Récits
Une éducation dans les années cinquante (1)
il y a 2 ans

Une autre époque...

Dans les années cinquante, pour l’immense majorité des parents, la fessée, à la main ou au martinet, parfois à la ceinture, allait de soi et ils auraient cru manquer à tous leurs devoirs s’ils n’avaient pas sévi, lorsqu’ils estimaient que c’était nécessaire, de cette façon-là. Les miens ne faisaient pas exception à la règle et c’est une punition à laquelle ils avaient systématiquement recours, quand ils considéraient que je l’avais méritée, persuadés que c’était pour mon bien, ce en quoi ils n’avaient pas forcément tort. Tout acte de désobéissance flagrante, tout mensonge avéré, toute dissimulation délibérée, tout bulletin scolaire calamiteux, surtout s’il était manifestement dû à la paresse, se payait comptant. Parce qu’elle restait à la maison, c’était le plus souvent maman qui s’apercevait que j’avais transgressé des règles que je connaissais pourtant fort bien. C’était également à elle qu’on venait rapporter que j’avais commis telle ou telle sottise. C’était donc elle qui officiai...
Fantasme de cocufiage et selfbondage
il y a 2 ans

Un soumis célibataire réalise des auto bondage avec une culotte sale

Dans mes fantasmes, ma femme est dominatrice, elle me cocufie et, quand elle rentre des ses soirées, me fait lécher sa chatte. Bien entendu, lors de nos rapports sexuels elle m’oblige à la lécher pour la laver de mes saletés. Le souci est qu’après m’être masturbé, je n’ai même pas le courage de lécher ma main. Lorsque j’ai lu l’idée de conserver du sperme au congélateur afin de pouvoir s’imposer de le consommer plus tard par son soumis, je me suis dit « bingo ». N’ayant ni femme ni Maîtresse, je ne peux réaliser mes fantasmes de soumission qu’en faisant du selfbondage, une de mes activités régulières. Avec cette idée de sperme congelé, j’avais la solution ! Pendant une semaine, de fruit de chacun de mes plaisirs solitaires a été collecté dans une petite culotte oubliée dans le bac à linge par une de mes ex copines. Immédiatement après la collecte, je la remettais au congélateur. Mon ex allait devenir Maîtresse sans le savoir. Le samedi soir, j’avais tout préparé, à savoir :...
Des bienfaits de la lecture
il y a 2 ans

Une journée de rêve. De solitude rêvée. Et de voyage au long cours.

- Qu’est-ce que tu vas faire aujourd’hui, ma chérie ? - Holà ! Je risque pas de m’ennuyer. J’ai du travail par-dessus la tête. - Je vais te manquer un peu ? - Beaucoup, oui, tu veux dire… Il approche ses lèvres. Elle tend les siennes. - À ce soir ! Son pas dans l’escalier. La porte du bas. Elle est seule. Elle attend un peu. Il lui arrive parfois d’avoir oublié quelque chose. Mais non. Non. Cette fois, elle est vraiment seule. Elle monte. La chambre, sous les combles, est restée en l’état. Telle que l’a laissée, quand il s’est brusquement enfui, abandonnant tout derrière lui, l’étudiant qu’ils ont hébergé. Elle plonge, avec volupté, ses mains dans la malle. Dans les livres. Des dizaines de livres. Elle ferme les yeux. Elle en prend un. Au hasard. Elle sait que, de toute façon, elle ne sera pas déçue. Elle se déshabille, s’allonge sur le lit, s’installe le plus commodément possible. Deux aristocrates. La tante et sa nièce de vingt ans. Louise et Apolline. Elles fuient...
Il n’y a pas d’âge pour la fessée
il y a 2 ans

J’avais 20 ans, j’étais resté quand même un sacré garnement et maman n'a pas hésité à me déculotter.

Il n’y a pas d’âge pour la fessée J’avais 20 ans, j’étais resté quand même un sacré garnement. Pourtant, Maman ne m’avait pas fessé depuis bientôt onze ans. Puis un jour, un événement s’est produit qui a tout changé ! J’étais devant chez nous avec un copain pendant que ma mère papotait avec la voisine. Une jeune femme vint à passer, accompagnée de son petit garçon. Elle s’arrêta pour nous parler et le bambin, qui devait avoir 9 ou 10 ans, se mit à trotter sur la pelouse. Pendant que sa mère bavardait, il éprouva l’envie de se soulager, baissa sa culotte et fit pipi contre le mur de notre maison. Sa mère, horrifiée, se précipita sur lui, l’empoigna. Elle le traîna jusqu’au perron, s’assit sur les marches, le bascula en travers de ses genoux et entreprit de lui administrer une fessée en règle. Culotte enroulée autour des mollets, elle le maintint solidement plaqué contre ses cuisses et claqua à toute volée, devant nous tous, ses fesses dénudées qui se coloraient à vue d’œil. L...
Transformée en poupée de chair
il y a 2 ans

