Récits
Les bienfaits de la fessée
il y a 3 ans

Première fessée pour Vanessa

Lors de leur entrée au collège, Nolwen et Magalie (ma nièce) découvrirent un nouvel environnement, et firent la connaissance de Vanessa, redoublant sa sixième et qu’elles n’avaient pas côtoyée durant le primaire. La première fois que ma fille ramena cette gamine de 12 ans à la maison, en compagnie de Magalie, je ressentis comme un certain malaise au regard de son comportement plutôt désinvolte et familier qu’elle affichait face à une adulte inconnue, m’adressant un « salut M’dame », comme si j’étais l’une de ses copines, ce qui n’était pas la meilleure approche avec moi ! Nolwen et Magalie, un peu dépassées et ennuyées, me lancèrent un regard d’excuse que je compris. Je glissais à l’oreille de ma fille : MAMAN CHLOE : « Ce n’est pas grave, ma chérie, on en parlera plus tard ». L’après-midi se passa tranquillement sans heurt, Manon et Gaëlle étant au centre aéré. Et Vanessa répartit chez elle, en me saluant de la même façon ! Nolwen et Magalie semblaient très embêtées fac...
Les bienfaits de la fessée 2
il y a 3 ans

Suite de cette superbe histoire

Apeurée et pleurnichant, sachant que les fessées de Maman pour elle (11 ans), n’avaient rien de comparables avec celles, des crevettes de sœurette. A chaque fois, c’était une déculottée plus longue et insupportable, qui la faisait crier sans retenue et pleurer à foison. Approchant à petits pas et s’arrêtant à environ un 1m50 de moi, je me penche en avant et lui attr a p e le bras, la faisant basculer aussitôt au travers de mes cuisses, ce qui entraîne ses suppliques larmoyantes. NOLWEN : « NONNNN, NONNNN, M’MANNNN ! PAS LA FESSEEEEE, J’VEUX PAS ! » Malgré que ses petites sœurs soient à l’étage et doivent tout entendre, ma fille s’exprime sans retenue, envahie par la peur de ce qui l’attends et entre deux s a n g lots, sa voix se radoucit pour me supplier, de ne pas baisser sa culotte de pyjama, sous lequel elle n’a rien, sauf ses fesses. NOLWEN : « M’mannnn, j’t’en supplie, pas la culotteeee ! C’est honteux et ça fait trop mal, à cul nu ! » Ma grande fille est criante de s...
Sa forme parfaite
il y a 3 ans

Transformation en poupée de sexe

Tableau d'honneur du lycée. Major de promotion du Collège. Diplômé du MIT. Le tout avant l'âge de 24 ans. Athéna était une scientifique, et une brillante en plus. Elle avait travaillé dans le secteur de la défense en tant qu'ingénieur en robotique au début de sa carrière, mais ses grandes ambitions l'avaient récemment f o r c é e à quitter ce poste lucratif et l'ont amenée à un nouveau domaine ; Poupées. Athena passait maintenant ses journées en tant que scientifique de haut niveau pour une entreprise de fabrication de poupées sexuelles, autant que cela blessait sa fierté de le dire à haute voix. Elle détestait tout ce que l'industrie défendait, mais l'accès à des produits synthétiques avancés, combiné à sa propre expérience dans le développement de robots et de prothèses de qualité militaire, a fait de ce choix de carrière la prochaine étape logique pour qu'elle atteigne ses objectifs. Athéna avait de grandes ambitions, et elle les poursuivait comme si sa vie en dépendait, parce q...
La revanche des filles fin
il y a 3 ans

ABDL féminisation régression

Chapitre 6 Muriel ne disait rien de sa décision à personne et ne changeait en rien la façon dont elle traitait Alexia, qui était de plus en plus heureuse et à l’aise dans son rôle de petite fille modèle. Quand Georges faisait savoir qu’il n’aurait pas le temps pour visiter son fils à Noël il était fort déçu mais en même temps soulagé. Il redoutait la rencontre avec ce père adoré mais dont il savait qu’il serait horrifié par les changements de son fils, et peut-être le f o r c e rait même de quitter la maison ou elle se sentait bien pour la première fois de sa vie. Les mois passaient et le début de l’été s’annonçait. Un jour de chaleur précoce les filles demandaient si elles pouvaient aller dans la piscine. Bien que Muriel estimait que la saison n’avait pas encore commencé elle cédait sous l’insistance des filles. Avec un grand hourra les 4 petites – Juliette se tenant à l’écart comme d’habitude – se ruaient vers leurs chambres pour se changer. Muriel accompagnait les deux pet...
La fessée d'un innocent
il y a 3 ans

