en verre, lisses ou avec des aspérités analogues à celles des boules de geishas, des sceptres princiers, une vis de 9 mm de diamètre et environ 40 mm de longueur qui est spectaculaire mais m’excite le moins, un vibromasseur urétral. En pénétrant au cœur de ma bite, les plugs d’urètre déclenchent chez moi des jouissances d’autant plus infinies que je les associe à celles de l’inévitable plug au cul, zone que j’avais explorée très jeune et qui, des dizaines d’a...
Sévères voisines (7)
il y a 2 ans

Malgré les fessées qu'il reçoit, les vieux démons de Raphaël sont toujours là, bien présents. Et si tentants...

Emma voulait me voir. - Je t’attends ! Grouille ! J’ai soupiré. J’allais encore y avoir droit. Et Dieu sait qu’elle faisait pas semblant, Emma. Ses cinglées au martinet, j’en gardais les traces plusieurs jours durant. J’appréhendais. Non, mais comment j’appréhendais ! J’ai pourtant fait aussi vite que j’ai pu. Inutile de l’indisposer contre moi. Elle ne manquerait pas de me le faire payer. - Entre ! Elle sirotait tranquillement un café, adossée à la gazinière. - Eh bien, mets-toi à l’aise ! Qu’est-ce t’attends ? Oui, voilà. Tout de suite. Elle m’a regardé me déshabiller, un petit sourire narquois fiché au coin des lèvres. - À ce qu’il paraît qu’elles s’amusent bien avec toi, ma sœur et ses copines. J’ai des tas d’échos là-dessus. J’ai rougi. Essayé de bredouiller vaguement quelque chose. - Et moi, tu me délaisses. Il n’y en a plus que pour elles. - Mais non. Seulement… - Seulement quoi ? Si je ne t’avais pas appelé tout à l’heure, est-ce que tu serais venu...
La prof de sport donne des fessées
il y a 2 ans

Fessées sportives 1 et 2

Mme Ponier était de bien méchante humeur. Sa tasse de café à la main, elle arpentait la salle des professeurs de sport. Elle ne parvenait pas à se raisonner et n’avait à sa disposition aucun collègue sur qui déverser ses rancœurs. Les photographies qui faisaient d’ordinaire sa fierté, depuis celle datant de son succès aux championnats de France universitaires jusqu’à celles faisant foi de ses talents d’entraîneur, ravivaient l’humiliation de ce qu’elle considérait comme une déchéance. Elle ne savait au juste qui blâmer, des hauts fonctionnaires de la rue de Grenelle ou des associations de parents d’élèves. A cette heure, elle les méprisait tous en bloc comme elle maudissait leur obsession pour la réforme. Pour quelques rapports d’obscurs spécialistes du développement de l’e n f a n t , qui préconisaient que l’initiation à la gymnastique fût confiée dès le plus jeune âge à des spécialistes, elle se trouvait, elle, l’agrégée d’éducation physique et sportive, contrainte de prendre en...
Entre les mains d’un dresseur de femme de la pire espèce
il y a 2 ans

Lucie est enlevée par un souteneur sadique et « dresseur » de femmes de la pire espèce.

Sa méthode consiste à manipuler les filles plutôt que de les contraindre même les véritables châtiments l’amuse beaucoup. Les femmes passées entre ses mains n’ont aucune chance de revenir à une sexualité « conventionnelle » si elles ont la chance de retrouver la liberté. ............................... Cadenassée autour de la taille d’une grande et jolie blonde intégralement nue, une chaîne de bonne taille est reliée à un câble traversant la boite de nuit. La fille pleure toutes les larmes de son corps, de ses bras et des mains elle tente désespérément de protéger sa poitrine et son sexe du regard des hommes confortablement installés dans des fauteuils. Avec un gros collier de soumise autour du cou, des serveuses intégralement nues assurent le service des consommateurs sur une musique rythmée. Un homme monte sur scène sous les applaudissements nourris du public trié sur le volet et très gourmand des soirées organisées ici. - Chers amis, ce soir vous allez assister en direct au...
Métamorphose de la belle et la bête
il y a 2 ans

Pour les amateurs de fessées, voici une version "fessestivités" de la Belle et la Bête.

