Récits
L’insatisfaite
il y a 3 ans

Bien plus qu’une histoire de robe

J'ai toujours aimé la maison que j'habite encore aujourd'hui... Bien sûr, je n'ai pas toujours su pourquoi... Plus que d'une maison ordinaire, il s'agit en fait d'un véritable hôtel particulier édifié fin XVIII°, une assez grande bâtisse qui figure parmi les vestiges architecturaux de valeur, dans la capitale française, ayant survécu par miracle non seulement aux dommages du temps mais aussi à la rage de démolitions et d'édification de constructions modernes des XIX° et XX° siècles Le petit garçon que je fus naquit d'ailleurs à deux rues de là, et, dès mon e n f a n c e , cette maison m'occupa l'esprit au point que je savais que je l'occuperais un jour. Je l'avais découverte toute petite, sur le trajet que mon grand-père me faisait emprunter pour me mener passer l'après-midi au Jardin des Plantes. A l'époque, fortement délabrée, elle avait un aspect sinistre qui faisait dire aux gens du quartier qu'elle était hantée et qu'elle devrait être rasée au plus vite. Je frissonnais en enten...
Envie de sexe rude
il y a 3 ans

Parfois le sexe rude et la domination font du bien

Bérengère était attachée solidement sur le lit. Elle avait trouvé cette adresse en ligne, dans l'un de ces obscurs salons de discussion, là où personne n'utilise son vrai nom. Son mari était loin de la maison, en voyage d'affaires. Ses deux jeunes fils résidaient chez la mère de Bérengère. pour qu'elle puisse soi-disant assister à une présentation de mariage tout l'après-midi. Elle avait garé sa voiture dans un parking privé, près de ce quartier sordide. Elle avait marché rapidement dans trois ruelles sombres, avant d’entrer dans l’endroit le plus miteux de ce côté du quartier, là où vivait un grand nombre d’immigrés basanés. Sur la façade crasseuse, on pouvait encore deviner l’écriteau qui nous apprenait qu’autrefois, cette maison avait été un hôtel. Les portes épaisses laissaient filtrer des bruits de sexualités débridées. Des femmes hurlaient d'extase, de la chair claquait contre la chair, des hommes grognaient d’excitation. Bérengère se demandait si tout ces bruits prove...
Piégée pendant le confinement en plein selfbondage dans un camp déserté
il y a 3 ans

Une histoire érotique de selfbondage qui fait peur et vibrer sans pour autant entrer dans la zone rouge.

Une jeune femme adepte de selfbondage découvre un passage pour entrer dans un camp déserté. Elle s’y accorde des moments de plaisir quand le gardien des lieux la découvre. Si la question est « est-ce qu’il va profiter de la situation » ? Le réponse est oui mais d’une façon très particulière et pas qu’une fois. .............. Pendant le confinement, je ne peux pas voir mon copain. C’est un des marins du porte avion Charles-de-Gaulle. Il va bien mais il est en quarantaine pour raison de sécurité. Cela va faire deux mois que je ne l’ai pas vu et pour assouvir mes envies, je fais du selfbondage et des choses intimes sous la couette si vous voyez ce que je veux dire. En bas de chez moi, il y a un centre de vacances qui est fermé, il est destiné à des ado en difficulté. Lorsque je suis sortie pour aller faire des courses de première nécessité, j’ai vu qu’il y avait un trou dans le grillage de la clôture. Des coquins avaient fait une découpe discrète pour sortir le soir de ce que j...
Obligée de se soumettre à la fessée
il y a 3 ans

Jouer avec une ceinture de chasteté la met dans une drôle de situation.

L'aube venait juste de se lever lorsque Donna bondit hors du lit sous le léger cliquetis de l'acier verrouillé. La brune aux yeux de biche gémit alors que du miel chaud remplissait ses reins, tout comme le gode en acier dans ses fesses. Elle secoua les menottes verrouillées sur les côtés de sa ceinture de chasteté en acier, elle-même solidement cadenassée. La nuit dernière, après s'être approchée de l'orgasme à maintes reprises, Donna a glissé le gode dans ses fesses avant de verrouiller la ceinture de chasteté. Son cœur battait la chamade alors qu'elle attachait des menottes autour de chaque poignet et les cadenassait à sa ceinture. La veille, elle s'était postée ses seules clés et cette lettre devrait arriver aujourd'hui. Mais nue à l'exception de sa ceinture de chasteté, elle savait qu’elle devait attendre tard le soir pour se faufiler dans les boîtes aux lettres du hall et récupérer lui donner le moyen de se libérer. Cela lui donnait toute la journée pour mijoter dans u...
Mon fétichiste du corset découvert
il y a 3 ans

