Récits
Quand le pets-play donne envie de se faire couvrir
il y a 2 ans

Max était un libertin, sa femme aimant jouer la chienne, il est devenu maître mais ses envie de libertinage reviennent à la charge.

Le pets-play est un jeu que Lucie adore. Elle n’y voit aucune humiliation, aucune soumission. Elle s’est achetée quelques petits accessoires, type diadème de little avec des oreilles puis des moufles avec des poils. Quand elle a envie de son chéri, elle débarque au salon à quatre pattes et vient se frotter comme une chienne qui a envie de câlin. Cela l’amuse de faire la folle, une vraie little dans son genre et elle l’assume pleinement. Pour elle la vie est un terrain de jeu permanent, il faut profiter des rares plaisirs qu’elle nous donne. Le jour de son anniversaire, son chéri lui a offert une cagoule de chien et une queue de chienne de chez ABCplaisir. Tel un volcan recouvrant tout lors de son éruption, elle s’est abattue sur lui pour le dévorer de bisous. Le pauvre gâteau innocent ne s’en est pas remis, sous l’impact de sa little Max s’est effondré dans le canapé, son pied a malencontreusement croisé la table basse, tout a volé dans le salon. Il a donc fallu faire une petit...
Bienvenue en enfer après Dragon
il y a 2 ans

Lucie, une très belle fille âgée de 21 ans est enlevée à la sortie du cinéma. Son ravisseur est un proxénète particulier qui a également des penchants BDSM.

Lucie sort du cinéma à 23 heures, elle vient de voir Dragon 2 un film de Dean DeBlois un Film d'animation‎‎ exceptionnel. L’animation est splendide et la 3D géniale favorise l’immersion lors des scènes de vols à dos de dragon dans des décors pleins de vie, fourmillant de détails qui travaillent l’imagination. Elle le voit à UGC Ciné-Cité Bercy 2 à Paris, dans le douzième arrondissement. La tête pleine d'images, elle marche tranquillement sur les trottoirs rue des pirogues de Bercy lorsque soudain, la porte d'un van s'ouvre à son passage. Elle est aussitôt happée à l'intérieur, un bras la ceinture fortement un gros tampon de chloroforme posé sur sa bouche et son nez ont rapidement raison de sa résistance. En quelques secondes elle n'est plus qu'un pantin de chair. Un homme descend du véhicule, fume une cigarette comme si de rien n'était pour observer les alentours, puis rassuré, décolle les autocollants posés sur les plaques d'immatriculation. Lucie, une très belle fille âgée de 21 a...
La petite stagiaire
il y a 2 ans

Quand on est une jeune stagiaire de vingt ans, on peut parfois se trouver dans une situation extrêmement délicate.

Dès le premier jour de son stage de BTS, au magasin de disques, Clélia s’était demandé comment il réagirait son patron, un bel homme d’une cinquantaine d’années, s’il lui arrivait de se faire malencontreusement pipi dessus devant lui. Est-ce qu’il serait furieux ? Est-ce qu’il se moquerait d’elle ? Est-ce qu’il ferait semblant de ne s’apercevoir de rien ? Autre chose ? Difficile de savoir. Elle le regardait, du coin de l’œil, tandis qu’elle déballait les colis ou installait la marchandise en rayons. Oui, difficile de savoir. Elle essayait d’imaginer sa tête. Il n’en reviendrait pas, ça, c’était couru. Et elle, comment elle aurait honte ! Ça a fini par arriver. Un mardi du mois d’octobre. En tout début de matinée. À cause de la pochette d’un CD qu’ils venaient de recevoir. De la tête qu’ils faisaient dessus, les chanteurs. Elle en a attrapé le fou rire. Et elle, quand elle attrapait un fou rire… Elle a senti que ça venait. Qu’elle pourrait bien faire tout ce qu’elle voudrait, elle po...
Offerte à l’hôtel
il y a 2 ans

Une soirée libertine surprise comme cadeau d’anniversaire

C’était mon anniversaire et mon mari, James, m’avait promis une surprise que je n’oublierais jamais. Il m’a tendu une boîte. En l’ouvrant, j’ai découvert une magnifique robe noire. Elle était coupée bas devant et dans le dos, arrivait juste au-dessus du genou et était fendue sur la cuisse. Il m’a dit que je devais porter la robe sans rien en dessous. En la regardant, j’ai réalisé que je n’aurais pas pu porter grand-chose en dessous de toute façon. La robe épousait chaque courbe de mon corps. Je me suis sentie incroyablement sensuelle en la faisant glisser sur ma peau. Il m’a ensuite donné une autre boîte. Cette boîte contenait un magnifique pendentif qui tombait entre mes seins et les faisait ressortir contre la robe. La troisième boîte contenait une paire de bas de soie noirs et un porte-jarretelles. La dernière boîte contenait une paire de talons aiguilles, noirs bien sûr. Lorsque j’ai fini de m’habiller et que je suis apparue devant lui, James a souri et m’a embrassé pro...
Machiavélique
il y a 2 ans

