Récits
Première fois et dépucelage entre hommes
il y a 2 ans

Découverte des sensations de la sodomie

Après avoir quitté l’école, j’ai continué mes études sans vraiment savoir ce que je voulais faire. J’ai plutôt bien réussi mes études, mes notes juste après mon 19e anniversaire m’ont laissé agréablement surprise et fière. J’avais cependant un problème qui m’inquiétait depuis des années. Je m’inquiétais de la taille de ma bite. Je prenais une douche à l’école quand un type est entré et a fait des commentaires sur ma taille. Ça n’a pas vraiment aidé qu’il soit énorme dans le domaine de la bite. J’ai ri des commentaires, mais ils ont pris racine dans ma mémoire. Je me souviens que plusieurs semaines plus tard, je me suis mesuré lorsque dur et seulement atteint 13 centimètres. J’avais lu que la moyenne était de 17 centimètres et cela m’a vraiment dissuadé d’aller plus loin avec les filles, même si mon intérêt pour elles s’était développé. J’avais vu ma sœur aînée en sous-vêtements à plusieurs reprises et je l’ai aussi vue nue et seins nus à plusieurs reprises. J’étais devenu très du...
J’ai léché le sperme dans sa culotte
il y a 2 ans

Les confessions érotiques d’un candauliste

Ce matin, sur le lit défait, gisait sa culotte, jetée, ébouriffée. Une confection rose en dentelle et en satin, elle est faite de presque rien. Une poignée de merveilles froissées, une couverture intime et minuscule pour son sexe. Je les ai touchées, les yeux fermés, et j’ai senti le glaçage gluant de son sperme. J’ai senti, les yeux fermés, ce qui avait été laissé là, un marqueur de ce qu’il avait pompé en elle. Je ne peux pas dire pourquoi je les ai approchés ainsi, par le toucher. Peut-être était-ce parce que voir ses résidus aurait été trop fort ? Peut-être que de le voir scintiller sur sa dentelle de confiserie aurait été trop terrible. Et si c’était épais, et copieux, et gluant, je pourrais… avoir besoin de le lécher. Je pourrais avoir besoin de faire plus que ce que j’ai fait soudainement, en pliant les yeux fermés pour sentir sa visite. J’aurais pu balayer la culotte et lécher et lécher jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de sa semence infecte. Carol couchait avec Richard, m...
Mauvaise rencontre
il y a 2 ans

Attention récit extrême

Abigail n’arrive pas à croire à ce qu’elle vient de trouver dans les tiroirs de son mari Dave. Elle ne cherchait rien, elle voulait juste faire du tri et du ménage dans les centaines de paires de chaussettes que son mari garde dans ce tiroir. Quand elle tombe sur les papiers, elle se dit qu’il s’agit sûrement de reçus ou de serviettes en papier. Toutefois en lisant les premiers mots écrits, il est évident pour elle que Dave ou quelqu’un d’autre a ou avait une liaison avec une certaine « Vicky ». Sur chacune des trois serviettes en papier, une main de femme avait écrit « Je t’aime, Vicky ». Abigail déchiffre le logo inscrit sur les serviettes. Elles viennent de « La Tête de s a n g lier », un genre de pub à la périphérie de la ville où elle et son mari ne sont jamais allés. - Eh bien, Dave a quand même dû y aller plusieurs fois ! Pense-t-elle à voix haute. Abigail et Dave sont mariés depuis dix-huit ans et ils ont eu deux beaux e n f a n t s. A trente-huit ans, et après deux gros...
Alyssia, ma femme (2)
il y a 2 ans

Un mari qui laisse sa femme s'épanouir comme elle l'entend.

Les Pages Jaunes. Les hôtels. Dans un rayon de trente kilomètres. Puis de cinquante. « Le petit Castel » Voilà. J’ai pris ma matinée. C’était donc là. Une coquette petite auberge dans un parc aux arbres centenaires. Un couple déjeunait sous la glycine. La femme m’a souri. Je me suis installé à la table voisine de la leur, me suis fait apporter un café-crème et des croissants que j’ai tranquillement dégustés, la tête levée vers la rangée des fenêtres là-haut. À la réception j’ai attendu un long moment. Fini par sonner. - Monsieur ? - Une chambre pour samedi soir, ce serait possible ? - Mais certainement ! En façade ou sur l’arrière ? - J’aurais souhaité, si elle est libre, la 123. - Elle l’est… - C’est parfait. Je la prends. 2- Elle se coupait les ongles des orteils, dans la salle de bains, un pied posé sur le tabouret, la joue appuyée sur le genou. - Et pour les Vacances cet été ? - Eh bien ? - On va toujours à Vienne ? - Évidemment qu’on va toujours à Vienne. Po...
Les vêtements de fille m'étaient réservés comme punition
il y a 2 ans