Oser aller chez une corsetière permet parfois de vivre son fétichisme

J’ai à l’époque de cette histoire , 35 ans, et je suis plus qu’attiré, littéralement fasciné par la vue et le contact de la lingerie féminine , et plus particulièrement de certaines pièces, du style guêpières, corsets, ou gaines ultra féminines et contraignantes... J’ai à quelques reprises franchi le pas, et suis passé à l’acte pour me procurer le plus doux et le plus sensuel des supports de mes fantasmes, soit en achetant de la lingerie en grande surface, soit en me rendant directement en personne dans un magasin de lingerie, en mettant assuré au préalable, par téléphone, de l’état d’esprit bienveillant de la vendeuse pour de tels achats. Mais aujourd’hui , au détour dune ballade en pleine ville, dans une ruelle un peu excentrée, jai découvert une boutique , à l’aspect assez ancien, mais coquet et bien entretenu, et dont l’enseigne m’a procuré tout de suite des frissons d’envie, et de découverte ; il était affiché : Corsets, gaines, et autres articles, standard ou sur mesure ....
Rencontres gynarchiques au gîte fétichiste
il y a 3 ans

Les aventures BDSM de deux pets soumis

Elles ont contacté le responsable du gîte fétichiste pour lui demander si elles pouvaient emmener leurs chiens et réserver pour 4 personnes. Il leur a gentiment été répondu que les chiens n’étaient pas admis pour cause d’hygiène, les clients aimant parfois jouer par terre n’importe où, puis des chats et poules y vivant à l’année. Dame Lia précisa que c’était des chiens humains, ce qui débloqua immédiatement la situation et fit sourire les responsables du gîte. Le week-end risquait d’être plaisant et distrayant. Leur arrivée au gîte fut aussi surprenante que la réservation puis les demandes de prêt de matériel et commandes des repas. A peine le véhicule arrêté, les passagers du grand monospace étaient déjà dans l’ambiance. Deux pets équipés de genouillères sortirent de la voiture pour ouvrir les portières des Dames avant de se dévêtir et se mettre à quatre pattes devant elles. Un autre homme descendit de la voiture pour leur mettre une laisse. TSM s’approcha d’eux pour les accuei...
Les sublimes élucubrations d’une soumise
il y a 3 ans

Moments suspendus

Un salon douillet, une ou deux lampes douces diffusant une lumière tamisée qui plongeait la pièce d'une douce intimité ...Sa voix, pourtant très sure, était très basse ...Elle,elle ne parlait pas ...Elle se laissait envelopper par cette ambiance feutrée ...elle y avait si souvent pensé ... L'Homme, appuyé dans le coin du canapé, vêtu légèrement, semblait serein ..Elle le souhaitait ainsi ...Elle se sentait pleine de tendresse en le regardant et pourtant, tout son s a n g bouillonnait ...De cet homme venait toutes ses envies, tous ses désirs ...Elle se sentait bien. Bien dans ce qu'elle portait, bien sans son rôle, bien face à cet Homme, pour qui elle voulait le meilleur. Approchant une table basse à portée de ses mains, elle y déposa ce qu'il aimait, et se mit à genoux pour lui servir sa boisson préférée ...Comme un voile, de sa main, elle frôla son sexe sous le tissu léger, au moment même où elle entre -ouvrit sa bouche, déjà humide d'envie, laissant courir sa langue sur ses...
La discipline du jupon associée à la régression
il y a 3 ans

L’éducation par l’humiliation et la féminisation

C'est avec un sourire amusé que Madame MacNab mit fin à longue conversation téléphonique. Elle ne pouvait attendre plus longtemps pour annoncer la nouvelle à son beau-fils. Elle jeta un regard vers lui, assis face à elle, les genoux serrés, le dos bien droit, les pieds l'un contre l'autre dans sa mignonne robe de fillette en organdi jaune qu'il avait obligation d'enfiler chaque après-midi à son retour de l'école. Avec ses cheveux longs presque aux épaules et coiffé façon "petite fille", son jupon garni de dentelle qui dépassait l'ourlet de la petite robe, Mme. MacNab s'étonna elle même de son apparence féminine alors qu'elle savait qu'il était un garçon solide et sportif. Personne n'aurait pu croire que ce lycéen de dix-huitans puisse aussi bien apparaître et agir comme une fillette de dix ans. Elle se rappelait, il y a quelques années, quand son mari est décédé et que son beau-fils avait pensé que sans homme à la maison pour le contrôler, il pourrait faire ce qu'il voulait....
La fessée pour une gothique
il y a 3 ans

