Récits
La débauche d’une étudiante 2
il y a 2 ans

Etant sans consentement la deuxième partie est assez hard, elle est donc réservée aux abonnés.

Il me demande de m'allonger en travers de son lit, sur le ventre et de redresser mon bassin. Dès que je suis en position, il glisse un coussin sous bassin. Je me retrouve cul en l'air. - Tends les bras et écarte les jambes ma petite. Il attr a p e mes mains et les attaches au lit. Il fait de mêmes avec mes chevilles. Mes jambes dépassaient du bord de son lit, quand il les attache, ça me redresse encore plus mon cul. Il se déshabille aussi. Glisse un main le long de ma colonne, remonte sur mes fesses et y glisse un doigt. - Est- ce que ma petite fille est vierge du cul? Je réponds oui en faisant bougée ma tête. - Bien alors dada va te prendre ta petite cerise alors. A la fin de sa phrase je tentais d'émettre une protestation, je ne voulais pas. Mais le bâillon m'empêche de parler. - Tu es très propre, c'est une qualité que dada apprécie. Ses deux mains écartent mes fesses, je peux le sentir approcher son visage de mon cul. Il glisse alors sa langue et commence à...
Sévères voisines (3)
il y a 3 ans

Les victimes du petit voyeur, maintenant qu'elles ont barre sur lui, sont bien décidées à lui faire payer ses méfaits au prix fort. Et le plus longtemps possible.

Encore elle ! Manon. Venue s’installer en face de moi, au resto U, avec un grand sourire. - Ça baigne ? Ça allait, oui. Je lui ai dit que ça allait. Du bout des lèvres. - On dirait pas… - Oh, si, si ! - Tu te demandes, je suis sûre qui c’était, hier, avec le martinet. Non ? - Un peu. - Et alors ? À ton avis, c’était qui ? Je n’en avais pas la moindre idée. - Dis toujours ! - Toi ? - Non. C’était pas l’envie qui m’en manquait, vu la façon inqualifiable dont tu t’es comporté, mais non ! C’était pas moi. C’était Emma. Tu peux t’attendre, d’ailleurs, à ce qu’elle remette ça incessamment sous peu. D’abord parce qu’elle est hyper remontée contre toi ! « Quand je pense que cet espèce de petit salaud, il m’a matée pendant des semaines et des semaines dans la salle de bains ! Il va me le payer ! Ah, ça, je peux vous dire qu’il va me le payer » Et ensuite, et peut-être surtout, parce que ça l’a beaucoup amusée de te tanner le cuir. « Comment il gigotait du croupion, vous...
Sévères voisines (2)
il y a 3 ans

Raphaël s'est vraiment mis dans une très mauvaise situation. Madame Beauchêne et ses deux filles ont désormais totalement barre sur lui.

J’ai passé une journée épouvantable. D’abord parce que mon derrière était un véritable brasier. Il me lançait en permanence. Et il était sensible d’une force ! Le moindre frottement de vêtements constituait une véritable torture. Et m’asseoir était un calvaire. Mais il y avait pire. Il y avait ce sentiment de honte profond, ravageur, qui ne me lâchait pas. Qui m’habitait, lancinant. Qui m’a accompagné toute la matinée. Et toute l’après-midi. J’avais été fessé, cul nu, par cette madame Beauchêne. Je revoyais la scène. Je la revivais. En boucle. J’avais été puni comme un gamin infernal. Et j’avais gémi. Et j’avais crié. Et j’avais pleuré. Quelle humiliation ! Je lui en voulais de me l’avoir imposée. Je m’en voulais de l’avoir méritée. J’en voulais à ses filles de m’avoir donné la folle envie de les voir nues. Et d’en avoir subi les conséquences. J’en voulais à la terre entière. Elle m’avait fixé rendez-vous. Pour le soir même. « Et tâche de pas oublier parce que sinon… » Sinon quoi ?...
Les aventures d’un transgenre
il y a 3 ans

Un Selfbondage en pleine nature plein de rebondissement

Une autre journée de travail était terminée et j'ai volé par la porte juste après 16h30 par un doux après-midi de mars. Je n'avais toujours pas fait de transition professionnelle, donc présenté comme un homme au bureau. Après le travail, cependant, j'étais mon vrai moi. Une transsexuelle qui prenait déjà des hormones. Je suis monté dans la voiture et j'ai tourné sur la route principale, la circulation n'était pas trop mauvaise et j'ai parcouru la ville en moins de 15 minutes. M'arrêtant au bord de la route, la dernière lueur du jour s'estompait, mais les réverbères n'étaient pas encore allumés. Je tendis la main et attrapai mon sac sur le siège arrière. Sortant de la voiture et la verrouillant, je me tournai et traversai la route vers le campus universitaire. Ici, j'avais découvert et développé ma personnalité. Du travestissement dans la salle de bain entre les conférences pour finalement assister à des conférences en tant que femme, cela a gardé de bons souvenirs pour moi....
Elle devient la prime de fin de chantier
il y a 3 ans