La soumission sexuelle, les bondages et contraintes puis, l’animalisation comme une pony-girl poussée à son extrême avec des transformations physiques

Attention, ce texte est réservé aux adeptes de l’extrême. ....................... Il faudra plusieurs interventions pour assurer la transformation de cette beauté que Georges a fait venir aux « étables ». Ce dernier nous assuré qu’il veut la transformer en une pièce de sa collection de poupées en latex. Ce sera la pièce numéro 70. Il a aussi décidé qu’elle serait transformée en une parfaite suceuse, une parfaite et orgasmique machine à fellation. En entrant ici, la nouvelle « pièce numéro 70 » savait qu’elle allait être profondément humiliée, mais son imagination n’aurait pas pu atteindre l’immensité de sa dégradation. Son irréversible transformation était en cours. L’arrivée La première journée aux étables avait commencé à la suite d’un k i d n a p p i n g . Scénario qu’elle pensait avoir discuté mais dont la v i o l ence l’a surpris. Habillée de manière élégante, comme elle en avait l’habitude, elle eut à peine le temps de réagir quand elle fut abordée par trois hommes qui l...
Offerte à un inconnu par mon Maître
il y a 2 ans

Une expérience BDSM sexe pour une soumise non libertine

Il m’avait parlée plusieurs fois de cette expérience de soumise sexuelle lors de nos jeux BDSM orienté sexe. Lors de nos petits délires, il me bandait les yeux, m’attachait bras et jambes en croix sur le lit, « bien offerte » comme Maître se plaisait à le dire. Lors de ces jeux, il me parlait en me disant qu’il avait invité le voisin, un ami et même l’équipe de foot. Comme je devinais ses scénarios, parfois assez poussés, je parvenais à fantasmer et prendre du plaisir. Mes jouissances étaient parfois très fortes. Et puis un jour, il m’a proposée de le faire une fois en vrai ! Comme nous ne sommes pas libertins, jouer avec d’autres personnes ne nous pose aucun problème, mais sans pénétration. Un jour, j’ai fini par me demander ce que cela me ferait si j’acceptais un scénario où je serai soumise sexuelle avec un autre homme. Le problème avec les fantasmes, c’est la tentation d’y succomber... Je ne vais pas épiloguer sur nos discussions, pour résumer, disons qu’il a su me conva...
Un pari risqué
il y a 2 ans

Un pari qu'il aurait peut-être mieux valu ne pas faire. Quoique...

Alexis avait insisté pour qu’elle l’accompagne au bar du club. - Mais si ! Viens ! Où l’entraîneur était en train de tirer des plans sur la comète en compagnie des joueurs. - Les poules de qualification, normalement, ce ne sera qu’une formalité. Après, avec l’effectif qu’on a cette année, normalement ça devrait le faire. On devrait arriver en finale. Avec de bonnes chances, de très bonnes chances, de la gagner. Elle a éclaté de rire. - Ben, voyons ! Et puis quoi encore ? Il s’est tourné vers elle, mi-sérieux, mi-rieur. - Tu sais ce que tu mériterais, toi, à démoraliser mes troupes comme ça ? C’est une bonne fessée. Et cul nu. Elle en a rajouté une couche. - Mais non, mais… Ils sont bien gentils, tous, là. Et pleins de bonne volonté. Mais de là à gagner la finale… - Tu prends le pari ? Si on la gagne, je te la mets, la fessée, et devant tout le monde. Toute l’équipe. - Oui, oh, ben, je prendrais pas de gros risques à parier. - Tope là alors ! Il a tendu...
L'initiation de Manon (suite)
il y a 2 ans

Manon, jeune étudiante hébergée chez son oncle et sa tante découvre la régression avec sa cousine (Suite)

[La première partie ici](/recit/182180) Elles descendirent toutes les deux et Coralie se dirigea dans la cuisine pour préparer le repas la laissant dans le salon. Manon s'assit dans le canapé et essaya de faire un point sur ce qui venait de se passer, elle avait reçu une fessée, sa première fessée, elle avait été lavée et changée par sa cousine et là elle était en body et en couche… Un sentiment de honte et de bien-être commença à l'envahir, des émotions qu'elle vivait pour la première fois, une larme coula sur son visage. Elle l'essuya et décida d'aller voir Coralie dans la cuisine. Elle préparait une bolognaise, entendant Manon elle s'arrêta et lui sourit. Elle sentit une légère gêne chez sa jeune cousine. - "Va fumer une cigarette pour te remettre, c'est bientôt prêt. On parlera de ce qui s'est passé pendant le repas." Dit-elle lui prenant la main. Elle hocha la tête, prit son paquet et se dirigea vers le jardin, un peu rassurée. Quand elle revint son assiette était serv...
Perdre le contrôle total
il y a 2 ans

Se féminiser et faire du selfbondage il adore, sa femme moins et elle va en jouer.

