Récits
La passion secrète de Madame la baronne
il y a 2 ans

Madame la baronne résiste... Résiste... Jusqu'au moment où elle ne peut plus faire autrement que de céder à ses démons

C’est le moment qu’elle préfère. Quand elle passe la porte. Qu’elle croise leurs regards. Que leurs sourires se font mi-narquois mi-complices. Helga s’avance vers elle, faussement obséquieuse. - Madame la baronne est en manque ? Nous allons remédier rapidement à cet état de choses. Elle soulève un pan du grand rideau grenat. - Si Madame veut se donner la peine de passer dans le petit salon, derrière. Elle la laisse seule. - Je reviens. J’en ai pour une minute. Dix minutes. Vingt minutes. Parfois davantage. Des minutes voluptueusement insupportables. Il y a, à côté, le bruissement feutré du magasin. Les voix des vendeuses qui vaquent à leur tâche, vont et viennent. De temps à autre, l’une d’elles passe la tête. Suzon. Ou Alice. - Tout va comme Madame le désire ? Ou Margaux. Qui la fixe longuement d’un petit air moqueur. - On va encore bien s’amuser. Et elle éclate d’un rire insolent. Elles ferment. Juste le temps de s’occuper d’elle. Elles ferment. Elle...
Confidences d’une soumise pratiquant le selfbondage
il y a 2 ans

Désir d’être une cyberesclave avec auto-esclavage et l’autobondage

Cher Maître, C'est bon de vous entendre à nouveau. Je collectionne les objets dans mon coffre à jouets depuis de nombreuses années, il contient : deux paires de menottes en métal, un petit et un grand vibromasseur, un très gros gode en plastique transparent, un ensemble d'obturateurs anaux gradués (butt-plugs), un bâillon-boule fait maison, des clips assortis, plusieurs cadenas, différentes longueurs de chaîne, une bobine de cordon souple de 50 mm et un certain nombre de ceintures en sangle de surplus de l'armée de différentes tailles. Je suppose que l'auto-esclavage est mon seul véritable débouché, donc je serai très heureuse d'essayer certaines de vos idées ; comme je l'ai dit, ce sera une expérience psychologique différente d'avoir des méthodes imposées de l'extérieur. Pour obtenir une certaine mesure d'impuissance, j'utilise la méthode de la clé congelée dans des glaçons. Cela implique de congeler les clés de mes contraintes en glaçons, je dois donc attendre que la glace f...
Un plan trop hard pour une soumise
il y a 2 ans

Karine et son Maître sont de gros coquins. Ils aiment les scénarios bien ficelés, des plans culs organisés comme si elle était esclave sexuelle, ou des plans du type enlèvement et jeux sadiques.

Karine et son Maître sont de gros coquins. Ils aiment les scénarios bien ficelés, des plans culs organisés comme si elle était esclave sexuelle, ou des plans du type enlèvement et jeux sadiques. Après chaque scénario, ils se retrouvent sous la couette pour faire l’amour tout simplement. Jack aime sa femme comme un fou mais lorsqu’il domine, il ne plaisante pas et peut être très hard autant sur le plan psychologique que physique. Cet amour et ces passions pour le BDSM sont réciproques, Karine ne pourrait pas pratiquer avec un « mémaitre », il lui faut du hard pour s’envoler. Elle exécute sans discussion et avec beaucoup d’excitation toutes les missions qu’il lui donne par texto. La semaine dernière, elle devait s’entraver seule dans le jardin avec un ice-timer contenant les clés de ses menottes par sécurité. Cagoulée et menottée à la charrue de décoration dans le gazon, elle attendait nue et fesses en l’air que son Maître arrive. Avec une barre d’écartement posée à ses chevilles, el...
Cette soeur que j’aurai pu aimer
il y a 2 ans

Cette histoire érotique gay aborde la féminisation d’une drôle de façon. Elle est à la fois dure et parfois amusante par le choix des mots.

RESUME Fils d’une mère tyrannique le féminisant par dépit dès son plus jeune âge, la vie de xxxx est un calvaire tout au long de sa scolarité. Lorsqu’il peut enfin prendre sa liberté et devenir un homme à part entière, il se heurte à son passé de « féminisé ». Sa première rencontre d’adulte se fait avec un Maître aimant « les petites ». Entre la chasteté imposée et une reprise de sa réelle féminisation, il sombre dans une soumission très particulière. SBG nagera dans le paradoxe de ne pas être gay mais un homme dans le corps d’une femme avant d’entrer dans un piège machiavélique. .............................. « Cette soeur que j’aurai pu aimer et qui a fait de moi sans même le savoir, une lopette ». La vie a déjà mal commencé pour moi. J’avais deux ans quand mon père et ma grande soeur ont eu la mauvaise idée de faire un plongeon en voiture. Louper un virage à cause du verglas peut arriver, heurter un pont en béton de plein fouet et plonger dans l’Isère quasi gelée ne le...
Jeune tafiole au Club de FOOT
il y a 2 ans