Subir la discipline du jupon

De Daniel à Danaé. J'étais très jeune lorsque ma tante a dû s'occuper de mon éducation suite au décès de ma mère. Ma tante n'avait eu qu'une fille, ma cousine Nadine; elle n'avait pas l'habitude d'élever des garçons et ça lui faisait un peu peur. Vers cinq ou six ans, je me suis retrouvé habillé en fille chaque week-end: de son avis, de celui de sa fille et de ses amies, j'étais tellement plus mignon en petite robe. J'avais de longs cheveux, de longs cils : il n'en fallait pas plus pour que tout le monde me prenne pour une fille. Peu après, j'ai signifié à ma tante que je désirais désormais être habillé en garçon, même le week-end. A regret, elle m'a exaucé, même si, de temps à autre, je devais faire une concession : mettre une jupe lorsque son amie venait à la maison. Celle-ci me couvrait de compliments et de baisers : elle me trouvait si adorable ! Vint un jour où je n'acceptai plus de concessions . C'est à partir de ce temps-là que les vêtements de fille m'étaient réservés se...
Une éducation dans les années cinquante (12)
il y a 2 ans

Une dernière fessée

J’ai passé des vacances épouvantables. Mon renvoi avait agi comme un électrochoc. À la très longue phase libidineuse que j’avais traversée où rien d’autre ne comptait vraiment que voir, voir et encore voir, où je m’étais étourdi encore et encore de nudités volées, où j’avais étouffé sans scrupule toutes considérations morales, succédait désormais une phase de culpabilité intense. Je me percevais avec les yeux de l’autre partie de moi-même, celle de la droiture et de l’honnêteté, et l’image que je me renvoyais me faisait profondément honte : un être pervers, vicieux et faux. D’une hypocrisie sans nom. Je m’efforçais de me regarder en face, bien en face, et j’étais profondément découragé. Cela ne me passerait donc jamais ? Me reprendrait toujours alors même que je croirais m’en être définitivement débarrassé ? Il me fallait être lucide. Aussi lucide que possible. Chaque fois que j’avais réussi à rester dans les clous, qu’est-ce qui m’y avait maintenu ? Des scrupules moraux ? L’idée d...
De l’homme des bois à l’homme de fer - 2
il y a 2 ans

La suite autrement plus sévères....

Le lendemain à quatre pattes je suis escorté par Opale jusqu’aux toilettes pour me soulager. Et ensuite les nettoyer. Elle m’attend assise à la table de la salle à manger, l’écuelle remplie au sol. Elle porte une nuisette brune courte mais opaque et un short moulant beige. Il m’est conseillé de bien laper l’eau car le prochain liquide sera son urine. L’eau est désagréable sur la langue brûlée par ma Maîtresse. Mais ce n’est rien à coté des petits morceaux de pains qu’elle s’amuse à jeter dans ma bouche ouverte. L’atmosphère est à nouveau enjouée, Ma Dominatrice est plutôt contente de moi, j’ai l’honneur d’apprendre ma qualité de réel soumis (personnellement je n’en doutais pas...). Par conséquent j’ai le droit de me rendre dans la pièce au portique sur mes jambes. L’attente n’y sera pas interminable, Opale est auprès de sa chose tenant un martinet avec six lanières en latex. Elle a due prendre un petit-déjeuner rapide et frugal. Visiblement en forme le bondage sera réalisé en un t...
De l’homme des bois à l’homme de fer - 1
il y a 2 ans

C'est la suite de L'inconnue m'enmène en forêt, avec un déroulé beaucoup plus abrupt.

Je relis une énième fois le message que m’avait envoyé Opale «Je te propose de t’emmener plus loin, le veux-tu bien ?» La sobriété et le style direct du texte je le prends comme une invitation qui risque d’être vraiment redoutable. La Dame qui m’avait initié à la domination en extérieure l’an passé m’a habitué à son style de communication. Soit Elle parle longuement, sans pour autant que cela produise un dialogue, soit c’est un propos clair et ce n’est alors jamais de tout repos. Opale m’avait déjà convié chez Elle trois fois, c’était pour me soumettre selon ses désirs, bien qu’Elle m’interrogeait aussi sur mes fantasmes. Ma copine Fanny était au parfum, l’acceptait volontiers car elle percevait en moi plus de motivation et voyait ma fréquentation avec la grande Maîtresse le moyen de m‘éduquer à mieux lui obéir. D’intuition, ce message aussi soudain que concis, me pousse à y voir quelque chose qui n’avait rien à voir avec les aimables contraintes composées de ses mains jusque là. Ce...
Alyssia, ma femme (1)
il y a 2 ans

Quand la vie conjugale ne satisfait pas...

