Tonya a toujours été aventureuse. Gamine, elle prenait toujours des risques que même la plupart des garçons ne prendraient pas. Il n'était donc pas surprenant qu'elle ait décidé de monter les enchères en ce qui concerne sa dernière escapade d'autobondage. C'était une chaude journée d'été avec une douce brise de l'ouest. Un peu couvert mais ce serait bien. "Moins de risque d'attraper un coup de soleil", pensa-t-elle. Elle portait un simple short en jean et un t-shirt avec des baskets. Aucun rapport avec les tenues sexy qu'elle voyait souvent portées par tous les modèles de bondage, mais elle s'en fichait, elle se déshabillerait pour ça. Elle est arrivée à destination dans les bois profonds derrière sa maison. Là, elle avait attaché une corde à une branche assez solide au-dessus de sa tête. Elle pendait et elle y a mis l'extrémité sur une boucle avec un nœud coulant dessus. À travers la boucle, elle a placé une bobine de corde de manière à ce qu'elle soit uniformément espacée entr...

Je les observe sur la terrasse de ce café depuis maintenant une demi-heure, caché là comme un gamin derrière un gros platane. Complètement anéanti par la confirmation de mes soupçons. En revanche, eux ont l'air parfaitement heureux, ils rient, se tiennent la main, s'embrassent, comme un couple ordinaire. Par eux, j'entends ma femme et son amant, bien sûr. Cela fait 3 jours que des soupçons me tenaillent, depuis la découverte par hasard sur son portable d'un texto laconique, "vendredi comme d'habitude à 12h30, Éric". D'abord intrigué, je tapote sur le portable de ma femme pour connaître l'auteur de ce message, un certain Éric G….. Ne connaissant ni l'un ni l'autre un Éric dans notre entourage, je me mets immédiatement à douter de la présence d'un tel message sur le portable de ma femme. - Sophie ne me ferait quand même pas un coup pareil, me dis-je. Nous sommes mariés depuis 10 ans, c'est impossible. Sophie rentre 2 heures plus tard, et là ma résolution de lui en parler s'effondre...

A mon retour des courses, je suis passé les voir pour leur faire un coucou et demander au Maître des lieux comment allait se dérouler la suite avec son jeu. - Vous allez commencer par aller faire une sieste, vous aurez besoin de f o r c e pour réaliser ce bondage Walking. Je vous attendrai à 17 heures pour vous donner un jeu de piste à réaliser. Nous sommes bien d’accord que je propose mais que, quoi qu’il arrive, je ne suis pas responsable. C’est comme si vous le faisiez seul et je ne suis là que pour assurer votre sécurité. - Je suis d’accord mais j’ai hâte de savoir ce que vous mijotez. - Comme tenue et accessoires, je vous propose de mettre un plug ou autre puis une couche. Si vous n’avez pas de culotte à cadenas, il vous faudra mettre un pantalon. Dans ce cas, je vous mettrai une chaîne en guise de ceinture et je fermerai avec un cadenas. Je fixerai vos menottes à la chaîne de votre pantalon mains devant de façon à ce que vous puissiez lire le roadbook, en clair, le j...

Une publicité pour un gîte BDSM avait attiré mon attention. Elle indiquait clairement que tous les fétichismes étaient acceptés et qu’il était possible de déambuler sur la propriété dans n’importe quelle tenue. Le fait de pouvoir vivre mes passions de soumis en plein air et sans risque d’être vu et arrêté par la police m’excitait énormément. Les photos des instruments BDSM mis gracieusement à la disposition des clients mettait le feu aux poudres de ma libido. Le lit BDSM me faisait craquer, la balançoire pour adulte avec toutes les variables possibles me faisait fondre. L’accessoire appelé « le cheval qui rend fou » m’avait carrément fait jouir en quelques caresses rien qu’en m’imaginant attaché dessus. A cela se rajoutait le lieu paradisiaque pour un parisien comme moi, des arbres, du gazon, une piscine où le naturisme était autorisé. Je me voyais habillé en femme en train de bronzer au bord de la piscine ou déambuler sur la propriété vêtu comme une petite fille avec un...