Il était une fois Henri, un seigneur craint de tous ses pairs, il passait pour un méchant homme, méprisant et ignorant la compassion.  Cet ours mal léché ne s'embarrassait même pas d'une compagne, préférant s'approprier une femme dans chaque village, quand cela lui chantait. Il n'était ni beau ni laid, mais imposant par son physique de géant. Il le savait et se conduisait comme une brute envers quiconque se mettait en travers de son chemin ou lui désobéissait. Y compris ses conquêtes. A tel point qu'on le dénomma partout "la bête". Aussi curieux que cela puisse paraître, cela ne déplaisait pas aux femmes qu'il arrivait à séduire... Il était une fois Jeanne, la benjamine d'une famille de fermiers travaillant pour le compte d'Henri. La timide Jeanne était la plus jeune mais aussi la plus fluette et la plus effacée. Elle était devenue le souffre-douleur de la famille. On lui confiait les tâches les plus ingrates, telle Cendrillon. Henri, la bête, parcourait souvent ses terres à ch...
Les pensées d'autrui
il y a 2 ans

Une fabuleuse histoire érotique alliant science fiction et le monde médical.

Je m’appelle Victor Debucq mais tous ceux qui m’aiment m’appellent Vic. J’ai 56 ans et je suis marié depuis 34 ans à Sophie que j’aime profondément. Nous avons quatre e n f a n t s maintenant tous autonomes. Je suis professeur dans un lycée technique. Après plus de deux années de bouleversements divers dus à la ménopause de Sophie et au départ du petit dernier, tout allait pour le mieux dans notre couple. Nous avions retrouvé la sérénité et même, au-delà de la tendresse, un renouveau de sexualité dans notre amour. C’est arrivé un mardi soir. J’étais rentré fatigué d’une suite de conseils de classe, épuisants de cas difficiles, et je me détendais, avachi devant la télé, en attendant le repas du soir. Quand, tout à coup, je ressens une v i o l ente migraine. Je veux me redresser pour aller prendre un cachet mais ma jambe gauche se dérobe sous moi. Je retombe à grand bruit dans le fauteuil et Sophie, alertée, accourt pour voir ce qui se passe. J’ai des difficultés à ouvrir la bouche...
Sévères voisines (6)
il y a 2 ans

Une nouvelle fessée punitive pour Raphaël, donnée de main d'homme, cette fois.

Camille avait quelque chose à me dire. Qu’elle a fait venir de loin. De très très loin. - Bon, allez, t’accouches ? - J’ai vu Manon. J’ai passé l’après-midi avec. - Ah… - Et tu sais pour ce qu’elle t’a promis, là… Évidemment que je savais ! Ça me bouffait assez la tête. - De t’en coller une devant ses copines de fac… Qu’elle insiste bien, surtout ! Qu’elle insiste bien ! - Eh bien, c’est pour ce soir… Pour une fois qu’elles sont libres toutes les trois en même temps. Ça risque de pas se reproduire de si tôt. Bon, ben voilà ! Ça y était. On y était. J’ai frissonné. Poussé un profond soupir. - T’appréhendes, hein ? Il y a de quoi. Parce que je peux te dire qu’elles vont pas te ménager. Mais je vais sûrement pas te plaindre : tu l’as pas volé. Elle s’est levée. - Allez, va te préparer. Qu’on les fasse pas attendre. T’aggraverais encore ton cas. Maman nous a interceptés en bas de l’escalier. - Vous sortez ? C’est Camille qui a répondu. - On so...
Chasteté, soumission et ballbusting
il y a 2 ans

Les amour particulier autour d’une femme aimant jouer avec la chasteté

Ce texte me fait rêver Mercredi matin. Dans le lit, érection matinale. Je me frotte contre elle. Nous nous embrassons. Je suis super excité. Elle caresse doucement mon sexe, mais elle doit partir travailler. "Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi", me dit-elle. "Mais si je te laisse comme ça, tu vas te branler?". J'acquiesce. J'ai très envie de faire l'amour. Je lui dit. Elle me répond qu'elle a très envie de me mettre en cage. Ce qui m'excite encore plus. Je lui titille le clitoris, elle est mouillée. Nous faisons l'amour. Je ne remettrais pas ma cage cette fois. Mais... Samedi matin. Je sors de la douche, nu. Je bande, sans même savoir pourquoi. Je la croise, toute propre et habillée, prête à partir travailler. Je me poste devant elle, le sourire aux lèvres. Elle regarde ma queue, sourit à son tour, et l'attr a p e . Elle me branle doucement. Nous nous embrassons comme des fous. Elle me susurre doucement: "Cette fois tu ne vas pas y échapper. Je te fais jouir, et tu rem...
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