Pas vraiment volontaire, elle ne faisait qu’un selfbondage

Hélène a ressenti le besoin de repousser ses limites Elle a placé le tabouret contre la grille que l'équipe de construction a laissée en réparant les fondations de sa maison. Elle avait déjà enfilé son porte jarretelles et ses bas les plus sexy, ainsi qu'une paire de chaussures sexy à talons hauts. Nue et excitée, elle a continué son plan. D'abord, elle a attaché une corde au sommet de la grille avec un nœud coulant à l'extrémité et une bobine dans laquelle ses poignets peuvent glisser. Ensuite, elle a attaché au même niveau 2 chaînes à peu près qui avaient des clips en anneau aux extrémités. Elle mit ses s a n g l e s de cheville rembourrées et s'assit sur le tabouret. Étant une ancienne gymnaste, elle était encore assez flexible. Elle leva sa jambe gauche et attacha la chaîne à l'anneau de la manchette de la cheville, puis elle fit de même pour le côté droit. Étant sur le tabouret, ses épaules étaient au même niveau que les chaînes reliées à la grille. Elle enfila son bâillo...
Le vendredi sein
il y a 3 ans

Plaisir de l’abandon d’une soumise qui découvre

Fin 2013, je me suis inscrite sur un site internet afin de faire des rencontres car, divorcée. J’étais en manque de tendresse et de sexe. Je suis tombée sur un homme, toi mon cœur, qui sortait du lot. Nous avons longuement échangé sur nos envies et tu m’as précisé que tu aimais particulièrement diriger et dominer en douceur, sans aucune v i o l ence. Tu aimais les jeux de soumission. Et puis un jour, nous nous sommes rencontrés et nous avons passé un moment tendre. Très en douceur, tu as commencé à me faire découvrir ce monde. Des menottes, un bandeau sur les yeux, des caresses différentes sur mes seins avec tes mains ou des objets que je ne voyais jamais. Sein et Rosebud Un après-midi, tu m’as bandé les yeux, posé un rosebud dans mon petit trou et emmenée en voiture je ne savais où. Nous avons roulé 15 ou 20 minutes, puis tu m’as fait descendre. Où étions-nous ? Je ne savais pas, j’avais toujours les yeux bandés. Tu m’as enlevé mon chemisier, mon soutien-gorge puis tu as remont...
La servante
il y a 3 ans

Une belle histoire ABDL, lesbienne, sexe, plastique très immorale mais si agréable à lire

Klapp… Klapp… Klapp… Retentissaient les sabots des pattes du cheval sur les pavés durs et brûlants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s’appuyait en arrière et regardait, intéressée, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac à main, prit la lettre d’embauche de Madame Babouche et recommença à la lire minutieusement. Finalement elle toucha le bras du cocher et demanda : "Dites moi, Jacques, quel âge ont les e n f a n t s à Saint-Montagneux ?" "Brrr… ?" Jacques, le cocher noir de cheveux, tira sur les rênes et arrêta la voiture lentement il se retourna et regarda en fronçant les sourcils la jeune-femme, élancée, sur le siège arrière. "Il ressemble à un pirate, pas mal…" pensa Denise un long moment après. "Des e n f a n t s ? Pourquoi parlez-vous d’e n f a n t s ? Il n’y a aucun e n f a n t à Saint-Montagneux. Là habitent le vieux Monsieur, Madame et Monsieur. Mademoiselle Lisette, mais qui est déj...
Ma première péripatétipute
il y a 3 ans

Découverte du monde des professionnelles à 60 ans

L'autre jour je me suis offert ma première professionnelle. En fait, je suis allé sur le site LadyXena pour y chercher une trans Black (l'un de mes fantasmes) genre Fanie, voyez. Et puis je ne sais pas ce qui s'est passé, j'ai repéré un autre profil qui me plaisait bien, j'ai pris rendez-vous, 200 € la demi-heure (quand-même) mais je me suis dit qu'au vu des photos de ses seins je n'allais pas le regretter, et je ne l'ai pas regretté car non seulement j'ai baisé mais j'ai aussi été baisé vu que c'était une femme et non une trans... Peu importe, l'expérience a été intéressante (pour un non habitué). Un appel téléphonique pour confirmer le rdv, suivi d'un SMS avec les conditions détaillées de la dame (+100€ la sodo, etc.) et l'adresse, puis un immeuble (tout neuf, Port Marianne), puis un interphone, puis bâtiment A, puis un 2e interphone, puis 6e étage à gauche par l'ascenseur et me voilà devant la porte qui s'ouvre toute seule, j'étais attendu. Bise, la dame est presque n...
Sévères voisines (1)
il y a 3 ans

C'est très vilain d'épier ses voisines sous la douche. Et si on se fait surprendre, on n'a pas d'autre solution, pour éviter que ça s'ébruite, que d'accepter d'être honteusement puni