Dans les vestiaires des hommes le naturel gay et soumis se dévoile

Je jouais dans une équipe de foot là où j’habitais, on jouait souvent contre la ville d’à côté, moi j’étais le plus jeune de mon équipe et j’étais frêle. J’avais peu de poils aux jambes contrairement à mes coéquipiers qui étaient bien plus vieux et en avaient beaucoup, les gars avaient entre 18 et 20 ans, en revanche j’avais un bon petit cul bien galbé dans mon short. On s’entraînait tous les mercredi après-midi et après nous avions douche collective obligatoire où les coachs nous faisaient un topo pendant que nous étions en train de nous laver. J’étais assez complexé par mon manque de pilosité et je voyais mes camarades avec un pubis bien touffu et surtout des bites d’enfer, moi c’était la misère. Mon seul atout : mes fesses. D’ailleurs certains me disaient que j’avais un beau cul à me faire baiser ce qui me faisait rougir, parfois ils me mettaient des mains au cul avec le doigt dans la raie, je ne disais jamais rien, j’étais un peu le souffre-douleur du groupe et me faisait traite...
Les voies de l'enfer empruntent parfois des raccourcis étranges.
il y a 2 ans

Les amateurs de littérature hard et bien écrite devrait trouver là de quoi satisfaire leurs neurones coquins.

Grouillante d'une vie cosmopolite et stressée, saturée de regards perdus entre emplois peu utiles et loisirs conditionnés, contrastée aussi, quand se côtoient l'urgence et la futilité dans un grand chaudron aux allures de panthéon, la capitale française cachait, derrière un jeu des fenêtres centenaires identiques à des myriades d'autres baies embuées, parmi les deux millions d'histoires particulières qu'elle abritait dans ses tentacules grisâtres, celle de Nicole, la plus stéréotypée des existences de nanties, promise pourtant au plus tragique qui soit des destins. La matinée de ce vingt-et-un mars avait la couleur d'un premier jour ordinaire de printemps parisien, couchant sur les toits de béton et de tôle grisâtre une lumière métallique et orangée filtrée par une brume suspecte. Au sol, de part et d'autre des ruelles encore peu encombrées, des promeneurs suivaient leurs traces de la veille, telle une colonie de fourmis mue par un instinct animal et collectif. Les quartiers s'éveil...
Les voies de l'enfer empruntent parfois des raccourcis étranges 2
il y a 2 ans

La suite de ce petit roman est géniale mais hard et non consensuelle.

Les voies de l'enfer empruntent parfois des raccourcis étranges 2 L'attente fut longue et pénible. Le décollage de l'avion avait pris du retard et Nicole dut patienter des heures durant dans un hall surchauffé et bondé de voyageurs malodorants et bruyants. Assise sur un siège de métal, elle déplia son portable et tenta de se concentrer sur le dossier du lendemain pour oublier son épouvantable environnement et ces regards en coin qui v i o l aient son image, fouillaient à travers les tissus de son corsage ou de sa jupe, les formes généreuses de son corps sculptural. Elle s'agaça peu à peu de ce manège grotesque que les hommes improvisaient afin de se rincer l'oeil sans fin pour, sans doute, meubler leurs fantasmes lors de leurs tristes soirées de solitaires. Que pouvaient-ils donc espérer de plus ? Enfin l'embarquement fut annoncé. Elle se précipita vers la porte annoncée, dut subir la proximité de ces mêmes voyeurs qui, à cette occasion, se pressèrent autour d'elle pour capter u...
Vengeance de femme
il y a 2 ans

Quand on trompe sa femme, on peut parfois se retrouver en cage et condamné à la voir s'envoyer en l'air avec d'autres.

Christine avait besoin d’en parler à quelqu’un. De se confier. Ce fut à Anna, la collègue de travail avec qui elle déjeunait tous les midis. - Il me trompe. Je crois bien qu’il me trompe. - Ton mari ? Qu’est-ce qui te fait dire ça ? - Plein de choses. Le temps qu’il passe maintenant, le matin, dans la salle de bains. Une heure. Au lieu de vingt minutes avant. Son smartphone. Qu’il ne quitte pas un seul instant des yeux. Même pour trente secondes. Les bouquins d’astrologie qui s’entassent sur sa table de nuit. Il y a encore quinze jours, c’est un truc qui le faisait ricaner, ça, l’astrologie. - Mouais… Et au lit ? Elle a haussé les épaules. - Au lit, il y a encore, oui, mais c’est plus ce que c’était avant, mais alors là, plus du tout. - Oui, oh, ben, t’es cocue, il y a pas photo. Et, j’ai pas de conseils à te donner, mais moi, à ta place, je laisserais pas s’installer la situation. Parce que pour en sortir après… - C’est bien ce que je me dis aussi. Seulement je sais pas...
Couvent Gabriel
il y a 2 ans

Le couvent Gabriel est renommé, pour la dureté de sa vie et surtout de ses punitions, les sœurs, sont punies très durement....