J’ai commencé à dominer vers 30 ans. À cette époque, un moment de célibat m’a permis d’aller plus loin dans mes désirs de travestissement. Je possédais beaucoup de très jolies tenues et magnifiques chaussures et bottes, je passais du temps à me maquiller, je pouvais m’épiler intégralement, et je faisais 20kg de moins…. Lorsque je me préparais, je me faisais parfois bander moi-même dans la glace tant j’arrivais à un résultat de qualité. Je rencontrais alors des hommes, souvent bien plus âgés, je me faisais baiser, je sortais me faire baiser. J’étais très attirée par les hommes dominateurs, mais déçue dans 99 % des cas. Entre les bourrins, ceux sans aucune imagination, ceux qui pensent que dominer se limite à frapper ou se faire sucer, je restais largement sur ma faim. Puis un soir, alors que je recevais un homme, celui-ci me dit qu’il me trouvait sublime, qu’il voulait une femme comme moi, qu’il ferait n’importe quoi pour moi. Mon rôle de domina s’est alors réveillé tout naturelle...

Si vous connaissez le film Total Recall, vous apprécierez peut-être cette scène manquante. "Tu es la meilleure mission que j'aie jamais eue," souris-je, léchant mes lèvres de façon séduisante, "Vraiment." "Je suis honoré," haleta Quaid, encore épuisé par nos récents efforts. "C'est sûr que tu ne veux pas... juste pour le bon vieux temps ?" demandai-je en scannant son visage avec espoir. Il ne dit rien. "Allez... si tu ne me fais pas confiance, tu peux m'attacher," souris-je, emmêlant mes poignets dans les bretelles de mon justaucorps pour faire valoir le point. « Je ne savais pas que tu étais si pervers ! répondit Quaid, ressemblant comme d'habitude à un parfait idiot. Ne vous méprenez pas, j'ai définitivement aimé le gars. C'est juste que je ne l'imaginais que lorsqu'il n'ouvrait pas sa grande bouche stupide. Quoi qu'il en soit, je n'avais qu'à le faire parler pendant quelques minutes - je savais que mon vrai mari, Richter, et ses acolytes viendraient faire irrupt...

##### La cage de chasteté judiciaire a été créé pour faire face aux problèmes de surpopulation dans les prisons. Elle n’est pas un simple jouet BDSM, c’est un modèle spécialement étudié pour les délinquants sexuels, c’est ce que va découvrir André accusé à tord de harcèlement sexuel. Maître nageur, André est un très bel homme âgé de 28 ans. Les filles craquent pour lui, ses yeux charmeurs et son corps de sportif de haut niveau les font fondre. Les conquêtes d’un soir, il ne les compte plus, bien que le mot conquête ne soit pas tout à fait adapté, car ce sont les filles qui le draguent plus que l’inverse. Il ne souhaite pas s’attacher et se mettre en couple, même si il apprécierait de se poser un peu. Lydia est entrée dans sa vie, elle lui a fait tourner la tête comme on dit, par chance, elle est libertine et ne s’offusque pas trop de ses aventures multiples. Leur vie à deux se déroule réellement pendant les week-ends et les vacances que la semaine où chacun suit son chemin. Un...

Le lendemain son avocat l’appelle pour lui dire que son affaire avance. - Ah, elle avance dans quel sens ? Demande André. - La fille qui a porté plainte contre vous a recommencé avec une autre personne avec les mêmes accusations. Le problème est que cette fois, c’est elle qui a frappé le mec devant témoins. Manque de chance pour elle, un huissier de justice a assisté à la scène et entendu ses propos qui n’étaient pas des reproches portant sur un éventuel a b u s sexuel mais l’inverse. - Et ? - Et ? Elle est allée porter plainte pour agression sexuelle. L’huissier de justice dont la parole ne peut être mis en doute a témoigné pour dire qu’elle disait le contraire de sa plainte le jour où il a assisté à la dispute. - Lui au moins il a de la chance ! - Vous aussi André ! Lors de son audition, la personne qu’elle accusait a donné son téléphone mobile à la police pour qu’ils constatent que c’est elle qui s’acharnait sur lui et non pas l’inverse. Dans un de ses textos...