Pour fois qu'il n'avait rien fait

J’avais 15 ans et je fréquentais, ainsi que mon petit frère de 8 ans, une école libre qui accueillait les élèves du CP à la 3ème. Dans cet établissement, la discipline était sévère et, quel que soit leur âge, tous les élèves étaient soumis aux mêmes punitions : coin, piquet, mise à genoux, fessée et autres formes de châtiments corporels. Un jour, au début de l’année scolaire, il y avait eu un gros chahut au réfectoire. Pour nous punir, Geneviève, une solide femme de service qui devait avoir 45 ans, nous fit mettre les mains sur la tête. Nous nous exécutâmes tous, mais peu après, quelques élèves commencèrent une bataille de boulettes de mie de pain. Bien entendu, ma table était concernée. Geneviève se fâcha tout rouge. « Toute la table à genoux par terre, mains sur la tête ! » nous ordonna-t-elle. Mes cinq copains obéirent, sauf moi car je n’avais pas lancé de pain. Geneviève ne voulut rien savoir : « Toi aussi, à genoux, comme les autres ! » me cria-t-elle de plus en plus e...
Un bon plan cul gay
il y a 3 ans

Un bon plan hard pour lope

Je suis comme qui dirais une bonne salope et une bonne chienne qui aime sucer des bites et se faire démonter le cul, j'aime tout particulièrement la baise no kpote, ouai... je sais que je prends des risques et que ce n'est pas bien mais j'adore me faire remplir le cul de foutre, jusqu'à aujourd'hui (je touche du bois) je suis encore négatif niveaux sérologie. Ce jour là excité comme une vraie chienne en chaleur je tente par tous les moyens de calmer la chaleur de mon cul en essayant de trouver une bonne bite à soulager en tchatant sur un site. Depuis 2h que je suis sur le tchat je ne tombe que sur des mytho ou des mecs qui me filent rencard pour le lendemain ou un soir de W.E alors que c'est maintenant que j'ai envie de me faire défoncer !!! Je n'en peux plus... j'ai la bite raide dans mon calbute et un Plug ancré dans mon cul, et, pour dire... dans ces moments de grave excitation je suis prêt à tout accepter n'importe quel proposition pour assouvir mon envie... Un mec parmi tan...
Une endurance - pretium beatituditis
il y a 3 ans

Le prix du bonheur.

La soumise est conduite au salon. Du aste volume de la pièce l'on ne distingue mal un donjon confortable. La croix de Saint-André est dissimulée derrière le grand buffet. L'anneau brun sur la poutre du plafond et les instruments apparaissant au travers des vitres de la bibliothèque sont discrets. Ellen longe le coffre. Sa libération passera par l'ouverture de celui-ci. Mais elle ne souhaite cela maintenant. Au contraire les deux pénétrations à suivre lui sont devenues essentielles, cela nécessairement ajoutées aux sévices que son Maître a sadiquement concocté pour elle. Pour descendre, j'ai harnaché Ellen histoire de lui compliquer le trajet. Chevilles et poignées serrés de menottes et mains croisées dans le dos, jointes aux omoplates, j'ai fixé une petite chaîne à chaque poignée passée par dessus l'épaule pour la relier à la cheville opposée. Suffisamment tendue pour rendre la démarche gauche. Mon assujetties qui m'avait exprimé il y a quelques semaines son voeux de faire embro...
Nolwen ramène une nouvelle colle
il y a 3 ans

Une bonne déculottée ça colle à la mémoire

Ma grande fille Nolwen collégienne plutôt studieuse, n’a jamais rencontré de gros soucis d’apprentissage, à part quelques écueils (souvent dus à la paresse ou au manque de travail)! Par contre, tout comme ses sœurs ou sa Maman, ainsi que sa Tante Stéphanie, elle a toujours aimé amuser la galerie et cela, depuis la maternelle! La première conséquence étant: mots des maîtresses dans le carnet, lignes à copier ou devoirs supplémentaires, en primaire et à cela se sont ajoutées les colles, depuis son entrée au collège! La seconde, sans doute bien plus difficile à supporter, étant la conversation avec Maman, une fois rentrée à la maison! Car point de lignes ou devoirs en sus: C’est la FESSÉE, culotte baissée! Le plus souvent différée au moment du coucher, après sermon et plaidoirie, afin qu’elle ait plus de portée sur l’esprit! Journée de mardi: Nolwen revenant à la maison pour déjeuner, affiche une tête contrariée inhabituelle. Maman, prévenante, l’interroge: Maman Chloé: «...
Madame la Directrice
il y a 3 ans