Couvent Gabriel Le couvent Gabriel est renommé, pour la dureté de sa vie et surtout de ses punitions, les sœurs, sont punies très durement quelques fois à m o r t , pour la rédemption des pêchés du monde, à défaut d’être volontaires elles sont résignées et acceptent leur sort avec fatalité. Dans ce couvent de temps en temps des invitées sont placées par des maîtres sadiques pour des stages de perfectionnement, ainsi que certaines épouses punies par leurs maris. Pour cela le couvent dispose de pièces en sous-sol et d’un b o u r r e a u à plein temps, quelques fois la mère supérieure participe aussi. Il y a deux classes de sœurs, les sœurs qui s’occupent du fonctionnement du couvent que l’on appelle les sœurs noires, dû à leurs robes de religieuses et les sœurs de souffrance vouées au martyre qui sont vêtues d’une robe de bure et marchent pieds nus. Ce jour là Jean, maître particulièrement sadique avait exigé que son esclave fasse un stage de perfectionnement pour augmenter so...
Lettre d'amour d'une soumise implorant le pardon de son Maître
il y a 2 ans

Les confidences érotiques à cœur ouvert d’une soumise dans l’âme

Maître, je me suis découverte Vous craignant, Vous détestant, Vous aimant, et voulant crier et me mesurer à Vous. Alors je veux Vous enlacer, je Vous sais juste, je veux sentir votre étreinte et me protéger des monstres. Je me suis ouverte un peu plus dans cette fin de semaine cela a été fort parfois, mais cela révèle l'intensité de l'émotion que j'ai ressentie. J'aime ma vie. je veux plus encore . j'aimerais Vous avoir comme guide et aller plus loin dans la perfection. Je veux arriver à l'étape de Claudia dans « Le Feuilleton d'Endroit du marché ». Elle que je veux imiter, je sais qu'elle a du caractère , et je peux apprécier comment son caractère a évolué , d'une personne fragile timide à une femme assurée forte. Les compétences qu'elle a apprises ont été si polies que dans la fin elle était l'esclave parfaite et soumise. Comme je Vous l'ai déjà dit avant je luttais avec la femme, l'esclave, et la soumise que je suis. Elles sont si entrelacées dans mon esprit. j'avais des prob...
D’orpheline à nounou
il y a 2 ans

Une jeune fille s’imagine que son père est plus petit, qu’elle lui retire sa couche pour lui donner la fessée qu’il mérite. Comme par magie, il se met aussitôt à rétrécir.

C’est sur une ligne droite que la 405 roulant à une vitesse raisonnable s’est encastrée dans un camion pour des raisons inconnues un matin du mois de juin 1990. Des tôles enchevêtrées les pompiers ont retiré le corps sans vie de Lucie et un bébé par miracle indemne. Paul inconsolable ne s’étant jamais remarié élève seul sa fille Léa en lui menant la vie dure. Une nuit, la jeune Léa âgée fait un rêve particulier où elle rencontre une fée lui donnant des pouvoirs surnaturels. Lors de ce rêve, elle a mouillé son lit sans s’en rendre compte et ce n’est qu’au petit matin qu’elle découvre tout honteuse que son lit est trempé. Cherchant du réconfort, elle en parle à son père qui au lieu de la rassurer se met à crier, à la traiter de pisseuse et lui dit que si cela se reproduit, il lui fera porter des couches de bébé. Blessée dans son amour propre, elle pleure, « pleure, tu pisseras un coup de moins » lui hurle son père. Furieuse, elle s’imagine que son père plus petit, qu’elle lui retire...
Pierre, et la fessée
il y a 2 ans

Pierre et son rapport à la fessée et plus largement à la domination féminine

Prologue Je tiens d'abord à vous expliquer que ce récit est l'expression de mes fantasmes. Je le conçois d'abord, pour vous donner du plaisir mais également pour espérer transposer cette histoire dans la vie réelle et donner envie à une maitresse de s'occuper de moi et me faire vivre réellement ces aventures. N hésitez surtout pas à me contacter. Prologue. Pierre est un garçon sensible. Très sensible. Il est timide et réservé. Il n'ose pas faire le premier pas, se mettre en avant. Avec sa coupe au bol, et des reflets blonds, sa maman bourgeoise aime les petits garçons biens sages, et aime aussi le vêtir avec élégance. Col Claudine, salopette ou bermuda écossais. Et parfois petite culotte en coton à dentelle bleu ou rose plutôt féminine. Sans doute des petites culottes de sa grande sœur, plus vielle de dix années, réutilisées pour ce petit frère, dernier enfant de la famille. Un jour en CP, Pierre, pourtant propre depuis longtemps, fait caca dans sa culotte. Sa maitr...
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