A l’école primaire, comme d’ailleurs après, j’avais une fâcheuse tendance à être dissipée! Comme ma frangine, j’aimais bien jouer en classe. Ayant des facultés au-dessus de la moyenne, j’assimilais vite l’instruction et ensuite, j’en profitais pour amuser la galerie. Malheureusement, mes maîtresses n’appréciaient pas du tout ce genre de comportement et réagissaient en conséquence: j’en récoltais des mots sur mon carnet, des punitions, toutes ces choses qui me valaient à chaque fois une bonne déculottée maternelle, et ce depuis le CP. Au CM1, j’ai eu une ravissante maîtresse de 25 ans, très gentille et jolie comme un cœur. Elle savait nous transmettre son savoir avec beaucoup de finesse malgré son jeune âge. Cerise sur le gâteau, elle nous faisait rire! Nous l’adorions tous, mais la jeune Chloé de 9 ans, avec ses nombreux écarts d’indiscipline, l’ennuyait parfois. Je n’étais pas la seule à me faire remarquer dans le mauvais sens du terme, mais cela ne m’épargnait pas les remarques s...

Je reviens chez moi, après 3 ans durant, j'apprenais la langue et les mœurs d'un pays magnifique, la Chine. Je m'instruis non pas pour les études, le savoir m'intéresse, constamment à l'affût d'enrichir ma culture, l'argent ne m'attire pas j'en possède suffisamment. Je ne peux pas me venter d'être aisé, cette situation n'est pas cause de mes efforts mais de l'héritage de ma famille. Je voyage où vagabonde, je ne sais pas vraiment, depuis plusieurs années je fais comme bon me semble et profite de la vie comme je le peux. L'avion atterrit, je ne me sens pas plus chez moi qu'ailleurs, je sors de l'engin seul et rentre dans l'aéroport après quelques pas sous une véritable tempête. Fatigué du voyage et du décalage horaire, me rend aux toilettes pour vider ma vessie et ma tête de ce long trajet. J'appelle ensuite un taxi, afin de me rendre à Paris, pour enfin rentrer dans ma demeure. La nature en ayant décidé autrement se déchaîne et la grêle se mettant à tomber devient un véritabl...

Cette histoire s’appuie sur des faits réels, j’ai changé les prénoms et certaines configurations de façon à ce que les personnes ne puissent pas être reconnues. Entre Marie et moi, cela a toujours été le grand amour et l’est encore malgré ce que vous allez lire. Le seul problème est notre différence d’âge. Elle a 38 ans j’en ai 59 avec des problèmes d’érection lié à un médicament que je dois prendre. Comme ma femme est géniale, elle m’a aidé à accepter ce problème d’érection et à en faire un jeu de domination soumission. Si ça ce n’est pas de l’amour c’est quoi ? Cela lui est venu comme çà un soir. Elle m’a demandé si je l’autorisais à être ma Maîtresse pour la soirée en me disant que si j’acceptais, je devais lui promettre de ne pas lui en vouloir si elle me disait des choses horribles qu’elle ne penserait évidemment pas du tout. Après 10 ans de mariage et d’amour fou réciproque entre nous, je n’ai absolument pas hésité. Nous avions déjà fait des jeux coquins où je l’avai...

##### Je ne suis pas gay, tout au plus bisexuel, mais la féminisation imposée par une Maîtresse a toujours été quelque chose qui m’excite. Je me suis évidement commandé quelques vêtements féminins sur le net et ABCplaisir, pour réaliser partiellement mes fantasmes en solitaire avec le « manche » à la main. Au plus je regardais des vidéos et photos de Petticoat et de sissy ou travestis sur Fessestivites, au plus mes envies de féminisation grandissaient. Le profil de Dame Camélia sur le site attira mon attention, j’ai osé la contacter. Au fil des échanges, elle a su m’emmener à dévoiler mes fantasmes, comme ils étaient toujours présentés avec respect et sans rien imposer, quelque chose en moi a du l’interpeller. Si bien qu’un soir, elle m’a invité à une soirée privée chez elle. Le jour J, j’ai bien failli ne pas y aller, tant j’avais peur de rencontrer une Maîtresse. Prenant mon courage à deux mains, j’ai osé et ce soir là, ma vie a changé en tous points. La soirée privée a été an...