- Faut que je te parle, Alex. Faut vraiment que je te parle. - Eh bien, je t’écoute… Elle a éteint la télé, est venue s’asseoir, sur le canapé, à mes côtés, s’est éclairci la gorge. - Tu sais que je t’aime. Que je tiens énormément à toi. Tu es quelqu’un avec qui il fait bon vivre. Partager le quotidien. - Mais ? - Mais… Oh, la la ! C’est vraiment pas facile. - Jette-toi à l’eau ! - J’ai rien à te reprocher. Absolument rien. Sauf… que je m’éclate pas au lit avec toi. Que je me suis jamais vraiment éclatée. - C’est pourtant pas l’impression que tu donnes. - Je sais, oui. J’ai eu tort. J’aurais pas dû. Mais tu as tellement de qualités par ailleurs. Je voulais pas te faire de peine. Risquer de te perdre. Alors j’ai fait comme si. Et puis… ça avait pas tellement d’importance jusque-là tout ça pour moi. C’était pas l’essentiel. - Mais ça a fini par le devenir. - Dans un sens, oui. Pas l’essentiel, non. Mais quelque chose d’important. Très. - Et donc ? - Ben, donc… Il y a eu...
La vengeance régressive d’une infirmière
il y a 2 ans

Quand une fuite urinaire déclenche une guérilla entre femmes

Admise en IFSI, débute ses trois années d’étude d’infirmière. Jade se sent prête pour cette aventure humaine semée d’embûches. Après 200 heures de cours magistraux et près de 180 de cours dirigés, elle est affectée à l’hôpital des Charrettes pour un stage de cinq semaines au service « Infectiologie hygiène ». Enfin du réel pense la jeune fille brûlant d’impatience d’aider les gens. Excitée comme une puce, haute comme trois pommes et pesant à peine 56 kilos, notre infirmière en herbe revêt son pantalon blanc et sa blouse blanche. Elle ne porte rien dessous hormis une petite culotte et un soutien-gorge blanc, et pour cause, il fait horriblement chaud cet été 2019. Malgré la climatisation de l’établissement, il fait vingt-six degrés dans les chambres des patients et les couloirs. En tant qu’étudiante en stage, elle assiste les infirmières et sert de petites mains comme l’on dit. Affectée avec Eva au service de gérontologie pour les personnes en placement d’urgence, elle fait se...
Les vacances chez tonton et tata
il y a 2 ans

En vacance chez le tonton d’adoption, il va goûter à la trayeuse et la tata nymphomane a envie de s’amuser avec le petit jeune.

Une précision avant lecture, dans le monde du placement des jeunes sans famille, il n’y a souvent pas de papa ou de maman, on les appelle tonton ou tata. Tonton est parti pour plusieurs jours, je suis seul avec tata. Un après-midi que nous travaillions dehors, un gros orage nous a surpris, une pluie diluvienne s’est abattue. Nous avons couru pour nous mettre à l’abri mais trop tard nous étions trempés jusqu’aux os. Tata était en débardeur et short, la pluie lui plaquait son soutien-gorge et son débardeur sur son corps, ses seins apparaissaient en détail avec leurs gros tétons qui pointaient, son short en toile et sa culotte étaient détrempés moulant deux magnifiques fesses et on devinait même le fouillis de sa toison, j’avais du mal à ne pas la mater. Mon short détrempé, je ne portais pas de slip, moulait ma bite qui bandait dur. « bon on va se sécher si on ne veut pas attr a p e r la crève, viens avec moi ». Elle m’a conduit dans sa chambre est partie dans la salle de bain et...
Une éducation dans les années cinquante (11)
il y a 2 ans

Des maillots de bain à bas prix tentent forcément de jeunes étudiantes.

Une partie de la famille de Milena, la tante tchèque qui m’avait hébergé au moment de la mort de ma grand-mère, venait d’émigrer clandestinement en Autriche. Alenka, sa petite cousine, ne comptait pas, quant à elle, s’y éterniser. Elle souhaitait plutôt venir poursuivre ses études en France. Pour obtenir des diplômes français. Dont elle considérait, à tort ou à raison, qu’ils étaient d’un niveau supérieur aux diplômes autrichiens. Ma mère, consultée, avait trouvé l’idée excellente et proposé de l’accueillir à la maison. - Mais non, que ça me dérange pas ! Bien sûr que non ! Au contraire. Ça fera un peu d’animation. Et puis, comme ça, Herbert pourra l’aider si jamais, dans une matière ou dans une autre, elle rencontre des difficultés. J’ai voulu savoir. - Elle est en quelle classe ? - Elle entre en seconde. Elle a quinze ans. Ma mère s’est occupée de tout. Des formalités administratives. De l’inscription au lycée. Elle a même changé les rideaux et les lampes de la chambre q...
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