La fessée ou les flics au choix

J’avais comme patiente fidèle une jeune fille, Lucie, que je connaissais depuis son e n f a n c e et qui, en cours d’a d o l e s c e n c e , avait tourné son esthétique vers le « gothique ». A vrai dire je n’en n’ai cure, chacun sa vie, ses goûts et ses choix. J’ai toujours supposé qu’elle avait fait ça pour choquer ses parents bourgeois bien-pensants qui devaient détester tout ce folklore vaguement satanique. Les us et coutumes avaient bien changé depuis l’époque où on déculottait les jeunes filles pour les corriger d’avoir flirté avec leur petit ami… Du haut de ses 18 ans, elle quitta la maison pour s’installer dans un petit appartement d’étudiante plus proche de sa faculté. Elle ne continua pas moins à fréquenter mon cabinet pour de menues affections bénignes. C’est à l’occasion de l’une de ces visites que s’est déroulée la scène à laquelle je vous convie. Mon cabinet est composé de deux pièces, celle où je discute avec les patients et rédige les documents et celle où j’exami...
Un adultère va la soumettre à vie
il y a 3 ans

Une nuit de folie aux conséquences sans limite

« Ah, putain, qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? » grogna Clémentine, en plaçant son avant-bras devant ses yeux, pour les protéger des rayons du soleil. Sa sœur, debout à côté du lit, les poings sur les hanches, la dévisageait avec un sourire narquois sur les lèvres. « On dirait que ta soirée entre filles était bien arrosée » a rigolé Bérengère. « Je savais qu'on ne pouvait pas faire confiance à tes amies. Si proche du mariage, avec tant de choses à faire, si ton chéri voyait dans quel état tu t’es mise » « Merci pour ton aide » grogna Clémentine, en trébuchant jusqu’à la salle de bain. Elle se regarda dans le miroir, et fut effrayée par son image. Catastrophique. Mais une fulgurance illumina sa mémoire. Elle regarda vers ses jambes. Elle ne portait qu’un tee-shirt, tout le bas de son corps était nu. Et toutes ces traces de sperme séché qui avait coulé entre ses cuisses ... « Oh, m e r d e , qu'est-ce que j'ai fait ? » pensa-t-elle. Mais elle savait. Bribe par bribe, la mémoir...
Un adultère va la soumettre à vie 2
il y a 3 ans

Consommée à toutes les sauces de la dépravation

Arrivée sur les lieux, en pénétrant dans un appartement somptueux, elle reçut un premier choc. Aucun homme ne l’attendait. C’était une femme qui la recevait. Une matrone noire : « Bonjour » La voix était chaude, la silhouette haute et imposante. Les cheveux épais cascadaient sur les épaules : « Tu dois être Clémentine. Heureuse de te connaître. Je suis Victoria, la maîtresse des lieux » « Ravie de faire votre connaissance, Victoria » a minaudé Clémentine, les yeux observant tour à tour la tenancière et son environnement : « Désolée, je m'attendais à rencontrer des ...» « Des étalons ? Oui, j’ai eu connaissance de tes talents ! Tu as eu une journée chargée » Elle montra l’écran de son téléphone, en faisant défiler des photos de Clémentine en situation : « J'en ai regardé quelques-unes, tu es très sexy. Et merveilleuse en pleine action ! » « Merci, mais je pensais… Bon, je ne sais pas ce qui se passe aujourd'hui. J'ai passé des moments incroyables, je ne vais pas vous mentir,...
La vengeance extrême d’une femme cocue
il y a 3 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche.

Mon couple a ressemblé longtemps à beaucoup d’autres, c'est-à-dire que sans faire partie de la catégorie des machos déclarés, je suis ou plutôt j’étais assez directif avec les femmes en général et la mienne en particulier, du moins jusqu’à ces derniers mois. Depuis plus de 13 ans, ma femme est moi menions la vie sage et standard d’un jeune couple aisé, Petite villa dans une grosse agglomération, Nantes, deux voitures, vie professionnelle calme, avec des réussites et des désirs non assouvis. Arielle est une très jolie femme, 1,68 pour 50 Kg, brune aux yeux Bleus. Fort bien faite, des hanches en amphore surmontant de jolies jambes bien galbées, des seins en pomme et un visage souriant et agréable. Cadre dans une banque, possédant un caractère bien affirmé même si avec moi, elle se comporte généralement en épouse aimante, elle a souvent des avances de clients ou de ses collègues et bien que je sois sûr de sa fidélité, je m’en étonne souvent ainsi que du fait qu’elle m’ait choisi....
Publicité en cours de chargement