La justice peut être rendue de diverses façons, une femme mannequin jalouse va en faire les frais

Des murmures silencieux et des lumières clignotantes ont illuminé la scène macabre. Derrière le ruban jaune de la police, un homme avait été brutalement exécuté. Une batte de baseball populaire a été enfoncée profondément dans sa cavité anale, lubrifiée avec une lourde graisse brune. Sous la statue grotesque, une grande flaque de liquide blanc a congelé sous son pénis surdimensionné, mou et pendouillant. En regardant de plus près, nous découvrons une grande marque de baiser rouge sur la fesse droite de l’homme. En nous dirigeant vers la mare de s a n g sous sa tête, nous voyons les mêmes marques de lèvres sur le visage exs a n g ue et terrorisé de l’homme. “C’est de la graisse de roulement, Steve”. Le sergent Damille apporte un échantillon sur un chiffon d’inspection. “Je reconnaîtrais cette odeur n’importe où.” Une rapide bouffée a confirmé les conclusions du sergent. “Merci Quentin.” “Au fait, comment appellerais-tu ce rouge à lèvres ?” Damille et Harmond étaient copains...
Une éducation dans les années cinquante (10)
il y a 2 ans

On peut faire preuve d'infiniment d'ingéniosité pour arriver à ses fins.

Dès mon retour de vacances, je me suis précipité chez Clémence. Qui venait, elle aussi, de rentrer. On s’est littéralement jetés l’un sur l’autre. Je l’ai chevauchée. Elle m’a chevauché. On est retombés, tout essoufflés. Elle m’a submergé de baisers. - Comment tu m’as manqué ! Comment ça m’a manqué ! Elle s’est appuyée sur un coude. - Je peux te demander un truc ? Mais tu me dis franchement, hein ! Tu me jures ! - Vas-y ! - T’en as eu une autre que moi quand t’étais là-bas ? - Pas une, non ! Plein ! Elle m’a bourré les côtes de coups de poing. - Idiot ! Sérieux ! - Personne, non. - Moi non plus ! Et pourtant ce ne sont pas les occasions qui m’ont manqué. T’aurais vu tous ces types qui me tournaient autour. Mais j’ai pas craqué. Il y avait qu’à toi que je pensais. D’ailleurs… - Oui ? Elle a baissé la voix. Chuchoté. - Quand j’avais trop envie, je me le faisais toute seule des fois, mais même là, c’est toujours à toi que je pensais. Et on a refait l’amour....
Mon nouveau professeur de piano (4/6)
il y a 2 ans

Une pianiste en herbe va découvrir une nouvelle façon d'apprendre....

Pendant que le professeur me faisait retravailler chaque passage, j’avais une pensée compatissante pour Sophie, qui était au coin depuis une bonne demi-heure, et qui devait commencer à disjoncter. Je me recentrais le plus possible sur ce que je devais jouer, j’avais peur qu’il me reproche mes difficultés à me concentrer. Je vidais ma tête et fixais le clavier ou la partition pour chasser les pensées qui tentaient de s’insérer dans mon champ de vision. Je savais qu’elle allait y passer, et que je bénéficierais ainsi d’un charmant spectacle, mais chaque chose en son temps. D’abord me concentrer sur le cours, et ensuite je pourrais me rincer l’oeil en assistant à la punition de Sophie. Si elle savait à quel point j’étais excitée à l’idée qu’elle se fasse punir. – ”Clara ! Concentrez-vous !” Etant donné mon trouble, j’étais terrifiée à l’idée de ne pas réussir à me concentrer, et je repris le contrôle avec une étonnante efficacité. Je me surprenais en voyant avec quelle facilité l...
Nouvelle Soumission
il y a 2 ans

Poème personnel. Ma vision sensuelle de la soumission.

- Debout devant mon désir, - Bien campée sur vos talons hauts, - Vous m’attendez, prête à me servir, - Des frissons dans la cambrure de votre dos. ........ - Un à un je dégage les boutons, - Qui bâillonnent votre corsage, - Enfin, j’écarte la toile, glouton, - Et m’offre un bien joli paysage. ........ - Les bretelles de vos dentelles, - De vos épaules prestement descendues, - En un frou-frou de bagatelle, - Dévoilent vos seins, savoureux fruits défendus. ........ - En un geste froid, je vous volte-face, - Et vous invite à vous courber, - De ma part, quel comble d’audace, - Pour admirer votre sublime fessier. ........ - De votre jupe je tire la fermeture, - Et peu à peu découvre, habile, - Les prémices d’une coquette parure, - Émoustillant follement mes sens virils ........ - Bas noirs et porte-jarretelles, - Enchâssant un string affriolant, - Me laissant percevoir que vos cuisses ruissellent - Sous mes mains encore bien sages pourtant .....
La journée d'une riche bourgeoise
il y a 2 ans

Madame rêve. Rêve beaucoup.