Avec madame Beauchêne, notre nouvelle voisine, ma mère avait tout de suite sympathisé. - C’est quelqu’un de très intéressant. Et puis, avoir élevé ses deux filles, comme ça, toute seule, elle a bien du mérite, la pauvre femme ! Ses deux filles, c’était d’abord Emma, une petite brune toute potelée, aux yeux noirs, au sourire mutin, à la poitrine conquérante. Qui avait toujours le mot pour rire. Et qui devait fêter ses vingt-deux ans en octobre. - Comme toi, Raphaël ! Tout comme toi ! Vous êtes pour ainsi dire jumeaux. Et Manon, de deux ans sa cadette. Brune aussi, mais à la poitrine plus sage, au regard plus velouté, à l’attitude plus réservée. Elles ne me laissaient pas indifférent. Ni l’une ni l’autre. Elles me laissaient d’autant moins indifférent qu’elles me tenaient délibérément à distance. Rapports de bon voisinage, oui. Elles n’avaient rien contre. Mais c’était tout. Pas question de me laisser m’immiscer vraiment dans leurs vies. De quelque façon que ce soit. Ni de ma...
Retard fatal
il y a 3 ans

Une bien fâcheuse habitude qui fait mal aux fesses

Lorsque, tout essoufflé, je toquai à la porte de ma classe, j’avais la gorge nouée, l’estomac retourné et le cœur sur les talons. La leçon avait commencé depuis huit minutes et une fois de plus, pour la 3ème et fatidique fois, j’étais en retard ! En retard ! Une bien fâcheuse habitude… Et ce, malgré ma mère qui, chaque matin, me houspille en me réveille du plat de mon chausson. Le mal semblait inguérissable, plus fort que les menaces. « C’est mon dernier avertissement. La prochaine fois, ce sera chez Madame la Directrice ! », m’avait prévenu Mlle Roselyne, notre professeur principale, tout en chauffant mes mains d’une bonne dizaine de coups de férule suivis de cinq minutes de pénitence à genoux à côté de son bureau. Ce matin n’est pas comme les autres. A peine suis-je réveillé qu’une pensée lancinante comme des coups d’aiguille m’a jeté bas du lit. Désormais, une crainte folle gouverne tous mes gestes. Vite ! Débarbouillage exprès sous la douche, petit déjeuner sur le pouce, et...
Dévergondage total en Afrique (Texte hard)
il y a 3 ans

Un changement de sexualité la transforme en reine de la nuit

C’était au temps d’Houphouët-Boigny. La Côte d’Ivoire vivait dans le calme et l’indolence qu’assument plus ou moins la prospérité économique et la quiétude intérieure savamment ordonnée. - Tour de contrôle ? Ici le vol Air Afrique numéro 2-3-2… posé ! Couvrant le sifflement des réacteurs, la voix nasillarde venait de briser le silence qui règne généralement en phase finale d’atterrissage. Simple erreur de commutation dont la vertu fut d’apaiser le brave pachyderme qui lui avait gentiment empoisonné le vol. Vanessa se sentait libérée de ce rôle de nounou improvisée qu’elle avait accepté de bon gré pour décharger un peu le personnel de bord. Après tout, on ne peut pas reprocher à quelqu’un d’avoir peur en avion, ni d’être démesurément large. - Ben vous voyez… le vol s'est bien passé, dit-elle en réprimant un bâillement. Car tenter un flirt avec Morphée quand on est coincée dans un demi-siège, c’est se brancher en mode « essayé-pas-pu ». Libérée, mais pas soulagée. Son dernier...
Les fessées de Morgane (4)
il y a 3 ans

Une fouettée, réclamée comme punition, en apothéose.

Elle s’est agenouillée. Et a attendu le premier coup. - Tu n’as rien à me dire ? - Non. Rien. Pourquoi ? - Bien sûr que si ! Réfléchis bien. - Je… - Oui ? - Je leur fais croire aux hommes sur Internet. - Tu leur fais croire quoi ? - Que j’en suis une. - Une quoi ? -  Une pute. J’ai lancé un premier coup. En travers des omoplates. - Enfin, pas vraiment une pute sur le trottoir, avec la mini-jupe et tout et tout, mais une petite étudiante qu’a besoin de sous. Un second coup. Un peu plus bas. - Aïe ! Qu’a pas vraiment besoin en fait, mais qu’a envie de pouvoir s’acheter toutes les fringues qu’elle veut. Trois autres, très rapprochés. En plein milieu du dos. - Hou, la vache ! Ceux-là ! Comment ça les excite en attendant, les types, derrière leur écran. Et moi aussi, de sentir que ça les excite, ça m’excite. J’ai accentué encore l’intensité des coups. Et les mots se sont précipités sur ses lèvres, entrecoupés de gémissements et de cris de douleur, tandis qu...
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