Tout est prêt alors que je m'allonge sur le lit avec les cordes à la main. Alors que je m'allonge sur le ventre, en faisant attention de ne pas mettre de rouge à lèvres sur la couette, je passe ma main droite derrière mon dos et la glisse dans les boucles que j'ai faites. Quatre tours de corde devraient suffire pour ne pas trop me faire mal aux poignets. Dans ma main droite, je saisis la corde qui supprimera le mou de mon bondage et glisse soigneusement ma main gauche dans la boucle. j'essaie de me détendre; mon rythme cardiaque devient fou. Un bon coup sec et il n'y a pas de retour en arrière. Je regarde l'horloge - 8h26 - elle devrait être de retour d'une minute à l'autre. Je serre le nœud coulant autour de la corde qui entoure mes poignets. Maintenant, je tire sur le cordon pour enlever le mou. Des picotements parcourent mon corps alors que je sens mes pieds être tirés vers mes jambes. Je leur permets de prendre le contrôle de moi et mes jambes commencent à bouger presque avec un...
Pire que le déculottage le reculottage
il y a 2 ans

Confidences d’une fille sur une fessée mémorable

Lors d’une fessée déculottée, l’habillement joue sur la honte. C’est vrai durant le déculottage, et parfois plus vrai quand il faut se rhabiller. Dans ce cas, la honte a un effet dévastateur comme j’en ai fait une fois l’expérience dans un centre aéré. J’avais alors 12 ans et demi. Il y avait une nouvelle animatrice qui avait un problème d’autorité et était un peu dépassée. J’étais assez insolente avec elle et me payais sa tête sans risque alors qu’avec ses trois collègues, dont un homme, tout allait bien. Un certain mercredi je me montre vraiment odieuse (je ne sais plus trop comment). Elle s’en plaint à la directrice qui appelle aussitôt ma mère pour qu’elle vienne me chercher. Quand ma mère arrive, elle écoute patiemment les reproches de la directrice qui menace de ne plus me reprendre. Ma mère, très mécontente de moi, lui demande alors si me punir sur-le-champ pose un problème. « Pour que Floriane comprenne bien qui commande ici et qui doit obéir, si vous êtes d’accord, j...
La cueillette de champignons
il y a 2 ans

Une histoire hard en version chasse et traditions non consensuelles....

Un dimanche du mois de septembre, il fait très chaud, les jours précédant étant pluvieux nous décidons mon mari et moi d'aller faire un tour dans les bois. Nous garons la voiture dans un petit chemin, et nous entrons dans une belle forêt de chêne. Après un quart d'heure de marche, nous commençons à avoir chaud. J'enlève ma veste et la noue autour de ma taille. Nous nous enfonçons dans la forêt, traversons des pare-feux, en cherchant en vain des champignons. On entend des coups de fusil, la chasse est ouverte ce week-end et plus on va, plus on s"approche de la zone de chasse. Cela commence à être dangereux, on décide de retourner vers notre véhicule, et tant pis pour les cèpes. Après plus d'une heure de marche, on n'arrive pas à se repérer, j'ai la nette impression que l'on s'est égaré. Nous commençons à être fatigués, il est plus de midi et la chaleur est étouffante. On commence à s'inquiéter, impossible de se repérer, tous ces chemins se ressemblent, on a l'impression de t...
Nouvel hôtel de Marseille
il y a 2 ans

Trop sûr de lui, un don juan manque de respect à une Maîtresse

Dîner terminé, ordinateur sur un coin de table, portable attenant ; le papier métallisé et froissé d’un chocolat trône aux côtés d’une tasse de café à demi vide et froide. Les doigts vont et viennent, tapant quelques mails. Ouvrant et fermant quelques tableurs. Le bar de l’hôtel vit cette heure creuse où les premiers arrivants terminent encore leur digestion. Il travaille d’une main distraite et d’un œil qui peine à cette heure tardive à s’intéresser à ses dernières notes. La journée a été longue, intense. Peuplée de rendez-vous, de cafés bus à la hâte, de parkings, notes de frais , d’appels et de messages laissés sur des boîtes vocales. L’endroit est bien calme à cette heure. Il se jure d’arrêter dans dix minutes. Et ce depuis vingt minutes. Coup d’œil à la serveuse. Rien qui ne vaille de s’y attarder. Les soirs de déplacements sont décidément difficiles à combler comme il se doit. Un léger courant d’air envahit le hall, un parfum flotte dans l’atmosphère, le serveur salue d’un «...
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