Soumise sexuelle histoire hard

Je m'appelle Françoise. Voici des mois que je me contente des étreintes ordinaires de mes amants ordinaires. Mon équilibre mental exige que je me fasse mettre deux ou trois fois par jour, minimum ! Si je n’ai pas ma dose, je deviens nerveuse, irritable, détestable même. Heureusement, j’ai un cheptel de choix grâce à ma boîte de publicité que j'ai monté à ma sortie d'HEC. Diriger une grande agence est commode, cela multiplie les occasions. Et comme je suis plutôt bandante, les mecs tombent dans mon pieu facilement. Je recrute de beaux garçons et pas des gays. Que du mâle bien monté et disponible. J’ai ainsi sous la main une horde de collaborateurs toujours ravis de sauter leur patronne, surtout s'ils croient que cela va favoriser leur avancement. Évidemment, je fais jouer la concurrence... Et puis, de temps en temps, j'aguiche et je séduis les clients de l’agence, ceux qui ne sont pas ventripotents ou chauves. J’ai horreur des gras-du-bide ! Je n’apprécie la grosseur qu’au nive...
Piégée en selfbondage dans les montagnes
il y a 3 ans

Demander de l’aide est risqué

Mes vêtements étaient éparpillés à mi-chemin de la montagne et je n'en ai trouvé aucun. Non seulement j'avais aussi perdu les clés des chaînes que je portais. J'étais en grande difficulté. Cela avait semblé si facile de venir ici. Je portais les chaînes que j'avais l'intention d'utiliser dans le jeu de bondage d'aujourd'hui, enlevant un vêtement de temps en temps alors que je montais la montagne, jusqu'à ce que nue et totalement seule, je puisse aller au fond des bois et mettre mes chaînes. J'avais attendu avec impatience la lutte pour récupérer mes vêtements, les clés des chaînes laissées dans ma voiture. Je ne savais pas que le chemin qui semblait si facile à parcourir se révélerait impraticable pour quelqu'un dont les jambes étaient entravées par une chaîne de 15 centimètres, dont les mains étaient menottées ensemble et attachées derrière la tête à une chaîne autour de son cou. Et ce n'était pas tout, j'avais aussi une autre chaîne allant de mon col jusqu'à la chaîne à mes pieds...
L'ange bleu
il y a 3 ans

Rencontre troublante avec un jupon

Je suis arrivé chez Mélanie un peu plus tard que l'heure convenue. Trempé par la pluie, j'ai réalisé que ce n'était vraiment pas pratique d'aller n'importe où. Mais nous avions arrangé cela plusieurs semaines à l'avance, il semblait donc qu'il fallait au moins essayer comme prévu. La tempête a pris la région par surprise, mais ces petites tempêtes printanières peuvent se déplacer rapidement, alors peut-être qu'elles se calmeraient un peu ou même se briseraient complètement assez longtemps pour aller et revenir. Je n'y ai pas beaucoup réfléchi lorsqu'une voiture s'est éloignée et est partie alors que j'approchais de la porte. Lorsque j'ai frappé à la porte, j'ai réalisé qu'elle n'était pas verrouillée et qu'elle s'est ouverte toute seule. Mélanie était assise sur le canapé dans une belle robe en mousseline bleu clair jusqu'aux genoux, regardant par la fenêtre. Elle s'est tournée vers moi et m'a invité à entrer et m'a expliqué que sa colocataire venait de partir. Elle a semblé un...
La revanche des filles 5 / 6
il y a 3 ans

ABDL féminisation régression

Chapitre 5 Après le départ de Magali Alex était confus. Il aimait la fille et le fait qu’elle avait demandé si elle pouvait revenir l’avait rempli de bonheur. Mais puis elle l’avait appelé « mon petit bébé » et tout le monde c’était mis à rire. Les jours suivant il repassait souvent ce départ dans sa tête craignant qu’elle ait dit « mon petit bébé » dans le sens littéral du mot. Mais comme promis elle revenait régulièrement et elle était aussi amoureuse que jamais, le couvrant de baisers et le tenant par la main partout où ils allaient. Mais son amour avait changé, ce n’était plus celui d’une pré-a d o l e s c e n t e envers un autre jeune, mais plutôt celui d’une mère protectrice. Elle le traitait comme s’il était sa petite sœur, l’aidant avec tout ce qu’il faisait. Les jours qu’elle restait loger le moment suprême était le soir, avant le diner, quand elle l’aidait à se déshabiller, le lavait et puis lui mettait sa couche. Chaque fois elle débordait de sentiments tendres enve...
Publicité en cours de chargement