C’est le moment qu’elle préfère. L’avant. Quand elle sait que ça viendra. Inéluctablement. Que le temps, jusque-là, s’étire tout à loisir. On passe tranquillement sur la route, devant le portail. Il y a des cris d’enfants au loin. Des oiseaux s’interpellent dans les arbres. Les cloches de l’église scandent les heures. Félicien, son homme à tout faire, scie du bois, pour l’hiver, derrière la grange. Elle l’entend. Des bouffées d’air tiède lui apportent, de temps à autre, l’odeur entêtante de la sciure. Tout à l’heure, elle ira voir. Où ça en est. Où il en est. Elle fera la moue. - Vous n’avez pas beaucoup avancé, Félicien… Il relèvera la tête, offusqué. - Mais, Madame… Elle ne le laissera pas terminer. - Votre travail laisse de plus en plus à désirer, Félicien. Vous devriez songer à vous reprendre. Dans votre intérêt. Il ne protestera pas. Au contraire… - Certainement, Madame… À sept heures, tandis qu’il dînera, à l’office, en compagnie de Sidonie, la cuisi...
L'apprentissage du vice
il y a 2 ans

Cette histoire érotique gay est assez hard, le lecteur est prévenu.

Il y a si longtemps que cette histoire a commencé que je ne me souviens même pas de l'année. Je me souviens de cette annonce sur une revue spécialisée, le net n’étant même pas encore inventé. De mémoire, elle disait à peu de chose près, ceci : « Maître pervers et vicieux cherche jeune salope à former à toutes les perversités, délocalisation et dépersonnalisation totale, si capable ». Suivait une référence et la mention : « Répondre à l'annonceur ». À cette époque, j'avais déjà une bonne expérience des bites et malgré mon jeune âge, je savais déjà que j’étais destiné à servir de jouet sexuel, tellement je prenais plaisir à sucer des queues et à offrir mon cul de jeune minet dans toutes les pissotières de la région. J'ai donc répondu sans vraiment espérer quoi que ce soit, persuadé qu'il s'agissait d'une blague, et j'ai oublié cette histoire jusqu'à ce jour où je reçus un colis... À l’intérieur, je trouvai un cahier à la couverture plastifiée marquée « Mon cahier de trainé...
Une éducation dans les années cinquante (9)
il y a 2 ans

Les vieux démons resurgissent.

Elle n’en a reparlé que lors du retour des vacances. Dans la voiture. - Dis-moi, Herbert, il y en a eu d’autres ? J’ai fait mine de ne pas comprendre. - D’autres ? - Tu sais très bien de quoi je veux parler. J’ai commencé par nier. - Ne mens pas, s’il te plaît ! Je ne te demande pas qui ni où ni comment. Je m’en contrefiche. Je veux juste savoir si, oui ou non, tu t’étais déjà livré auparavant à ce genre de pratique. Je l’ai admis. - Tu as bien conscience, j’espère, de ce qu’un tel comportement a de répréhensible. Je me suis agité sur mon siège. - Oui ou non ? - Oui. En un murmure. - Que tu éprouves une certaine curiosité pour tout ce qui concerne la sexualité, c’est, à ton âge, probablement tout à fait légitime, mais, ce qui l’est beaucoup moins, c’est que tu te permettes de vouloir surprendre des femmes, malgré elles, dans leur intimité. Ça, c’est du vol. Et c’est tout à fait inacceptable. Est-ce que tu comprends ? Oh, oui, que je comprenais ! Ou...
Le lycée infernal
il y a 2 ans

Une très mignonne jeune fille de 18 ans va vivre l’enfer dans un lycée particulier

Julie Jouannot est une jeune fille de 18 ans, elle est très brune, la peau halée et a une poitrine déjà généreuse. Elle est très mignonne. Elle est en seconde et elle prend le bus tous les matins pour se rendre au lycée. Elle prend la ligne 8 et se met souvent au fond, elle y est tranquille pour y faire les 40 minutes de trajet. Un matin comme les autres, elle s'est habillée en jupe et en tee-shirt et elle prend normalement son bus. Pendant le trajet, elle est tranquillement dans ses songes, quand elle sent une main lui toucher les fesses. Elle n'ose rien faire et espère de tout cœur que c'est juste un geste malencontreux. Elle sent alors quelqu'un, visiblement un homme vu la carrure se coller à elle, elle n'ose pas broncher. La main du pervers lui agrippe alors fermement un sein et commence à le malaxer. Elle se retourne et se prépare à crier lorsqu'elle reconnaît le CPE du lycée, son s a n g se glace et aucun son ne sort de sa bouche. Le CPE, monsieur Bertrand est un homme d'une...
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